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Un Regard sur l'Actualité Anglo-Saxonne ~ Janvier-Mars 2016 ~

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Un Regard sur l'Actualité Anglo-Saxonne ~ Janvier-Mars 2016 ~   Empty Un Regard sur l'Actualité Anglo-Saxonne ~ Janvier-Mars 2016 ~

Message  The Black Swan Mer 20 Jan - 12:08

TBS News Report
(Spécial Arabie Saoudite)


Ce bulletin d'information fait la synthèse de la presse Anglo-Saxonne
sur un sujet donné ou sur différents thèmes pertinents...
(Avec la collaboration de 09991)


Un Regard sur l'Actualité Anglo-Saxonne ~ Janvier-Mars 2016 ~   127421

David Rigoulet-Roze a écrit:
(...) L’Arabie saoudite apparaît en effet comme un allié de longue date des Occidentaux en général et des Etats-Unis en particulier. L’expression de cette alliance tient d’ailleurs dans ce qui est passé à la postérité comme le de « Pacte du Quincy ». Le deal sous-tendant cette alliance pouvait se résumer de la manière suivante : le monopole américain sur le pétrole saoudien en contrepartie de la sécurité militaire assurée par les Etats-Unis. Il faut comprendre que se profile alors la Guerre froide et qu’il n’est pas question de permettre à l’Union soviétique de prendre pied dans la région qui contient les plus grandes réserves pétrolières avérées de la planète. A cet égard, les déclarations des responsables américains sont instructives dans la constante qu’elles révèlent par-delà les Administrations américaines. Comme le déclara en juin 1948, le secrétaire américain à la Défense de l’époque, John Forrestall : « L’Arabie doit désormais être considérée comme incluse dans la zone de défense de l’hémisphère occidental ». Avec le début de la Guerre froide, le nouveau président démocrate Harry Truman (1945-1952) se voulut plus explicite encore dans une lettre adressée à Ibn Saoud en date du 31 octobre 1950 : « Aucune menace contre votre royaume ne pourra survenir sans constituer un sujet de préoccupation immédiate pour les Etats-Unis ». Le changement d’Administration américaine avec le président républicain Dwight David Eishenhower (1952-1961) ne fit que confirmer ce grand deal. La « doctrine Ike » reposait plus que jamais sur l’idée cardinale selon laquelle on ne met pas en difficulté les alliés pétroliers du « Monde libre », ce qui revenait à leur assurer une sorte de garantie d’immunité, sinon d’impunité. (...)

L'article en question : Wahhabite connection : comment l’Arabie saoudite a déstabilisé le monde... (Atlantico via Arrêt sur Info)(Novembre 2014)

Cette complicité avec l'Occident...

John Wight a écrit:
(...) Quoiqu’ayant violé de manière flagrante et répétée les droits de l’homme, à la fois à l’intérieur et à l’extérieur de ses frontières, et malgré la déstabilisation qu’elle a aidé à installer, l’Arabie saoudite est protégée par ses alliés occidentaux. Le pays a longtemps été le plus grand marché d’exportation d’armes fabriquées par l’Occident et, au cours de ces longues années de relations privilégiées, l’Arabie saoudite a perfectionné l’art de dire une chose à l’Occident et autre chose à son propre peuple et à ses clients dans le monde musulman. Cependant toute confusion s’estompe, quand il s’agit des actes, qui ont tracé la voie à une belligérance et un extrémisme sans cesse grandissants.

Quant à l’Iran, c’est un pays diabolisé par l’Occident depuis des années. Il est décrit comme un État voyou et une menace à la sécurité et à la stabilité. Personne n’a oublié que George W. Bush l’a inclus dans « l’axe du mal » avec la Corée du Nord et l’Irak. Ennemi juré d’Israël et de l’Arabie saoudite, l’Iran a vécu sous un régime de strictes sanctions pendant de nombreuses années et n’a pu que récemment revenir sur la scène internationale grâce à l’administration d’Obama au terme de  pourparlers diplomatiques sur la nécessité de sortir de l’échec au sujet du programme nucléaire de Téhéran. (...)


L'article en question : Saudi Arabia - a monster of the West's creation (John Wight, RT)(Janvier 2016)

Why Saudi Arabia and Russia Cannot Be Partners (Tony Cartalucci, Land Destroyer)(Novembre 2015)
Inside Saudi Arabia’s Campaign to Charm American Policymakers and Journalists (Lee Fang, The Intercept)(Décembre 2015)
Saudi Arabia: the West’s Chosen Islamist Head-Cutters (Sam Albert, CounterPunch)(Janvier 2016)
The Execution of Nimr Al-Nimr: One More Reason to Re-evaluate the Toxic U.S.-Saudi Alliance (Medea Benjamin, CounterPunch)(Janvier 2016)

Un conflit grandissant avec l'Iran...

