Le réseau Gladio : Armées secrètes d'Europe
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Le réseau Gladio : Armées secrètes d'Europe
Bonjour à tous,
Le réseau Gladio : Armées secrètes d'Europe
Dans le cadre de la guerre froide, les cellules stay-behind étaient des réseaux clandestins coordonnés par l'OTAN.
Implantées dans seize pays d'Europe de l'Ouest, ces cellules visaient à combattre une éventuelle occupation
par le bloc de l'Est, se tenant prêtes à être activées en cas d'invasion par les forces du Pacte de Varsovie.
La plus célèbre de ces cellules, et la première à avoir fait l'objet de révélations, est le réseau italien Gladio.
L'existence de ces cellules n'est révélée au grand public par les médias qu'en 1990, bien que l'ancien directeur
de la CIA William Colby ait, dès 1978, décrit la genèse de ces groupes dans ses mémoires.
À la fin des années 1940, au début de la guerre froide, une invasion par l'Union soviétique de l'Europe de l'Ouest est une hypothèse plausible en cas de Troisième Guerre mondiale.
En février 1948, après le coup de Prague, la CIA entreprend de systématiser des préparatifs qui s'inscrivent dans un contexte de plus en plus brûlant. Le 18 juin, le Conseil de sécurité américain adopte la résolution NSC 10/2, chargeant l'Office of Special Projects d'établir un programme d'action clandestin. L’Office of Policy Coordination (en) (OPC) est créé par la résolution NSC 10/2 et devient le service action de la CIA, jusqu'au regroupement des deux organisations en 1950.
En cas de succès d'une invasion, la CIA souhaite pouvoir compter sur le soulèvement de réseaux de résistance bien armés et bien organisés. Tirant les leçons de l’expérience de la Seconde Guerre mondiale, l’OPC ne veut pas avoir à armer ses partisans après une occupation, en faisant appel aux techniques aléatoires du parachutage et d’infiltration d'agents en territoire ennemi, d’où la décision d'implanter dans les pays « menacés » des capacités de résistance et de sabotage qui n’entreraient en œuvre qu’après une éventuelle invasion. Sous le contrôle de Frank Wisner,
le directeur de l’OPC, l’opération rassemble quelques vétérans de la clandestinité ayant affronté
les services de sécurité de l’Allemagne nazie.
Il est bientôt chargé par le département de la Défense des États-Unis d'établir un réseau stay-behind en Europe occidentale et d'organiser des réseaux de résistance en Europe de l'Est.
On trouve ainsi durant les premières années des réseaux stand-behind, à côté d'agents de la CIA, des anciens du MI9 (chargé durant la 2e guerre mondiale des réseaux d'évasions) ou du Special Operations Executive, devenu la Special Operations Branch du MI6.
En juillet 1951, les activités du Comité clandestin de l'Union occidentale, chargé au début de la planification, sont transférées, sur l'initiative du général Eisenhower, au Coordination and Planning Committee (CPC) en « liaison directe et officielle » avec le Grand quartier général des puissances alliées en Europe, au sein duquel les rôles clés seront tenus par les services spéciaux américain et français.
En schématisant, le CPC et la CIA se répartissent les rôles ; le CPC gérant les réseaux dans les pays de l'Alliance atlantique et la CIA les organisant dans les pays neutres.
Les États adhérents au stay-behind arrivent en plusieurs vagues :
les pays « précurseurs » (1944-1949), réellement menacés par l'expansion communiste, que ce soit directement, comme la Grèce, l'Allemagne et l'Autriche, ou indirectement comme la France, le Royaume-Uni, l'Italie, la Norvège, la Belgique et les Pays-Bas ; les pays qui ont rejoint le réseau après la répression des émeutes de 1953 en Allemagne de l'Est et l'insurrection de Budapest (1953-1956), comme la Suède, la Finlande, la Turquie, le Luxembourg, le Danemark ; les atypiques qu'étaient l'Espagne, le Portugal et la Suisse.
