La bulle spéculative des marchés de produits dérivés prête à exploser!
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La bulle spéculative des marchés de produits dérivés prête à exploser!
Bonjour à tous,
Produits dérivés : 12 fois le PIB mondial
Selon le plus récent rapport de la Banque des règlements internationaux (BRI), en juin 2011,
la valeur notionnelle totale des produits dérivés s’élevait à 708 billions $ US (soit 708 mille milliards,
environ 12 fois le PIB mondial). À la suite d’une hausse de 18 % en six mois, ils atteignent un nouveau sommet
qui dépasse celui de 683 billions $ US atteint au seuil de la crise financière en juin 2008.
Produits dérivés
Il y a trois grandes catégories de produits dérivés : les contrats d’échange de taux d’intérêt (swaps), les options et les contrats à terme d’instruments financiers. Les produits dérivés englobent les devises, les métaux, les actions, les indices boursiers et les obligations. Avec les produits dérivés, les banques sont devenues des spéculateurs. Elles investissent en misant sur une augmentation future des cours. Elles jouent au casino avec l’argent des épargnants. Le marché des produits dérivés est simplement celui où tous les acteurs se mettent en relation pour se passer les risques de l’un à l’autre, tout en se remplissant les poches. La Banque de règlements internationaux a fait une analyse mondiale des produits dérivés, pour en arriver, en 1995, à une valeur de 17,300 milliards de dollars américains. Avec une croissance annuelle de 30 à 40%, l’économie mondiale devient un gigantesque casino. Délaissant les opérations classiques, les banques, telle la Bankers Trust de New York (75% des opérations en produits dérivés), se lancent dans ces produits hautement spéculatifs.
Dans un univers qui ressemble à un gigantesque jeu de monopoly, les banques achètent des risques à bon marché et les revendent plus cher, sans risquer quoi que ce soit, exemples : (Achats d’actions) : j’achète au prix actuel et si l’action monte, je vends et encaisse les profits ; (Options d’achats) : je réserve le droit d’acheter un nombre d’actions dans trois mois, supposons ! Elles sont à deux dollars aujourd’hui. Je paye deux dollars et je réserve mille actions. Si l’action monte à trois dollars, je n’ai déboursé que deux dollars et j’encaisse un dollar pour chaque action, soit mille dollars. Si les actions baissent, je n’exerce pas mon option d’achat et je perds mes deux dollars de dépôt initial. Quel truc génial ! Tant que la bulle n’éclatera pas, évidemment !
Les produits dérivés, qui ne sont pas comptabilisés par les banques, représentaient, en 1995, 5,5 fois la valeur nominale de leurs biens réunis, soit 4560 milliards de dollars. La Banque Royale en avait pour 800 milliards, soit 8 fois ses actifs officiels et la CIBC, pour 600 milliards, soit 6 fois ses actifs officiels. Au côté de l’économie réelle qui augmente de 1 ou 2% par année, les produits dérivés, hautement spéculatifs, augmentent de 40%. C’est de la folie furieuse ! Il en résulte une hypertrophie du secteur financier qui s’auto-reproduit de manière boulimique. Et la bulle gonfle, gonfle, gonfle. L’économie financière, qui a largué l’économie réelle, dérive dans l’espace virtuelle. Les produits dérivés déréglementent les marchés. Ils déclancheront un véritable chaos mondial et lorsque la bulle éclatera, ce sera la débandade générale. Il y aura effet domino et tout s’écroulera !
La bulle des produits dérivés
Mais, on peut aussi penser que les crises financières, attisées par les innovations technologiques,
sont aggravées plutôt par le comportement spéculatif, myope, mimétique, et grégaire des investisseurs.
Le mécanisme des produits dérivés tend ainsi à exacerber la création d’une bulle spéculative,
puisqu’il ne demande qu’un faible dépôt par rapport à la valeur du sous-jacent sur lequel on spécule.
En outre, celui qui négocie un produit dérivé n’est pas obligé de détenir le sous-jacent de ce produit.
C’est ainsi toute une économie financière parallèle, une autre économie virtuelle, qui se développe, avec la présence d’une multitude de positions spéculatives à découvert, pouvant parfois déboucher sur de retentissantes faillites.
