Les dangereux mythes de Fukushima
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Faire reculer le crabe (article sur les faits et conséquences de Fukushima).
Rappel du premier message :
Faire reculer le crabe (article sur les faits et conséquences de Fukushima).

La catastrophe de Fukushima, s’ajoutant à celle de Tchernobyl, et à celle de Monju, manifestement à venir, les citoyens prudents cherchent les moyens de se protéger le plus naturellement possible d’éventuels cancers, avant d’en arriver aux extrémités connues.
On le sait maintenant, les réacteurs des bâtiments 1,2, et 3 de Fukushima Daiichi avaient totalement fondus, quelques heures juste après le séisme, et Tepco a amusé tout le monde pendant plus de 2 mois, faisant courir un risque réel et constaté à une bonne partie de la population mondiale.
Fukushima, le mensonge organisé : http://www.agoravox.fr/actualites/environnement/article/fukushima-le-mensonge-organise-94206
Les enceintes de confinement sont percées comme des passoires : http://fukushima.over-blog.fr/article-les-enceintes-de-confinement-des-reacteurs-1-et-2-de-fukushima-daiichi-sont-percees-74711145.html
De plus, le surrégénérateur de Monju connait d’énormes difficultés, comme nous l’apprenons seulement maintenant : http://lesmoutonsenrages.wordpress.com/2011/04/14/le-reacteur-nucleaire-de-monju-bien-pire-que-fukushima/
Cerise sur le gâteau, la CRIIRAD confirme que la radioactivité en provenance de Fukushima est arrivée 2 jours avant les dates données par l’IRSN (institut de radioprotection et de sureté nucléaire) et étaient 20 fois supérieures (en iode 131) que celles annoncées pour le 24 mars : http://www.criirad.org/actualites/dossier2011/japon_bis/irsn/11_05_25_CP_irsn_22_mars.pdf
Pour compléter le tableau, la radioactivité croissante va probablement provoquer l’évacuation de Tokyo, c'est-à-dire celle de 35 millions de japonais : http://www.boursorama.com/forum-gold-index-l-evacuation-de-tokyo-se-precise-408873627-1
En tout cas, nous savons maintenant, grâce à Kakizawa Mito, député Japonais, que pas moins de 4956 ouvriers du nucléaire de Fukushima présentent un taux d’irradiation interne assez élevé : http://mdn.mainichi.jp/mdnnews/news/20110521p2a00m0na021000c.html et http://noxmail.us/Syl20Jonathan/?p=22728
En conséquence, depuis plus de 2 mois, la radioactivité qui s’échappe tous les jours du Japon, continue joyeusement à parsemer notre atmosphère de ses particules radioactives.
Pourtant, contrairement à une idée reçue, il y a des gestes quotidiens que nous pouvons faire pour échapper ou tenter au moins de se protéger face aux éventuels cancers qui nous menacent.
Il faut savoir que les radiations de faible intensité, émises pendant de longues périodes provoquent les plus grands dommages au niveau des structures cellulaires.
C’est ce qu’a découvert le Dr Petkau : http://www.scribd.com/doc/51364903/Se-Proteger-de-La-Radioactivite
Pour se protéger des radiations dues à l’iode 131, il existe bien sur la solution de saturer nos glandes tyroïdes en prenant des comprimés d’iode : 1 mg par jour pour un enfant, et 5 mg pour un adulte réduirait, selon le docteur Russel, de 80% la quantité d’iode radioactif accumulé dans la tyroïde : http://www.distribution-iode.com/
Depuis Hiroshima, on connait l’efficacité de ces pilules d’iode, lesquelles ont permis à l’époque de sauver quantité de vies, mais il faut aussi tenir compte des contre-indications : http://rustyjames.canalblog.com/archives/2011/03/28/20750007.html
De plus, ces pilules ne sont à prendre que lorsqu’il y a une réelle pollution radioactive.
Sur ce lien, Maryse Arditi, donne quelques conseils supplémentaires sur ces pilules : http://www.lesauvage.org/2011/03/se-proteger-des-dangers-des-emissions-radioactives-grace-a-lalimentation/
L’iode n’est pas que dans ces pilules, on en trouve dans divers aliments : la bette, les feuilles de navet, l’ail des ours, le cresson, les courges, les feuilles de moutarde, l’épinard, l’asperge, le chou frisé, les agrumes, la pastèque, l’ananas…etc.
On peut aussi pour neutraliser l’accumulation de la radioactivité utiliser de l’alginate de sodium, lequel est présent en abondance dans les algues, voir photos ci dessous :


Cet alginate de sodium permet de réduire de 53% à 80% la quantité de strontium absorbé par les os.
Cette protection par chélation peut aussi être activée par la consommation de zybicoline, fibre que l’on trouve dans le miso, mais aussi par la consommation de céréales complètes, de noix, de graines, (celles de tournesol sont particulièrement efficaces) de légumineuses : http://libertessence.over-blog.com/article-se-proteger-des-dangers-des-emissions-radioactives-grace-a-l-alimentation-70175775.html
D’une manière générale, les aliments protecteurs des radiations nucléaires doivent avoir une forte teneur en chlorophylle, comme le ginseng sibérien par exemple : http://naturovita.bloguez.com/naturovita/1834734/Les-Bienfaits-de-la-Chlorophylle
Autant que possible, éviter les légumes racine, et limiter la consommation du lait, de la viande.
Les feuilles du Ginkgo Biloba, l’arbre aux 40 écus, célèbre pour sa résistance à la radioactivité, sont utilisées pour fabriquer des médicaments afin de lutter contre la pollution nucléaire : http://santeverte.org/ginkgo-biloba-arbre-aux-quarante-ecus-memoire-circulation.html
D’après le blog « rustyjames » Voici les gestes qui peuvent sauver :
Au lever, 1 verre d’argile, à 10h : 30 mg de chlorure de magnésium, 11h : un bol de soupe miso, 13h : 30 mg de chlorure de magnésium, 16h, même opération, 17h : un nouveau bol de soupe miso, 19h : reboire 30 ml de chlorure de magnésium, 20h : resoupe de miso, 21h : un verre de charbon suractivé, voir ci après : http://rustyjames.canalblog.com/archives/2011/03/28/20750007.html
Une alimentation ciblée pourrait donc être une bonne parade.
Il faut tout d’abord renforcer les défenses immunitaires, en commençant par exclure, bien sur, la prise d’antibiotiques.
certains légumes sont particulièrement efficaces pour lutter contre le cancer, l’ail (cancers digestifs), soja, choux, brocolis (cancer du sein), les aliments contenant du béta carotène ou de la vitamine C sont de bonnes parades : poivron, kiwi, cassis, Physalis alkékenge (appelé aussi amour en cage, coqueret), orange, quant aux petits pois, et autres lentilles, riches en acide folique, ils protègent du cancer du pancréas, et le thé vert est une bonne boisson pour lutter contre le cancer de la prostate, de la vessie, voir là : http://sante-medecine.commentcamarche.net/faq/44-regime-anti-cancer
Des études on prouvé que des patients qui ne consommaient pas de thé vert avaient 5 fois plus de risque de contracter un cancer : http://www.topsante.com/sante-au-quotidien/Actus/Cancer-du-poumon-buvez-du-the-vert
Certains champignons, sauf ceux provoqués par certaines bombes, sont aussi de bons aliments pour lutter contre le cancer.
La poule des bois, appelé aussi Grifola frondosa, maitake au Japon, ou polypore en touffe est considérée comme efficace pour lutter contre le cancer, à condition d’avoir poussé dans un endroit sain, non arrosé par d’intempestives pluies radioactives.
Il y a aussi le champignon japonais shiitaké, (lentinula edodes) appelé aussi « champignon parfumé » dans la cuisine chinoise, riche en polysaccharides qui est très efficace pour soutenir nos défenses naturelles : http://www.djfusion.fr/shiitake
Puisque nous en sommes au chapitre des champignons, c’est le moment de rappeler qu’il faut naturellement éviter de ramasser ceux qui ont poussé dans des zones contaminées, sachant que ceux qui ont une croissance lente (trompette de la mort, certains bolets) concentrent plus facilement la radioactivité.
Il y a aussi d’autres solutions pour se détoxiquer : les zéolites.
Cette roche cristalline est capable d’absorber de nombreux types de métaux lourds et d’éléments faiblement radioactifs.
Elle permet d’éliminer les substances carcinogènes, telles les nitrosamines.
Sur ce lien, l’explication en détail des actions de cette roche sur l’organisme : http://www.kokopelli-blog.org/?p=549
Une fois ces conseils donnés, et l’été approchant, c’est l’occasion de mettre en garde le consommateur contre une pratique hélas trop courante et dont les dangers sont mal connus.
En effet, l’été approchant, chacun va sortir ses brochettes, et les placer sans hésiter sur un lit de braises et de cendres.
Or c’est tout à fait déconseillé car la cuisson au dessus des braises et de la fumée, est cancérigène.
D’ailleurs, en Afrique du Nord, les pratiques anciennes veulent que lorsqu’on fait un méchoui, on ne place jamais la viande au dessus des braises, mais largement de coté.
Lors de grands méchouis, les cuisiniers faisaient un grand feu, et lorsqu’il y avait suffisamment de braises, plantaient verticalement des grandes piques autour du foyer, sur lesquelles les moutons étaient embrochés à la verticale, légèrement inclinés vers le foyer, mais sans jamais être au dessus des braises.
Mais on peut aussi inverser, et faire le feu verticalement, ainsi le mouton (tout comme les poissons, les tomates…) cuit à la chaleur et non pas aux braises.
Pour en revenir à la guérison du cancer, comme le raconte Pierre Lance, auteur du livre « savant maudits, chercheurs exclus » dans cette vidéo, un inventeur Antoine Priore, a construit une machine à rayonnement électrique et électro magnétique, capable de guérir les tumeurs cancéreuses, sous le contrôle de médecins, de scientifiques, de chercheurs, et l’invention est restée dans un tiroir pour une raison inexpliquée.
Il y a plus de 20 ans pourtant, des cancers ont été guéris grâce a cette machine, installée chez Priore, construite en 2 ans dans la banlieue de Bordeaux, pour 3 millions de francs, grâce à l’aide de l’état, d’industriels, et au soutien de Chaban-Delmas.
Sa machine consiste en une très grosse lampe à anodes tournantes, dans laquelle on a fait préalablement le vide, et qui reçoit des émissions radio et radar, dans les hautes et hyper fréquences, tandis qu’un champ magnétique puissant agit sur la lampe.
Il en résulte un plasma froid, qui constitue ce que l’on a appelé le « rayonnement priore ».
L’installation est protégée par une cage de faraday pour éviter les rayonnements parasites.
Des 1963, des expériences ont été réalisées avec succès, sous le contrôle de Marcel Rvière, cancérologue de l’institut de Villejuif, lequel a demandé à Priore s’il était possible d’amplifier cet effet.
L’affaire en est restée là, et dans l’indifférence générale, on continue de traiter les cancers avec les méthodes que nous connaissons aujourd’hui.
Décidément, il ne fait pas bon innover en France, car comme dit mon vieil ami africain : « si ma chaussure est étroite, peu m’importe que le monde soit vaste ».
Source : http://www.agoravox.fr/actualites/sante/article/faire-reculer-le-crabe-94875

La catastrophe de Fukushima, s’ajoutant à celle de Tchernobyl, et à celle de Monju, manifestement à venir, les citoyens prudents cherchent les moyens de se protéger le plus naturellement possible d’éventuels cancers, avant d’en arriver aux extrémités connues.
On le sait maintenant, les réacteurs des bâtiments 1,2, et 3 de Fukushima Daiichi avaient totalement fondus, quelques heures juste après le séisme, et Tepco a amusé tout le monde pendant plus de 2 mois, faisant courir un risque réel et constaté à une bonne partie de la population mondiale.
Fukushima, le mensonge organisé : http://www.agoravox.fr/actualites/environnement/article/fukushima-le-mensonge-organise-94206
Les enceintes de confinement sont percées comme des passoires : http://fukushima.over-blog.fr/article-les-enceintes-de-confinement-des-reacteurs-1-et-2-de-fukushima-daiichi-sont-percees-74711145.html
De plus, le surrégénérateur de Monju connait d’énormes difficultés, comme nous l’apprenons seulement maintenant : http://lesmoutonsenrages.wordpress.com/2011/04/14/le-reacteur-nucleaire-de-monju-bien-pire-que-fukushima/
Cerise sur le gâteau, la CRIIRAD confirme que la radioactivité en provenance de Fukushima est arrivée 2 jours avant les dates données par l’IRSN (institut de radioprotection et de sureté nucléaire) et étaient 20 fois supérieures (en iode 131) que celles annoncées pour le 24 mars : http://www.criirad.org/actualites/dossier2011/japon_bis/irsn/11_05_25_CP_irsn_22_mars.pdf
Pour compléter le tableau, la radioactivité croissante va probablement provoquer l’évacuation de Tokyo, c'est-à-dire celle de 35 millions de japonais : http://www.boursorama.com/forum-gold-index-l-evacuation-de-tokyo-se-precise-408873627-1
En tout cas, nous savons maintenant, grâce à Kakizawa Mito, député Japonais, que pas moins de 4956 ouvriers du nucléaire de Fukushima présentent un taux d’irradiation interne assez élevé : http://mdn.mainichi.jp/mdnnews/news/20110521p2a00m0na021000c.html et http://noxmail.us/Syl20Jonathan/?p=22728
En conséquence, depuis plus de 2 mois, la radioactivité qui s’échappe tous les jours du Japon, continue joyeusement à parsemer notre atmosphère de ses particules radioactives.
Pourtant, contrairement à une idée reçue, il y a des gestes quotidiens que nous pouvons faire pour échapper ou tenter au moins de se protéger face aux éventuels cancers qui nous menacent.
Il faut savoir que les radiations de faible intensité, émises pendant de longues périodes provoquent les plus grands dommages au niveau des structures cellulaires.
C’est ce qu’a découvert le Dr Petkau : http://www.scribd.com/doc/51364903/Se-Proteger-de-La-Radioactivite
Pour se protéger des radiations dues à l’iode 131, il existe bien sur la solution de saturer nos glandes tyroïdes en prenant des comprimés d’iode : 1 mg par jour pour un enfant, et 5 mg pour un adulte réduirait, selon le docteur Russel, de 80% la quantité d’iode radioactif accumulé dans la tyroïde : http://www.distribution-iode.com/
Depuis Hiroshima, on connait l’efficacité de ces pilules d’iode, lesquelles ont permis à l’époque de sauver quantité de vies, mais il faut aussi tenir compte des contre-indications : http://rustyjames.canalblog.com/archives/2011/03/28/20750007.html
De plus, ces pilules ne sont à prendre que lorsqu’il y a une réelle pollution radioactive.
Sur ce lien, Maryse Arditi, donne quelques conseils supplémentaires sur ces pilules : http://www.lesauvage.org/2011/03/se-proteger-des-dangers-des-emissions-radioactives-grace-a-lalimentation/
L’iode n’est pas que dans ces pilules, on en trouve dans divers aliments : la bette, les feuilles de navet, l’ail des ours, le cresson, les courges, les feuilles de moutarde, l’épinard, l’asperge, le chou frisé, les agrumes, la pastèque, l’ananas…etc.
On peut aussi pour neutraliser l’accumulation de la radioactivité utiliser de l’alginate de sodium, lequel est présent en abondance dans les algues, voir photos ci dessous :


