Non-material Girl : cette Allemande qui vit sans argent depuis 16 ans...
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Non-material Girl : cette Allemande qui vit sans argent depuis 16 ans...
Non-material Girl : cette Allemande qui vit sans argent depuis 16 ans...
C'est le pari d'Heidemarie Schwermer, 69 ans : subsister uniquement grâce au troc de biens et de services, sans aucune aide sociale. Un film, "Living without money", retrace le parcours de cette ancienne prof, mère de deux enfants, qui a un jour décidé de se débarrasser du matériel et de faire de sa vie une expérience étonnante.
Vivre sans argent ? Impossible direz vous. Et pourtant. Il y a 16 ans, Heidemarie Schwermer a fait ce choix. Ce qui ne devait être qu'une expérience de douze mois est devenu pour cette Allemande, aujourd'hui âgée de 69 ans, un véritable mode de vie.
Un film, Living without money, de la Norvégienne Line Halvorsen, retrace d'ailleurs le parcours de cette ancienne institutrice, mère de deux enfants, qui a un jour décidé de s’alléger du matériel, rapporte le site Business Insider.
Jamais Heidemarie Schwermer n'aurait crû pouvoir tenir si longtemps sans argent. "Abandonner l'argent m'a apporté une qualité de vie, une richesse intérieure et la liberté", témoignait-elle en août dernier.
Les prémisses de cette idée un peu folle remontent au mois de mai 1996. Après un divorce douloureux, Heidemarie Schwermer, s’installe avec ses deux enfants à Dortmund dans le nord-ouest de l’Allemagne, où elle ouvre un cabinet de psychologue. Les chocs pétroliers ont frappé de plein fouet la région très industrielle de la Ruhr, précipitant de nombreuses personnes dans la pauvreté.
Un constat qui choque cette femme, convaincue qu’il ne s’agit pas fondamentalement d’un manque de ressources, mais de leur mauvaise répartition. Quelle absurdité, se dit-elle, que certains ne sachent plus quoi faire de leur argent quand d’autres meurent de faim.
La pauvreté et l'exclusion, Heidemarie Schwermer connaît Née pendant la Seconde guerre mondiale en Prusse orientale (ancien territoire allemand séparé du reste du pays par le couloir de Dantzig) elle s'est retrouvée à deux ans dans le flot des expulsés par les troupes russes. Arrivée en Allemagne, la famille démunie fait l’objet de moqueries, une prise de conscience brutale pour la petite fille qu’elle était à l’époque, du pouvoir de l’argent sur le jugement des hommes. "J'ai vu comment on était considéré comme des moins que rien quand on n'avait ni possessions ni argent", raconte-t-elle alors à l'AFP.
Cette femme énergique refuse de se résigner à cette situation de fait. Elle est intimement persuadée que les petits gestes de chacun comptent. Naît alors en 1994 l'idée de créer un réseau de troc, une originalité pour l'époque, qu'elle destine aux gens qui n'ont rien. Elle monte un projet appelé "Gib und Nimm" ("donne et prends" en français). Des retraités et des étudiants répondent à l'appel.
Dans un premier temps, elle garde des maisons momentanément inoccupées en échange de services ou d'objets. Assez rapidement, elle se rend compte que presque tous ses besoins sont couverts sans avoir à débourser un centime.
En 1996, elle franchit alors un pas décisif : elle abandonne emploi et location et son réseau de troc, fait don de tous ce qu'elle possède, résilie compte bancaire et assurance maladie et se donne un an pour expérimenter une vie sans argent. Elle se fait héberger à droite et à gauche puis revient à Dortmund pour écrire un livre, Vivre sans argent, qui sera traduit dans plusieurs langues. Elle admet avoir gagné "beaucoup d'argent avec ce bouquin", mais a tout donné "à des passants en billets de cinq Deutschemark". Sa retraite, environ 700 euros par mois, elle la reverse à "des connaissances qui en ont besoin".
Elle récupère les invendus des supermarchés bios de Dortmund et s’habille avec des vêtements qu’elle a troqué au marché aux puces. Elle se refuse même à aller chez le médecin. Ses effets personnels se résument au contenu d’une petite valise. Plus 200 euros en cas d’urgence. "Au début j'avais peur tout le temps, confesse-t-elle. Mais ce que j'aime par dessus tout c'est ne pas savoir ce qui va se passer le lendemain".
Pour Heidemarie Schwermer, l'objectif n'est pas de faire des émules mais "d'aider les gens à réfléchir sur leur façon de vivre et leurs relations aux autres".