Elargissons le point de vue et posons-nous la question : quelle est la situation actuelle sur un plan plus global ?
Le constat n’est pas fameux. La bulle financière qui s’est formée à la fin des années 90, et qui a explosé à la mi-2000, était certes impressionnante, et évidemment grosse de risques … pour l’économie réelle.
Cette bulle était essentiellement une bulle classique, à base d’actifs financiers,
caractérisée par l’envol des cours boursiers (inflation financière).
En s’attachant aux seuls produits négociés sur les marchés organisés, on peut constater l’énormité des transactions qui se concluaient, déjà, à partir de 1994 (soit 340 T$ cette année là). Après le répit provoqué par la crise asiatique, les transactions n’ont plus alors cessé de grimper vertigineusement, sans que l’éclatement de la bulle financière ne stoppe en rien l’ascension de cette bulle notionnelle. Au contraire, tout se passe comme si la multiplication des incertitudes sur les marchés sous-jacents ne faisait qu’aviver le besoin de se couvrir et, surtout, de spéculer. Les transactions sur produits dérivés ont atteint le chiffre record de 874 T$ en 2003.
Cette bulle est beaucoup plus insidieuse, car moins directement visible, que la bulle financière classique. Mais, elle est telle qu’elle fait peser un risque permanent sur notre planète économique. Nul ne peut imaginer les conséquences de son éclatement. A coup sûr, considérables sur le marché des sous-jacents qui perdrait toute liquidité. En effet, imaginons qu’un choc se matérialise, suite par exemple à un défaut de paiement dans le système de règlements ; celui-ci se propage très rapidement sur les marchés. Pour éviter d’être en panne de liquidités, les investisseurs financiers se lanceront pratiquement tous, au même moment, dans des ventes de titres. Logiquement, ces ventes vont alors inciter fortement les spéculateurs à jouer à la baisse la valeur de ces titres ; ils le feront techniquement par l’achat, sur les marchés dérivés, d’options de ventes. Mais ceux qui vont offrir ces options (en général des banques qui, elles, vont faire le pari inverse) voudront à leur tour se couvrir ; ils le feront cette fois-ci sur le marché au comptant des titres, par des ventes à découvert, contribuant à amplifier considérablement leur baisse initiale.
Voilà finalement le paradoxe profond : à vouloir se protéger des risques de marché, en l’espèce ceux liés aux fluctuations des prix de marché, une économie financière et virtuelle hypertrophiée de produits nouveaux s’est développée créant un risque systémique majeur pour l’ensemble du système. En effet, au cœur de ce fonctionnement, les pratiques spéculatives sont là normalement pour répartir et gérer le risque. En régime non perturbé, ils y parviennent généralement. Mais, dès qu’un choc surgit, ces pratiques peuvent être source de graves déséquilibres. Les marchés dérivés agissent alors comme des amplificateurs de crise, pouvant affecter profondément et durablement le fonctionnement des économies réelles.
La théorie économique standard appréhende le risque sur un plan seulement micro-économique, ce qui assure sa séparabilité et rend possible sa gestion au moyen de la diversification. Mais, on se situe, ici, à une échelle macro-financière où l’économie n’est pas composée d’une juxtaposition de risques individuels mais bien au contraire d’une combinaison et d’un enchevêtrement d’externalités et d’interdépendances stratégiques, où le risque systémique peut finalement prendre corps, notamment dans le cas de ventes paniques.
Un éternel recommencement
La folie spéculative reprend actuellement avec le retour des junk bonds, depuis 1997. Ces obligations de pacotille, offertes par des entreprises, non stables financièrement, offrent des rendements beaucoup plus élevés.
Les banques s’enrichissent, mais encore une fois, la bulle va éclater. Des cracks de la finance exercent
un véritable terrorisme sur les marchés financiers du monde. Avec la complicité des banquiers,
ces cracks empruntent d’énormes sommes pour s’attaquer aux monnaies et autres richesses, tel le pétrole.
L’afflux d’énormes capitaux fait baisser la monnaie d’un pays. Quelque temps plus tard, les cracks rachètent
la monnaie et encaissent d’énormes profits. Un crack américain, Georges Soros, a attaqué la livre sterling
avec dix milliards de dollars. La Banque d’Angleterre dû baisser la valeur de la livre sterling
et Soros encaissa un profit d’un milliard en seulement une semaine. Avec d’énormes capitaux
et la complicité des banquiers qui prêtent ces argents, d’autres cracks font monter le prix du pétrole.