Bill Van Auken a écrit:
(...) L’Arabie Saoudite a coupé tous les liens diplomatiques avec l’Iran, dimanche, utilisant des protestations de colère contre la décapitation de l’imam chiite, le cheikh Nimr al-Nimr, comme prétexte. Des manifestants ont pris d’assaut dimanche l’ambassade saoudienne à Téhéran et incendié un consulat dans la ville iranienne de Mashhad. Au moins 50 manifestants ont été arrêtés, aucun fonctionnaire saoudien n’a été blessé. Lundi, la monarchie saoudienne a poursuivi sa rupture des liens diplomatiques avec l’annonce qu’elle interdit également tous les vols à destination et en provenance de l’Iran et coupe les liens commerciaux. Les actions saoudiennes ont été suivies lundi par Bahreïn et le Soudan qui ont aussi rompu les liens diplomatiques avec l’Iran. Bahreïn, qui abrite la Cinquième Flotte américaine, est un pays à majorité chiite gouverné par une monarchie sunnite dictatoriale. Des troupes et des chars saoudiens ont joué un rôle décisif dans la répression des manifestations de masse qui ont agité le pays en 2011. (...)

L'article en question : Middle East tensions escalate in wake of Saudi mass beheadings (Bill Van Auken, WSWS)(Janvier 2016)

“The Sunni-Shia Schism” and the Execution of Political Opponents in Saudi Arabia (Chandra Muzaffar, Global Research)(Janvier 2016)
Saudi Arabia’s Gruesome Provocation (Trita Parsi, Consortium News)(Janvier 2016)
Escalation Flares as Iran Accuses Saudi Arabia of Embassy Hit (Sarah Lazare, Common Dreams)(Janvier 2016)
Yemen Is the Latest Victim of the Increase in Iran-Saudi Arabia Tension (Jared Malsin, The Time)(Janvier 2016)

La politique étrangère de l'Arabie Saoudite au Yémen...

Gareth Porter a écrit:
(...) La justification de la guerre menée par l'Arabie saoudite sur les Houthis au Yémen a été que les Houthis sont des rebelles utilisés par procuration par l'Iran, et la principale preuve alléguée de cette conclusion est que l'Iran a armé les Houthis pendant des années. L'allégation de livraisons d'armes iraniennes aux Houthis, une allégation qui a souvent été mentionnée dans la couverture de presse du conflit, mais jamais prouvée, a été renforcée par un rapport publié en juin dernier par un groupe d'experts créé par le Conseil de sécurité de l'ONU : le rapport a conclu que l'Iran avait expédié des armes aux rebelles Houthis au Yémen par la mer depuis au moins 2009. Mais une enquête sur les deux principales allégations de ces livraisons d'armes et citées par le panel d'experts montre qu'elles étaient erronées et consistaient toutes les deux des ruses grossièrement construites. (...)

L'article en question : How False Stories of Iran Arming the Houthis Were Used to Justify War in Yemen (Gareth Porter, Truthout)(Décembre 2015)

Egypt Sends 800 Ground Troops to Engage in Saudi-US War on Yemen (Al-Manar, Al-Masdar News)(Octobre 2015)
Ceasefire in Yemen Faces Collapse as U.S. Continues Weapons Sales... (Democracy Now ! via Common Dreams)(Video)(Décembre 2015)
Bloody Entanglements: Saudi Arabia, Britain and Yemen (Binoy Kampmark, Global Research)(Décembre 2015)
Yemen: Britain and Saudi Arabia Shoulder to Shoulder in Atrocity (Felicity Arbuthnot, Pravda)(Janvier 2016)

Une relation plus qu'étrange avec l'EI...

Daniel Lazare a écrit:
(...) Autrement dit, l’État islamique n’est pas un phénomène local et autosuffisant, mais la construction et le bénéficiaire de pouvoirs plus importants et, dans son essence, une force paramilitaire agissant en sous-main pour le compte des cheikhs des États du Golfe. Les preuves d’un large soutien régional sont abondantes, même si des organes de presse comme le New York Times ont fait de leur mieux pour les ignorer. Quelques faits saillants sur cette piste de l’argent:

- Dans un rapport diplomatique datant de 2009 et rendu public par Wikileaks, Hillary Clinton, alors ministre des Affaires étrangères, indiqua que « les donateurs en Arabie Saoudite représentent la source de financement majeure des groupes terroristes sunnites dans le monde entier. »
(...)
- En août 2012, un rapport de la DIA, l’ agence du renseignement de la défense, qui signalait qu’Al-Qaïda, les salafistes et les Frères Musulmans dominaient le mouvement de rébellion syrien et que leur but était d’établir « une principauté salafiste dans l’est de la Syrie », à l’endroit où se situe actuellement le califat de l’État islamique.
- Le propre dossier du Times, deux mois plus tôt, affirmant que la CIA travaillait avec les Frères Musulmans pour faire parvenir aux rebelles sunnites en Syrie des armes fournies par la Turquie, l’Arabie Saoudite et le Qatar.
(...)
- Un éditorial du Times sorti tout juste le mois dernier se plaignant que les Saoudiens, les Qataris et les Koweïtiens continuent à faire parvenir des fonds à l’État islamique. (...)