Cet alginate de sodium permet de réduire de 53% à 80% la quantité de strontium absorbé par les os.
Cette protection par chélation peut aussi être activée par la consommation de zybicoline, fibre que l’on trouve dans le miso, mais aussi par la consommation de céréales complètes, de noix, de graines, (celles de tournesol sont particulièrement efficaces) de légumineuses : http://libertessence.over-blog.com/article-se-proteger-des-dangers-des-emissions-radioactives-grace-a-l-alimentation-70175775.html
D’une manière générale, les aliments protecteurs des radiations nucléaires doivent avoir une forte teneur en chlorophylle, comme le ginseng sibérien par exemple : http://naturovita.bloguez.com/naturovita/1834734/Les-Bienfaits-de-la-Chlorophylle
Autant que possible, éviter les légumes racine, et limiter la consommation du lait, de la viande.
Les feuilles du Ginkgo Biloba, l’arbre aux 40 écus, célèbre pour sa résistance à la radioactivité, sont utilisées pour fabriquer des médicaments afin de lutter contre la pollution nucléaire : http://santeverte.org/ginkgo-biloba-arbre-aux-quarante-ecus-memoire-circulation.html
D’après le blog « rustyjames » Voici les gestes qui peuvent sauver :
Au lever, 1 verre d’argile, à 10h : 30 mg de chlorure de magnésium, 11h : un bol de soupe miso, 13h : 30 mg de chlorure de magnésium, 16h, même opération, 17h : un nouveau bol de soupe miso, 19h : reboire 30 ml de chlorure de magnésium, 20h : resoupe de miso, 21h : un verre de charbon suractivé, voir ci après : http://rustyjames.canalblog.com/archives/2011/03/28/20750007.html
Une alimentation ciblée pourrait donc être une bonne parade.
Il faut tout d’abord renforcer les défenses immunitaires, en commençant par exclure, bien sur, la prise d’antibiotiques.
certains légumes sont particulièrement efficaces pour lutter contre le cancer, l’ail (cancers digestifs), soja, choux, brocolis (cancer du sein), les aliments contenant du béta carotène ou de la vitamine C sont de bonnes parades : poivron, kiwi, cassis, Physalis alkékenge (appelé aussi amour en cage, coqueret), orange, quant aux petits pois, et autres lentilles, riches en acide folique, ils protègent du cancer du pancréas, et le thé vert est une bonne boisson pour lutter contre le cancer de la prostate, de la vessie, voir là : http://sante-medecine.commentcamarche.net/faq/44-regime-anti-cancer
Des études on prouvé que des patients qui ne consommaient pas de thé vert avaient 5 fois plus de risque de contracter un cancer : http://www.topsante.com/sante-au-quotidien/Actus/Cancer-du-poumon-buvez-du-the-vert
Certains champignons, sauf ceux provoqués par certaines bombes, sont aussi de bons aliments pour lutter contre le cancer.
La poule des bois, appelé aussi Grifola frondosa, maitake au Japon, ou polypore en touffe est considérée comme efficace pour lutter contre le cancer, à condition d’avoir poussé dans un endroit sain, non arrosé par d’intempestives pluies radioactives.
Il y a aussi le champignon japonais shiitaké, (lentinula edodes) appelé aussi « champignon parfumé » dans la cuisine chinoise, riche en polysaccharides qui est très efficace pour soutenir nos défenses naturelles : http://www.djfusion.fr/shiitake
Puisque nous en sommes au chapitre des champignons, c’est le moment de rappeler qu’il faut naturellement éviter de ramasser ceux qui ont poussé dans des zones contaminées, sachant que ceux qui ont une croissance lente (trompette de la mort, certains bolets) concentrent plus facilement la radioactivité.
Il y a aussi d’autres solutions pour se détoxiquer : les zéolites.
Cette roche cristalline est capable d’absorber de nombreux types de métaux lourds et d’éléments faiblement radioactifs.
Elle permet d’éliminer les substances carcinogènes, telles les nitrosamines.
Sur ce lien, l’explication en détail des actions de cette roche sur l’organisme : http://www.kokopelli-blog.org/?p=549
Une fois ces conseils donnés, et l’été approchant, c’est l’occasion de mettre en garde le consommateur contre une pratique hélas trop courante et dont les dangers sont mal connus.
En effet, l’été approchant, chacun va sortir ses brochettes, et les placer sans hésiter sur un lit de braises et de cendres.
Or c’est tout à fait déconseillé car la cuisson au dessus des braises et de la fumée, est cancérigène.
D’ailleurs, en Afrique du Nord, les pratiques anciennes veulent que lorsqu’on fait un méchoui, on ne place jamais la viande au dessus des braises, mais largement de coté.
Lors de grands méchouis, les cuisiniers faisaient un grand feu, et lorsqu’il y avait suffisamment de braises, plantaient verticalement des grandes piques autour du foyer, sur lesquelles les moutons étaient embrochés à la verticale, légèrement inclinés vers le foyer, mais sans jamais être au dessus des braises.
Mais on peut aussi inverser, et faire le feu verticalement, ainsi le mouton (tout comme les poissons, les tomates…) cuit à la chaleur et non pas aux braises.
Pour en revenir à la guérison du cancer, comme le raconte Pierre Lance, auteur du livre « savant maudits, chercheurs exclus » dans cette vidéo, un inventeur Antoine Priore, a construit une machine à rayonnement électrique et électro magnétique, capable de guérir les tumeurs cancéreuses, sous le contrôle de médecins, de scientifiques, de chercheurs, et l’invention est restée dans un tiroir pour une raison inexpliquée.
Il y a plus de 20 ans pourtant, des cancers ont été guéris grâce a cette machine, installée chez Priore, construite en 2 ans dans la banlieue de Bordeaux, pour 3 millions de francs, grâce à l’aide de l’état, d’industriels, et au soutien de Chaban-Delmas.
Sa machine consiste en une très grosse lampe à anodes tournantes, dans laquelle on a fait préalablement le vide, et qui reçoit des émissions radio et radar, dans les hautes et hyper fréquences, tandis qu’un champ magnétique puissant agit sur la lampe.
Il en résulte un plasma froid, qui constitue ce que l’on a appelé le « rayonnement priore ».
L’installation est protégée par une cage de faraday pour éviter les rayonnements parasites.
Des 1963, des expériences ont été réalisées avec succès, sous le contrôle de Marcel Rvière, cancérologue de l’institut de Villejuif, lequel a demandé à Priore s’il était possible d’amplifier cet effet.
L’affaire en est restée là, et dans l’indifférence générale, on continue de traiter les cancers avec les méthodes que nous connaissons aujourd’hui.
Décidément, il ne fait pas bon innover en France, car comme dit mon vieil ami africain : « si ma chaussure est étroite, peu m’importe que le monde soit vaste ».
Source : http://www.agoravox.fr/actualites/sante/article/faire-reculer-le-crabe-94875
Geoff- Modérateur
- Date d'inscription : 18/02/2012
Age : 38
Localisation : Wagadey, Jubbada Dhexe, Somalia
Fukushima, les mensonges de TEPCO - R. Jacobs (Oct. 2012)
Bonjour à tous,
Fukushima, les mensonges de TEPCO
R. Jacobs (Oct. 2012)
Participation du Dr. Robert Jacobs, historien à l'Institut pour la Paix d'Hiroshima à une table ronde
au Kazakhstan pour expliquer les causes des fusions des réacteurs de Fukushima Daiichi
et les dommages connus pour avoir eu lieu avant le tsunami.
Fukushima, les mensonges de TEPCO - R... par kna60
Dossier sur les mensonges de TEPCO

TEPCO, gouvernement et mensonges
http://www.pearltrees.com/#/N-u=1_371299&N-fa=3359334&N-s=1_4561686&N-f=1_4561686&N-p=50653024
Documentation (en anglais)

Dr. Robert Jacobs
Researchers at the Hiroshima Peace Institute
http://serv.peace.hiroshima-cu.ac.jp/English/cgaiyo/kenkyuin14.htm
Livres et Articles du Dr Robert Jacobs
http://hiroshima-cu.academia.edu/RobertJacobs
Bien Amicalement.
Fukushima, les mensonges de TEPCO
R. Jacobs (Oct. 2012)
Participation du Dr. Robert Jacobs, historien à l'Institut pour la Paix d'Hiroshima à une table ronde
au Kazakhstan pour expliquer les causes des fusions des réacteurs de Fukushima Daiichi
et les dommages connus pour avoir eu lieu avant le tsunami.
Fukushima, les mensonges de TEPCO - R... par kna60
Dossier sur les mensonges de TEPCO
TEPCO, gouvernement et mensonges
http://www.pearltrees.com/#/N-u=1_371299&N-fa=3359334&N-s=1_4561686&N-f=1_4561686&N-p=50653024
Documentation (en anglais)

Dr. Robert Jacobs
Researchers at the Hiroshima Peace Institute
http://serv.peace.hiroshima-cu.ac.jp/English/cgaiyo/kenkyuin14.htm
Livres et Articles du Dr Robert Jacobs
http://hiroshima-cu.academia.edu/RobertJacobs
Bien Amicalement.
Dernière édition par Silver Wisdom le Ven 12 Oct - 6:55, édité 1 fois (Raison : Ajout d'info et mise en page)
Pressions US pour minimiser Fukushima, M. Murata 07.2012
Bonjour à tous,
Pressions US pour minimiser Fukushima,
M. Murata 07.2012
Le Pr. Mitsuhei Murata, ancien ambassadeur du Japon en Suisse dénonçait en Juillet les pressions
du gouvernement Américain pour occulter autant que possible la crise de Fukushima.
Donc bien avant la récente intervention de Clinton auprès du gouvernement Japonais début Octobre
pour que celui-ci abandonne son projet de sortie du nucléaire.
Les centrales de Fukushima ont effectivement été conçues par la firme Américaine General Electric,
et les États-Unis comptent encore 31 réacteurs de ce type sur leur sol.
Inutile de dire que la crise de Fukushima les embarrasse donc fortement.
Le Pr. Murata revient également sur la vulnérabilité de l'unité 4.
En effet d'après le secrétaire de l'ancien Premier Ministre Naoto Kan, le sol supportant le bâtiment se serait
par endroits affaissé de 80 cm, rendant la stabilité de l'ensemble d'autant plus douteuse,
même si le bâtiment a été consolidé.
Mitsuhei Murata est né à Tokyo en 1938. Diplomate de carrière, il est entré au ministère des Affaires étrangères
en 1960 après avoir été diplômé en droit de l'Université de Tokyo.
Il a servi en tant que Directeur Général Adjoint du Bureau des Nations Unies au Ministère des affaires étrangères;
Vice-Secrétaire Général, Commission du Commerce Équitable; ancien ambassadeur du Japon au Sénégal
ainsi qu'en Suisse avant de prendre le poste de Professeur Honoraire à l'Université de la Science
et de la Technologie de Tianjin (Chine) et professeur de civilisations comparées
à l'Université Tokai Gakuin de Nagoya au Japon.
Il est actuellement directeur exécutif de la Japan Society for Global System and Ethics,
et conseiller auprès de la Peace Research Foundation, USA.
Pressions US pour minimiser Fukushima, M... par kna60
Traduction, montage & sous-titrage par kna60
Bien Amicalement.
Pressions US pour minimiser Fukushima,
M. Murata 07.2012
Le Pr. Mitsuhei Murata, ancien ambassadeur du Japon en Suisse dénonçait en Juillet les pressions
du gouvernement Américain pour occulter autant que possible la crise de Fukushima.
Donc bien avant la récente intervention de Clinton auprès du gouvernement Japonais début Octobre
pour que celui-ci abandonne son projet de sortie du nucléaire.
Les centrales de Fukushima ont effectivement été conçues par la firme Américaine General Electric,
et les États-Unis comptent encore 31 réacteurs de ce type sur leur sol.
Inutile de dire que la crise de Fukushima les embarrasse donc fortement.
Le Pr. Murata revient également sur la vulnérabilité de l'unité 4.
En effet d'après le secrétaire de l'ancien Premier Ministre Naoto Kan, le sol supportant le bâtiment se serait
par endroits affaissé de 80 cm, rendant la stabilité de l'ensemble d'autant plus douteuse,
même si le bâtiment a été consolidé.
Mitsuhei Murata est né à Tokyo en 1938. Diplomate de carrière, il est entré au ministère des Affaires étrangères
en 1960 après avoir été diplômé en droit de l'Université de Tokyo.
Il a servi en tant que Directeur Général Adjoint du Bureau des Nations Unies au Ministère des affaires étrangères;
Vice-Secrétaire Général, Commission du Commerce Équitable; ancien ambassadeur du Japon au Sénégal
ainsi qu'en Suisse avant de prendre le poste de Professeur Honoraire à l'Université de la Science
et de la Technologie de Tianjin (Chine) et professeur de civilisations comparées
à l'Université Tokai Gakuin de Nagoya au Japon.
Il est actuellement directeur exécutif de la Japan Society for Global System and Ethics,
et conseiller auprès de la Peace Research Foundation, USA.
Pressions US pour minimiser Fukushima, M... par kna60
Traduction, montage & sous-titrage par kna60
Bien Amicalement.
Fukushima, la stratégie de l’oubli
Bonjour à tous,
Fukushima, la stratégie de l’oubli
Un livre vient de sortir, « oublier Fukushima » (éditions du bout de la ville), faisant un bilan saisissant,
décryptant les manœuvres subtiles de communication de Tepco et de l’Etat Japonais,
qui tentent de faire oublier la catastrophe toujours en cours.

Les auteurs ont dressé, dans l’émission de Ruth Stégassy, « Terre à Terre » du 20 octobre 2012, un bilan méticuleux destiné
à nous éclairer sur la stratégie mise en place par le gouvernement japonais destinée à faire oublier la catastrophe,
démontrant que tout avait mis en œuvre pour tenter de rayer de la mémoire collective ce qui s’était passé.
Les autorités japonaises ont mis en place un scénario en 5 temps : après la catastrophe, la liquidation
(en réalité la non-liquidation), l’évacuation, (en fait la non-évacuation), la réhabilitation, fictive elle aussi,
pour aboutir enfin à une tentative de banalisation de l’accident.
Cette stratégie d’oubli semble fonctionner relativement bien auprès des médias, lesquels reprennent sans complexes
les infos proposées par les gestionnaires de la catastrophe, avec comme but ultime de le proposer
comme modèle pour la prochaine fois.
Il s’agit de faire croire au public docile que la sureté des installations nucléaires est assurée,
même lors d’un accident majeur et les médias semblent se contenter de la campagne de communication
menée conjointement par Tepco et l’état Japonais.
La CIPR, (commission internationale pour la protection radiologique) organisme qui détermine
pour toute la planète les normes acceptables en matière de pollution radioactive pour les travailleurs et les habitants,
a modifié, quelques semaines après la catastrophe, les normes fixées auparavant à 1 milliSievert/an
et les mettant à 20 milliSieverts/an mais la norme n’empêche pas le danger.

Article traduit en quatre langues (Français, Anglais, allemand, Espagnol)
20 milliSievert/an pour les enfants de Fukushima ?
http://fukushima.over-blog.fr/article-20-millisievert-an-pour-les-enfants-de-fukushima-72380817.html
Or déplacer ce seuil, c’était offrir au gouvernement japonais la possibilité de ne pas évacuer les millions d’habitants menacés.
Et puis Fukushima apporte une « nouveauté », car contrairement à Tchernobyl, c’est la première fois
qu’une catastrophe majeure a été mise sur le compte d’un évènement naturel, même si l’on sait aujourd’hui,
que c’est bien suite à une mauvaise gestion de la situation que la centrale a été dévastée.
Rapport Fukushima : erreur humaine (Vidéo)
http://www.rtbf.be/video/v_rapport-fukushima-erreur-humaine?id=1742329
Fukushima: une enquête parlementaire charge la Tepco et le gouvernement (pdf en anglais)
http://sciences.blogs.liberation.fr/files/rapport-diete-inde-fukushima.pdf
Autre observation que font les auteurs, c’est surtout le tsunami qui a été mis en cause, et non pas le tremblement de terre,
ce qui est bien pratique pour Tepco, puisque du coup, il ne leur est pas reproché d’avoir installé toutes leurs centrales
sur des failles sismiques.
Les exploitants des centrales françaises situées elles aussi sur des failles sismiques devraient s’interroger sur la question.
Mais revenons à Fukushima, l’une des questions non résolue à l’heure actuelle concerne le corium :
comme l’expliquent les auteurs du livre, ce corium, d’une température de 2500°, s’enfonce inexorablement dans le sol,
et on comprend que toutes les tentatives de l’arroser pour le refroidir, sont autant vouées à l’échec
que si l’on voulait éteindre un volcan en l’aspergeant d’eau.
Ce corium se compose entre autre de 33 millions de « pastilles », chacune d’elles équivalent énergétiquement
à 1 tonne de charbon, soit 257 tonnes de corium, alors que celui de Tchernobyl n’était que de 70 tonnes.
Pour gérer cette situation, on a fait comme à Tchernobyl, en envoyant 800 000 hommes, équipés de bottes en caoutchouc,
et de lances à incendie, ces hommes étant des habitants de ghettos, considérés comme parias jusqu’en 1871,
mais qui continuent encore aujourd’hui à être « la chair à canon » pour ce genre d’entreprise, avec un avantage certain,
c’est qu’en cas de disparition de ces forçats du nucléaire, personne ne viendra les comptabiliser.
(...)
Source et suite de l'article
Fukushima, la stratégie de l’oubli
http://www.agoravox.fr/actualites/societe/article/fukushima-la-strategie-de-l-oubli-124675
Bien Amicalement.
Fukushima, la stratégie de l’oubli
Un livre vient de sortir, « oublier Fukushima » (éditions du bout de la ville), faisant un bilan saisissant,
décryptant les manœuvres subtiles de communication de Tepco et de l’Etat Japonais,
qui tentent de faire oublier la catastrophe toujours en cours.

Les auteurs ont dressé, dans l’émission de Ruth Stégassy, « Terre à Terre » du 20 octobre 2012, un bilan méticuleux destiné
à nous éclairer sur la stratégie mise en place par le gouvernement japonais destinée à faire oublier la catastrophe,
démontrant que tout avait mis en œuvre pour tenter de rayer de la mémoire collective ce qui s’était passé.
Les autorités japonaises ont mis en place un scénario en 5 temps : après la catastrophe, la liquidation
(en réalité la non-liquidation), l’évacuation, (en fait la non-évacuation), la réhabilitation, fictive elle aussi,
pour aboutir enfin à une tentative de banalisation de l’accident.
Cette stratégie d’oubli semble fonctionner relativement bien auprès des médias, lesquels reprennent sans complexes
les infos proposées par les gestionnaires de la catastrophe, avec comme but ultime de le proposer
comme modèle pour la prochaine fois.
Il s’agit de faire croire au public docile que la sureté des installations nucléaires est assurée,
même lors d’un accident majeur et les médias semblent se contenter de la campagne de communication
menée conjointement par Tepco et l’état Japonais.
La CIPR, (commission internationale pour la protection radiologique) organisme qui détermine
pour toute la planète les normes acceptables en matière de pollution radioactive pour les travailleurs et les habitants,
a modifié, quelques semaines après la catastrophe, les normes fixées auparavant à 1 milliSievert/an
et les mettant à 20 milliSieverts/an mais la norme n’empêche pas le danger.