Quand le prix atteint un plafond, les cracks vendent leurs actions et empochent des profits monstres.
Les gouvernements sont impuissants devant ce banditisme à l’échelle planétaire.
Réflexions
Le laxisme est tellement grand dans le monde de la Haute finance, que c’est comme donner une caisse de grenades *à un jeune enfant, en espérant qu’il n’en dégoupillera pas une, juste pour voir. Selon John Ing, analyste,
la possibilité d’un krash de grande magnétude, ne fait aucun doute. Toutes les conditions sont réunies.
La dérive spéculative permet à quelques individus d’ébranler les monnaies, de terrasser les économies
et d’affamer les populations. La déréglementation et la généralisation des produits dérivés,
accroissent les risques d’un krash. Les banques, voraces comme toujours, embarquent dans la spéculation,
jouent avec l’argent des petits épargnants, sans la moindre retenue. Et que font les gouvernements ?
Ils dorlotent les banques en garantissant les prêts. Les dettes des banques, quand ça va mal,
deviennent des dettes publiques.
Sources
http://leblogalupus.com/2012/03/03/produits-derives-12-fois-le-pib-mondial/#more-36980
http://albertportail.info/spip.php?article235
http://web.mac.com/fmorintlse/La_finance_globale/332.html
Bien Amicalement.
Produits dérivés : 12 fois le PIB mondial
Selon le plus récent rapport de la Banque des règlements internationaux (BRI), en juin 2011,
la valeur notionnelle totale des produits dérivés s’élevait à 708 billions $ US (soit 708 mille milliards,
environ 12 fois le PIB mondial). À la suite d’une hausse de 18 % en six mois, ils atteignent un nouveau sommet
qui dépasse celui de 683 billions $ US atteint au seuil de la crise financière en juin 2008.
Produits dérivés
Il y a trois grandes catégories de produits dérivés : les contrats d’échange de taux d’intérêt (swaps), les options et les contrats à terme d’instruments financiers. Les produits dérivés englobent les devises, les métaux, les actions, les indices boursiers et les obligations. Avec les produits dérivés, les banques sont devenues des spéculateurs. Elles investissent en misant sur une augmentation future des cours. Elles jouent au casino avec l’argent des épargnants. Le marché des produits dérivés est simplement celui où tous les acteurs se mettent en relation pour se passer les risques de l’un à l’autre, tout en se remplissant les poches. La Banque de règlements internationaux a fait une analyse mondiale des produits dérivés, pour en arriver, en 1995, à une valeur de 17,300 milliards de dollars américains. Avec une croissance annuelle de 30 à 40%, l’économie mondiale devient un gigantesque casino. Délaissant les opérations classiques, les banques, telle la Bankers Trust de New York (75% des opérations en produits dérivés), se lancent dans ces produits hautement spéculatifs.
Dans un univers qui ressemble à un gigantesque jeu de monopoly, les banques achètent des risques à bon marché et les revendent plus cher, sans risquer quoi que ce soit, exemples : (Achats d’actions) : j’achète au prix actuel et si l’action monte, je vends et encaisse les profits ; (Options d’achats) : je réserve le droit d’acheter un nombre d’actions dans trois mois, supposons ! Elles sont à deux dollars aujourd’hui. Je paye deux dollars et je réserve mille actions. Si l’action monte à trois dollars, je n’ai déboursé que deux dollars et j’encaisse un dollar pour chaque action, soit mille dollars. Si les actions baissent, je n’exerce pas mon option d’achat et je perds mes deux dollars de dépôt initial. Quel truc génial ! Tant que la bulle n’éclatera pas, évidemment !