L'article en question : The Saudi Connection to Terror (Consortium News)(Novembre 2015

Iraq crisis: Sunni caliphate has been bankrolled by Saudi Arabia (Robert Fisk, The Belfast Telegraph)(Juin 2014)
Saudi Arabia, Turkey, US are Supporting The Islamic State?... (Prof Michel Chossudovsky, Global Research)(Novembre 2015)
Saudis Seek Chaos to Cover Terror Tracks (Finian Cunningham, Sputnik)(Janvier 2016)

D'autres articles à consulter...

General Wesley Clark: ISIS Serves Interests Of US Allies Turkey And Saudi Arabia (Video)(Tyler Durden, Zero Hedge)(Avril 2015)
Despite Displeasure With U.S., Saudis Face Long Dependency (Ben Hubbard, NYT)(Mai 2015)
Saudi Arabia Uses Terrorism As An Excuse for Human Rights Abuses (Arjun Sethi, Al Jazeera via The Intercept)(Décembre 2015)
Saudi Arabia’s Mad Head-Choppers (Robert Fisk, CounterPunch)(Janvier 2016)
Washington’s Multi-Million-Dollar Saudi PR Machine (Eli Clifton, Common Dreams)(Janvier 2016)
Turks, Saudis & Kurds: What’s Going on? (Can Eritam, NEO)(Janvier 2016)

(...)

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Un Regard sur l'Actualité Anglo-Saxonne ~ Janvier-Mars 2016 ~   Empty TBS News Report (Spécial "Or Noir")

Message  The Black Swan Mer 3 Fév - 10:20

TBS News Report
(Spécial Arabie Saoudite)


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Un Regard sur l'Actualité Anglo-Saxonne ~ Janvier-Mars 2016 ~   127421

Professeur Chems Eddine Chitour a écrit:
(...) Les rentiers de l'Opep ne savent pas que la perte occasionnée par un dumping qui met les prix au plancher est de loin plus importante qu'une réduction de quota. Un petit calcul montre qu'une réduction de 10% de la production de l'Opep soit 3,1 millions de barils à répartir d'une façon équilibrée en réduisant la part de l'Arabie saoudite qui a pris les quotas de l'Iran du fait des sanctions et de l'Irak, permettrait de faire remonter les prix jusqu'à 60, voire 70 $. Les pays industrialisés, notamment pétroliers, américains ne verraient pas cela d'un mauvais oeil. Pour l'Algérie passer de 1 million de barils/j à 30 dollars, voire moins à 800.000 barils /jour à 60 dollars le gain est évident. Mais qui va faire entendre raison aux rentiers du Golfe? Seule alors une injonction américaine leur fera entendre raison. Cela ne se fera pas car les Américains ont pour objectif de terrasser économiquement la Russie. (...)

L'article en question : Le pétrole à moins de 30 dollars: Vive la crise si on se réveille enfin !(L'Expression via Global Research)(Janvier 2016)

Vers une guerre du pétrole...

F. William Engdahl a écrit:
(...) En novembre dernier, le ministère de l’Énergie russe a annoncé qu’il allait commencer à tester le négoce de son pétrole coté sous son nouveau standard. Bien que cela puisse sembler de la petite bière pour beaucoup, c’est capital. En cas de succès, et il n’y a aucune raison pour que ce n’en soit pas un, le prix standard du contrat à terme pour le pétrole brut russe sera négocié sur les marchés russes, et son prix sera fixé en roubles et non plus en dollars US. Cela fait partie de la démarche de dé-dollarisation discrètement lancée par la Russie, la Chine et un nombre croissant d’autres pays.

La cotation standard du pétrole est au cœur de la méthode utilisée par les grandes banques de Wall Street pour contrôler les prix mondiaux du pétrole. Le pétrole est la plus importante matière première négociée en dollars dans le monde. Aujourd’hui, le prix du pétrole brut russe est référencé à ce qui est appelé le standard Brent. Le problème est que le gisement Brent, et d’autres grands champs pétrolifères de mer du Nord, étant en grand déclin, cela signifie que Wall Street peut utiliser un étalon dégressif pour tirer profit du contrôle de volumes de pétrole extrêmement plus grands. L’autre problème est que le contrat Brent est contrôlé essentiellement par Wall Street et les manipulations de dérivés des banques, comme Goldman Sachs, Morgan Stanley, JP MorganChase et Citibank. (...)