En 1990, le CPC, devenu depuis le Comité de coordination allié (CCA) se réunissait encore régulièrement.
Le contexte théorique de leur éventuelle activation est toujours le même ; si un des pays concernés est envahi par l'armée soviétique, son gouvernement légitime se réfugie au Royaume-Uni, en Amérique du Nord ou en Irlande et le(s) réseau(x) stay-behind, devenu(s) immédiatement opérationnel(s), passe(nt) à l'action en étroite coordination, grâce à ses propres moyens de télécommunications, avec celui-ci.
Sa principale activité consistait à repérer et à sélectionner, durant les périodes de service militaire, les appelés jugés assez mûrs et de confiance pour pouvoir appartenir au réseau. Une fois cooptés, ceux-ci étaient assez régulièrement convoqués pour des périodes d'exercice d'une durée approximative d'une semaine. En théorie, l'appartenance à ces réseaux est incompatible, sauf pour l'encadrement, avec une fonction dans les services de sécurité officiels.
La révélation publique de l'existence de ces réseaux par le Premier ministre italien Giulio Andreotti en octobre 1990 a fait naître une énorme campagne de presse alimentée en partie par la réaction de repli des autorités concernées. Des spéculations confinant parfois à la théorie du complot ont également attribué à ces organisations la paternité de nombres d'activités criminelles à connotation politique bien que la réalité soit plus prosaïque.
En 2008, Des enquétes parlementaires furent déclenchés dans les pays suivants sur ces réseaux après leurs dissolution : Suisse, Italie, Belgique, Pays-Bas, Autriche et Luxembourg.
Source
http://fr.wikipedia.org/wiki/Stay-behind
Lectures recommandées
Les armées secrètes de l'OTAN
http://www.reopen911.info/livres/les-armees-secretes-de-l-otan/synopsis-de-chaque-chapitre.pdf
http://www.reopen911.info/livres/les-armees-secretes-de-l-otan/chapitre-1-un-attentat-terroriste-en-italie.pdf
Gladio - Une Structure Terrorist en Europe
http://www.scribd.com/doc/25708361/Thomas-Deflo-Gladio-Une-Structure-Terrorist-en-Europe-2006
Les réseaux stay-behind en France: 1945-1962.
http://www.scribd.com/doc/59001131/Les-reseaux-stay-behind-en-France-1945-1962
Bien Amicalement.
Le réseau Gladio : Armées secrètes d'Europe
Dans le cadre de la guerre froide, les cellules stay-behind étaient des réseaux clandestins coordonnés par l'OTAN.
Implantées dans seize pays d'Europe de l'Ouest, ces cellules visaient à combattre une éventuelle occupation
par le bloc de l'Est, se tenant prêtes à être activées en cas d'invasion par les forces du Pacte de Varsovie.
La plus célèbre de ces cellules, et la première à avoir fait l'objet de révélations, est le réseau italien Gladio.
L'existence de ces cellules n'est révélée au grand public par les médias qu'en 1990, bien que l'ancien directeur
de la CIA William Colby ait, dès 1978, décrit la genèse de ces groupes dans ses mémoires.
À la fin des années 1940, au début de la guerre froide, une invasion par l'Union soviétique de l'Europe de l'Ouest est une hypothèse plausible en cas de Troisième Guerre mondiale.
En février 1948, après le coup de Prague, la CIA entreprend de systématiser des préparatifs qui s'inscrivent dans un contexte de plus en plus brûlant. Le 18 juin, le Conseil de sécurité américain adopte la résolution NSC 10/2, chargeant l'Office of Special Projects d'établir un programme d'action clandestin. L’Office of Policy Coordination (en) (OPC) est créé par la résolution NSC 10/2 et devient le service action de la CIA, jusqu'au regroupement des deux organisations en 1950.