Les produits dérivés, qui ne sont pas comptabilisés par les banques, représentaient, en 1995, 5,5 fois la valeur nominale de leurs biens réunis, soit 4560 milliards de dollars. La Banque Royale en avait pour 800 milliards, soit 8 fois ses actifs officiels et la CIBC, pour 600 milliards, soit 6 fois ses actifs officiels. Au côté de l’économie réelle qui augmente de 1 ou 2% par année, les produits dérivés, hautement spéculatifs, augmentent de 40%. C’est de la folie furieuse ! Il en résulte une hypertrophie du secteur financier qui s’auto-reproduit de manière boulimique. Et la bulle gonfle, gonfle, gonfle. L’économie financière, qui a largué l’économie réelle, dérive dans l’espace virtuelle. Les produits dérivés déréglementent les marchés. Ils déclancheront un véritable chaos mondial et lorsque la bulle éclatera, ce sera la débandade générale. Il y aura effet domino et tout s’écroulera !
La bulle des produits dérivés
Mais, on peut aussi penser que les crises financières, attisées par les innovations technologiques,
sont aggravées plutôt par le comportement spéculatif, myope, mimétique, et grégaire des investisseurs.
Le mécanisme des produits dérivés tend ainsi à exacerber la création d’une bulle spéculative,
puisqu’il ne demande qu’un faible dépôt par rapport à la valeur du sous-jacent sur lequel on spécule.
En outre, celui qui négocie un produit dérivé n’est pas obligé de détenir le sous-jacent de ce produit.
C’est ainsi toute une économie financière parallèle, une autre économie virtuelle, qui se développe, avec la présence d’une multitude de positions spéculatives à découvert, pouvant parfois déboucher sur de retentissantes faillites.
Elargissons le point de vue et posons-nous la question : quelle est la situation actuelle sur un plan plus global ?
Le constat n’est pas fameux. La bulle financière qui s’est formée à la fin des années 90, et qui a explosé à la mi-2000, était certes impressionnante, et évidemment grosse de risques … pour l’économie réelle.
Cette bulle était essentiellement une bulle classique, à base d’actifs financiers,
caractérisée par l’envol des cours boursiers (inflation financière).
La valorisation hypertrophiée de cette autre bulle n’est pas liée seulement au facteur « prix », mais également au facteur « quantité », en raison de la multiplication des produits dérivés en circulation.Mais cette bulle financière qui s’est progressivement gonflée était,
comme nous l’avons déjà suggéré, le faible paravent d’une autre bulle, autrement plus conséquente,
une bulle de produits dérivés qui, elle, a pour partie explosée avec l’effondrement des dérivés de crédit.
En s’attachant aux seuls produits négociés sur les marchés organisés, on peut constater l’énormité des transactions qui se concluaient, déjà, à partir de 1994 (soit 340 T$ cette année là). Après le répit provoqué par la crise asiatique, les transactions n’ont plus alors cessé de grimper vertigineusement, sans que l’éclatement de la bulle financière ne stoppe en rien l’ascension de cette bulle notionnelle. Au contraire, tout se passe comme si la multiplication des incertitudes sur les marchés sous-jacents ne faisait qu’aviver le besoin de se couvrir et, surtout, de spéculer. Les transactions sur produits dérivés ont atteint le chiffre record de 874 T$ en 2003.
Cette bulle est beaucoup plus insidieuse, car moins directement visible, que la bulle financière classique. Mais, elle est telle qu’elle fait peser un risque permanent sur notre planète économique. Nul ne peut imaginer les conséquences de son éclatement. A coup sûr, considérables sur le marché des sous-jacents qui perdrait toute liquidité. En effet, imaginons qu’un choc se matérialise, suite par exemple à un défaut de paiement dans le système de règlements ; celui-ci se propage très rapidement sur les marchés. Pour éviter d’être en panne de liquidités, les investisseurs financiers se lanceront pratiquement tous, au même moment, dans des ventes de titres. Logiquement, ces ventes vont alors inciter fortement les spéculateurs à jouer à la baisse la valeur de ces titres ; ils le feront techniquement par l’achat, sur les marchés dérivés, d’options de ventes. Mais ceux qui vont offrir ces options (en général des banques qui, elles, vont faire le pari inverse) voudront à leur tour se couvrir ; ils le feront cette fois-ci sur le marché au comptant des titres, par des ventes à découvert, contribuant à amplifier considérablement leur baisse initiale.