L'article en question : Russia Breaking Wall St Oil Price Monopoly (NEO)(Janvier 2016)

Blood for Oil: Syria Is the Ultimate Pipelinestan War (Pepe Escobar, Russia Insider)(Décembre 2015)
The Geopolitics of Cheap Oil (John Feffer, CounterPunch)(Janvier 2016)
The Secret Oil War Has Begun (Gordon Duff, NEO)(Janvier 2016)
How Big Oil Conquered the World (video)(The Corbett Report)(Janvier 2016)

Quelles en sont les conséquences économiques mondiales...

Michael Snyder a écrit:
(...) Mais ce crash du pétrole n’a rien de réjouissant dans la mesure où les grandes banques sont concernées. Pendant les années de boom, les banques ont accordé des milliards et des milliards de dollars de prêts pour financer des projets de forage extrêmement coûteux partout dans le monde. (...) Si le prix du pétrole devait remonter au-dessus de 50 dollars à très court terme, les dommages seraient probablement gérables. Malheureusement, cela ne semble pas susceptible de se produire. En fait, maintenant que les sanctions ont été levées sur l’Iran, les Iraniens ont l’intention d’inonder le monde avec d’énormes quantités de pétrole qu’ils ont stockées dans des pétroliers en mer. (...)

L'article en question : The Oil Crash Of 2016 Has The Big Banks Running Scared (The Economic Collapse)(Janvier 2016)

What’s Really Going on with Oil? (F. William Engdahl, NEO)(Janvier 2016)
Oil Bankruptcies Hit Highest Level Since Crisis And There's "More To Come", Fed Warns (Tyler Durden Zero Hedge)(Janvier 2016)
Global Stocks Surge, Oil Soars As Hopes For Central Bank Stimulus Return (Tyler Durden Zero Hedge)(Janvier 2016)
Iran Unleashes Oil Flood, Will Quintuple Crude Revenue In 2016 (Tyler Durden, Zero Hedge)(Janvier 2016)

Une nouvelle phase de spéculation financière...

Tyler Durden a écrit:
(...) Comme Citi et d’autres l’ont noté, un an ou deux après que nous avions longuement discuté de cette question, les producteurs non rentables aux États-Unis sont presque entièrement dépendants des marchés de capitaux pour leur survie. «Le secteur du schiste est maintenant financièrement sous stress-tests, exposant le secret caché du schiste : de nombreux producteurs de schiste dépendent d’injections du marché des capitaux pour financer leur activité courante, car ils ont dépensé sans compter leur trésorerie jusqu’ici», a écrit CitiGroup en septembre. (...) Le prix West Texas Intermediate (WTI) du pétrole brut a chuté d’environ 23% jusqu’ici, au quatrième trimestre. Les attentes ont évolué vers un prix plus faible en raison des perspectives de sanctions contre l’Iran qui sont susceptibles d’être levées au début de 2016, du fait aussi que l’Organisation des pays exportateurs de pétrole (OPEP) a abandonné toute prétention à gérer un plafond de production et que la baisse de production des États-Unis a ralenti. La surproduction des approvisionnements entraîne le prix du pétrole à un plus bas de dix ans. Le déséquilibre entre l’offre et la demande mondiale a provoqué son effondrement à des niveaux jamais vus depuis plus de dix ans. (...)

L'article en question : Oil Bankruptcies Hit Highest Level Since Crisis And There's "More To Come", Fed Warns (Zero Hedge)(Janvier 2016)

Rigging The Oil Market: ‘Perhaps 60% of Today’s Oil Price is Pure Speculation’ (F. William Engdahl, Global Research)(Mai 2008)
Goldman Sachs Makes Oil Prices Drop (Mikhail Leontyev via Réseau Voltaire)(Janvier 2016)
Did Wall Street Banks Create the Oil Crash? (Pam Martens & Russ Martens, Wall Street on Parade)(Janvier 2016)
The Worst Oil Analysis on the Street (EconMatters)(Janvier 2016)

Et le pétrole de Daesh dans tout ça...

Vijay Prashad a écrit:
(...) Comment l’EI s’y prend-il ? L’EI vend le pétrole à des contrebandiers qui le transportent jusqu’à Ceyhan. Mais, c’est ici que l’histoire devient intéressante. Qui à l’intérieur de la Turquie est impliqué dans le commerce du pétrole ? Les Russes ont accusé le groupe BMZ d’être un des principaux acteurs dans le transport du pétrole. Il s’avère que l’un des propriétaires de BMZ se trouve être Bilal Erdoğan, fils du président. Le groupe BMZ a acheté le mois dernier deux nouveaux tankers. Son volume de pétrole a augmenté. Est-ce le pétrole de l’EI ? Il serait nécessaire de vérifier plus à fond les allégations russes. Au parlement britannique, le dirigeant du Parti Travailliste Jeremy Corbyn a dit : « Nous avons besoin de savoir quelles banques et quels pays sont de mèche dans la contrebande du pétrole de l’EI. » C’est la question la plus importante. Tout le monde en fait fi. (...)