En cas de succès d'une invasion, la CIA souhaite pouvoir compter sur le soulèvement de réseaux de résistance bien armés et bien organisés. Tirant les leçons de l’expérience de la Seconde Guerre mondiale, l’OPC ne veut pas avoir à armer ses partisans après une occupation, en faisant appel aux techniques aléatoires du parachutage et d’infiltration d'agents en territoire ennemi, d’où la décision d'implanter dans les pays « menacés » des capacités de résistance et de sabotage qui n’entreraient en œuvre qu’après une éventuelle invasion. Sous le contrôle de Frank Wisner,
le directeur de l’OPC, l’opération rassemble quelques vétérans de la clandestinité ayant affronté
les services de sécurité de l’Allemagne nazie.
Il est bientôt chargé par le département de la Défense des États-Unis d'établir un réseau stay-behind en Europe occidentale et d'organiser des réseaux de résistance en Europe de l'Est.
On trouve ainsi durant les premières années des réseaux stand-behind, à côté d'agents de la CIA, des anciens du MI9 (chargé durant la 2e guerre mondiale des réseaux d'évasions) ou du Special Operations Executive, devenu la Special Operations Branch du MI6.
En juillet 1951, les activités du Comité clandestin de l'Union occidentale, chargé au début de la planification, sont transférées, sur l'initiative du général Eisenhower, au Coordination and Planning Committee (CPC) en « liaison directe et officielle » avec le Grand quartier général des puissances alliées en Europe, au sein duquel les rôles clés seront tenus par les services spéciaux américain et français.
En schématisant, le CPC et la CIA se répartissent les rôles ; le CPC gérant les réseaux dans les pays de l'Alliance atlantique et la CIA les organisant dans les pays neutres.
Les États adhérents au stay-behind arrivent en plusieurs vagues :
les pays « précurseurs » (1944-1949), réellement menacés par l'expansion communiste, que ce soit directement, comme la Grèce, l'Allemagne et l'Autriche, ou indirectement comme la France, le Royaume-Uni, l'Italie, la Norvège, la Belgique et les Pays-Bas ; les pays qui ont rejoint le réseau après la répression des émeutes de 1953 en Allemagne de l'Est et l'insurrection de Budapest (1953-1956), comme la Suède, la Finlande, la Turquie, le Luxembourg, le Danemark ; les atypiques qu'étaient l'Espagne, le Portugal et la Suisse.
En 1990, le CPC, devenu depuis le Comité de coordination allié (CCA) se réunissait encore régulièrement.
Le contexte théorique de leur éventuelle activation est toujours le même ; si un des pays concernés est envahi par l'armée soviétique, son gouvernement légitime se réfugie au Royaume-Uni, en Amérique du Nord ou en Irlande et le(s) réseau(x) stay-behind, devenu(s) immédiatement opérationnel(s), passe(nt) à l'action en étroite coordination, grâce à ses propres moyens de télécommunications, avec celui-ci.
Sa principale activité consistait à repérer et à sélectionner, durant les périodes de service militaire, les appelés jugés assez mûrs et de confiance pour pouvoir appartenir au réseau. Une fois cooptés, ceux-ci étaient assez régulièrement convoqués pour des périodes d'exercice d'une durée approximative d'une semaine. En théorie, l'appartenance à ces réseaux est incompatible, sauf pour l'encadrement, avec une fonction dans les services de sécurité officiels.
La révélation publique de l'existence de ces réseaux par le Premier ministre italien Giulio Andreotti en octobre 1990 a fait naître une énorme campagne de presse alimentée en partie par la réaction de repli des autorités concernées. Des spéculations confinant parfois à la théorie du complot ont également attribué à ces organisations la paternité de nombres d'activités criminelles à connotation politique bien que la réalité soit plus prosaïque.
En 2008, Des enquétes parlementaires furent déclenchés dans les pays suivants sur ces réseaux après leurs dissolution : Suisse, Italie, Belgique, Pays-Bas, Autriche et Luxembourg.