Voilà finalement le paradoxe profond : à vouloir se protéger des risques de marché, en l’espèce ceux liés aux fluctuations des prix de marché, une économie financière et virtuelle hypertrophiée de produits nouveaux s’est développée créant un risque systémique majeur pour l’ensemble du système. En effet, au cœur de ce fonctionnement, les pratiques spéculatives sont là normalement pour répartir et gérer le risque. En régime non perturbé, ils y parviennent généralement. Mais, dès qu’un choc surgit, ces pratiques peuvent être source de graves déséquilibres. Les marchés dérivés agissent alors comme des amplificateurs de crise, pouvant affecter profondément et durablement le fonctionnement des économies réelles.
La théorie économique standard appréhende le risque sur un plan seulement micro-économique, ce qui assure sa séparabilité et rend possible sa gestion au moyen de la diversification. Mais, on se situe, ici, à une échelle macro-financière où l’économie n’est pas composée d’une juxtaposition de risques individuels mais bien au contraire d’une combinaison et d’un enchevêtrement d’externalités et d’interdépendances stratégiques, où le risque systémique peut finalement prendre corps, notamment dans le cas de ventes paniques.
Un éternel recommencement
La folie spéculative reprend actuellement avec le retour des junk bonds, depuis 1997. Ces obligations de pacotille, offertes par des entreprises, non stables financièrement, offrent des rendements beaucoup plus élevés.
Les banques s’enrichissent, mais encore une fois, la bulle va éclater. Des cracks de la finance exercent
un véritable terrorisme sur les marchés financiers du monde. Avec la complicité des banquiers,
ces cracks empruntent d’énormes sommes pour s’attaquer aux monnaies et autres richesses, tel le pétrole.
L’afflux d’énormes capitaux fait baisser la monnaie d’un pays. Quelque temps plus tard, les cracks rachètent
la monnaie et encaissent d’énormes profits. Un crack américain, Georges Soros, a attaqué la livre sterling
avec dix milliards de dollars. La Banque d’Angleterre dû baisser la valeur de la livre sterling
et Soros encaissa un profit d’un milliard en seulement une semaine. Avec d’énormes capitaux
et la complicité des banquiers qui prêtent ces argents, d’autres cracks font monter le prix du pétrole.
Quand le prix atteint un plafond, les cracks vendent leurs actions et empochent des profits monstres.
Les gouvernements sont impuissants devant ce banditisme à l’échelle planétaire.
Réflexions
Le laxisme est tellement grand dans le monde de la Haute finance, que c’est comme donner une caisse de grenades *à un jeune enfant, en espérant qu’il n’en dégoupillera pas une, juste pour voir. Selon John Ing, analyste,
la possibilité d’un krash de grande magnétude, ne fait aucun doute. Toutes les conditions sont réunies.
La dérive spéculative permet à quelques individus d’ébranler les monnaies, de terrasser les économies
et d’affamer les populations. La déréglementation et la généralisation des produits dérivés,
accroissent les risques d’un krash. Les banques, voraces comme toujours, embarquent dans la spéculation,
jouent avec l’argent des petits épargnants, sans la moindre retenue. Et que font les gouvernements ?
Ils dorlotent les banques en garantissant les prêts. Les dettes des banques, quand ça va mal,
deviennent des dettes publiques.
Sources
http://leblogalupus.com/2012/03/03/produits-derives-12-fois-le-pib-mondial/#more-36980
http://albertportail.info/spip.php?article235
http://web.mac.com/fmorintlse/La_finance_globale/332.html
Bien Amicalement.
Une bombe à retardement prête à exploser avec des conséquences catastrophiques
Bonjour à tous,
L'innovation financière
Depuis le début des années 1970-1980 les marchés financiers sont marqués par l’innovation financière.
L'innovation financière est à la fois la cause et la conséquence de trois changements structurels majeurs :
le développement de l’économie quantitative et de la gestion des bilans, l’essor des nouvelles technologies de l’information et des communications et la libéralisation (ou dérégulation) de l’économie.
L'innovation financière a été en particulier marquée par le développement des techniques de financement de projet,
de financement d'actifs, des financements à effet de levier (LBO), des financements structurés,
des techniques de gestion de bilan (gestion des passifs avec la defeasance et gestion des actifs avec la titrisation),
des techniques de gestion de portefeuille et des produits dérivés.