Article traduit en quatre langues (Français, Anglais, allemand, Espagnol)
20 milliSievert/an pour les enfants de Fukushima ?
http://fukushima.over-blog.fr/article-20-millisievert-an-pour-les-enfants-de-fukushima-72380817.html
Or déplacer ce seuil, c’était offrir au gouvernement japonais la possibilité de ne pas évacuer les millions d’habitants menacés.
Et puis Fukushima apporte une « nouveauté », car contrairement à Tchernobyl, c’est la première fois
qu’une catastrophe majeure a été mise sur le compte d’un évènement naturel, même si l’on sait aujourd’hui,
que c’est bien suite à une mauvaise gestion de la situation que la centrale a été dévastée.
Rapport Fukushima : erreur humaine (Vidéo)
http://www.rtbf.be/video/v_rapport-fukushima-erreur-humaine?id=1742329
Fukushima: une enquête parlementaire charge la Tepco et le gouvernement (pdf en anglais)
http://sciences.blogs.liberation.fr/files/rapport-diete-inde-fukushima.pdf
Autre observation que font les auteurs, c’est surtout le tsunami qui a été mis en cause, et non pas le tremblement de terre,
ce qui est bien pratique pour Tepco, puisque du coup, il ne leur est pas reproché d’avoir installé toutes leurs centrales
sur des failles sismiques.
Les exploitants des centrales françaises situées elles aussi sur des failles sismiques devraient s’interroger sur la question.
Mais revenons à Fukushima, l’une des questions non résolue à l’heure actuelle concerne le corium :
comme l’expliquent les auteurs du livre, ce corium, d’une température de 2500°, s’enfonce inexorablement dans le sol,
et on comprend que toutes les tentatives de l’arroser pour le refroidir, sont autant vouées à l’échec
que si l’on voulait éteindre un volcan en l’aspergeant d’eau.
Ce corium se compose entre autre de 33 millions de « pastilles », chacune d’elles équivalent énergétiquement
à 1 tonne de charbon, soit 257 tonnes de corium, alors que celui de Tchernobyl n’était que de 70 tonnes.
Pour gérer cette situation, on a fait comme à Tchernobyl, en envoyant 800 000 hommes, équipés de bottes en caoutchouc,
et de lances à incendie, ces hommes étant des habitants de ghettos, considérés comme parias jusqu’en 1871,
mais qui continuent encore aujourd’hui à être « la chair à canon » pour ce genre d’entreprise, avec un avantage certain,
c’est qu’en cas de disparition de ces forçats du nucléaire, personne ne viendra les comptabiliser.
(...)
Source et suite de l'article
Fukushima, la stratégie de l’oubli
http://www.agoravox.fr/actualites/societe/article/fukushima-la-strategie-de-l-oubli-124675
Bien Amicalement.
Fukushima : une histoire de batterie de voitures...
Bonjour à tous,
Fukushima : une histoire de batterie de voitures...
Dans les coulisses du pire accident nucléaire à... par kna60
"Bien que le Japon soit un pays de haute technologie, plutôt que les cartes de crédit,
l'argent liquide est toujours très populaire, même lors d'achats et de ventes par correspondance.
Toutefois on peut se demander pourquoi ils n'ont pas utilisé la carte de crédit de quelqu'un pour acheter une batterie !
Fallait-il envoyer quelqu'un avec du cash de Tokyo à Fukushima ? On n'est plus à l'époque médiévale.
C'était le PIRE des scénario et tout le monde,
n'importe quel magasin leur aurait accordé une reconnaissance de dette pour sauver des vies."
Fukushima : une histoire de batterie de voitures...
Dans les coulisses du pire accident nucléaire à... par kna60
"Bien que le Japon soit un pays de haute technologie, plutôt que les cartes de crédit,
l'argent liquide est toujours très populaire, même lors d'achats et de ventes par correspondance.
Toutefois on peut se demander pourquoi ils n'ont pas utilisé la carte de crédit de quelqu'un pour acheter une batterie !
Fallait-il envoyer quelqu'un avec du cash de Tokyo à Fukushima ? On n'est plus à l'époque médiévale.
C'était le PIRE des scénario et tout le monde,
n'importe quel magasin leur aurait accordé une reconnaissance de dette pour sauver des vies."
Bien Amicalement.A quoi les choses peuvent-elles tenir, au cours d'une terrible catastrophe nucléaire que l'on cherche à maitriser ?
Parfois à de simples batteries de voiture ! Partiellement rendus publics, les enregistrements des visioconférences
entre la direction de la centrale de Fukushima et celle de son opérateur Tepco, à Tokyo, viennent de révéler un épisode
peu glorieux pour l'industrie électronucléaire et son haut degré de sécurisation.
Mais à mettre au crédit de ceux qui faisaient tout ce qu'ils pouvaient pour éviter le pire.
(...)
Fukushima : une histoire de batterie de voitures...
http://www.latribune.fr/opinions/tribunes/20121019trib000726022/fukushima-une-histoire-de-batterie-de-voitures.html
Fukushima la fatalité nucléaire
Bonjour à tous,
Fukushima la fatalité nucléaire
par François Leclerc
car en rapport avec des coriums (voir définition ci-dessous) dont il ne dit au grand jamais un seul mot. Ainsi, la concentration
d’hydrogène a augmenté au sein du réacteur n°1 après le séisme du 7 décembre, un phénomène dont l’origine est attribuée
au « craquage » de l’eau au contact du corium, qui libère de l’hydrogène et de l’oxygène ; ou 1.300 mètres cubes d’eau contaminée
se sont comme évanouis du réacteur n°2 en l’espace de 7 jours, résultat de ruptures présumées de tuyauteries reliant le réacteur
et le tore (l’anneau de dépressurisation) dans une zone où pourrait se trouver le corium, que l’envoi d’un robot d’observation
n’a pas permis de confirmer.

L’existence des trois coriums a tardivement été reconnue du bout des lèvres par Tepco, mais leur localisation est restée
depuis un mystère entretenu. Les moyens techniques permettant de les localiser ne manquent a priori pourtant pas,
que ce soit la thermographie (qui détecte les sources de chaleur) ou bien la gammamétrie (qui localise les émissions gamma),
mais tout se passe comme s’ils n’avaient pas été mis en œuvre (ou comme si le résultat des investigations n’était pas rendu public).
Le blackout sur le sujet étant total, on en est réduits aux supputations : où se trouvent donc ces coriums, depuis qu’ils ont percé
dans les premières heures de la catastrophe les cuves des réacteurs (confinement primaire) ? Le haut niveau de radioactivité
au fond des bâtiments des réacteurs témoigne de leur présence, déduite aussi de tel ou tel événement.
L’injection d’azote prévient la réédition des explosions d’hydrogène qui ont déjà produit leur dévastation
dans les trois réacteurs en activité, mais de l’eau contaminée rejoint probablement la mer, dans laquelle elle se déverse
via des tranchées techniques ou ruisselle par les sols. Comme on le sait, de bouilloire la centrale est devenue passoire,
et s’il est possible de limiter la contamination vers le haut en encapuchonnant les réacteurs avec des structures légères,
dont une seule est terminée, il se révèle beaucoup plus difficile d’en faire autant de celle qui s’échappe par le bas.
Toute injection de béton sous les réacteurs, à la manière de ce qui avait été réalisé à Tchernobyl afin d’éviter
le franchissement par le corium de la semelle de béton en la renforçant, serait-il même envisageable
en raison des masses d’eau contaminée imprégnant les sols ?

Fukushima : 1300 m3 d’eau contaminée auraient disparu de l’unité n°. 2 en 7 jours
http://gen4.fr/2012/12/fukushima-eau-contaminee-1f2.html
Vu sur : Les Moutons Enragés
L’activité sismique est un autre sujet permanent de préoccupation, à propos duquel il n’est communiqué que pour en nier
à chaque alerte les conséquences. Non seulement en raison de son rythme soutenu, mais aussi parce que les épicentres
se concentrent en mer au large de la centrale. La succession renouvelée de secousses sur des structures déjà très éprouvées
représente pourtant un incontestable danger, en particulier s’agissant de la piscine n°4 où est stockée en grande quantité du combustible.
Tepco a d’ailleurs annoncé vouloir accélérer son déchargement : les travaux devraient finir en décembre 2014,
un an plus tôt que prévu, mais c’est encore dans deux ans…
Le simple état des lieux est loin d’être réalisé, car non seulement le niveau de la radioactivité interdit aux humains
de pénétrer durablement au sein des réacteurs, et même pas du tout dans certaines de leurs zones, mais les robots
télécommandés envoyés en mission d’observation rencontrent de grandes difficultés à se déplacer dans l’intérieur mouvementé
des réacteurs, de plus encombré par les débris des explosions. Lorsque l’on parle de démantèlement, ce petit détail est souvent oublié :
les installations ne sont plus en état. Jusqu’à quand cette fiction, qui vaut celle du retour sur leurs terres des 160.000 Japonais évacués,
va-t-elle être maintenue ?
C’est dans ce contexte que les valeurs boursières des électriciens – dont celle de Tepco – ont rebondit à Tokyo,
saluant l’arrivée au pouvoir du Parti libéral-démocrate (PLD) qui veut forcer deux décisions : une relance massive
de la planche à billets pour financer un programme de grands travaux confié au BTP et le redémarrage progressif
du maximum de centrales nucléaires. Deux fuites en avant.
Dans la série « des centrales construites sur des failles actives », deux professeurs japonais de l’Université de Tokyo
estiment qu’il y a « une forte probabilité » pour que l’usine de retraitement de Rokkasho, qui n’est pas encore en exploitation,
ait été construite dans la zone de l’une d’entre elles. Six installations sont en cours d’examen, dont celle de Higashidori
où des suspicions de faille active viennent à leur tour d’être relevées.

A ce jour, seuls deux réacteurs (les numéros 3 et 4 d'Oi), sur un parc de cinquante, sont en service au Japon.
AP/DAVID GUTTENFELDER
Japon : un risque de faille active sous la centrale nucléaire Higashidori
http://www.lemonde.fr/japon/article/2012/12/20/japon-un-risque-de-faille-active-sous-la-centrale-nucleaire-higashidori_1809002_1492975.html
Source de l'article
FUKUSHIMA, LA FATALITÉ NUCLÉAIRE
ou Dans les entrailles de la centrale de Fukushima, il continue de se passer des choses inexpliquées
http://mediabenews.wordpress.com/2012/12/21/fukushima-la-fatalite-nucleaire-ou-dans-les-entrailles-de-la-centrale-de-fukushima-il-continue-de-se-passer-des-choses-inexpliquees/
A lire également sur ce forum
Un expert de l'ONU se rend au Japon pour y évaluer la réalisation du droit à la santé après Fukushima
https://ledormeur.forumgratuit.org/t684-un-expert-de-l-onu-se-rend-au-japon-pour-y-evaluer-la-realisation-du-droit-a-la-sante-apres-fukushima
Bien Amicalement.
Fukushima la fatalité nucléaire
par François Leclerc
Dans les entrailles de la centrale de Fukushima, il continue de se passer des choses inexpliquées par l’opérateur,
FUKUSHIMA, LA FATALITÉ NUCLÉAIRE
vient de paraître aux éditions « Osez la République sociale ! » (148 pages - 11 euros)
Ce livre évoque les mensonges des autorités et du lobby nucléaire à propos de la catastrophe japonaise :
neutralisation de la contamination, localisation et stockage du combustible,
question des éventuelles nouvelles secousses sismiques, etc.
car en rapport avec des coriums (voir définition ci-dessous) dont il ne dit au grand jamais un seul mot. Ainsi, la concentration
d’hydrogène a augmenté au sein du réacteur n°1 après le séisme du 7 décembre, un phénomène dont l’origine est attribuée
au « craquage » de l’eau au contact du corium, qui libère de l’hydrogène et de l’oxygène ; ou 1.300 mètres cubes d’eau contaminée
se sont comme évanouis du réacteur n°2 en l’espace de 7 jours, résultat de ruptures présumées de tuyauteries reliant le réacteur
et le tore (l’anneau de dépressurisation) dans une zone où pourrait se trouver le corium, que l’envoi d’un robot d’observation
n’a pas permis de confirmer.

L’existence des trois coriums a tardivement été reconnue du bout des lèvres par Tepco, mais leur localisation est restée
depuis un mystère entretenu. Les moyens techniques permettant de les localiser ne manquent a priori pourtant pas,
que ce soit la thermographie (qui détecte les sources de chaleur) ou bien la gammamétrie (qui localise les émissions gamma),
mais tout se passe comme s’ils n’avaient pas été mis en œuvre (ou comme si le résultat des investigations n’était pas rendu public).
Le blackout sur le sujet étant total, on en est réduits aux supputations : où se trouvent donc ces coriums, depuis qu’ils ont percé
dans les premières heures de la catastrophe les cuves des réacteurs (confinement primaire) ? Le haut niveau de radioactivité
au fond des bâtiments des réacteurs témoigne de leur présence, déduite aussi de tel ou tel événement.
1. Définition du corium
Le corium est un magma résultant de la fusion des éléments du coeur d’un réacteur nucléaire.
Il est constitué du combustible nucléaire (uranium et plutonium), du gainage des éléments combustibles (alliage de zirconium)
et des divers éléments du coeur avec lesquels il rentre en contact (barres, tuyauteries, supports, etc.).
Le terme « corium » est un néologisme formé de core (en anglais, pour le coeur d’un réacteur nucléaire),
suivi du suffixe ium présent dans le nom de nombreux éléments radioactifs : uranium, plutonium, neptunium, américium, etc.
2. Matière de tous les extrêmes
Le corium est la matière des six extrêmes : il est extrêmement puissant, extrêmement toxique, extrêmement radioactif,
extrêmement chaud, extrêmement dense et extrêmement corrosif.
Extrêmement puissant
Le combustible fondu est le constituant principal du corium.
Or ce combustible est formé à l’origine d’assemblages de crayons contenant des pastilles
(...)
Et comme chaque pastille est supposée délivrer autant d’énergie qu’une tonne de charbon,
on comprend pourquoi le corium développe une chaleur énorme en totale autonomie.
(…)
Extrêmement toxique
Le corium contient un nombre important d’éléments en fusion, interagissant entre eux sans cesse,
et produisant des gaz et des aérosols. C’est la toxicité de ces émanations qui est problématique,
car les particules émises sont extrêmement fines, invisibles à l’oeil nu et, en suspension dans l’air,
peuvent se déplacer avec les vents jusqu’à faire le tour de la terre.
(…)
Extrêmement radioactif
Le corium émet tellement de radioactivité que personne ne peut s’en approcher
sans décéder dans les secondes qui suivent.
(…)
Le corium de Fukushima : description et données
http://fukushima.over-blog.fr/article-le-corium-de-fukushima-1-description-et-donnees-81378535.html
L’injection d’azote prévient la réédition des explosions d’hydrogène qui ont déjà produit leur dévastation
dans les trois réacteurs en activité, mais de l’eau contaminée rejoint probablement la mer, dans laquelle elle se déverse
via des tranchées techniques ou ruisselle par les sols. Comme on le sait, de bouilloire la centrale est devenue passoire,
et s’il est possible de limiter la contamination vers le haut en encapuchonnant les réacteurs avec des structures légères,
dont une seule est terminée, il se révèle beaucoup plus difficile d’en faire autant de celle qui s’échappe par le bas.
Toute injection de béton sous les réacteurs, à la manière de ce qui avait été réalisé à Tchernobyl afin d’éviter
le franchissement par le corium de la semelle de béton en la renforçant, serait-il même envisageable
en raison des masses d’eau contaminée imprégnant les sols ?

