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Arte révèle la présence de fûts de déchets nucléaires dans la Manche

2 participants

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Arte révèle la présence de fûts de déchets nucléaires dans la Manche Empty Arte révèle la présence de fûts de déchets nucléaires dans la Manche

Message  Silver Wisdom Lun 15 Avr - 15:16

Bonjour à tous,

Arte révèle la présence de fûts de déchets nucléaires dans la Manche

Arte révèle la présence de fûts de déchets nucléaires dans la Manche 2013-04-13_18h36_27_thumb

Dans la Manche, devant la côte française,
des fûts remplis de déchets nucléaires datant des années 50 et 60
et toujours intacts gisent au fond de la mer.


L’information a été dévoilée par la télévision franco-allemande Arte. A l’aide d’un sous-marin téléguidé,
deux fûts ont ainsi été filmés à 124 mètres de profondeur, à quelques kilomètres seulement de la côte française.


[/i]Arte révèle la présence de fûts de déchets nucléaires dans la Manche Futs_radioactifs

Immerger des fûts de matières irradiées en pleine mer semble aujourd’hui scandaleux,
mais cette technique a été par le passé considérée comme une forme de stockage scientifiquement justifiée :
la radioactivité des déchets déposés à plus de 4 500 mètres de profondeur était censée s’éliminer par dilution.
Il est désormais admis qu’elle ne fait que se répandre de manière incontrôlée. Dans quel état sont aujourd’hui ces barils,
dont même les autorités ne connaissent pas la localisation exacte ?

Thomas Reutter et Manfred Ladwig partent à la recherche de ces déchets engloutis, guidés par un ancien militant écologiste qui,
à l’époque, a tenté de barrer la route en Zodiac aux bateaux chargés de fûts. Ils rencontrent des responsables politiques,
des membres de Greenpeace et des scientifiques, à qui ils soumettent les échantillons prélevés. Ils mettent ainsi au jour
un phénomène nié ou dissimulé, dont les conséquences nous échappent largement. Une problématique d’autant plus actuelle
qu’alors même que le stockage en mer est interdit depuis 1993, il est toujours légal d’y rejeter des eaux contenant des radionucléides.


Déchets nucléaires en mer
http://www.arte.tv/guide/fr/emissions/JT-010508/dechets-nucleaires-en-mer#details-functions-share

Note : Le Documentaire sera télévisé mardi 23 avril à 20h50
Pour les organisations gouvernementales, ces fûts constituent un danger latent car le rayonnement peut atteindre la chaîne alimentaire.
Auparavant, on pensait que les fûts étaient rouillés et ouverts,
et qu’ainsi les déchets radioactifs étaient dispersés dans l’océan, les rendant inoffensifs.


Le reportage d’Arte montre qu’il n’en est rien.
Les déchets sont bien intacts au fond de la Manche.



Arte révèle la présence de fûts de déchets nucléaires dans la Manche 2013-04-13_19h12_45_thumb

Les “experts” estimaient que les tonneaux étaient éventrés
et les déchets radioactifs “dilués” dans la Mer du Nord et les océans


Certains experts se disent “étonnés” par la découverte de ces barils relativement intacts et estiment qu’en toute logique,
ils auraient du être éventrés par la rouille et leur contenu très opportunément dispersé et dilué dans la Mer du Nord.
Malheureusement pour ces scientifiques à l’esprit légèrement retors, les barils retrouvés par les journalistes
de la chaine de télévision publique Allemande SWR semblaient relativement intacts
et leur dangereux contenu toujours “concentré” au niveau desdits fûts.


Des quantités énormes de radionucléides…

Selon l’AIEA, ce ne sont pas moins de 17.000 tonnes de déchets nucléaires divers contenus (en espérant donc sournoisement qu’ils ne le seraient pas indéfiniment) dans 28.500 futs qui auraient été immergés ; la radioactivité approximative de ces déchets serait estimée à environ 58 trillions de Becquerels (58 TBq).