L'article en question : ISIS Oil (CounterPunch)(Décembre 2015)

Guess Why The U.S. Is Not (Seriously) Bombing ISIS's Oil Business (Moon of Alabama)(Novembre 2015)
Erdoğan, Salman and the Coming ‘Sunni’ War for Oil (F. William Engdahl, NEO)(Décembre 2015)
Oil Tests May Prove One Test Too Many for Erdogan (Henry Kamens, NEO)(Janvier 2016)
ISIS attacks oil infrastructure near Ras Lanuf port in Libya, threatens sequel (RT)(Janvier 2016)

D'autres articles à consulter...


Source Vidéo : Keiser Report: Deflating oil market (Chaîne YT de RT)(Janvier 2016)

Raqqa's Rockefellers: How Islamic State oil flows to Israel (The New Arab)(Novembre 2015)
Turkish Sultan Moves to Annex Iraq's Mosul (Russia Insider)(Décembre 2015)
Bottom of barrel: Crude oversupply makes producers cut oil output to stabilize market (Chaîne YT de RT)(Janvier 2016)

(...)

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Un Regard sur l'Actualité Anglo-Saxonne ~ Janvier-Mars 2016 ~   Empty TBS News Report (Situation en Ukraine...)

Message  The Black Swan Mer 24 Fév - 11:06

TBS News Report
(Situation en Ukraine...)


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Un Regard sur l'Actualité Anglo-Saxonne ~ Janvier-Mars 2016 ~   127421

John Mearsheimer a écrit:
(...) L'OTAN a commencé à projeter son regard un peu plus loin vers l'Est. Lors de son sommet d'avril 2008, à Bucarest, l'alliance a envisagé d'admettre en son sein la Géorgie et l'Ukraine. L'administration de George W. Bush soutenait cette idée, mais la France et l'Allemagne s'y opposèrent de crainte que cela ne contrarie un peu trop la Russie. Finalement, les membres de l'OTAN sont arrivés à un compromis : l'alliance n'entamera pas la procédure officielle conduisant à leur admission, mais émit une déclaration soutenant les aspirations de la Géorgie et de l'Ukraine, en déclarant avec impudence : « Ces pays deviendront membres de l'OTAN ». Cependant, Moscou ne vit pas vraiment ce résultat comme un compromis. Alexander Grushko, alors vice-ministre russe des Affaires étrangères, déclara : « L'admission de la Géorgie et de l'Ukraine dans l'alliance est une énorme erreur stratégique qui aurait les conséquences les plus graves pour la sécurité paneuropéenne ». Poutine a maintenu cette position en disant que l'admission de ces pays dans l'OTAN représenterait une « menace directe » contre la Russie. Un quotidien russe rapporta que Poutine, s'entretenant avec Bush, « a indiqué à Bush de façon très claire que si l'Ukraine était admise dans l'OTAN, elle cesserait d'exister ». L'invasion russe de la Géorgie en août 2008 aurait dû dissiper tout doute subsistant sur la détermination de Poutine à empêcher la Géorgie et l'Ukraine de rejoindre l'OTAN. Le Président géorgien Mikhaïl Saakachvili, qui était très engagé à faire entrer son pays dans l'OTAN, avait décidé au cours de l'été 2008, de réincorporer deux régions séparatistes, l'Abkhazie et l'Ossétie du Sud. Mais Poutine chercha à maintenir la Géorgie faible et divisée, et hors de l'OTAN. Après que les combat éclatèrent entre le gouvernement géorgien et les séparatistes de l'Ossétie du Sud, les forces russes prirent le contrôle de ces deux régions. Moscou s'était fait comprendre. Pourtant, malgré cette mise en garde on ne peut plus claire, l'OTAN n'a jamais publiquement abandonné son objectif de faire entrer la Géorgie et l'Ukraine dans l'alliance. Et l'expansion de l'OTAN a poursuivi sa marche en avant, avec l'Albanie et la Croatie qui sont devenues membres en 2009. (...)

L'article en question : La crise ukrainienne découle directement des agissements de l'Occident... (Foreign Affairs via FYI)(September/October 2014 Issue)

Remontons le temps de quelques années ...

Wayne Madsen a écrit:
(...) Un ancien document top secret de la CIA, daté du 13 juillet 1953, offre une description d’AERODYNAMIC : « Le but du Projet AERODYNAMIC est d’utiliser et d’étendre la résistance ukrainienne anti-soviétique pour des buts de guerre froide et de guerre chaude. Des groupes comme le Conseil suprême de libération de l’Ukraine (UHVR) et son Armée insurrectionnelle ukrainienne (OUN), la représentation à l’étranger du Conseil suprême de libération de l’Ukraine (ZPUHVR) en Europe de l’Ouest et aux États-Unis, ainsi que d’autres organisations telles que la OUN/B seront utilisés. » La CIA a admis en 1970 dans un document précédemment secret qu’elle avait été en contact avec le ZPUHVR depuis 1950. (...)