Fukushima : 1300 m3 d’eau contaminée auraient disparu de l’unité n°. 2 en 7 jours
http://gen4.fr/2012/12/fukushima-eau-contaminee-1f2.html
Vu sur : Les Moutons Enragés
L’activité sismique est un autre sujet permanent de préoccupation, à propos duquel il n’est communiqué que pour en nier
à chaque alerte les conséquences. Non seulement en raison de son rythme soutenu, mais aussi parce que les épicentres
se concentrent en mer au large de la centrale. La succession renouvelée de secousses sur des structures déjà très éprouvées
représente pourtant un incontestable danger, en particulier s’agissant de la piscine n°4 où est stockée en grande quantité du combustible.
Tepco a d’ailleurs annoncé vouloir accélérer son déchargement : les travaux devraient finir en décembre 2014,
un an plus tôt que prévu, mais c’est encore dans deux ans…
Le simple état des lieux est loin d’être réalisé, car non seulement le niveau de la radioactivité interdit aux humains
de pénétrer durablement au sein des réacteurs, et même pas du tout dans certaines de leurs zones, mais les robots
télécommandés envoyés en mission d’observation rencontrent de grandes difficultés à se déplacer dans l’intérieur mouvementé
des réacteurs, de plus encombré par les débris des explosions. Lorsque l’on parle de démantèlement, ce petit détail est souvent oublié :
les installations ne sont plus en état. Jusqu’à quand cette fiction, qui vaut celle du retour sur leurs terres des 160.000 Japonais évacués,
va-t-elle être maintenue ?
C’est dans ce contexte que les valeurs boursières des électriciens – dont celle de Tepco – ont rebondit à Tokyo,
saluant l’arrivée au pouvoir du Parti libéral-démocrate (PLD) qui veut forcer deux décisions : une relance massive
de la planche à billets pour financer un programme de grands travaux confié au BTP et le redémarrage progressif
du maximum de centrales nucléaires. Deux fuites en avant.
Dans la série « des centrales construites sur des failles actives », deux professeurs japonais de l’Université de Tokyo
estiment qu’il y a « une forte probabilité » pour que l’usine de retraitement de Rokkasho, qui n’est pas encore en exploitation,
ait été construite dans la zone de l’une d’entre elles. Six installations sont en cours d’examen, dont celle de Higashidori
où des suspicions de faille active viennent à leur tour d’être relevées.

A ce jour, seuls deux réacteurs (les numéros 3 et 4 d'Oi), sur un parc de cinquante, sont en service au Japon.
AP/DAVID GUTTENFELDER
Japon : un risque de faille active sous la centrale nucléaire Higashidori
http://www.lemonde.fr/japon/article/2012/12/20/japon-un-risque-de-faille-active-sous-la-centrale-nucleaire-higashidori_1809002_1492975.html
Source de l'article
FUKUSHIMA, LA FATALITÉ NUCLÉAIRE
ou Dans les entrailles de la centrale de Fukushima, il continue de se passer des choses inexpliquées
http://mediabenews.wordpress.com/2012/12/21/fukushima-la-fatalite-nucleaire-ou-dans-les-entrailles-de-la-centrale-de-fukushima-il-continue-de-se-passer-des-choses-inexpliquees/
A lire également sur ce forum
Un expert de l'ONU se rend au Japon pour y évaluer la réalisation du droit à la santé après Fukushima
https://ledormeur.forumgratuit.org/t684-un-expert-de-l-onu-se-rend-au-japon-pour-y-evaluer-la-realisation-du-droit-a-la-sante-apres-fukushima
Bien Amicalement.
Le combat de Mr. Idogawa, maire de Futaba (Fukushima Daiichi)
Bonjour à tous,
Le combat de Mr. Idogawa, maire de Futaba (Fukushima Daiichi)

Katsutaka Idogawa, maire de Futaba, petite ville située à 3 km de la centrale sinistrée
de Fukushima Daiichi, répond à quelques questions après l'annonce
de sa démission le 23 Janvier 2013, dans une interview par OurPlanet-TV.
La commune de Futaba héberge sur son sol les réacteurs 5 et 6 de la centrale de Fukushima Daiichi. Mr. Idogawa a été le seul maire
dans la préfecture de Fukushima à avoir décidé ; de son propre chef, de relocaliser officiellement la population et les services administratifs
de sa ville en dehors de la préfecture. Il s'est également exprimé au sièges des Nations Unies en Octobre 2012, où il a demandé l'aide
des autorités internationales pour évacuer les habitants des zones contaminées de Fukushima.
Depuis Décembre 2012, les politiques pro-nucléaires demandaient sa démission. Après presque deux ans de combat contre les autorités
locales et nationales, et des problèmes de santé, Mr. Idogawa a décidé de démissionner pour pouvoir continuer à agir selon ses convictions.
Interview du maire de Futaba Mr. Idogawa
après sa démission 23.01.2013
Publiée le 20 févr. 2013 par Kna60
Allez lire l'article complet que Kna a dédié à cet homme
Le combat de Mr. Idogawa, maire de Futaba
http://kna-blog.blogspot.fr/2013/02/le-combat-de-mr-idogawa-maire-de-futaba.html
Bien Amicalement.
Le combat de Mr. Idogawa, maire de Futaba (Fukushima Daiichi)

Katsutaka Idogawa, maire de Futaba, petite ville située à 3 km de la centrale sinistrée
de Fukushima Daiichi, répond à quelques questions après l'annonce
de sa démission le 23 Janvier 2013, dans une interview par OurPlanet-TV.
La commune de Futaba héberge sur son sol les réacteurs 5 et 6 de la centrale de Fukushima Daiichi. Mr. Idogawa a été le seul maire
dans la préfecture de Fukushima à avoir décidé ; de son propre chef, de relocaliser officiellement la population et les services administratifs
de sa ville en dehors de la préfecture. Il s'est également exprimé au sièges des Nations Unies en Octobre 2012, où il a demandé l'aide
des autorités internationales pour évacuer les habitants des zones contaminées de Fukushima.
Depuis Décembre 2012, les politiques pro-nucléaires demandaient sa démission. Après presque deux ans de combat contre les autorités
locales et nationales, et des problèmes de santé, Mr. Idogawa a décidé de démissionner pour pouvoir continuer à agir selon ses convictions.
Interview du maire de Futaba Mr. Idogawa
après sa démission 23.01.2013
Publiée le 20 févr. 2013 par Kna60
Allez lire l'article complet que Kna a dédié à cet homme
Le combat de Mr. Idogawa, maire de Futaba
http://kna-blog.blogspot.fr/2013/02/le-combat-de-mr-idogawa-maire-de-futaba.html
Bien Amicalement.
A Fukushima, la neige est extrêmement radioactive
Bonjour à tous,
A Fukushima, la neige est extrêmement radioactive

Le professeur Christopher Busby, un expert sur les effets des expositions
à long terme à de faibles doses de radiations dit que la catastrophe de Fukushima
est la pire catastrophe nucléaire de l’histoire. Il a déclaré qu’un rayon d’au moins
200 kilomètres autour de l’usine détruite (qui comprend Tokyo) a été contaminé.
Extremely Radioactive Snow in Fukushima!
Publiée le 18 janv. 2013 par MsMilkytheclown
Pour les sous titres, icône en forme d'écran en bas de la vidéo
Il a dit que ce qui se passe au Japon est une répétition virtuelle de ce qui s’est passé à Tchernobyl et dans le Bélarus,
où le césium radioactif a détruit les parois des muscles cardiaques en développement des enfants, en affectant leur conductivité
électrique et en entraînant des maladies cardiaques précoces et leurs décès. La seule différence entre ces deux scénarios
est que Fukushima affecte beaucoup plus de personnes, ce qui explique pourquoi il l’appelle « la pire catastrophe ».
Busby est le père de sept enfants et le grand-père de onze, et il dit qu’il ne peut pas rester les bras croisés et regarder
ce « match de tennis » entre les déclarations des scientifiques du gouvernement japonais, qui tentent de sauver l’industrie nucléaire
de l’effondrement, et celles des scientifiques indépendants, qui disent qu’il y a quelque chose de terriblement diabolique ici.
C’est pourquoi il parle ouvertement de choses que les gens peuvent faire pour se prendre en main.
franchement, ils ne peuvent pas croire le gouvernement japonais. Deuxièmement, les enfants des zones touchées doivent être amenés
dans des zones qui sont raisonnablement sécuritaires; mais, cette solution se complique par le fait qu’en ce moment, le gouvernement japonais transporte d’importantes quantités de sols radioactifs et autres matières radioactives de Fukushima et amène le tout un peu partout dans le pays.
Il dit qu’il y a une raison très sinistre et très effrayante pour cela : Les bébés et les enfants de Fukushima qui ont été exposés
aux radiations au moment crucial de leur développement physiologique, vont bientôt grandir avec des cancers,
des malformations congénitales, etc. … Ils vont mourir jeunes et leurs parents vont poursuivre le gouvernement.
Le gouvernement japonais se prépare à cela en créant des preuves mesurables dans les sols de différentes régions du pays
pour les utiliser comme des échantillons de «contrôle» pour ce qui constituerait des niveaux «normaux»,
à comparer avec les échantillons prélevés sur Fukushima.
Le gouvernement japonais serait donc tenter de prouver que les radiations de l’accident ne sont pas à blâmer
pour les conditions de santé de ces enfants et de leurs décès prématurés. Ainsi, ils cherchent à se dégager
de toute responsabilité pour les milliers de réclamations contre eux, ce qui va sûrement venir dans les 15 prochaines années.
Ce faisant, bien sûr, le gouvernement japonais élèvera les niveaux de cancer dans tout le Japon, ce qui est tout à fait hallucinant.
Pourtant, il conseille aux parents des jeunes enfants dans les zones touchées de rechercher des endroits plus sûrs pour les amener
et aussi pour suivre un régime alimentaire qui aidera à bloquer l’absorption du césium, du strontium 90 et du plutonium
et des autres substances nocives, que le gouvernement n’est même pas en mesure d’analyser officiellement.
L’iode stable a démontré son efficacité contre les nucléides radioactifs et une approche similaire peut être prise avec de l’uranium,
le plutonium et le strontium 90, qui sont les plus graves, parce que ce sont les principaux émetteurs de particules. Busby a dit,
« Nous pouvons empêcher leur liaison avec l’ADN avec de grandes quantités de calcium et de magnésium, qui se lient à l’ADN
et gardent les particules radioactives à l’extérieur. »
La Fondation Christopher Busby a été mise en place et elle distribuera des comprimés de calcium stable et d’autres tablettes
pour contrer les quantités élevées de césium libérées dans l’atmosphère; La fondation procèdera également à l’achat d’une grande quantité d’appareils pour mesurer les radiations, de sorte que les gens puissent voir par eux-mêmes quand il y a des niveaux dangereux
dans les aliments. Enfin, la Fondation construira un laboratoire, où les gens pourront aller pour comparer leurs lectures,
de sorte que la vérité puisse sortir sur ce qui arrive vraiment avec les niveaux de radiations des lieux et des produits au Japon.
Il a dit : « C’est une opération pour sauver les enfants de Fukushima », et, évidemment, il aura besoin d’aide parce que
le gouvernement japonais ne les aidera pas du tout, au contraire, « Ils aident l’industrie internationale de l’énergie nucléaire. »
Busby, bien qu’il semble plutôt décontracté avec son éternel béret, a un CV impressionnant. Il est actuellement un professeur
invité à l’École des sciences biomédicales de l’Université d’Ulster et il a été le Président national des sciences et de la technologie
pour le Parti Vert en Angleterre et au Pays de Galles. Il a obtenu un diplôme en chimie et des distinctions de la prestigieuse Université
de Londres et a obtenu par la suite son doctorat en chimie physique à l’Université de Kent.
Busby a été membre du Comité d’examen des risques de radiations des émetteurs internes (CERRIE), qui a fonctionné de 2001 à 2004.
En 2001, il a été nommé au Comité de surveillance du Ministère de la Défense britannique sur l’uranium appauvri (DUOB).
Entre 2003 et 2007, il a été membre de la faculté de médecine de l’Université de Liverpool,
dans le département d’anatomie humaine et de biologie cellulaire.
Ses commentaires sur le gouvernement japonais ont été accueillis avec beaucoup de dérision,
de même que ses allégations selon lesquelles les dégâts des irradiations peuvent être évités grâce à l’ingestion de minéraux essentiels.
Qui croyez-vous ?
Traduit par PLEINSFEUX.ORG
Source originale de l'article
Extremely Radioactive Snow in Fukushima!
http://aworldchaos.wordpress.com/2013/01/22/extremely-radioactive-snow-in-fukushima/#more-12774
Vu sur : Spread the Truth 777
Bien Amicalement.
A Fukushima, la neige est extrêmement radioactive

Le professeur Christopher Busby, un expert sur les effets des expositions
à long terme à de faibles doses de radiations dit que la catastrophe de Fukushima
est la pire catastrophe nucléaire de l’histoire. Il a déclaré qu’un rayon d’au moins
200 kilomètres autour de l’usine détruite (qui comprend Tokyo) a été contaminé.
Extremely Radioactive Snow in Fukushima!
Publiée le 18 janv. 2013 par MsMilkytheclown
Pour les sous titres, icône en forme d'écran en bas de la vidéo
Il a dit que ce qui se passe au Japon est une répétition virtuelle de ce qui s’est passé à Tchernobyl et dans le Bélarus,
où le césium radioactif a détruit les parois des muscles cardiaques en développement des enfants, en affectant leur conductivité
électrique et en entraînant des maladies cardiaques précoces et leurs décès. La seule différence entre ces deux scénarios
est que Fukushima affecte beaucoup plus de personnes, ce qui explique pourquoi il l’appelle « la pire catastrophe ».
Busby est le père de sept enfants et le grand-père de onze, et il dit qu’il ne peut pas rester les bras croisés et regarder
ce « match de tennis » entre les déclarations des scientifiques du gouvernement japonais, qui tentent de sauver l’industrie nucléaire
de l’effondrement, et celles des scientifiques indépendants, qui disent qu’il y a quelque chose de terriblement diabolique ici.
C’est pourquoi il parle ouvertement de choses que les gens peuvent faire pour se prendre en main.
La première est pour ceux dans les zones touchées afin qu’ils mesurent les niveaux de radiations eux-mêmes, parce que,Aujourd'hui la neige est abondante dans la région de Tokyo! Et je me demandais si la neige montre des signes
de rayonnement supérieure à partir de Fukushima et j'ai utilisé les outils que j'ai sous la main de faire une idée.
Même si le sol avant en laboratoire s'est révélé positif avec une plus grande contamination, et même dans la région de Yokohama,
cette neige aujourd'hui ne montre pas de doses de rayonnement plus élevées que rayonnement de fond normal.
L'endroit où j'ai mesuré est situé à environ 20km au sud de Tokyo.
☢ radioactive SNOW in Tokyo Japan ?
Mise en ligne le 28 févr. 2012 par harisenbon7777777
franchement, ils ne peuvent pas croire le gouvernement japonais. Deuxièmement, les enfants des zones touchées doivent être amenés
dans des zones qui sont raisonnablement sécuritaires; mais, cette solution se complique par le fait qu’en ce moment, le gouvernement japonais transporte d’importantes quantités de sols radioactifs et autres matières radioactives de Fukushima et amène le tout un peu partout dans le pays.
Il dit qu’il y a une raison très sinistre et très effrayante pour cela : Les bébés et les enfants de Fukushima qui ont été exposés
aux radiations au moment crucial de leur développement physiologique, vont bientôt grandir avec des cancers,
des malformations congénitales, etc. … Ils vont mourir jeunes et leurs parents vont poursuivre le gouvernement.
Le gouvernement japonais se prépare à cela en créant des preuves mesurables dans les sols de différentes régions du pays
pour les utiliser comme des échantillons de «contrôle» pour ce qui constituerait des niveaux «normaux»,
à comparer avec les échantillons prélevés sur Fukushima.
Le gouvernement japonais serait donc tenter de prouver que les radiations de l’accident ne sont pas à blâmer
pour les conditions de santé de ces enfants et de leurs décès prématurés. Ainsi, ils cherchent à se dégager
de toute responsabilité pour les milliers de réclamations contre eux, ce qui va sûrement venir dans les 15 prochaines années.
Ce faisant, bien sûr, le gouvernement japonais élèvera les niveaux de cancer dans tout le Japon, ce qui est tout à fait hallucinant.
Pourtant, il conseille aux parents des jeunes enfants dans les zones touchées de rechercher des endroits plus sûrs pour les amener
et aussi pour suivre un régime alimentaire qui aidera à bloquer l’absorption du césium, du strontium 90 et du plutonium
et des autres substances nocives, que le gouvernement n’est même pas en mesure d’analyser officiellement.
L’iode stable a démontré son efficacité contre les nucléides radioactifs et une approche similaire peut être prise avec de l’uranium,
le plutonium et le strontium 90, qui sont les plus graves, parce que ce sont les principaux émetteurs de particules. Busby a dit,
« Nous pouvons empêcher leur liaison avec l’ADN avec de grandes quantités de calcium et de magnésium, qui se lient à l’ADN
et gardent les particules radioactives à l’extérieur. »
La Fondation Christopher Busby a été mise en place et elle distribuera des comprimés de calcium stable et d’autres tablettes
pour contrer les quantités élevées de césium libérées dans l’atmosphère; La fondation procèdera également à l’achat d’une grande quantité d’appareils pour mesurer les radiations, de sorte que les gens puissent voir par eux-mêmes quand il y a des niveaux dangereux
dans les aliments. Enfin, la Fondation construira un laboratoire, où les gens pourront aller pour comparer leurs lectures,
de sorte que la vérité puisse sortir sur ce qui arrive vraiment avec les niveaux de radiations des lieux et des produits au Japon.
Il a dit : « C’est une opération pour sauver les enfants de Fukushima », et, évidemment, il aura besoin d’aide parce que
le gouvernement japonais ne les aidera pas du tout, au contraire, « Ils aident l’industrie internationale de l’énergie nucléaire. »
Busby, bien qu’il semble plutôt décontracté avec son éternel béret, a un CV impressionnant. Il est actuellement un professeur
invité à l’École des sciences biomédicales de l’Université d’Ulster et il a été le Président national des sciences et de la technologie
pour le Parti Vert en Angleterre et au Pays de Galles. Il a obtenu un diplôme en chimie et des distinctions de la prestigieuse Université
de Londres et a obtenu par la suite son doctorat en chimie physique à l’Université de Kent.
Busby a été membre du Comité d’examen des risques de radiations des émetteurs internes (CERRIE), qui a fonctionné de 2001 à 2004.
En 2001, il a été nommé au Comité de surveillance du Ministère de la Défense britannique sur l’uranium appauvri (DUOB).
Entre 2003 et 2007, il a été membre de la faculté de médecine de l’Université de Liverpool,
dans le département d’anatomie humaine et de biologie cellulaire.
Ses commentaires sur le gouvernement japonais ont été accueillis avec beaucoup de dérision,
de même que ses allégations selon lesquelles les dégâts des irradiations peuvent être évités grâce à l’ingestion de minéraux essentiels.
Qui croyez-vous ?
Traduit par PLEINSFEUX.ORG
Source originale de l'article
Extremely Radioactive Snow in Fukushima!
http://aworldchaos.wordpress.com/2013/01/22/extremely-radioactive-snow-in-fukushima/#more-12774
Vu sur : Spread the Truth 777
Bien Amicalement.
Fukushima, une autre surprise sans surprise
Bonjour à tous,
Fukushima, une autre surprise sans surprise