L’héritage nucléaire : des fûts de déchets radioactifs à quelques kilomètres de La Hague
http://gen4.fr/2013/04/heritage-nucleaire-futs-dechets-radioactifs-la-hague.html
Les gouvernements compétents ne voient aucune raison d’agir.
Selon eux, cela concerne une quantité faible et modérée de déchets radioactifs.

La Grande-Bretagne a immergé des fûts jusqu’en 1982 dans la Manche et dans d’autres lieux au nord de l’océan Atlantique.
D’autres pays, parmi lesquels la Belgique, la Suisse et l’Allemagne, ont utilisé cette technique interdite depuis lors.

Source de l'article
http://www.lavenir.net/article/detail.aspx?articleid=DMF20130412_00295497

Bien Tristement.
Silver Wisdom
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Arte révèle la présence de fûts de déchets nucléaires dans la Manche Empty Re: Arte révèle la présence de fûts de déchets nucléaires dans la Manche

Message  09991 Lun 15 Avr - 20:38

Bombe à retardement nucléaire mondiale : Des milliers de fûts radioactifs reposent au fond des mers, en France 28.500 conteneurs au large de la Hague !


Arte révèle la présence de fûts de déchets nucléaires dans la Manche Nuclea10



Le secret honteux des états nucléarisés risque de rendre la planète invivable.

Le risque de catastrophe nucléaire ne s'arrête pas aux centrales elles-même, il persiste bien au delà sous la forme de déchets disséminés de par le monde. Alors que pour Areva qui veut nous faire croire que « tout va bien », évoquant la partie visible de l'iceberg que sont les sites de stockage officiels, nonobstant les dépôts dits « sauvages » que certains d'entre vous connaissent déjà, qu'en est-il de la situation réelle ?

Pas besoin d'avoir bac +5 pour comprendre que la ressource principale des habitants de cette planète - sans laquelle aucune vie n'existerait - est l'eau. Qu'arriverait-t-il si l'eau du globe était exposée à une irradiation prolongée causée par la détérioration de containers radioactifs au fond des océans ? Je vous laisse juger par vous même de ce qui nous attend dans l'avenir, ainsi que de la gravité de la situation ignorée du plus grand nombre...

Des fûts de déchets nucléaires dans la Manche

Dans la Manche, devant la côte française, des fûts remplis de déchets nucléaires datant des années 50 et 60 et toujours intacts gisent au fond de la mer. L'information a été dévoilée par la télévision franco-allemande Arte. A l'aide d'un sous-marin téléguidé, deux fûts ont ainsi été filmés à 124 mètres de profondeur, à quelques kilomètres seulement de la côte française.

Un danger latent ?

Pour les organisations gouvernementales, ces fûts constituent un danger latent car le rayonnement peut atteindre la chaîne alimentaire. Auparavant, on pensait que les fûts étaient rouillés et ouverts, et qu'ainsi les déchets radioactifs étaient dispersés dans l'océan, les rendant inoffensifs. Le reportage d'Arte montre qu'il n'en est rien. Les déchets sont bien intacts au fond de la Manche.

Aucune raison d'agir

Les gouvernements compétents ne voient aucune raison d'agir. Selon eux, cela concerne une quantité faible et modérée de déchets radioactifs. La Grande-Bretagne a immergé des fûts jusqu'en 1982 dans la Manche et dans d'autres lieux au nord de l'océan Atlantique. D'autres pays, parmi lesquels la Belgique, la Suisse et l'Allemagne, ont utilisé cette technique interdite depuis lors. (source 7sur7.be)

Dans la Manche, plus de radioactivité qu'à Fukushima ?

Y-a-t-il plus de tritium - de l'hydrogène radioactif - dans les eaux de la Manche que dans celles du Pacifique, à proximité de la centrale de Fukushima ? C'est ce qu'affirme l'Association pour le contrôle de la radioactivité dans l'Ouest (ACRO), qui a mesuré, le 17 octobre 2012, une concentration en tritium de 110 becquerels par litre d'eau dans la baie d'Ecalgrain. A quelques pas de de l'usine Areva de La Hague, dans la Manche.