L'article en question : CIA: Undermining and Nazifying Ukraine Since 1953 (Strategic Culture Foundation)(Janvier 2016)

Cheering a ‘Democratic’ Coup in Ukraine (Robert Parry, Consortium News)(Février 2014)
Washington Has Added Ukraine To The Long List Of Countries Destroyed By Washington (Paul Craig Roberts, IPE)(Décembre 2015)
Joe Biden to visit Ukraine to confirm US support (Press TV)(Décembre 2015)
Biden: War in Ukraine Inevitable (GDP, Veterans Today)(Décembre 2015)

Que s'est-il passé réellement sur la place de l'Indépendance...

Sputnik a écrit:
(...) Les recherches menées par l'Université d'Ottawa sur "le massacre effectué par des tireurs d'élite" sur la place Maidan en février 2014 ont montré que les assassinats de manifestants ont été organisés par des groupes paramilitaires d'extrême droite et alliés des partis politiques d'opposition, et n'ont pas été réalisés par la police anti-émeute Berkut de l'ancien gouvernement ukrainien, contrairement à ce qui a été avancé par le gouvernement de Kiev et répété par les médias occidentaux. Le rapport canadien sur les massacre réalisés par les « snipers » à Kiev en février 2014, où des dizaines de manifestants ont été tués par des tirs en provenance des bâtiments environnants, a prouvé qu'ils ont été réalisés par des groupes d'opposition soutenus par l'Occident. (...)

L'article en question : Study Proves Maidan Snipers Were Western-Backed Opposition’s False Flag (Sputnik)(Janvier 2016)

Euromaidan unmasked: Europe shocked by the bitter truth on Ukraine (Oriental Review)(Février 2016)
The Heartbreaking Irony of ‘Winter on Fire’ (Lev Golinkin, The Nation)(Février 2016)
A Decisive Turn? Risks for Ukrainian Democracy After the Euromaidan (Mikhail Minakov)(Février 2016)
The 22-Month Old “Maidan Revolution” In Ukraine Has Completely Failed (Paul Craig Roberts, Institute for Political Economy)(Février 2016)

Quel avenir pour une Ukraine politiquement dévastée...

Alexander Mercouris a écrit:
(...) Aivaras Abromavicius a très précisément dénoncé Igor Kononenko, un proche associé de Porochenko, pour avoir exercé des pressions sur lui afin qu’il nomme, contre sa volonté, des députés qui assureraient à des personnages puissants la garantie de pouvoir continuer à profiter de la corruption dans les secteurs de l’énergie et de la défense. La démission d’Abromavicius intervient sur fond de désillusion croissante, à la fois en Ukraine et en Occident, face à l’échec du gouvernement post-Maïdan à éradiquer la corruption. Au contraire, le consensus affirme que depuis la chute de Ianoukovitch, la corruption en Ukraine a nettement empiré. (...)

L'article en question : Ukraine's Econ Minister Denounces Corruption, Storms Out of Government (Russia Insider)(Février 2016)

Reality Peeks Through in Ukraine (Robert Parry, Consortium News)(Janvier 2016)
Ukraine Bonds Crash After Economy Minister Resigns Over "High-Level Corruption" (Tyler Durden, Zero Hedge)(Février 2016)
Ukraine's Political Turmoil Deepens as Coalition Party Quits (Daryna Krasnolutska & Kateryna Choursina, Bloomberg)(Février 2016)
IMF may cut aid to Ukraine over corruption (Press TV)(Février 2016)


Source Vidéo : CrossTalk: Ukraine's dead ends (Chaîne YT de RT)(Janvier 2016)

D'autres articles à consulter...

Dmitry Orlov a écrit:
(...) Avec tant de choses allant de travers, l’Ukraine a été incapable d’obtenir assez de gaz naturel ou de charbon pour constituer une réserve en cas de vague de froid cet hiver. En quelques semaines de grand froid, les réserves s’épuiseront, puis les tuyaux gèleront, rendant la plupart des zones urbaines invivables (parce qu’il faut rappeler qu’il n’y a plus d’argent, ni d’industrie à proprement parler, pour réparer les dégâts). Les perspectives semblent assez mauvaises, mais nous n’en sommes pas encore là. Voyez-vous, l’Ukraine produit plus de la moitié de son électricité à partir de centrales nucléaires. Dix-neuf réacteurs nucléaires sont en fonction, avec deux de plus en cours de construction, en principe. Et cela dans un pays dont l’économie est en chute libre et se rapproche de celle du Mali ou du Burundi ! Le combustible nucléaire pour ces réacteurs était fourni par la Russie. Une tentative de remplacement du fournisseur russe par Westinghouse a échoué en raison de problèmes de qualité ayant provoqué un accident. Que va devenir une Ukraine en faillite, qui vient de spolier la Russie en refusant de lui rembourser une dette souveraine de $3 Mds, que va-t-elle faire quand viendra le temps de faire le plein de ces dix-neuf réacteurs ? Bonne question ! (...)