A ceux qui la traitent de folle, elle répond que "l’argent nous détourne de l’essentiel" et que l’abandonner lui a apporté "une qualité de vie, une richesse intérieure et la liberté." Une démarche qu’elle souhaite pousser encore plus loin, en prônant désormais le partage totalement désintéressé, plutôt que le troc.
Source : http://www.atlantico.fr/decryptage/living-without-money-heidemarie-schwermer-allemande-69-ans-vit-sans-argent-depuis-16-ans-303997.html?page=0,1
C'est le pari d'Heidemarie Schwermer, 69 ans : subsister uniquement grâce au troc de biens et de services, sans aucune aide sociale. Un film, "Living without money", retrace le parcours de cette ancienne prof, mère de deux enfants, qui a un jour décidé de se débarrasser du matériel et de faire de sa vie une expérience étonnante.
Vivre sans argent ? Impossible direz vous. Et pourtant. Il y a 16 ans, Heidemarie Schwermer a fait ce choix. Ce qui ne devait être qu'une expérience de douze mois est devenu pour cette Allemande, aujourd'hui âgée de 69 ans, un véritable mode de vie.
Un film, Living without money, de la Norvégienne Line Halvorsen, retrace d'ailleurs le parcours de cette ancienne institutrice, mère de deux enfants, qui a un jour décidé de s’alléger du matériel, rapporte le site Business Insider.
Jamais Heidemarie Schwermer n'aurait crû pouvoir tenir si longtemps sans argent. "Abandonner l'argent m'a apporté une qualité de vie, une richesse intérieure et la liberté", témoignait-elle en août dernier.
Les prémisses de cette idée un peu folle remontent au mois de mai 1996. Après un divorce douloureux, Heidemarie Schwermer, s’installe avec ses deux enfants à Dortmund dans le nord-ouest de l’Allemagne, où elle ouvre un cabinet de psychologue. Les chocs pétroliers ont frappé de plein fouet la région très industrielle de la Ruhr, précipitant de nombreuses personnes dans la pauvreté.
Un constat qui choque cette femme, convaincue qu’il ne s’agit pas fondamentalement d’un manque de ressources, mais de leur mauvaise répartition. Quelle absurdité, se dit-elle, que certains ne sachent plus quoi faire de leur argent quand d’autres meurent de faim.
La pauvreté et l'exclusion, Heidemarie Schwermer connaît Née pendant la Seconde guerre mondiale en Prusse orientale (ancien territoire allemand séparé du reste du pays par le couloir de Dantzig) elle s'est retrouvée à deux ans dans le flot des expulsés par les troupes russes. Arrivée en Allemagne, la famille démunie fait l’objet de moqueries, une prise de conscience brutale pour la petite fille qu’elle était à l’époque, du pouvoir de l’argent sur le jugement des hommes. "J'ai vu comment on était considéré comme des moins que rien quand on n'avait ni possessions ni argent", raconte-t-elle alors à l'AFP.
Cette femme énergique refuse de se résigner à cette situation de fait. Elle est intimement persuadée que les petits gestes de chacun comptent. Naît alors en 1994 l'idée de créer un réseau de troc, une originalité pour l'époque, qu'elle destine aux gens qui n'ont rien. Elle monte un projet appelé "Gib und Nimm" ("donne et prends" en français). Des retraités et des étudiants répondent à l'appel.
Dans un premier temps, elle garde des maisons momentanément inoccupées en échange de services ou d'objets. Assez rapidement, elle se rend compte que presque tous ses besoins sont couverts sans avoir à débourser un centime.
En 1996, elle franchit alors un pas décisif : elle abandonne emploi et location et son réseau de troc, fait don de tous ce qu'elle possède, résilie compte bancaire et assurance maladie et se donne un an pour expérimenter une vie sans argent. Elle se fait héberger à droite et à gauche puis revient à Dortmund pour écrire un livre, Vivre sans argent, qui sera traduit dans plusieurs langues. Elle admet avoir gagné "beaucoup d'argent avec ce bouquin", mais a tout donné "à des passants en billets de cinq Deutschemark". Sa retraite, environ 700 euros par mois, elle la reverse à "des connaissances qui en ont besoin".
Elle récupère les invendus des supermarchés bios de Dortmund et s’habille avec des vêtements qu’elle a troqué au marché aux puces. Elle se refuse même à aller chez le médecin. Ses effets personnels se résument au contenu d’une petite valise. Plus 200 euros en cas d’urgence. "Au début j'avais peur tout le temps, confesse-t-elle. Mais ce que j'aime par dessus tout c'est ne pas savoir ce qui va se passer le lendemain".
Pour Heidemarie Schwermer, l'objectif n'est pas de faire des émules mais "d'aider les gens à réfléchir sur leur façon de vivre et leurs relations aux autres".