Une quantité anormale : l'ACRO relève habituellement moins de 27 becquerels par litre d'eau.


En dix ans de surveillance mensuelle à Goury (ndlr : au cap de la Hague), de 1998 à 2007, l'IRSN (Institut de Radioprotection et de Sûreté Nucléaire ) n'a jamais mesuré de concentration supérieure à 33,3 Bq/L », écrit l'association dans son communiqué. L'ACRO rappelle également que la concentration naturelle de tritium est de l'ordre de 0,1 Bq/L.

Parmi les mesures qu'elle effectue régulièrement, l'entreprise Areva, qui exploite le site de la Hague, dit n'avoir rien remarqué d'anormal. Ses installations nucléaires rejettent des effluents liquides radioactifs directement dans la mer, au large. Une pratique encadrée par des autorisations spécifiques. L'idée est de diluer ces liquides radioactifs dans les eaux de la Manche, afin de les rendre inoffensifs. Peu importe que les rejets radioactifs se déplacent ensuite, au gré des courants, le long des côtes de la Basse-Normandie.

Les seules usines de retraitement d'Areva à La Hague (Manche) et de Sellafield (sa cousine anglaise) constituent le rejet radioactif le plus important au monde résultant d'une activité humaine »
, indique Greenpeace. L'organisation environnementale cite un rapport réalisé en 2001 pour le compte du Parlement européen, qui conclut que ce rejet est équivalent à un accident nucléaire à grande échelle chaque année.

Plusieurs études ont d'ailleurs établi une recrudescence statistiquement importante de leucémie dans la région de La Hague », ajoute l'ONG. Mais pour le chef de l'Autorité de sûreté nucléaire, Simon Huffeteau, le taux de tritium mesuré par l'ACRO n'est pas inquiétant.

C'est une valeur qui est ponctuelle, qui ne représente pas d'enjeu sanitaire », explique-t-il. Une valeur ponctuelle pourtant largement supérieure aux mesures effectuées début mars, dans les eaux du Pacifique à proximité de Fukushima (13 Bq/l) et au large (3 Bq/l). Que s'est-il donc passé à la Hague, s'interroge l'ACRO ? (source bastamag.net)

36.000 fûts de déchets radioactifs immergés dans l'Atlantique

Plus de 14.000 tonnes de déchets radioactifs ont été immergées à la fin des années 1960 par la France dans des fosses de l'Atlantique, rappelle l'Andra à l'occasion de son inventaire national publié mercredi. Cette pratique a ensuite été abandonnée en 1983.

C'est dans le cadre de deux opérations coordonnées à l'époque par l'Agence pour l'énergie nucléaire (AEN) de l'OCDE que la France avait procédé à ces immersions, aux côtés de nombreux autres pays européens. En 1967, l'Allemagne, la Belgique, la France, le Royaume-Uni et les Pays-Bas ont ainsi immergé environ 11.000 tonnes de déchets (36.000 fûts) dans un site à 400 km au large de la Galice (Espagne) par plus de 4600 mètres de fond.

Ces déchets, liquides et directement évacués dans la mer ou solides et emballés dans des fûts métalliques, représentaient une radioactivité de l'ordre de 300 térabecquerels. A titre de comparaison, l'accident survenu à la centrale japonaise de Fukushima en mars 2011 a relâché plusieurs dizaines de millions de milliards de becquerels dans l'atmosphère et l'océan Pacifique.


Centre de stockage dans la manche

En 1969, une nouvelle opération, regroupant cette fois la Belgique, la France, le Royaume-Uni, l'Italie, les Pays-Bas, la Suède et la Suisse s'est traduite par l'immersion d'environ 9000 tonnes (de l'ordre de 900 TBq) sur un site à 900 km à l'ouest de la Bretagne, à une profondeur comprise entre 4000 et 4600 mètres. La France a cessé ces immersions avec l'ouverture, la même année, de son Centre de stockage de la Manche, fermé depuis lors.