David Lochbaum est le directeur du Projet de Sureté Nucléaire
au sein de l'Union of Concerned Scientists (UCS),
un projet qui a pour but de s'assurer de la sûreté des installations
de production électronucléaire aux États Unis, par la surveillance des centrales,
l'identification et la publication des risques en matière de sécurité.
M. Lochbaum a plus de 17 années d'expérience dans la production d'électricité nucléaire ou éolienne commerciale, où il a tenu des postes d'ingénieur en chef, ingénieur système, conseiller technique et formateur, pour le compte de diverses société de production, de services
ou encore General Electric. Il a participé à des tâches comme les tests de démarrage de centrales, l'exploitation, la certification,
le développement logiciel, la formation et la conception. Il a travaillé sur des problèmes de sécurité dans une dizaine de centrales électronucléaires aux États Unis.
Dans cette vidéo, il détaille les divers risques, connus mais sciemment ignorés par l'exploitant et l'autorité de régulation, qui ont menés
à la tragédie nucléaire de Mars 2011 à Fukushima. Pourtant, les connaissances et les moyens techniques existaient pour se protéger
de ces risques. On ne peut pas en dire autant de la volonté des décideurs, chez les exploitants et pouvoirs publics,
de les mettre en application. Il est pourtant évident qu'un investissement dans les mesures de sécurité requises dès la conception
de la centrale ou même ensuite aurait couté bien moins cher que le désastre qui a résulté de leur ignorance irresponsable.
M. Lochbaum décrit également le cheminement logique qui aurait dû être suivi lors de l'analyse des risques en présence,
menant à la détermination des différents niveaux de protection nécessaires et suffisants, et des investissements à prévoir.
Fukushima, une autre surprise sans surprise - D... par kna60
Vidéo réalisée à l'occasion du symposium "The Medical and Ecological Consequences of the Fukushima Nuclear Accident"
Conséquences médicales & environnementales de l'accident nucléaire de Fukushima)
organisé par la fondation Helen Caldicott les 11 & 12 Mars 2013 à New York.
Il aura fallu des décennies pour que se produise le désastre que l'on connait à Fukushima. Il était alors trop tard pour réfléchir
davantage à sa possible occurrence. Toutefois, il n'est pas trop tard pour se poser certaines questions, par exemple :
Source de l'article
Fukushima, une autre surprise sans surprise - David Lochbaum 11.03.2013
http://kna-blog.blogspot.fr/2013/05/fukushima-une-autre-surprise-sans.html
Bien Amicalement.
Fukushima, une autre surprise sans surprise

David Lochbaum est le directeur du Projet de Sureté Nucléaire
au sein de l'Union of Concerned Scientists (UCS),
un projet qui a pour but de s'assurer de la sûreté des installations
de production électronucléaire aux États Unis, par la surveillance des centrales,
l'identification et la publication des risques en matière de sécurité.
M. Lochbaum a plus de 17 années d'expérience dans la production d'électricité nucléaire ou éolienne commerciale, où il a tenu des postes d'ingénieur en chef, ingénieur système, conseiller technique et formateur, pour le compte de diverses société de production, de services
ou encore General Electric. Il a participé à des tâches comme les tests de démarrage de centrales, l'exploitation, la certification,
le développement logiciel, la formation et la conception. Il a travaillé sur des problèmes de sécurité dans une dizaine de centrales électronucléaires aux États Unis.
Dans cette vidéo, il détaille les divers risques, connus mais sciemment ignorés par l'exploitant et l'autorité de régulation, qui ont menés
à la tragédie nucléaire de Mars 2011 à Fukushima. Pourtant, les connaissances et les moyens techniques existaient pour se protéger
de ces risques. On ne peut pas en dire autant de la volonté des décideurs, chez les exploitants et pouvoirs publics,
de les mettre en application. Il est pourtant évident qu'un investissement dans les mesures de sécurité requises dès la conception
de la centrale ou même ensuite aurait couté bien moins cher que le désastre qui a résulté de leur ignorance irresponsable.
M. Lochbaum décrit également le cheminement logique qui aurait dû être suivi lors de l'analyse des risques en présence,
menant à la détermination des différents niveaux de protection nécessaires et suffisants, et des investissements à prévoir.
Fukushima, une autre surprise sans surprise - D... par kna60
Vidéo réalisée à l'occasion du symposium "The Medical and Ecological Consequences of the Fukushima Nuclear Accident"
Conséquences médicales & environnementales de l'accident nucléaire de Fukushima)
organisé par la fondation Helen Caldicott les 11 & 12 Mars 2013 à New York.
Il aura fallu des décennies pour que se produise le désastre que l'on connait à Fukushima. Il était alors trop tard pour réfléchir
davantage à sa possible occurrence. Toutefois, il n'est pas trop tard pour se poser certaines questions, par exemple :
Pourquoi a-t-on rasé la falaise de 35m originellement présente sur le site, pour en arriver
à placer les pompes (non submersibles) de refroidissement des réacteurs et des générateurs de secours
à une hauteur de 4m au dessus du niveau de la mer ?
Pourquoi n'a-t-on pas fiabilisé le réseau électrique auquel était connecté la centrale, alors qu'on le savait vulnérable
à des séismes même moins puissants que celui de Mars 2011 ?
Pourquoi a-t-on rogné sur la qualité d'adaptation de la centrale à son environnement et aux dangers afférents ?
Pourquoi a-t-on maintenu la commercialisation d'un modèle de réacteur qu'on savait dangereux,
jugé comme étant la plus mauvaise conception disponible depuis ses débuts ? Etc, etc ...
à placer les pompes (non submersibles) de refroidissement des réacteurs et des générateurs de secours
à une hauteur de 4m au dessus du niveau de la mer ?
Pourquoi n'a-t-on pas fiabilisé le réseau électrique auquel était connecté la centrale, alors qu'on le savait vulnérable
à des séismes même moins puissants que celui de Mars 2011 ?
Pourquoi a-t-on rogné sur la qualité d'adaptation de la centrale à son environnement et aux dangers afférents ?
Pourquoi a-t-on maintenu la commercialisation d'un modèle de réacteur qu'on savait dangereux,
jugé comme étant la plus mauvaise conception disponible depuis ses débuts ? Etc, etc ...
Source de l'article
Fukushima, une autre surprise sans surprise - David Lochbaum 11.03.2013
http://kna-blog.blogspot.fr/2013/05/fukushima-une-autre-surprise-sans.html
Bien Amicalement.
Re: Les dangereux mythes de Fukushima
Fukushima : Inquiétantes transformations des fruits et légumes exposés aux radiations

Le 11 mars 2011, la centrale nucléaire de Fukushima Daiichi, à l’est du Japon, n’a pas pu résister à un séisme qui a eu lieu quelques heures auparavant au large de l'île, provoquant un tsunami. L’arrêt automatique des réacteurs en service avait provoqué une libération des particules nucléaires formant un nuage. Si le gouvernement nippon a assuré que tout était sous contrôle les jours qui ont suivi cette catastrophe, la nature a été fortement touchée par l’incident. Les végétaux comme les animaux auraient subi les conséquences de cette exposition aux radiations, comme le relaie le site américain de MSN.
Les poissons, premières victimes
De la tomate à la grenouille en passant les cerises, les pissenlits ou bien encore les roses, de nombreux légumes, fruits, fleurs et animaux ont subi des mutations génétiques dues à la forte exposition aux radiations libérées par la centrale nucléaire de Fukushima Daiichi. Cependant, la faune et la flore n’était pas la principale préoccupation des Japonais à l’époque.
Pourtant, le Japon est un des pays qui consomme le plus de poisson au monde et l’activité de la pêche y est fortement développée. Aussi, le pays exporte énormément de produits provenant de ses eaux. Seulement quelques jours après la catastrophe, le taux de radioactivité dans la région de Fukushima était 380 fois supérieur au taux normal. Conséquence de cette hyper-radioactivité plus de deux ans après la catastrophe ? La voici en images.

Des transformations végétales très étranges
Des tomates aux formes étonnantes, des concombres à la pousse inhabituelle, des tomates qui se transforment en aubergine ou bien encore des radis prenant la forme de la main de Mickey, la fameuse souris chère à Walt Disney... Les fruits ont également été touchés puisque les oranges ont pris une teinte assez étrange, les pêches sont devenues comme siamoises, les grappes de cerises n’accueillent plus une ou deux fruits mais au moins cinq. De même, le fruit local, la plaquemine, a vu son volume quadrupler. Au niveau des fleurs, les pissenlits, les roses ou bien encore les tournesols présentent des formes inhabituelles. Le plus inquiétant reste toutefois la transformation génétique de cette grenouille. Normalement verte, une photo nous l’affiche d’une couleur bleue claire. Si rien n'a officiellement montré le lien entre la catastrophe et la transformation de ces fruits, légumes et fleurs, les habitants n'ont eu aucun doute.
Quelle conséquence sur l'humain ?
Les conséquences sur le génome humain ou tout du moins sur certains traits physiques n’ont pas encore été observées. Cependant, de nombreux incidents du même acabit peuvent certifier qu’un jour ou l’autre, l'Homme subira les conséquences de cette catastrophe. Et il est probable que des maladies génétiques et des cancers soient diagnostiqués dans la région durant les prochaines années, à l'instar de ce qui a pu se passer à Tchernobyl suite à l'explosion de la centrale le 26 avril 1986.
http://www.gentside.com/fukushima/fukushima-les-transformations-inquietantes-des-legumes-fruits-fleurs-et-animaux-exposes-aux-radiations_art52760.html#
Vue sur : http://leschroniquesderorschach.blogspot.fr/2013/07/fukushima-inquietantes-transformations.html
A Bientôt

Le 11 mars 2011, la centrale nucléaire de Fukushima Daiichi avait libéré des particules radioactives suite à un séisme touchant l'Est du Japon. Aujourd'hui, les premières conséquences à cette exposition ont été remarquées notamment au niveau des fruits et des légumes mais également chez certaines fleurs et animaux.
Le 11 mars 2011, la centrale nucléaire de Fukushima Daiichi, à l’est du Japon, n’a pas pu résister à un séisme qui a eu lieu quelques heures auparavant au large de l'île, provoquant un tsunami. L’arrêt automatique des réacteurs en service avait provoqué une libération des particules nucléaires formant un nuage. Si le gouvernement nippon a assuré que tout était sous contrôle les jours qui ont suivi cette catastrophe, la nature a été fortement touchée par l’incident. Les végétaux comme les animaux auraient subi les conséquences de cette exposition aux radiations, comme le relaie le site américain de MSN.
Les poissons, premières victimes
De la tomate à la grenouille en passant les cerises, les pissenlits ou bien encore les roses, de nombreux légumes, fruits, fleurs et animaux ont subi des mutations génétiques dues à la forte exposition aux radiations libérées par la centrale nucléaire de Fukushima Daiichi. Cependant, la faune et la flore n’était pas la principale préoccupation des Japonais à l’époque.
Pourtant, le Japon est un des pays qui consomme le plus de poisson au monde et l’activité de la pêche y est fortement développée. Aussi, le pays exporte énormément de produits provenant de ses eaux. Seulement quelques jours après la catastrophe, le taux de radioactivité dans la région de Fukushima était 380 fois supérieur au taux normal. Conséquence de cette hyper-radioactivité plus de deux ans après la catastrophe ? La voici en images.

Des transformations végétales très étranges
Des tomates aux formes étonnantes, des concombres à la pousse inhabituelle, des tomates qui se transforment en aubergine ou bien encore des radis prenant la forme de la main de Mickey, la fameuse souris chère à Walt Disney... Les fruits ont également été touchés puisque les oranges ont pris une teinte assez étrange, les pêches sont devenues comme siamoises, les grappes de cerises n’accueillent plus une ou deux fruits mais au moins cinq. De même, le fruit local, la plaquemine, a vu son volume quadrupler. Au niveau des fleurs, les pissenlits, les roses ou bien encore les tournesols présentent des formes inhabituelles. Le plus inquiétant reste toutefois la transformation génétique de cette grenouille. Normalement verte, une photo nous l’affiche d’une couleur bleue claire. Si rien n'a officiellement montré le lien entre la catastrophe et la transformation de ces fruits, légumes et fleurs, les habitants n'ont eu aucun doute.
Quelle conséquence sur l'humain ?
Les conséquences sur le génome humain ou tout du moins sur certains traits physiques n’ont pas encore été observées. Cependant, de nombreux incidents du même acabit peuvent certifier qu’un jour ou l’autre, l'Homme subira les conséquences de cette catastrophe. Et il est probable que des maladies génétiques et des cancers soient diagnostiqués dans la région durant les prochaines années, à l'instar de ce qui a pu se passer à Tchernobyl suite à l'explosion de la centrale le 26 avril 1986.
http://www.gentside.com/fukushima/fukushima-les-transformations-inquietantes-des-legumes-fruits-fleurs-et-animaux-exposes-aux-radiations_art52760.html#
Vue sur : http://leschroniquesderorschach.blogspot.fr/2013/07/fukushima-inquietantes-transformations.html
A Bientôt
Re: Les dangereux mythes de Fukushima
Aggravation de la situation à la centrale de Fukushima

Selon l'autorité japonaise de régulation du nucléaire, la dernière fuite en date à la centrale nucléaire de Fukushima a entraîné un reclassement de l'accident d'une gravité 1 (anomalie) à 3 (incident grave) sur l'échelle internationale des événements nucléaires. La décision a été prise après consultation avec l'AIEA.
L'échelle internationale de classement des événements nucléaires sert à mesurer la gravité des événements nucléaires civils.
Le niveau 7 « accident majeur » n'a été constaté qu'à deux reprises : en 2011 à Fukushima et en 1986 à Tchernobyl.
L'échelle internationale de classement des événements nucléaires sert à mesurer la gravité des événements nucléaires civils.
Le niveau 7 « accident majeur » n'a été constaté qu'à deux reprises : en 2011 à Fukushima et en 1986 à Tchernobyl.
© Photo : EPA
Par La Voix de la Russie
http://www.alterinfo.net/notes/Aggravation-de-la-situation-a-la-centrale-de-Fukushima_b5800525.html
A Bientôt
Re: Les dangereux mythes de Fukushima
Fukushima, l’eau radioactive et la nouvelle tromperie mise au point par la NRA !