L'innovation financière a eu comme principal objectif de faciliter le développement du crédit en particulier par les marchés de crédit. Elle a transformé la nature du capital, créé des "quasi-fonds propres" et en fait cherché à effacer
la différence entre les divers formes d'apports de capitaux.
Elle a par voie de conséquence transformé la notion de propriété.
L’innovation financière était censée réduire les risques, mais les crises financières ont été nombreuses
ces vingt dernières années. Ce fut le cas par exemple en 1987, la crise asiatique , la crise des subprimes.
Les trente dernières années ont par ailleurs été ponctuées par la création et l’explosion de bulles successives.
Au cœur de l’innovation financière on trouve le développement par l’ingénierie financière de produits dérivés
et en particulier de dérivés de crédit. Les marchés dérivés ont connu une très forte progression ces dernières années, tant d’un point de vue quantitatif que qualitatif.
L'innovation financière s'est développé sur la base d'utilisation de techniques actuarielles
et d'ingénierie juridique et financière. Elle s'est développée en profitant de la déréglementation bancaire.
Les montages font appel à l'utilisation de montages juridiques, contractuels et sociétaires,
à la créativité comptable, et à des techniques d'analyse statistiques pour les calculs de risques
dans le cadre d'une modélisation des marchés financiers.
Les 700 billions de dollars des marchés de produits dérivés peuvent être une bombe à retardement prête à exploser avec des conséquences catastrophiques. Les 700 billions de dollars représentent plus de 10 fois le PIB du monde entier et l'équivalent de 100.000 dollars pour chacun des 7 milliards d'habitants de notre planète. Ces instruments financiers ont une place légitime dans la couverture du risque, mais l'explosion récente de la croissance sur le marché mondial des produits dérivés a créé un énorme potentiel d'instabilité massive.
Selon le rapport le plus récent du Bureau du gouvernement américain du Comptroller of the Currency (OCC), la valeur totale des produits dérivés a augmenté d'environ 1000% depuis 1996, et 250% depuis 2006. Les produits dérivés ont poursuivi leur progression rapide, même au milieu de la récession mondiale qui a débuté en 2008.
Le plus inquiétant est le fait que 95% de tous les dérivés des États-Unis sont monopolisés
par seulement cinq mégabanques et leurs sociétés de portefeuille.
Une simple taxe de 0,25% sur chaque opération spéculative financière changerait l'ensemble du jeu risqué.
Les citoyens européens paient une valeur ajoutée (TVA) de 15% ou plus et la plupart les citoyens américains
payent une taxe sur les ventes pouvant aller jusqu'à 13% sur les biens achetés.
Alors pourquoi ne pas simplement ajouter une petite taxe sur tous les transactions spéculatives?
Ce serait aussi des centaines net de milliards de dollars en recettes fiscales,
l'assouplissement de la dette mondiale croissante.
Source et Articles en anglais recommandés
http://www.wanttoknow.info/banking_finance/derivatives_market_bubble_financial
Source et Articles en français recommandés
http://www.lexinter.net/JF/innovation_financiere.htm
http://resistance71.wordpress.com/2010/08/18/la-haute-finance-provoque-des-famines-avec-ses-bulles-speculatives/
Bien Amicalement.
L'innovation financière
Depuis le début des années 1970-1980 les marchés financiers sont marqués par l’innovation financière.
L'innovation financière est à la fois la cause et la conséquence de trois changements structurels majeurs :
le développement de l’économie quantitative et de la gestion des bilans, l’essor des nouvelles technologies de l’information et des communications et la libéralisation (ou dérégulation) de l’économie.
L'innovation financière a été en particulier marquée par le développement des techniques de financement de projet,
de financement d'actifs, des financements à effet de levier (LBO), des financements structurés,
des techniques de gestion de bilan (gestion des passifs avec la defeasance et gestion des actifs avec la titrisation),
des techniques de gestion de portefeuille et des produits dérivés.
L'innovation financière a eu comme principal objectif de faciliter le développement du crédit en particulier par les marchés de crédit. Elle a transformé la nature du capital, créé des "quasi-fonds propres" et en fait cherché à effacer
la différence entre les divers formes d'apports de capitaux.
Elle a par voie de conséquence transformé la notion de propriété.