L'article en question : On the 19th day of Christmas... (Dmitry Orlov, Club Orlov)(Décembre 2015)

The IMF forgives Ukraine’s loan to Russia (Michael Hudson, The Saker)(Décember 2015)
Joining NATO: Ukraine, a Warning to Others (Ulson Gunnar, NEO)(Décembre 2015)
Ukraine Needs a Reboot (Sergii Leshchenko, Foreign Policy)(Février 2016)
In Ukraine's Conflict, Rumors of Compromise Grow (Eugene Chausovsky, Stratfor)(Février 2016)

(...)

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Un Regard sur l'Actualité Anglo-Saxonne ~ Janvier-Mars 2016 ~   Empty TBS News Report (Spécial Brexit)

Message  The Black Swan Ven 4 Mar - 13:22

TBS News Report
(Spécial Brexit)


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Un Regard sur l'Actualité Anglo-Saxonne ~ Janvier-Mars 2016 ~   127421

Professeur Chems Eddine Chitour a écrit:
(...) Beaucoup considèrent que les Britanniques sont des enfants gâtés de l’Union, qui bénéficient déjà de quatre exceptions notables. Le Royaume-Uni n’appartient pas à l’espace de libre circulation Schengen ni à l’union économique et monétaire. Il n’a pas ratifié la Charte des droits fondamentaux de l’UE, et, en juillet 2013, a exercé la possibilité que lui offre le traité de Lisbonne de se retirer de 133 instruments de coopération dans le domaine de la police et de la justice pénale (il en a finalement retenu une trentaine). Londres bénéficie aussi d’un traitement particulier concernant sa contribution au budget de l’Union, un « rabais », en vigueur depuis 1984, au motif que le Royaume-Uni bénéficie moins que d’autres pays de la politique agricole commune. « Beaucoup de collègues pensent que les Britanniques n’ont jamais cessé de critiquer l’Union, malgré tous les efforts qu’on a faits pour eux. S’ils veulent partir, qu’ils partent! », résume un fonctionnaire européen. (...)

L'article en question : Royaume-Uni / UE – Du Grexit au Brexit... (Global Research)(Février 2016)

Quelles seraient les conséquences d'un Brexit...

Wayne Madsen a écrit:
(...) A son retour, Cameron était toujours confronté à un parti profondément divisé; un certain nombre de membres de premier plan de son cabinet étaient prêts à faire campagne pour un Brexit. Même avant que Cameron ne rentre, la BBC rapportait que le ministre de la Justice Michael Gove s’était déclaré en faveur d’une sortie britannique de l’UE. Cela donne une grande responsabilité au Parti travailliste à plaider en faveur d’un maintien dans l’UE au référendum, qui reste la préférence de la majorité de l’élite dirigeante britannique. Le dirigeant travailliste Jeremy Corbyn a répondu à cet appel en inversant son opposition précédente à l’UE. Parlant jeudi à une réunion du bloc parlementaire du Parti des socialistes européens à Bruxelles, à laquelle Hollande assistait aussi, Corbyn a dit qu’il souscrivait à l’UE parce qu’elle apportait prétendument « l’investissement, l’emploi et la protection des travailleurs et consommateurs britanniques. » Son affirmation n’ignore pas seulement tout à fait le bilan réel de l’UE qui est d’imposer une brutale austérité en Grèce, en Espagne, au Portugal et ailleurs, c’est encore une farce puisque l’UE vient d’approuver toutes les demandes de Cameron. (...)

L'article en question : Brexit referendum to go ahead after UK secures... (Robert Stevens and Chris Marsden , WSWS)(Février 2016)

What if...? The consequences, challenges and opportunities facing Britain outside the EU (Pawel Swidlicki, ..., Open Europe)(Mars 2015)
Britain Threatens E.U. Exit Over 3 Little Words in Treaty (Stephen Castle, NYT)(Juin 2015)
BREXIT: Cameron’s E.U. Deal and Its Implications (Adeyinka Makinde via Global Research)(Février 2016)

Un Regard sur l'Actualité Anglo-Saxonne ~ Janvier-Mars 2016 ~   Bloggif-56d967405ef8a_imagesia-com_15zxh_large

Et pour l'Union Européenne...