De l’eau accumulée à la centrale accidentée de Fukushima pourrait être volontairement rejetée en mer, une fois décontaminée, a prévenu lundi le président de l’autorité japonaise de régulation nucléaire.
Shunichi Tanaka
"Nous pourrions envisager de rejeter de l’eau dans l’océan à condition que le niveau de contamination radioactive soit ramené sous la limite légale », a déclaré Shunichi Tanaka lors d’une conférence de presse."
"J’insiste sur le fait que cela ne peut concerner que l’eau très faiblement radioactive, qui aura été assainie », a poursuivi le patron de l’instance indépendante mise en place en septembre dernier."
"Il sera à un moment inévitable de mettre cette eau quelque part, dans l’océan ou ailleurs », a-t-il dit.
"Le seuil de contamination appliqué sera celui qui est admis au niveau international pour les eaux habituellement rejetées par les installations nucléaires en fonctionnement normal. Nous ne chercherons pas à bénéficier d’une dérogation pour nous affranchir de ces limites admissibles », a promis M. Tanaka.
"Si nous décidons de rejeter de l’eau en mer, nous ferons tous les efforts pour descendre les niveaux le plus possible sous la limite admissible en utilisant le dispositif de décontamination appelé ALPS », a-t-il détaillé. Reste que pour le moment, ledit ALPS (conçu par le groupe nippon Toshiba) est en panne depuis plusieurs mois. De plus, si cet équipement complexe peut a priori filtrer 60 produits radioactifs, il ne permet pas de retirer le tritium(*).
"D’autres moyens supplémentaires seront donc nécessaires », a reconnu M. Tanaka. Et ce dernier d’insister sur l’importance de comprendre les chiffres communiqués. « 20 à 30.000 milliards de becquerels de tritium ont été dispersés dans l’environnement, en plus de deux ans, mais j’ai fait les calculs et cela ne représente que 35 grammes de tritium », a souligné M. Tanaka, assurant qu’il ne cherche pas à minimiser la situation, mais à raisonner de façon scientifique face aux événements qu’il qualifie lui même de « graves ".
source AFP via RTL-Info Article paru ce jour alors que l’information date déjà du 25 juillet dernier : http://translate.google.be/translate?hl=fr&sl=en&u=http://ajw.asahi.com/tag/Shunichi%2520Tanaka&prev=/search%3Fq%3Dshunichi%2Btanaka%26biw%3D1920%26bih%3D920
Seulement voilà peut-on encore croire en les déclaration de cet organisme dit, de contrôle quand on sait qu’il adresse volontairement des messages contradictoire à l’AIEA.
Dans un document que l’AIEA a soumis à du Japon Autorité de régulation nucléaire , ils ont dit que les autorités peuvent vouloir préparer une explication pour les médias et le public qui explique pourquoi ils ont soulevé l’Échelle internationale des événements nucléaires (INES) de niveau 1 à 3 quand il a révélé que près de 300 tonnes d’eau contaminée a coulé de l’un des réservoirs de stockage. Cela a rendu l’incident encore plus grave depuis Fukushima s ‘trois réacteurs sont entrés dans effondrement lors du tsunami 2011. Opérateur Tokyo Electric Power de l’usine (TEPCO) est encore en train de s’emparer de la situation à l’usine comme ils tentent de poursuivre le processus de décontamination et de nettoyage."L’ Agence internationale de l’énergie atomique , a déclaré mercredi que le Japon devrait cesser d’envoyer des « messages contradictoires » sur la situation à la centrale de Fukushima Daiichi nucléaire. Ils demandent au gouvernement d’expliquer pourquoi ils ont soudainement décidé de relever le nucléaire niveau d’alerte à l’usine lorsque d’autres incidents depuis Mars 2011 n’ont pas mérité une telle action.
L’AIEA a déclaré que le gouvernement devrait être plus prudent dans l’utilisation des évaluations INES, car il serait «nuage» de la question dans les yeux du public. Ils suggèrent concevoir un plan de communication détaillé qui pourrait expliquer les implications de sécurité de certains événements survenus à l’usine ou dans toute autre centrale nucléaire, au lieu de simplement en utilisant des événements INES notés. NRA où siège Shunichi Tanaka qui a déclaré que même si ils ont approuvé la désignation de niveau 3, les choses ne sont pas encore bien clair. « Nous pourrions avoir à changer quand TEPCO vient de divulguer plus d’informations, « a-t-il partagé. Mais il dit aussi que les médias internationaux ne comprend pas l’échelle INES correctement, compte de la situation de «grave» simplement parce qu’il a été élevé au niveau 3 mais admet que la NRA a pas donné des informations vitales et que «l’information est plutôt rare » ».
Source : Japan daily press 29/08/13 : http://translate.google.be/translate?hl=fr&sl=en&u=http://japandailypress.com/tag/shunichi-tanaka/&prev=/search%3Fq%3Dshunichi%2Btanaka%26biw%3D1920%26bih%3D920
D’un autre côté la NRA exhorte à un suivi de la contamination marine.
Réglementation nucléaire du Japon affirme que l’impact que les fuites d’eau contaminées par les radiations de la centrale nucléaire accidentée du pays est d’avoir sur le Pacifique n’est pas connue et la situation doit être surveillée de plus près.
Nuclear Regulation Authority président Shunichi Tanaka a déclaré le 29 août que les fuites de la centrale de Fukushima n ° 1 centrale nucléaire de peuvent pas être branché immédiatement. Il a déclaré que le contrôle des fuites est insuffisant et a exhorté un effort plus complet pour surveiller l’océan près de l’usine.
L’usine a subi effondrements triples après le séisme et le tsunami en Mars 2011. L’opérateur de la centrale, Tokyo Electric Power Co., doit constamment refroidir les réacteurs avec de l’eau, et a du mal à contenir les déchets.
TEPCO a récemment reconnu la fuite chronique de contaminé rayonnement eau souterraine dans le Pacifique, plus une (300.000 litres, 80.000 gallons) infiltration de 300 tonnes à partir d’un réservoir de stockage.
Source : Asahi Shimbun 29/08/13 : http://translate.google.be/translate?hl=fr&sl=en&u=http://ajw.asahi.com/tag/Shunichi%2520Tanaka&prev=/search%3Fq%3Dshunichi%2Btanaka%26biw%3D1920%26bih%3D920
Vue sur : http://www.wikistrike.com/article-fukushima-l-eau-radioactive-et-la-nouvelle-tromperie-mise-au-point-par-la-nra-119836725.html
A Bientôt
Re: Les dangereux mythes de Fukushima
Les fuites à Fukushima deviennent incontrôlables

Selon le vice-président de la commission de l'énergie atomique japonaise, Tatsujiro Suzuki, les fuites d'eau contaminée dans la centrale nucléaire de Fukushima deviennent de plus en plus incontrôlables.
Précédemment les autorités japonaises ont annoncé leur intention d'investir quelque 500 millions de dollars en vue de congéler la terre sous les réacteurs accidentés.
Selon Tatsujiro Suzuki, il sera difficile de construire un mur de glace sous un réacteur pour arrêter les fuites d'eau contaminée et qu'il faut trouver une autre solution à long terme.
http://french.ruvr.ru/news/2013_09_03/Les-fuites-a-Fukushima-deviennent-incontrolables-8681/
A Bientôt
Re: Les dangereux mythes de Fukushima
Fukushima: Tepco localise pour la première fois un flux d'eau qui ruisselle sous la centrale

La compagnie gérante de la centrale ravagée de Fukushima a annoncé avoir localisé pour la première fois un flux d'eau souterraine qui entre dans le sous-sol d'un bâtiment et en ressort contaminée, posant de graves problèmes de pollution alentour.
Tokyo Electric Power (Tepco) a expliqué lors d'une conférence de presse mercredi soir que de l'eau provenant d'un côté montagneux s'inflitrait dans le sous-sol du bâtiment qui héberge la turbine du réacteur numéro un, via un passage de câbles et canalisation.
Ce volume augmente chaque jour de 400 tonnes
La compagnie a présenté des photos et vidéos de la situation. Le son qui accompagne ces dernières est identique à celui d'une cascade. Fukushima Daiichi regorge de quelque 400.000 tonnes d'eau pleine de césium, strontium, tritium et autres substances radioactives, enfouie dans le sous-sol ou stockée dans un millier de réservoirs spéciaux montés à la hâte.
Ce volume augmente chaque jour de 400 tonnes, en raison de l'infiltration de quantités massives d'eau sous les bâtiments et de la nécessité de continuer à refroidir les réacteurs. La localisation des points d'entrée de cette eau naturelle est essentielle pour pouvoir stopper efficacement le flux et éviter sa contamination puis sa fuite dans l'océan Pacifique voisin.
Indispensable de coopérer avec des organismes et experts étrangers
Le gouvernement nippon a annoncé mardi un plan d'urgence pour venir à bout de l'hémorragie d'eau radioactive. Il prévoit de construire un «mur de glace» vertical souterrain pour isoler le sous-sol de la centrale de l'océan ainsi que des nappes souterraines et éviter l'entrée et la sortie d'eau, mais les coûteux travaux envisagés nécessiteront deux années. Plusieurs voix se sont élevées pour appeler les étrangers à la rescousse.
http://www.20minutes.fr/planete/1218545-20130905-fukushima-tepco-localise-1ere-fois-flux-eau-ruisselle-sous-centrale
Vue sur : http://www.wikistrike.com/article-les-fuites-a-fukushima-deviennent-incontrolables-vice-president-de-la-commission-atomique-japonai-119882731.html
A Bientôt

CATASTROPHE - Fukushima Daiichi regorge de quelque 400.000 tonnes d'eau pleine de césium, strontium, tritium et autres substances radioactives...
La compagnie gérante de la centrale ravagée de Fukushima a annoncé avoir localisé pour la première fois un flux d'eau souterraine qui entre dans le sous-sol d'un bâtiment et en ressort contaminée, posant de graves problèmes de pollution alentour.
Tokyo Electric Power (Tepco) a expliqué lors d'une conférence de presse mercredi soir que de l'eau provenant d'un côté montagneux s'inflitrait dans le sous-sol du bâtiment qui héberge la turbine du réacteur numéro un, via un passage de câbles et canalisation.
Ce volume augmente chaque jour de 400 tonnes
La compagnie a présenté des photos et vidéos de la situation. Le son qui accompagne ces dernières est identique à celui d'une cascade. Fukushima Daiichi regorge de quelque 400.000 tonnes d'eau pleine de césium, strontium, tritium et autres substances radioactives, enfouie dans le sous-sol ou stockée dans un millier de réservoirs spéciaux montés à la hâte.
Ce volume augmente chaque jour de 400 tonnes, en raison de l'infiltration de quantités massives d'eau sous les bâtiments et de la nécessité de continuer à refroidir les réacteurs. La localisation des points d'entrée de cette eau naturelle est essentielle pour pouvoir stopper efficacement le flux et éviter sa contamination puis sa fuite dans l'océan Pacifique voisin.
Indispensable de coopérer avec des organismes et experts étrangers
Le gouvernement nippon a annoncé mardi un plan d'urgence pour venir à bout de l'hémorragie d'eau radioactive. Il prévoit de construire un «mur de glace» vertical souterrain pour isoler le sous-sol de la centrale de l'océan ainsi que des nappes souterraines et éviter l'entrée et la sortie d'eau, mais les coûteux travaux envisagés nécessiteront deux années. Plusieurs voix se sont élevées pour appeler les étrangers à la rescousse.
La situation à Fukushima a ressurgi ces derniers jours à la une des médias en raison de l'annonce de multiples fuites en provenance d'énormes réservoirs de stockage d'eau hautement radioactive et dans la mer.«Il est indispensable de coopérer avec des organismes et experts étrangers», a déclaré Takuya Hattori, un ex-directeur du site nucléaire Fukushima Daiichi et actuel président du Forum des industriels japonais de l'énergie atomique. «Le problème de la contamination des eaux souterraines aux abords d'une centrale n'est pas propre à Fukushima Daiichi, il y a de nombreux exemples ailleurs, et donc une connaissance et une expérience en la matière».
http://www.20minutes.fr/planete/1218545-20130905-fukushima-tepco-localise-1ere-fois-flux-eau-ruisselle-sous-centrale
Vue sur : http://www.wikistrike.com/article-les-fuites-a-fukushima-deviennent-incontrolables-vice-president-de-la-commission-atomique-japonai-119882731.html
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Re: Les dangereux mythes de Fukushima
Fukushima : montée en flèche de la radioactivité des eaux souterraines

Les niveaux de radioactivité des eaux souterraines sont montés en flèche à la centrale nucléaire japonaise accidentée de Fukushima, a annoncé samedi l'opérateur du site Tepco. Quelque 300 tonnes d'eau radioactive ont fui en août d'un réservoir. Tokyo Electric Power (Tepco) a indiqué que les prélèvements effectués jeudi à partir d'un puits contenaient 400'000 becquerels par litre de substances émettant des rayons bêta, soit le niveau le plus haut relevé depuis l'accident nucléaire provoqué par le raz de marée de mars 2011.
Les échantillons recueillis les jours précédents donnaient des niveaux nettement moins élevés allant de 60 à 90 becquerels par litre.
Les relevés concernant du tritium radioactif ont également atteint un record de 790'000 becquerels, a précisé Tepco.
Terre souillée enlevée
Le réservoir qui fuyait avait été découvert en août. La compagnie électrique a précisé que depuis lors plusieurs mesures ont été prises, dont le déplacement de l'eau radioactive et l'enlèvement de la terre souillée.
"Les autres réservoirs ne montrent pas un tel niveau. Nous devons prendre d'autres mesures pour les zones se situant aux alentours de ce puits", a déclaré le porte-parole de Tepco vendredi.
La compagnie a enlevé la plus grande partie des terres contaminées en août, mais paraît avoir échoué à avoir récupéré toutes les substances radioactives, a reconnu le porte-parole.
Les pluies abondantes des dernières semaines ont pu charrier des matières contaminées vers le réservoir, a-t-il ajouté, affirmant que Tepco ferait en sorte d'enlever les sols contaminés et les eaux du sous-sol.
http://www.journaldujura.ch/nouvelles-en-ligne/divers/fukushima-les-niveaux-de-radioactivite-des-eaux-montent-en-fleche
Vue sur : http://leschroniquesderorschach.blogspot.fr/2013/10/fukushima-montee-en-fleche-de-la.html
A Bientôt
« À Fukushima, la population est dans une situation inextricable »...
« À Fukushima, la population est dans une situation inextricable »...
Quatre ans après l’explosion d’une centrale nucléaire à Fukushima,
le sort des populations concernées est loin d’être réglé. La chercheuse Cécile Asanuma-Brice décrypte
la politique qui vise à inciter ces personnes à réintégrer les zones encore contaminées...

~ 4 ans déjà. Le point sur la catastrophe Fukushima… (Mr Mondialisation) ~

~ Fishermen Slam TEPCO for Silence on Cesium-Water Dumped in Pacific (Christina Sarich, Natural Society) ~

~ Fukushima, quatre ans après : une "catastrophe illimitée" dans le temps (Sud Ouest) ~