L’innovation financière était censée réduire les risques, mais les crises financières ont été nombreuses
ces vingt dernières années. Ce fut le cas par exemple en 1987, la crise asiatique , la crise des subprimes.
Les trente dernières années ont par ailleurs été ponctuées par la création et l’explosion de bulles successives.
Au cœur de l’innovation financière on trouve le développement par l’ingénierie financière de produits dérivés
et en particulier de dérivés de crédit. Les marchés dérivés ont connu une très forte progression ces dernières années, tant d’un point de vue quantitatif que qualitatif.
L'innovation financière s'est développé sur la base d'utilisation de techniques actuarielles
et d'ingénierie juridique et financière. Elle s'est développée en profitant de la déréglementation bancaire.
Les montages font appel à l'utilisation de montages juridiques, contractuels et sociétaires,
à la créativité comptable, et à des techniques d'analyse statistiques pour les calculs de risques
dans le cadre d'une modélisation des marchés financiers.
Les 700 billions de dollars des marchés de produits dérivés peuvent être une bombe à retardement prête à exploser avec des conséquences catastrophiques. Les 700 billions de dollars représentent plus de 10 fois le PIB du monde entier et l'équivalent de 100.000 dollars pour chacun des 7 milliards d'habitants de notre planète. Ces instruments financiers ont une place légitime dans la couverture du risque, mais l'explosion récente de la croissance sur le marché mondial des produits dérivés a créé un énorme potentiel d'instabilité massive.
Selon le rapport le plus récent du Bureau du gouvernement américain du Comptroller of the Currency (OCC), la valeur totale des produits dérivés a augmenté d'environ 1000% depuis 1996, et 250% depuis 2006. Les produits dérivés ont poursuivi leur progression rapide, même au milieu de la récession mondiale qui a débuté en 2008.
Le plus inquiétant est le fait que 95% de tous les dérivés des États-Unis sont monopolisés
par seulement cinq mégabanques et leurs sociétés de portefeuille.
Une simple taxe de 0,25% sur chaque opération spéculative financière changerait l'ensemble du jeu risqué.
Les citoyens européens paient une valeur ajoutée (TVA) de 15% ou plus et la plupart les citoyens américains
payent une taxe sur les ventes pouvant aller jusqu'à 13% sur les biens achetés.
Alors pourquoi ne pas simplement ajouter une petite taxe sur tous les transactions spéculatives?
Ce serait aussi des centaines net de milliards de dollars en recettes fiscales,
l'assouplissement de la dette mondiale croissante.
Source et Articles en anglais recommandés
http://www.wanttoknow.info/banking_finance/derivatives_market_bubble_financial
Source et Articles en français recommandés
http://www.lexinter.net/JF/innovation_financiere.htm
http://resistance71.wordpress.com/2010/08/18/la-haute-finance-provoque-des-famines-avec-ses-bulles-speculatives/
Bien Amicalement.
Une bombe à retardement prête à exploser avec des conséquences catastrophiques
Bonjour à tous,
Une bombe à retardement prête à exploser
avec des conséquences catastrophiques
Une très bonne vidéo expliquant l'explosion de la prochaine bulle immobilière.
Je remercie Simon76ize pour ce partage.
Publiée le 2 mai 2012 par Simon76ize
Bien Amicalement.
Une bombe à retardement prête à exploser
avec des conséquences catastrophiques
Une très bonne vidéo expliquant l'explosion de la prochaine bulle immobilière.
Je remercie Simon76ize pour ce partage.
Publiée le 2 mai 2012 par Simon76ize
Bien Amicalement.
L'épée de Damoclès qui pèse sur les marchés mondiaux
Bonjour à tous,
L'épée de Damoclès qui pèse sur les marchés mondiaux
Une épée de Damoclès de 632 579 milliards de dollars pèse sur les marchés mondiaux :
opacité, manquede liquidité et spéculation règnent en maîtres.
Et si l'épée des produits dérivés tombe, un nouveau carnage financier
pourrait bien dévaster la planète finance.