Mais l'AEN a poursuivi les campagnes d'immersion jusqu'à un moratoire signé en 1983, sur un seul site au large du golfe de Gascogne, utilisé par la Belgique, le Royaume-Uni, les Pays-Bas et la Suisse. La France n'a jamais déversé ses déchets nucléaires dans la Manche. En revanche, avant que l'AEN n'encadre les opérations (de 1949 à 1966), le Royaume-Uni, et la Belgique dans une moindre mesure, ont immergé leurs déchets dans la fosse des Casquets, à 15 km seulement au nord-ouest des côtes françaises du cap de La Hague.

La France a également utilisé deux sites du Pacifique, à proximité de l'atoll de Mururoa, où elle effectuait des essais nucléaires militaires, pour immerger des déchets par plus de 2000 mètres de fond. Ces déchets, conditionnés ou non, ont été coulés entre 1972 et 1982 et représentaient au total quelque 2500 tonnes, pour environ 70 milliards de becquerels.

Plus de 1,3 million de mètres cubes de déchets nucléaires en tous genres étaient stockés en France fin 2010, un volume appelé à doubler d'ici à 2030, selon l'inventaire publié mercredi 11 juillet par l'Agence nationale pour la gestion des déchets radioactifs (Andra).

De 1,320 million de mètres cubes fin 2010, le volume global de ces déchets pourrait en effet atteindre 2,7 millions en 2030, selon les nouvelles prévisions. « En France, la production de déchets radioactifs représente l'équivalent de 2 kg par an et par habitant », souligne l'Andra dans son rapport.Disponible sur le site de l'Andra, www.andra.fr, cet inventaire est « un outil de gestion » et un moyen « d'anticiper les besoins de stockage » pour l'avenir mais aussi une source d'informations précises pour le citoyen, a souligné devant la presse son président, François-Michel Gonnot.


59 % viennent des centrales, 11 % des activités militaires

Ces déchets radioactifs proviennent principalement des centrales nucléaires (59 %) mais aussi de laboratoires de recherche (26 %), des activités militaires (11 %), de l'industrie non nucléaire (3 %) et du secteur médical (1 %), selon le dernier inventaire de l'Andra. Ils ne présentent pas tous les mêmes risques, insiste l'organisme public chargé de concevoir des solutions pour les stocker en toute sécurité.

Les plus dangereux sont les déchets dits « de haute activité » (HA) issus pour l'essentiel du traitement des combustibles usés dans les réacteurs nucléaires de l'Hexagone. Fin 2010, ces déchets HA représentaient 2700 m3, soit seulement 0,2 % du total déjà produit. Mais ils contiennent à eux seuls 96 % de la radioactivité totale des déchets nucléaires, à raison de plusieurs milliards de becquerels par gramme. Leur volume devrait doubler d'ici à 2030.

Viennent ensuite les déchets de « moyenne activité à vie longue » (MA-VL), dont la période radioactive dépasse 31 ans. Ces déchets (40.000 m3 fin 2010, 3 % du total), sont surtout issus des gaines entourant les combustibles nucléaires.

La majeure partie des stocks français est constituée de déchets de faible et moyenne activité à vie courte (63 % du volume total pour 0,02 % de la radioactivité). Ils sont liés à la vie des installations nucléaires ou produits par les laboratoires de recherche ou médicaux. Après avoir été stockés dans la Manche - un centre ouvert en 1969 et désormais fermé - ils sont pris en charge dans l'Aube depuis 1992


Un nouveau centre d'enfouissement pour 2025


Les déchets HA et MA-VL ont, eux, vocation à être enfouis à grande profondeur dans le Centre industriel de stockage géologique (Cigéo) à l'étude par l'Andra, qui devrait ouvrir en 2025 à la limite de la Meuse et de la Haute-Marne. En attendant, ils sont entreposés sur les sites où les colis de déchets sont produits, à La Hague (Manche) et Marcoule (Gard).

Issus du démantèlement des premières centrales au graphite ou de l'ancienne industrie du radium, les déchets de faible activité à vie longue constituent 7 % du volume total et environ 0,01 % de la radioactivité. Ils sont le plus souvent stockés sur les sites qui les ont produits, faute de solution définitive. Ils incluent également des milliers d'objets radioactifs anciens (fontaines au radium, paratonnerre au radium, vieux détecteurs d'incendie, etc.).