Cédric Durand a écrit:
(...) Le renforcement des forces centrifuges apparaît également comme la conséquence du déclin de l’attrait de Bruxelles. La Grande-Bretagne, qui a succombé de longue date aux sirènes atlantistes, réclame un revirement substantiel de l’intégration, menaçant de quitter le navire. A la frontière orientale de l’Union, la désillusion vis-à-vis de l’intégration européenne laisse un champ libre aux forces nationalistes, bien que celles-ci soient animées de sentiments contradictoires vis-à-vis de l’assurance géopolitique retrouvée de la Russie. Au sein même du cœur historique de l’Europe, un désarroi croissant se fait sentir. Il favorise bien sûr la montée de partis d’extrême droite comme le Front National en France, mais laisse aussi libre cours à des discours racistes dans les médias dominants. Le récent texte de Berthold Seewald dans le principal journal conservateur allemand, Die Welt, mobilisant des arguments ethniques pour écarter la Grèce de l’UE en est une illustration abjecte. (...)

L'article en question : The End of Europe (Cédric Durand, Jacobin)(Juillet 2015)

Brexit Danger: The EU Strategy to Keep Britain from Leaving (Peter Müller and Christoph Scheuermann, Der Spiegel)(Janvier 2016)
Brexit vote could turn UK into a 'safe haven' triggering EU disintegration, say Barclays (Mehreen Khan, The Telepgraph)(Janvier 2016)
Why «Brexit» Would Be Good News for Russia (Finian Cunningham, Strategic Culture Foundation)(Février 2016)


Source Vidéo : 'Why Cameron wants short EU campaign' (Nigel Farage)(Chaîne YT de RT UK)(Février 2016)

Une sortie britannique de l'UE mettrait en péril l'alliance de l'OTAN...

Robert Stevens a écrit:
(...) Le rôle de la Grande-Bretagne dans l'UE renforce la sécurité dont nous jouissons dans le cadre de l’OTAN, ajoute à notre capacité et la flexibilité en matière de coopération de défense et nous permet de projeter une plus grande puissance internationale. « Dans un monde dangereux, elle nous aide à protéger notre peuple, notre prospérité et notre mode de vie. Nous croyons donc fermement qu'il est dans notre intérêt national de rester membre de l'UE. » Faisant suite à la lettre, Lord Dannatt, l’ancien chef de l'armée britannique, a déclaré à Sky News de Rupert Murdoch, « Je pense que si vous regardez autour du monde au retour de la Russie et ce que M. Poutine essaie de faire ... ce n’est pas un temps pour l' Europe de se désagréger, pour les pays de décider pour leurs propres raisons de quitter l'Union européenne, qui en lui-même court le risque de défaire l' OTAN, qui a été cette alliance défensive très réussie sur laquelle la défense de ce pays a reposé depuis la fin de la Seconde Guerre mondiale. » (...)

L'article en question : UK generals intervene to oppose Brexit (Robert Stevens, WSWS)(Février 2016)

Cameron Unleashes 'Project Fear'... (Tyler Durden, Zero Hedge)(Février 2016)
Nuclear Component Must Be Part of NATO’s Deterrence Policy in Europe’s East... (Ashish Kumar Sen, The Atlantic Council)(Février 2016)
Former British Prime Minister Blair Joins Call for a European Army (Jordan Shilton, WSWS via Global Research)(Février 2016)
Brexit : Tories unleash military leaders, Russian invasion, ISIS,... (Graham Vanbergen, TruePublica)(Février 2016)


Source Vidéo : Ex-NATO head: Brexit will be a disaster for EU (Anders Fogh Rasmussen, CNBC)(Juin 2015)

Et d'un point de vue Economique...

Graham Vanbergen a écrit:
(...) Pourquoi alors le FTSE a seulement diminué de 4,5 % au cours des trois mois lorsque l'Euro Stoxx, lui, a diminué de 19 %, le DAX chute de 18,7 % et que le CAC 40 est en baisse de 14 %. Si les marchés boursiers sont une ligne de conduite sur les bénéfices futurs, la propagande d'HSBC, ainsi que d'autres alarmistes, montre que les performances économiques de l'UE sont une bonne raison d'échapper à une spirale de la mort inévitable. (...)

L'article en question : Brexit : Heads you lose, tails you lose (TruePublica)(Février 2016)

Will Britain Vote to Leave the European Union? (John O’Sullivan, National Review)(Janvier 2016)
Why the markets fear Brexit (The Economist)(Février 2016)
BREXIT Risk Spikes To Record High (Tyler Durden, Zero Hedge)(Février 2016)
EU referendum: 80 FTSE companies prepare to back campaign to stay (Peter Dominiczak, ..., The Telegraph)(Février 2016)

D'autres articles à consulter...

Brexit now backed by 47 per cent of British voters, new poll reveals (Kate McCann, ..., The Telegraph)(Décembre 2015)
‘Make or break’ Brexit and migration talks progress, but hard path ahead (Euronews)(Décembre 2015)
Brexit: Please Britain, Don’t Stop (Aidan O’Brien, CounterPunch)(Février 2016)
Britain teeters closer to the brink of Brexit (Anthony Giddens, Europe's World)(Février 2015)

(...)

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