~ Fukushima world’s radiation nightmare (The Watchers) ~
~ Fukushima Nuclear Radiation Spikes 7,000% as Contaminated Water Pours into the Ocean (Ethan A. Huff, Natural News) ~
~ Problèmes de thyroïde à Fukushima : une population cobaye (Fukushima) ~
Quatre ans après l’explosion d’une centrale nucléaire à Fukushima,
le sort des populations concernées est loin d’être réglé. La chercheuse Cécile Asanuma-Brice décrypte
la politique qui vise à inciter ces personnes à réintégrer les zones encore contaminées...
Mr Mondialisation a écrit:
(...) Il faudra donc bien plus de quatre ans pour que la situation soit véritablement stabilisée à Fukushima. Un nouvel incident semble le démontrer. Au 22 février 2015, une nouvelle fuite hautement radioactive fut détectée par Tepco, la compagnie d’électricité responsable de la centrale. Des taux de radioactivité 70 fois supérieurs aux valeurs déjà hautes du site furent enregistrés. L’agence internationale de l’énergie atomique conseille de rejeter en mer l’eau partiellement filtrée afin de désengorger les quantités d’eau astronomiques stockées sur le site. Aujourd’hui, 85 % des évacués n’ont toujours pas pu rentrer chez eux. Malgré ce bilan, les autorités locales et les industries du nucléaire assurent que la situation est sous contrôle. Il n’y aurait aucun risque pour la population japonaise en dehors de la zone interdite. En matière d’alimentation, les chercheurs de la Environmental Science and Technology ont testé 900.000 produits agricoles de la région. Ils ne détectent pratiquement plus de trace de radioactivité dans les échantillons depuis 2014 (0,6%). Quelques cas alarment cependant, comme un lot de poissons pêchés au large de la centrale en 2013. Le taux de becquerels de césium y était 258 fois plus élevé que la limite fixée par le gouvernement. La population japonaise continue de boycotter discrètement les produits alimentaires en provenance de Fukushima. (...)
Résidente au Japon depuis près de quinze ans, Cécile Asanuma-Brice travaille au bureau du CNRS à Tokyo et est chercheuse associée au centre de recherche de la Maison franco-japonaise de Tokyo et au Laboratoire international associé « Protection humaine et réponse au désastre » (HPDR) créé par le CNRS et d’autres institutions françaises et japonaises, à la suite de la catastrophe de Fukushima.
Combien de personnes restent déplacées ? Dans quelles conditions vivent-elles ?
Cécile Asanuma-Brice : Le gouvernement japonais fait état de 118 812 personnes déplacées, dont 73 077 à l’intérieur du département de Fukushima et 45 735 à l’extérieur, ce qui représente une baisse puisque les mêmes statistiques officielles affichaient 160 000 personnes déplacées en 2011, quelques mois après la catastrophe. En réalité, le nombre de personnes déplacées est bien plus élevé que cela. Car le système d’enregistrement mis en place par l’Administration est extrêmement contraignant et une partie non négligeable des habitants n’a pas voulu s’y plier. J’ai personnellement interviewé plusieurs familles regroupées au sein d’associations qui ont refusé cet enregistrement, car cela aboutissait à leur faire perdre des droits, notamment quant à la gratuité de leur suivi médical. Dans un premier temps, le gouvernement japonais a ouvert à la gratuité le parc des logements publics vacants sur l’ensemble du territoire aux personnes qui souhaitaient s’installer ailleurs. Cette mesure était positive, même si elle ne s’est pas accompagnée de politiques d’aide à l’emploi qui auraient permis une intégration durable des nouveaux migrants dans les territoires d’accueil. En outre, cette directive a pris fin en décembre 2012. Simultanément, des logements provisoires ont été construits mais en partie sur des zones contaminées selon la carte de répartition de la contamination produite par le ministère de la Recherche du gouvernement japonais. Dans la loi, la vie dans ces logements est limitée à deux ans en raison de l’inconfort des lieux. Mais le provisoire est en train de durer. Les réfugiés qui vivent sur ces terrains vacants aux marges des villes ont à leur charge la consommation d’électricité, de gaz et d’eau, et sont également contraints d’acheter les aliments qu’ils produisaient autrefois, la plupart d’entre eux étant fermiers. Le revenu de compensation de 100 000 yens (environ 750 euros, NDLR) par mois qui leur est versé par Tepco, l’entreprise de gestion de la centrale, est insuffisant pour couvrir ces frais. Enfin, des logiques de discrimination commencent à apparaître, pointant les réfugiés comme des « assistés », ce qui est extrêmement mal considéré dans un pays qui place très haut la valeur du travail.
Combien de personnes restent déplacées ? Dans quelles conditions vivent-elles ?
Cécile Asanuma-Brice : Le gouvernement japonais fait état de 118 812 personnes déplacées, dont 73 077 à l’intérieur du département de Fukushima et 45 735 à l’extérieur, ce qui représente une baisse puisque les mêmes statistiques officielles affichaient 160 000 personnes déplacées en 2011, quelques mois après la catastrophe. En réalité, le nombre de personnes déplacées est bien plus élevé que cela. Car le système d’enregistrement mis en place par l’Administration est extrêmement contraignant et une partie non négligeable des habitants n’a pas voulu s’y plier. J’ai personnellement interviewé plusieurs familles regroupées au sein d’associations qui ont refusé cet enregistrement, car cela aboutissait à leur faire perdre des droits, notamment quant à la gratuité de leur suivi médical. Dans un premier temps, le gouvernement japonais a ouvert à la gratuité le parc des logements publics vacants sur l’ensemble du territoire aux personnes qui souhaitaient s’installer ailleurs. Cette mesure était positive, même si elle ne s’est pas accompagnée de politiques d’aide à l’emploi qui auraient permis une intégration durable des nouveaux migrants dans les territoires d’accueil. En outre, cette directive a pris fin en décembre 2012. Simultanément, des logements provisoires ont été construits mais en partie sur des zones contaminées selon la carte de répartition de la contamination produite par le ministère de la Recherche du gouvernement japonais. Dans la loi, la vie dans ces logements est limitée à deux ans en raison de l’inconfort des lieux. Mais le provisoire est en train de durer. Les réfugiés qui vivent sur ces terrains vacants aux marges des villes ont à leur charge la consommation d’électricité, de gaz et d’eau, et sont également contraints d’acheter les aliments qu’ils produisaient autrefois, la plupart d’entre eux étant fermiers. Le revenu de compensation de 100 000 yens (environ 750 euros, NDLR) par mois qui leur est versé par Tepco, l’entreprise de gestion de la centrale, est insuffisant pour couvrir ces frais. Enfin, des logiques de discrimination commencent à apparaître, pointant les réfugiés comme des « assistés », ce qui est extrêmement mal considéré dans un pays qui place très haut la valeur du travail.
~ Fishermen Slam TEPCO for Silence on Cesium-Water Dumped in Pacific (Christina Sarich, Natural Society) ~
Les populations expriment-elles le souhait de rentrer chez elles ? Quel est l’état d’esprit dominant ?
Beaucoup de familles sont installées loin de leur village d’origine tandis que les pères continuent de travailler dans le département où elles vivaient. Une majorité d’entre elles sont propriétaires de leur maison ou appartement ; elles ont emprunté pour cela et il leur est par conséquent très difficile de tout abandonner sans l’application d’un droit au refuge, soit l’assurance d’une compensation financière et d’une aide à la recherche d’emploi dans la région d’accueil. Cela serait envisageable si l’on considère les sommes faramineuses consacrées à la décontamination inefficace des territoires. Ces habitants sont mis dans une situation inextricable et cela se traduit par un taux de divorce élevé, de même que celui des suicides et des dépressions nerveuses… Néanmoins, le gouvernement entretient soigneusement l’idée d’un retour possible et tend à rouvrir progressivement les zones qui étaient interdites à l’habitation. Ainsi, la zone de réglementation spéciale qui recouvrait les neuf collectivités locales autour de la centrale a été totalement supprimée, ce qui recouvre une population de 76 420 personnes. Un peu moins de deux tiers d’entre elles, 51 360 personnes exactement, se trouvent dans la zone de « préparation à l’annulation de la directive d’évacuation », dont le taux de contamination est en deça de 20 millisieverts (mSv), ce qui signifie qu’elles peuvent se déplacer librement dans cette zone durant la journée afin d’entretenir leur habitat ou d’y travailler. L’annulation de la directive a été effective en partie en 2014. Dans la zone de restriction de résidence, qui concerne 25 % des habitants (19 230 personnes), il est permis d’entrer et de sortir librement pendant la journée mais pas de travailler.
Beaucoup de familles sont installées loin de leur village d’origine tandis que les pères continuent de travailler dans le département où elles vivaient. Une majorité d’entre elles sont propriétaires de leur maison ou appartement ; elles ont emprunté pour cela et il leur est par conséquent très difficile de tout abandonner sans l’application d’un droit au refuge, soit l’assurance d’une compensation financière et d’une aide à la recherche d’emploi dans la région d’accueil. Cela serait envisageable si l’on considère les sommes faramineuses consacrées à la décontamination inefficace des territoires. Ces habitants sont mis dans une situation inextricable et cela se traduit par un taux de divorce élevé, de même que celui des suicides et des dépressions nerveuses… Néanmoins, le gouvernement entretient soigneusement l’idée d’un retour possible et tend à rouvrir progressivement les zones qui étaient interdites à l’habitation. Ainsi, la zone de réglementation spéciale qui recouvrait les neuf collectivités locales autour de la centrale a été totalement supprimée, ce qui recouvre une population de 76 420 personnes. Un peu moins de deux tiers d’entre elles, 51 360 personnes exactement, se trouvent dans la zone de « préparation à l’annulation de la directive d’évacuation », dont le taux de contamination est en deça de 20 millisieverts (mSv), ce qui signifie qu’elles peuvent se déplacer librement dans cette zone durant la journée afin d’entretenir leur habitat ou d’y travailler. L’annulation de la directive a été effective en partie en 2014. Dans la zone de restriction de résidence, qui concerne 25 % des habitants (19 230 personnes), il est permis d’entrer et de sortir librement pendant la journée mais pas de travailler.
Cathy Lafon a écrit:
(...) Sur les conséquences sanitaires de la catastrophe, c'est l'omerta. En juillet 2013, après avoir évoqué le nombre de 178,Tepco portait à 1.973 le nombre de travailleurs exposés à plus de 100 mSv, soit 10 % du personnel ayant travaillé sur le site de Fukushima entre le tsunami du 11 mars 2011 et la fin 2012. Une telle contamination, cent fois celle autorisée par an en France, exposerait à un risque élevé de cancer, selon de nombreuses études épidémiologiques. On n'en sait pas beaucoup plus aujourd'hui. En février 2015, huit nouveaux cas de cancer de la thyroïde ont été découverts chez les 300.000 enfants vivant en 2011 dans la préfecture autour de la centrale. Ils s'ajoutent aux 86 cas avérés de cancers de la thyroïde déjà repérés lors d'examens menés de 2011 à 2014 sur cette population. Les experts japonais refusent toutefois d'établir un lien avec les retombées d'iode radioactive de la catastrophe nucléaire. Une chose est sûre : la population évacuée développe plus de dépression, de stress et de pathologies liées que la moyenne, 1.656 Japonais en seraient morts depuis 2011. (...)
Vous dénoncez l’abus du concept de résilience, utilisé pour, dites-vous, « assigner la population à demeure ».
Pour convaincre les gens de revenir, les pouvoirs publics s’appuient sur le concept de résilience qui fait, en l’espèce, l’objet d’un abus épistémologique : des approches concernant la résilience psychologique, écologique et urbaine sont mélangées afin de suggérer l’abandon de la fuite à ceux qui obéiraient encore à leur instinct primaire d’angoisse face aux dangers ! La communication sur le risque joue un rôle important pour faire passer ce concept de résilience. Il faut faire admettre que nous vivons désormais dans « la société du risque » pour reprendre le titre d’un ouvrage d’Ulrich Beck qui a théorisé cette idée. La société du risque, selon lui, c’est une société où l’état d’exception menace d’y devenir un état normal. Dans le cas présent, les normes de protection sont bouleversées pour limiter la surface de la zone d’évacuation et permettre l’illusion d’un retour à la normal. Ainsi, le taux de radioactivité dans l’air comme au sol excède par endroits dix à vingt fois le taux de contamination internationalement admis comme acceptable pour la population civile, soit 1 mSv/an. Dès avril 2011, les autorités ont relevé cette norme à 20 mSv/an dans la région la plus polluée, et il est actuellement question de la relever à 100 mSv/an ! Même chose dans l’alimentation, où le taux d’acceptabilité maximal de la radioactivité a varié. Cette stratégie de communication a disposé en 2014 d’un budget de plus 2 millions d’euros qui ont permis, si j’ose dire, « d’éduquer » aux risques sanitaires pour mieux rassurer, par le biais, par exemple, de l’organisation d’ateliers sur la radioactivité et le cancer destinés aux écoliers de classes primaires de la région de Fukushima, de la distribution de manuels scolaires apprenant à gérer la vie dans un environnement contaminé, ou encore de campagnes télévisuelles pour des produits frais en provenance de la zone contaminée vantant l’efficacité de la décontamination, qui n’a toujours pas été prouvée.
Pour convaincre les gens de revenir, les pouvoirs publics s’appuient sur le concept de résilience qui fait, en l’espèce, l’objet d’un abus épistémologique : des approches concernant la résilience psychologique, écologique et urbaine sont mélangées afin de suggérer l’abandon de la fuite à ceux qui obéiraient encore à leur instinct primaire d’angoisse face aux dangers ! La communication sur le risque joue un rôle important pour faire passer ce concept de résilience. Il faut faire admettre que nous vivons désormais dans « la société du risque » pour reprendre le titre d’un ouvrage d’Ulrich Beck qui a théorisé cette idée. La société du risque, selon lui, c’est une société où l’état d’exception menace d’y devenir un état normal. Dans le cas présent, les normes de protection sont bouleversées pour limiter la surface de la zone d’évacuation et permettre l’illusion d’un retour à la normal. Ainsi, le taux de radioactivité dans l’air comme au sol excède par endroits dix à vingt fois le taux de contamination internationalement admis comme acceptable pour la population civile, soit 1 mSv/an. Dès avril 2011, les autorités ont relevé cette norme à 20 mSv/an dans la région la plus polluée, et il est actuellement question de la relever à 100 mSv/an ! Même chose dans l’alimentation, où le taux d’acceptabilité maximal de la radioactivité a varié. Cette stratégie de communication a disposé en 2014 d’un budget de plus 2 millions d’euros qui ont permis, si j’ose dire, « d’éduquer » aux risques sanitaires pour mieux rassurer, par le biais, par exemple, de l’organisation d’ateliers sur la radioactivité et le cancer destinés aux écoliers de classes primaires de la région de Fukushima, de la distribution de manuels scolaires apprenant à gérer la vie dans un environnement contaminé, ou encore de campagnes télévisuelles pour des produits frais en provenance de la zone contaminée vantant l’efficacité de la décontamination, qui n’a toujours pas été prouvée.
~ Fukushima world’s radiation nightmare (The Watchers) ~
~ Fukushima Nuclear Radiation Spikes 7,000% as Contaminated Water Pours into the Ocean (Ethan A. Huff, Natural News) ~
Cette stratégie repose sur un programme déjà appliqué à Tchernobyl.
Les acteurs impliqués dans la gestion du désastre japonais sont en partie les mêmes que ceux qui ont « géré » la crise nucléaire de Tchernobyl. C’est le cas notamment de Jacques Lochard, directeur du CEPN (Centre d’étude sur l’évaluation de la protection dans le domaine nucléaire), ainsi que du docteur Yamashita Shunichi, membre de la commission d’enquête sanitaire, l’un des premiers à avoir prôné le relèvement de la norme de sécurité à 100 mSv/an, ou encore du professeur Niwa de l’université médicale de Fukushima. Ce psychiatre argumente en faveur d’un retour des habitants en réponse aux taux de dépression et de suicide croissants liés à la douleur de l’éloignement de leur pays natal. De fait, les réfugiés sont privés de liberté de décision sur leur propre sort puisqu’on ne leur donne ni les moyens de pouvoir partir ni ceux de se réintégrer totalement. Autrement dit, on les contraint à devoir gérer leur quotidien dans un environnement contaminé. C’est justement l’objet du programme Ethos Fukushima, qui fait suite au programme Ethos Tchernobyl, l’un comme l’autre dirigés par Jacques Lochard et dans lesquels les docteurs Yamashita et Niwa jouent un rôle fondamental. Ce programme est basé sur le calcul du coût/bénéfice en matière de radioprotection et vise à apprendre aux habitants à gérer leur quotidien dans un environnement contaminé, la migration étant jugée trop coûteuse. Ce programme a également pour but de relancer l’économie dans les régions touchées par la catastrophe, en incitant à la consommation de produits alimentaires issus des zones contaminées. Des accords sont ainsi passés avec des chaînes de supermarchés présentes sur l’ensemble du territoire et qui orientent leur distribution vers la vente d’articles quasi exclusivement en provenance des territoires touchés.
Les acteurs impliqués dans la gestion du désastre japonais sont en partie les mêmes que ceux qui ont « géré » la crise nucléaire de Tchernobyl. C’est le cas notamment de Jacques Lochard, directeur du CEPN (Centre d’étude sur l’évaluation de la protection dans le domaine nucléaire), ainsi que du docteur Yamashita Shunichi, membre de la commission d’enquête sanitaire, l’un des premiers à avoir prôné le relèvement de la norme de sécurité à 100 mSv/an, ou encore du professeur Niwa de l’université médicale de Fukushima. Ce psychiatre argumente en faveur d’un retour des habitants en réponse aux taux de dépression et de suicide croissants liés à la douleur de l’éloignement de leur pays natal. De fait, les réfugiés sont privés de liberté de décision sur leur propre sort puisqu’on ne leur donne ni les moyens de pouvoir partir ni ceux de se réintégrer totalement. Autrement dit, on les contraint à devoir gérer leur quotidien dans un environnement contaminé. C’est justement l’objet du programme Ethos Fukushima, qui fait suite au programme Ethos Tchernobyl, l’un comme l’autre dirigés par Jacques Lochard et dans lesquels les docteurs Yamashita et Niwa jouent un rôle fondamental. Ce programme est basé sur le calcul du coût/bénéfice en matière de radioprotection et vise à apprendre aux habitants à gérer leur quotidien dans un environnement contaminé, la migration étant jugée trop coûteuse. Ce programme a également pour but de relancer l’économie dans les régions touchées par la catastrophe, en incitant à la consommation de produits alimentaires issus des zones contaminées. Des accords sont ainsi passés avec des chaînes de supermarchés présentes sur l’ensemble du territoire et qui orientent leur distribution vers la vente d’articles quasi exclusivement en provenance des territoires touchés.
Fukushima a écrit:
(...) Pire, le crime est organisé, et bien rôdé. On l’a déjà testé en Biélorussie de 1996 à 2001 et ça marche. Pourquoi ne pas recommencer au Japon avec des moyens encore plus sophistiqués ? Le programme ETHOS, financé par l’Europe, qui visait entre autres au « développement d'une culture du risque radiologique pratique au sein de la jeunesse par l'école » n’est autre qu’un programme destiné à faire accepter à la population de vivre dans une zone contaminée. La décontamination d’un territoire qui a subi des retombées radioactives étant impossible et l’évacuation des habitants étant trop coûteuse, le village nucléaire international a trouvé la solution : faire croire à la population qu’on peut vivre en zone contaminée sans danger. Résultat des courses : malgré le programme ETHOS dont tous les participants officiels se sont félicités de la réussite, la courbe de progression des pathologies n’a cessé de croître et aujourd’hui, 40 à 80 % des enfants vivants en territoire contaminé dans la région de Tchernobyl sont malades. Au Japon, on fait semblant de ne pas savoir. On crée des programmes de décontamination qui ne marchent pas, on demande aux gens de retourner vivre chez eux, dans un environnement radioactif permanent. Et surtout, on envoie M. Jacques Lochard, qui dirigeait le projet ETHOS en Biélorussie et qui est aujourd’hui président du CEPN, s’occuper des populations japonaises ! Il est clair que les Japonais doivent être sensibilisés aux dangers du programme ETHOS. Ce genre d’action est fait pour neutraliser les associations indépendantes et pour endormir la population avec des actions inefficaces. Et au final, on risque de se retrouver avec un détournement d’argent public au profit d’une organisation qui ne sera même plus là pour compter les victimes dans quelques années. (...)
Comment réagissent les populations concernées ?
Ce lavage de cerveau fonctionne en partie, même si la résistance est de taille compte tenu de l’enjeu sanitaire. Il est vrai que cette politique de communication va très loin dans la manipulation des esprits. C’est ainsi que sont organisés des ateliers qui consistent à faire redécouvrir aux enfants qui sont partis la culture du terroir de leur origine. Du personnel administratif de la préfecture de Fukushima, entre autres des psychologues, prend donc contact avec des familles sur leur lieu de refuge, leur expliquant qu’ils souhaitent organiser des rencontres entre les enfants du même âge des anciennes classes dissolues de la région afin qu’ils ne perdent pas contact. Là, ils les font cuisiner ensemble en leur expliquant, notamment, la provenance de chaque ingrédient (par exemple le terroir des grands-parents). Ainsi, on crée la nostalgie chez l’enfant que l’on culpabilise d’avoir abandonné ses amis et son pays natal. Tout cela est créé de toutes pièces mais fonctionne malheureusement. L’enfant, alors qu’il commençait enfin à recréer de nouveaux repères dans sa ville d’accueil, rentre dans sa famille en demandant la date à laquelle ils retourneront chez eux, à Fukushima… Certaines familles ne sont pas dupes et luttent pour l’organisation de réseaux d’accueil des réfugiés qui visent à les aider à mieux s’insérer et organisent des séances durant lesquelles on explique les pièges dans lesquels il ne faut pas tomber.
Interview réalisée par Louise Lis
Source de l'article : « À Fukushima, la population est dans une situation inextricable » (CNRS, le Journal)Ce lavage de cerveau fonctionne en partie, même si la résistance est de taille compte tenu de l’enjeu sanitaire. Il est vrai que cette politique de communication va très loin dans la manipulation des esprits. C’est ainsi que sont organisés des ateliers qui consistent à faire redécouvrir aux enfants qui sont partis la culture du terroir de leur origine. Du personnel administratif de la préfecture de Fukushima, entre autres des psychologues, prend donc contact avec des familles sur leur lieu de refuge, leur expliquant qu’ils souhaitent organiser des rencontres entre les enfants du même âge des anciennes classes dissolues de la région afin qu’ils ne perdent pas contact. Là, ils les font cuisiner ensemble en leur expliquant, notamment, la provenance de chaque ingrédient (par exemple le terroir des grands-parents). Ainsi, on crée la nostalgie chez l’enfant que l’on culpabilise d’avoir abandonné ses amis et son pays natal. Tout cela est créé de toutes pièces mais fonctionne malheureusement. L’enfant, alors qu’il commençait enfin à recréer de nouveaux repères dans sa ville d’accueil, rentre dans sa famille en demandant la date à laquelle ils retourneront chez eux, à Fukushima… Certaines familles ne sont pas dupes et luttent pour l’organisation de réseaux d’accueil des réfugiés qui visent à les aider à mieux s’insérer et organisent des séances durant lesquelles on explique les pièges dans lesquels il ne faut pas tomber.
Interview réalisée par Louise Lis
Fukushima bien pire qu’un désastre...
Fukushima bien pire qu’un désastre...
Naohiro Masuda, le patron de la décommission de la centrale nucléaire de TEPCO
à Fukushima Daiichi a finalement publiquement “officiellement” annoncé que 600 tonnes
de combustible nucléaire fondu ou corium manquent à l’appel...