Le reste est constitué de ferrailles, béton et gravats produits par l'industrie ou le démantèlement des installations nucléaires, soit 360.000 m3 de déchets dits « à très faible activité » (TFA). Le volume de TFA, stockés en surface dans l'Aube depuis 2003, devrait atteindre 1,3 million de mètres cubes en 2030. (source Le monde)


http://www.le-veilleur.com/articles.php?idcat=1&idrub=23&id=1193
http://leschroniquesderorschach.blogspot.fr/2013/04/bombe-retardement-nucleaire-mondiale.html




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Arte révèle la présence de fûts de déchets nucléaires dans la Manche Empty Océans poubelles (Nucléaire)(Documentaire Arté)

Message  Silver Wisdom Mer 24 Avr - 9:59

Bonjour à tous,

Océans poubelles (Nucléaire)(Documentaire Arté)

Arte révèle la présence de fûts de déchets nucléaires dans la Manche CotentinNucléaire3

Près des côtes européennes, plus de 100 000 tonnes de déchets radioactifs
ont été jetés à la mer, puis oubliés.


Immerger des fûts de matières irradiées en pleine mer semble aujourd’hui scandaleux, mais cette technique a été
par le passé considérée comme une forme de stockage scientifiquement justifiée.
La radioactivité des déchets déposés à plus de 4 500 mètres de profondeur était censée s’éliminer par dilution.
Il est désormais admis qu’elle ne fait que se répandre de manière incontrôlée. Dans quel état sont aujourd’hui ces barils,
dont même les autorités ne connaissent pas la localisation exacte ? Thomas Reutter et Manfred Ladwig partent
à la recherche de ces déchets engloutis, guidés par un ancien militant écologiste qui, à l’époque, a tenté de barrer
la route en Zodiac aux bateaux chargés de fûts.

Ils rencontrent des responsables politiques, des membres de Greenpeace et des scientifiques, à qui ils soumettent
les échantillons prélevés. Ils mettent ainsi au jour un phénomène nié ou dissimulé, dont les conséquences nous échappent largement.
Une problématique d’autant plus actuelle qu’alors même que le stockage en mer est interdit depuis 1993, il est toujours légal
d’y rejeter des eaux contenant des radionucléides.

Origine : SWR
Pays : Allemagne
Année : 2013
Son : Stereo
Image : HD, 16/9
Version : VF
Durée : 52mn


Océans poubelles


uploaded by djdemonangel

Source de l'article
Océans poubelles
http://videos.arte.tv/fr/videos/oceans-poubelles--7447586.html


Arte révèle la présence de fûts de déchets nucléaires dans la Manche Prelevement_acro

L’Acro a annoncé cet après-midi qu’elle avait relevé un taux anormal de tritium,
un radionucléide produit par l’usine Areva la Hague, dans l’eau de mer.
Pour l’ACRO, « l’Association pour le Contrôle de la Radioactivité de l’Ouest »,
un laboratoire indépendant d’analyse de la radioactivité, Il y a plus de tritium (hydrogène radioactif)
dans les eaux de la Manche que dans les eaux du Pacifique à proximité de la centrale de Fukushima.




La Hague: un relevé de tritium anormal dans la baie d’Ecalgrain
http://leblogdejeudi.fr/la-hague-un-releve-de-tritium-anormal-dans-la-baie-decalgrain/
Un deuxième documentaire faisait suite à 'Océans Poubelles', mais n'étant pas en rapport direct avec le sujet du post,
Je vous laisse le lien pour ceux désireux de le voir.

Arte révèle la présence de fûts de déchets nucléaires dans la Manche Arctique--cimetiere-atomique
Arctique, cimetière atomique
http://videos.arte.tv/fr/videos/arctique-cimetiere-atomique--7447590.html

Bien Tristement.


Dernière édition par Silver Wisdom le Mer 24 Avr - 15:14, édité 2 fois (Raison : Modification lien vidéo)
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