A ceux qui la traitent de folle, elle répond que "l’argent nous détourne de l’essentiel" et que l’abandonner lui a apporté "une qualité de vie, une richesse intérieure et la liberté." Une démarche qu’elle souhaite pousser encore plus loin, en prônant désormais le partage totalement désintéressé, plutôt que le troc.
Source : http://www.atlantico.fr/decryptage/living-without-money-heidemarie-schwermer-allemande-69-ans-vit-sans-argent-depuis-16-ans-303997.html?page=0,1
Geoff- Modérateur
- Date d'inscription : 18/02/2012
Age : 39
Localisation : Wagadey, Jubbada Dhexe, Somalia
A Berlin, une famille vit volontairement sans argent
Bonjour à tous,
A Berlin, une famille vit volontairement sans argent
Depuis plusieurs mois, une famille berlinoise s'est engagée
à vivre volontairement sans argent. Le père de famille, Rafael Fellmer,
milite en fait contre une "société de gaspillage" tout en reposant son action sur la solidarité.
A Berlin, une famille s'est engagée à vivre volontairement sans argent. Le père de famille, Rafael Fellmer, militant accompli,
refuse de faire partie de cette "société de gaspillage". Ce n'est pas un simple mode de vie hippie mais un véritable acte militant
qui repose sur la solidarité. Son projet a en effet pour but "d'inspirer d'autres personnes à réfléchir" sur une société régie par l'argent.
Le "séjour d'humanité"
Après ses études, Rafael Fellmer et deux de ses amis ont décidé d'entreprendre leur "séjour d'humanité". Rejetant les principes
de la société moderne, alors qu'ils avaient tout, le trio a parcouru le monde entier pendant quinze mois, de Berlin à Mexico,
sans un sou en poche. Les trois aventuriers ont alors compté sur la solidarité de ceux qui croisaient leur chemin.
Ils ont reçu en échange de leurs travaux tout ce dont ils avaient besoin. L'expérience a été si enrichissante que Rafael Fellmer
a décidé de vivre sans argent. Le projet d'une vie sans le sou a du être interrompu quand Nieves Palmer, sa femme rencontré
en Amérique Centrale, est aussitôt tombée enceinte.
Un mode de vie radical
Aujourd'hui, Rafael Fellmer et sa femme vivent à Berlin avec leur petite fille de 18 mois. La famille Fellmer vit de petits boulots
qui leur ont permis de s'installer dans un logement parmi d'autres locataires dans la "Maison de la Paix" de Martin Niemöller.
Après son " séjour d'humanité", qui a été déterminant dans son engagement, Fellmer est devenu un militant à plein temps dont le but
est d'attirer l'attention des problèmes liés aux déchets et à la surconsommation. Si leur mode de vie est aussi radical,
c'est pour mieux faire passer leur message.
"Tout le monde ne doit pas vivre comme nous. Il s'agit de protester. Nous voulons inciter les gens à réfléchir sur les changements
qu'ils peuvent apporter. Le monde regorge de ressources, il y a de nombreux moyens de réduire son empreinte carbone par exemple",
déclare Rafael Fellmer. Ainsi, la famille compte sur le "foodsharing", une plate-forme internet basée en Allemagne, où les individus,
les détaillants et les producteurs ont la possibilité d'offrir des surplus de nourriture aux consommateurs gratuitement, pour laquelle,
par ailleurs, Rafael Fellmer travaille de temps à autres, et sur la "consommation collaborative" pour favoriser les logements solidaires.
Un mouvement qui gagne en popularité
Rafael Fellmer veut que son mode de vie inspire le plus grand nombre. "L'argent fait obstacle à nos rêves. La plupart des gens ont oublié,
ou ont totalement peur de vivre sans argent, ils sont asservis par le système monétaire ", a-t-il déclaré. Le quotidien de la famille Fellmer
est devenu un mouvement de plus en plus populaire dans toute l'Allemagne. Aujourd'hui, il existe des nombreux forums qui informent
sur les moyens de lutte contre la surconsommation. "J'espère que cela encouragera les gens à croire un peu plus en leurs rêves",
déclare Rafael Fellmer. Néanmoins, le jeune militant admet aussi que les personnes qui critiquent son mode de vie sont nombreux.
Cest_notre_affaire : reportage : vivre sans argent par voter_am
Ceci n'est évidemment pas une preuve qu'une civilisation sans argent est possible,
mais bien que la "décontamination de notre esprit" est possible.