~ Fukushima clean-up chief still hunting for 600 tonnes of melted radioactive fuel (Mark Willacy, ABC News)(Mai 2016) ~
~ En Finlande, des déchets nucléaires enfouis pour l’éternité (L'Expansion)(Mars 2011) ~

~ Projet Cigéo à Bure : non à l’enfouissement des déchets radioactifs ! (Dossier réalisé par Sortir du Nucléaire) ~

~ Prévention des Risques Majeurs (Accident Nucléaire)(Gouvernement) ~ (Pas sûr que ce soit suffisant...)
Source originale de l'article : Fukushima: Worse Than a Disaster (CounterPunch)(Juin 2016)
Naohiro Masuda, le patron de la décommission de la centrale nucléaire de TEPCO
à Fukushima Daiichi a finalement publiquement “officiellement” annoncé que 600 tonnes
de combustible nucléaire fondu ou corium manquent à l’appel...

~ Fukushima clean-up chief still hunting for 600 tonnes of melted radioactive fuel (Mark Willacy, ABC News)(Mai 2016) ~
Bon qu’est-ce qu’on fait ? D’après Gregory Jaczko, ancien patron de la Commission de Régulation Nucléaire des Etats-Unis (CRN), il est fort peu probable que le combustible en question soit jamais récupéré: “Personne ne sait vraiment où il se trouve et ce combustible est extrêmement radioactif et le restera pendant très très longtemps”. Une grosse partie du problème est que personne n’a jamais fait l’expérience d’une fusion totale comme cela se passe à Fukushima, qui est maintenant de l’ordre de 100%, le combustible nucléaire possiblement en train de s’enfoncer dans le sol, mais personne ne le sait pour certain. A partir de maintenant, tout n’est que voyage dans la Twilight Zone…
~ 600 tons of melted radioactive Fukushima fuel still not found, clean-up chief reveals (RT) (Mai 2016) ~RT a écrit:
(...) La fission absolument incontrôlable de l’assemblage de combustible nucléaire fondu continue quelque part dans les sous-bassements de ce qu’il reste de la centrale. Il est très important de le trouver dès que possible, reconnaît Masuda, admettant au passage que le Japon ne possède pas encore la technologie pour extraire ce combustible d’uranium fondu actif. (...)
La fission nucléaire se produit lorsque des atomes se divisent en de plus petits atomes. Dans le cas des bombes nucléaires, la fission doit se produire extrêmement rapidement afin de charger et de déclencher une grosse explosion, tandis que dans le cas d’un réacteur nucléaire, la fission doit se produire très lentement afin de produire de la chaleur, celle-ci à son tour est utilisée pour faire chauffer de l’eau jusqu’à ébulition, la vapeur qui se dégage est récupérée pour faire tourner une turbine qui produit de l’électricité. On peut éventuellement faire bouillir de l’eau en frottant l’un contre l’autre deux bâtons, mais la société moderne n’a pas la patience, ce qui fait accepter les risques inhérents de toute technique allant au-delà du frottement de deux bâtons. Bienvenus dans notre monde de transformation. Même si l’équipe de nettoyage de Masuda trouve les 600 tonnes manquantes, qui sont de toute façon bien trop radioactives pour permettre une inspection ou même d’inspecter la zone immédiate, ils auront alors besoin de construire, de l’air du temps, la technologie pour les sortir de là et ensuite ? Tout n’est que supputation. C’est ce à quoi la société moderne en est réduit… Supputer. Oublions le frottement de deux bâtons pour produire de la chaleur et construisons de monstrueux Léviathans pour des milliards de dollars afin de faire bouillir la flotte et quand çà se passe mal, supputer ce qu’on fera. Qu’est-ce qui ne va pas avec ce plan ? Et bien dans un premier temps, personne ne sait ce qu’il faut faire quand l’enfer nucléaire se déchaîne. Ils n’ont pas la technologie pour extraire le combustible !… Rien que çà !…
Marie-Pierre Duncan a écrit:
(...) « Onkalo » signifie cavité en finnois. Une cachette, autonome, stable et protégée de toute intrusion humaine future où les déchets radioactifs pourront être stockés. Le chantier a commencé en 2004 et peut durer jusqu’à deux siècles. Cet espace du sud-ouest de la Finlande a été choisi pour sa roche et sa géologie considérées comme stables. Sa mission : prendre la relève des solutions temporaires de stockage actuelles et creuser le tombeau du feu et de l’énergie de notre civilisation. En dehors du documentaire de Michael Madsen, Onkalo a été peu médiatisé. (...)

~ Projet Cigéo à Bure : non à l’enfouissement des déchets radioactifs ! (Dossier réalisé par Sortir du Nucléaire) ~
En 1986, des équipes d’ouvriers russes ont trouvé le corium fondu de la centrale nucléaire de Tchernobyl dans les plus bas niveaux de la centrale. Tout en “grillant 30 ouvriers” dans le processus, ils l’ont contenu de manière juste suffisante pour empêcher qu’il ne s’enfonce dans le sol, peut-être… Pendant le travail de circonscription à Tchernobyl, une caméra robot bricolée avait réussi à prendre le monstre en photo, le noyau combustible en fusion, affublé du sobriquet de “patte d’éléphant”. Trente ans plus tard, la “patte d’éléphant” est toujours aussi mortelle. Si on veut comparer ou mettre en contraste Tchernobyl et Fukushima, des radiations extrêmes zappent et détruisent tout robot entrant ne serait-ce que dans le vaisseau de circonscription du combustible de Fukushima. C’est un peu comme les Daleks dans Dr Who. Trente ans plus tard, Tchernobyl semble avoir trouvé une solution à la menace de la patte d’éléphant sur la société, quant à Fukushima, ils doivent d’abord localiser les 600 tonnes de machin en fusion hautement radioactives. Ceci est peut-être déjà une mission impossible, et après ?
~ New tomb will make Chernobyl site safe for 100 years (Phys.Org)(Avril 2016) ~Claire Corkhill, Ph.D a écrit:
(...) Trente ans après l’accident nucléaire de Tchernobyl, il y a toujours une menace radioactive signifiante en provenance des restes s’effritant du réacteur no4 ; mais une superstructure inovatrice valant 1,5 milliard d’euros est en train d’être construite pour empêcher plus de fuites, donnant ainsi une élégante solution d’ingénierie à un des plus énormes désastres connu de l’humanité. (...)
De fait, on est en train de remplacer le vieux sarcophage de Tchernobyl qui s’effritait par un énorme cadre en acier tout nouveau: “Grâce au sarcophage, jusqu’à 80% du matériel de combustible radioactif demeurant après la fusion totale du réacteur a pu rester dans celui-ci. S’il devait s’effondrer, une partie du corium fondu, qui a la substance d’une lave, pourrait être éjectée dans la zone entourant la zone dans un gigantesque nuage de poussière radioactive mélangé à une mixture de vapeurs et de toutes petites particules toutes aussi radioactives, le tout partant au gré des vents. Les substances clefs de la mixture sont l’iode-131, substance liée au cancer de la thyroïde et le césium-137, qui peut être absorbé par le corps avec des effets allant de la maladie des radiations à la mort en fonction de la quantité inhalée ou ingérée. La patte d’éléphant pourrait bien être le détritus le plus dangereux au monde.” C’est un bloc massif hyper radioactif qui ne mourra pas ou ne s’éteindra pas. Ceci pourrait être un script pour Dr Who ! Intrinsèquement, il existe la vulnérabilité et les risques d’utiliser l’énergie nucléaire ou alternativement, utiliser l’énergie solaire ou du vent. Celle-ci n’est pas radioactive et elle est toujours plus rapide que frotter deux bouts de bois l’un contre l’autre.
Fukushima, c’est trois fois Tchernobyl, peut-être plus ! Mais à Fukushima existe la distincte possibilité que le corium chauffé à blanc ait déjà commencé à s’enfoncer dans le sol. Après çà, laissez aller votre imagination parce que personne n’a une quelconque idée de comment çà va se terminer, si çà se termine un jour ! Mais Einstein lui savait. Voici un des ses célèbres citations: “L’énergie de l’atome a tout changé sauf nos modes de raisonnement, ainsi nous dérivons vers des catastrophes sans précédents.” Nous y voilà ! Gregory Jackzo, l’ancien patron de la CRN se pose la question de la sécurité de l’énergie nucléaire: “Vous devez maintenant accepter le fait que dans toutes centrales nucléaires, où qu’elles soient dans le monde, vous pouvez avoir ce genre d’accident catastrophique et vous pouvez fuiter une quantité assez importante de radiations, vous laissant devant une bonne décennie de nettoyage après coup.” En extrapolant de quelques années dans le futur la question demeure: Où sera le corium fondu chauffé à blanc à l’heure des JO de Tokyo en 2020 ? Personne ne le sait ni ne peut le savoir !
Fukushima, c’est trois fois Tchernobyl, peut-être plus ! Mais à Fukushima existe la distincte possibilité que le corium chauffé à blanc ait déjà commencé à s’enfoncer dans le sol. Après çà, laissez aller votre imagination parce que personne n’a une quelconque idée de comment çà va se terminer, si çà se termine un jour ! Mais Einstein lui savait. Voici un des ses célèbres citations: “L’énergie de l’atome a tout changé sauf nos modes de raisonnement, ainsi nous dérivons vers des catastrophes sans précédents.” Nous y voilà ! Gregory Jackzo, l’ancien patron de la CRN se pose la question de la sécurité de l’énergie nucléaire: “Vous devez maintenant accepter le fait que dans toutes centrales nucléaires, où qu’elles soient dans le monde, vous pouvez avoir ce genre d’accident catastrophique et vous pouvez fuiter une quantité assez importante de radiations, vous laissant devant une bonne décennie de nettoyage après coup.” En extrapolant de quelques années dans le futur la question demeure: Où sera le corium fondu chauffé à blanc à l’heure des JO de Tokyo en 2020 ? Personne ne le sait ni ne peut le savoir !

~ Prévention des Risques Majeurs (Accident Nucléaire)(Gouvernement) ~ (Pas sûr que ce soit suffisant...)
Et pourtant, le premier ministre japonais Abe a dit au comité de sélection olympique que Fukushima “était sous contrôle” ! Ce débat lui colle aux basques depuis son discours du 7 septembre 2015 devant le CIO, lorsqu’il a déclaré que le désastre nucléaire “était sous contrôle”. Le jour suivant, Tokyo gagna le droit d’héberger les JO d’été de 2020. “Les autorités françaises sont en train d’enquêter sur la possibilité de pots-de-vin pour une somme de 2 million de dollars versés à une entreprise liée au fils de l’ancien patron du sport mondial Lamine Diack et des connexions présumées avec la proposition couronnée de succès du Japon pour héberger les JO” (Lire (en cache) : Tokyo Olympics bid questioned as prosecutors probe $2m payouts, The Financial Times). Le Japon a obtenu le droit d’héberger les jeux de 2020 avec une offre de dépense de 5 milliards de dollars, ce qui est suspicieusement une toute petite somme. En contraste, la proposition d’Istanboul était de 20 milliards de dollars, ce qui parait bien plus réaliste pour un tel évènement mondial.
A jongler autant, on peut se demander si la tristement célèbre loi d’Abe sur le secret va se mettre en branle, y a t’il un moyen quelconque pour mettre des bâtons dans les roues de l’enquête ? Après tout, la loi permet à n’importe quel politicien japonais de mettre quelqu’un derrière les barreaux pour 10 ans pour avoir trahi des secrets d’état, ce qui correspond à tout ce que l’accusateur désire être “secret”. Après tout, à première vue, entre Fukushima et les JO, bien des choses secrètes pourraient bien se trâmer en coulisses. La loi japonaise sur le secret d’état et sur la protection de secrets spécifiquement désignés, loi no108 de 2013 est passée sur les talons de la fusion du réacteur de Fukushima ; cette loi est très similaire à la Public Peace and Order Controls du Japon pendant la seconde guerre mondiale.
D’après la loi No108, l’acte en soi de “fuiter” est sujet à la mise en accusation, quelque soit la fuite, le comment et le pourquoi, de manière absolue, si quelqu’un “fuite”… hop au trou !Susumu Murakoshi, le président du barreau nippon objecte: “La loi devrait être abolie parce qu’elle met en danger la démocratie et le droit du peuple de savoir et d’être informé”. Le Japan Times doit vérifier la définition de démocratie.
Robert Hunziker
~ Traduit de l’anglais par Résistance 71 ~A jongler autant, on peut se demander si la tristement célèbre loi d’Abe sur le secret va se mettre en branle, y a t’il un moyen quelconque pour mettre des bâtons dans les roues de l’enquête ? Après tout, la loi permet à n’importe quel politicien japonais de mettre quelqu’un derrière les barreaux pour 10 ans pour avoir trahi des secrets d’état, ce qui correspond à tout ce que l’accusateur désire être “secret”. Après tout, à première vue, entre Fukushima et les JO, bien des choses secrètes pourraient bien se trâmer en coulisses. La loi japonaise sur le secret d’état et sur la protection de secrets spécifiquement désignés, loi no108 de 2013 est passée sur les talons de la fusion du réacteur de Fukushima ; cette loi est très similaire à la Public Peace and Order Controls du Japon pendant la seconde guerre mondiale.
D’après la loi No108, l’acte en soi de “fuiter” est sujet à la mise en accusation, quelque soit la fuite, le comment et le pourquoi, de manière absolue, si quelqu’un “fuite”… hop au trou !Susumu Murakoshi, le président du barreau nippon objecte: “La loi devrait être abolie parce qu’elle met en danger la démocratie et le droit du peuple de savoir et d’être informé”. Le Japan Times doit vérifier la définition de démocratie.
Robert Hunziker
Source originale de l'article : Fukushima: Worse Than a Disaster (CounterPunch)(Juin 2016)
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