La Banque des règlements internationaux (BRI) estime que, fin 2012, la valeur nominale totale de l’OTC (over-the-counter)
des produits dérivés atteignait 632 579 milliards de dollars, contre 639 000 milliards à mi-2012, soit une baisse, en 6 mois,
de seulement 0,9%. Si on compare ce chiffre avec le produit intérieur brut mondial, estimé à environ 70 020 milliards,
on réalise l’énorme risque que le secteur des dérivés fait peser sur les marchés financiers. Le chiffre reste vertigineux et,
dans le contexte de la sévère crise financière et économique mondiale actuelle, pourrait bien être à l’origine de nouvelles crises encore plus graves. Car le principal danger des dérivés est le manque de liquidité de la majorité d’entre eux.
Les plus grands marchés des produits dérivés sont l’Union européenne, le Japon et les Etats-Unis. Les contrats sur les tauxAnalyse de la répartition des engagements sur produits dérivés
Rappelons qu’on les comptabilise en engagements bruts en hors bilan (“montants notionnels”) ;
les chiffres sont gigantesques, mais une vaste partie s’annule via des mécanismes de compensation.
Quand tout va bien.
Parce que quand tout va mal, les bilans peuvent alors exploser : c’est le risque dit systémique…
C’est exactement ce qui a coulé AIG, ancien 1er assureur mondial (coulé par ces opérations financières,
qui ne sont pas de l’assurance au sens réglementaire du terme, mais des opérations bancaires).
Donc à ceux qui disent “mais ça se compense en grande partie”, répondre “oui, mais il se passe quoi
si demain JP Morgan fait faillite, et que le contribuable américain refuse de rembourser les banques étrangères ?”.Engagements bruts des banques systémiques mondialesLe Produit dérivé est d’un contrat entre deux parties, un acheteur et un vendeur,
qui fixe des flux financiers futurs fondés sur ceux d’un actif sous-jacent, réel ou théorique, généralement financier.
À l’origine, les produits dérivés ont été créés pour permettre aux entreprises de se couvrir contre différents types
de risques financiers. Les transactions sur les produits dérivés sont en forte croissance depuis le début des années 1980
et représentent désormais l’essentiel de l’activité des marchés financiers.
Les produits dérivés, c’est quoi ?
http://www.les-crises.fr/produits-derives/
http://www.les-crises.fr/derives-banques-systemiques/
d’intérêt représentent 490 000 milliards de dollars, ceux sur les devises 67 000 milliards, 25 000 pour les CDS, 6 200 sur
les actions et 2 600 milliards sur les matières premières (y compris l’or : 486 millions de dollars). La valeur marchande
des dérivés a diminué du milieu jusqu’à fin 2012, de 25 400 à 24 700 milliards de dollars, soit 16 000 milliards de dollars
de plus que le PIB américain.
La BRI s’abstient de tout commentaire sur cette évolution, mais les chiffres parlent d’eux-mêmes.
Aucune régulation efficace ou diminution de ces activités spéculatives n’est en cours. L’effet de levier qu’elles procurent
est une tentation à laquelle beaucoup d’investisseurs institutionnels ne peuvent pas résister.
La prudence est de mise !
Cependant, la prudence devrait être de mise car le levier peut agir dans les deux sens, ce qui explique l’importante volatilité
des profits des départements des banques ou société s’occupant de "trading". En réalité, il ne s’agit que d’un pari sur l’évolution future des marchés financiers qui n’a plus rien à voir avec une politique de couverture des risques : le risque se repasse
de mains en mains. Les mesures pour réformer les marchés de produits dérivés et freiner les excès spéculatifs ont fait défaut.
Conclusion
Le niveau élevé des échanges sur les marchés des dérivés montre qu’en dépit de toutes les crises, il n’y a toujours pas de véritable aversion au risque chez les participants. Cela s’explique, pour partie, par des taux d’intérêt très bas et le QE3 (abondance de liquidité) qui poussent les investisseurs vers les actifs risqués.
Quel serait l’impact d’un arrêt du QE3 ?
Dr. Eberhardt Unger est un économiste indépendant, fort de plus de 30 ans d’expérience des marchés et de l’économie.
632 579 milliards de dollars : l'épée de Damoclès qui pèse sur les marchés mondiaux
http://www.atlantico.fr/decryptage/632-579-milliards-dollars-epee-damocles-qui-pese-marches-mondiaux-eberhardt-unger-776221.html
Bien Amicalement.
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