Source de l'article
A Berlin, une famille vit volontairement sans argent
http://fr-ca.etre.yahoo.com/a-berlin-une-famille-vit-volontairement-sans-argent-160111510.html
Pour aller plus loin
Pourquoi je vis sans argent?
http://fr.forwardtherevolution.net/2013/01/pourquoi-je-vis-sans-argent.html
Bien Amicalement.
A Berlin, une famille vit volontairement sans argent
Depuis plusieurs mois, une famille berlinoise s'est engagée
à vivre volontairement sans argent. Le père de famille, Rafael Fellmer,
milite en fait contre une "société de gaspillage" tout en reposant son action sur la solidarité.
A Berlin, une famille s'est engagée à vivre volontairement sans argent. Le père de famille, Rafael Fellmer, militant accompli,
refuse de faire partie de cette "société de gaspillage". Ce n'est pas un simple mode de vie hippie mais un véritable acte militant
qui repose sur la solidarité. Son projet a en effet pour but "d'inspirer d'autres personnes à réfléchir" sur une société régie par l'argent.
Le "séjour d'humanité"
Après ses études, Rafael Fellmer et deux de ses amis ont décidé d'entreprendre leur "séjour d'humanité". Rejetant les principes
de la société moderne, alors qu'ils avaient tout, le trio a parcouru le monde entier pendant quinze mois, de Berlin à Mexico,
sans un sou en poche. Les trois aventuriers ont alors compté sur la solidarité de ceux qui croisaient leur chemin.
Ils ont reçu en échange de leurs travaux tout ce dont ils avaient besoin. L'expérience a été si enrichissante que Rafael Fellmer
a décidé de vivre sans argent. Le projet d'une vie sans le sou a du être interrompu quand Nieves Palmer, sa femme rencontré
en Amérique Centrale, est aussitôt tombée enceinte.
Un mode de vie radical
Aujourd'hui, Rafael Fellmer et sa femme vivent à Berlin avec leur petite fille de 18 mois. La famille Fellmer vit de petits boulots
qui leur ont permis de s'installer dans un logement parmi d'autres locataires dans la "Maison de la Paix" de Martin Niemöller.
Après son " séjour d'humanité", qui a été déterminant dans son engagement, Fellmer est devenu un militant à plein temps dont le but
est d'attirer l'attention des problèmes liés aux déchets et à la surconsommation. Si leur mode de vie est aussi radical,
c'est pour mieux faire passer leur message.
"Tout le monde ne doit pas vivre comme nous. Il s'agit de protester. Nous voulons inciter les gens à réfléchir sur les changements
qu'ils peuvent apporter. Le monde regorge de ressources, il y a de nombreux moyens de réduire son empreinte carbone par exemple",
déclare Rafael Fellmer. Ainsi, la famille compte sur le "foodsharing", une plate-forme internet basée en Allemagne, où les individus,
les détaillants et les producteurs ont la possibilité d'offrir des surplus de nourriture aux consommateurs gratuitement, pour laquelle,
par ailleurs, Rafael Fellmer travaille de temps à autres, et sur la "consommation collaborative" pour favoriser les logements solidaires.
Un mouvement qui gagne en popularité
Rafael Fellmer veut que son mode de vie inspire le plus grand nombre. "L'argent fait obstacle à nos rêves. La plupart des gens ont oublié,
ou ont totalement peur de vivre sans argent, ils sont asservis par le système monétaire ", a-t-il déclaré. Le quotidien de la famille Fellmer
est devenu un mouvement de plus en plus populaire dans toute l'Allemagne. Aujourd'hui, il existe des nombreux forums qui informent
sur les moyens de lutte contre la surconsommation. "J'espère que cela encouragera les gens à croire un peu plus en leurs rêves",
déclare Rafael Fellmer. Néanmoins, le jeune militant admet aussi que les personnes qui critiquent son mode de vie sont nombreux.
Cest notre affaire (France 5) : reportage : vivre sans argent"Les gens font preuve d'imagination quand il s'agit de nous critiquer.
Ils disent que je suis paresseux, que j'abuse les autres ".
"Mais quand ils me parlent, ils apprennent que je travaille 40 à 50 heures par semaine
sur des projets pour le bien de la société."
Cest_notre_affaire : reportage : vivre sans argent par voter_am
Ceci n'est évidemment pas une preuve qu'une civilisation sans argent est possible,
mais bien que la "décontamination de notre esprit" est possible.
Source de l'article
A Berlin, une famille vit volontairement sans argent
http://fr-ca.etre.yahoo.com/a-berlin-une-famille-vit-volontairement-sans-argent-160111510.html
Pour aller plus loin
Pourquoi je vis sans argent?
http://fr.forwardtherevolution.net/2013/01/pourquoi-je-vis-sans-argent.html
Bien Amicalement.
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