Source
http://fr.wikipedia.org/wiki/Stay-behind
Lectures recommandées
Les armées secrètes de l'OTAN
http://www.reopen911.info/livres/les-armees-secretes-de-l-otan/synopsis-de-chaque-chapitre.pdf
http://www.reopen911.info/livres/les-armees-secretes-de-l-otan/chapitre-1-un-attentat-terroriste-en-italie.pdf
Gladio - Une Structure Terrorist en Europe
http://www.scribd.com/doc/25708361/Thomas-Deflo-Gladio-Une-Structure-Terrorist-en-Europe-2006
Les réseaux stay-behind en France: 1945-1962.
http://www.scribd.com/doc/59001131/Les-reseaux-stay-behind-en-France-1945-1962
Bien Amicalement.
Les armées secrètes de l’OTAN
Bonjour à tous,
Les armées secrètes de l’OTAN
Les agissements de l’Otan et différents services secrets occidentaux en Europe,
en relation avec l’extrême droite, et avec l’appui de beaucoup de politiques
au pouvoir, tout cela dans l’ombre du mensonge, bien évidemment…
Après la Seconde Guerre Mondiale, la CIA et le MI6 ont mis en place, dans toute l’Europe de l’Ouest, des armées secrètes destinées à être activées en cas d’invasion soviétique. Ces réseaux, dirigés par l’OTAN et souvent adossés à des groupes d’extrême droite, furent appelés Stay Behind.
Bientôt, de chaque côté du Rideau de Fer, l’Europe s’installait dans le statu quo, et la probabilité d’une offensive soviétique devenait infime. Pourtant, les réseaux stay behind ne furent jamais démantelés. Au contraire, ils allaient user de leur force pour interférer, en temps de paix, dans les processus démocratiques nationaux. Chaque fois que la gauche menaçait d’accéder au pouvoir, le bras armé de l’OTAN pouvait intervenir.
À plusieurs reprises, cet usage de la force est allé jusqu’au terrorisme et la mort de civils innocents. Pire, dans certains cas, les forces de police et les services de sécurité ont préféré protéger les coupables afin de préserver leur capacité de combat. Grâce à ces protections, le réseau Stay Behind a pu jouir du secret le plus total.
Ce film propose de retracer l’histoire de ces réseaux : leur raison d’être, leur fonctionnement, mais aussi la logique qui entraîna leur dévoiement criminel et anti-démocratique. Nous entendons ainsi jeter une lumière nouvelle sur toute une série de meurtres, de trafics et d’exactions dont beaucoup n’ont pas été élucidés, mais qui peuvent être imputés aux armées secrètes de l’OTAN.
Cet éclairage inédit nous permettra de mieux comprendre l’Europe dans laquelle nous vivons. Une Europe en partie fondée sur le mensonge. Une Europe démocratique qui a pu, au nom de la liberté, se livrer à la manipulation, à l’assassinat politique, et au terrorisme d’Etat.
Les armées secrètes de l'Otan 1 par Lywest
Les armées secrètes de l'Otan 2 par Lywest
Les armées secrètes de l'Otan 3 par Lywest
Source
http://surfacelibre.blogspot.fr/2011/02/les-armees-secretes-de-lotan.html
Bien Amicalement.
Les armées secrètes de l’OTAN
Les agissements de l’Otan et différents services secrets occidentaux en Europe,
en relation avec l’extrême droite, et avec l’appui de beaucoup de politiques
au pouvoir, tout cela dans l’ombre du mensonge, bien évidemment…
Après la Seconde Guerre Mondiale, la CIA et le MI6 ont mis en place, dans toute l’Europe de l’Ouest, des armées secrètes destinées à être activées en cas d’invasion soviétique. Ces réseaux, dirigés par l’OTAN et souvent adossés à des groupes d’extrême droite, furent appelés Stay Behind.
Bientôt, de chaque côté du Rideau de Fer, l’Europe s’installait dans le statu quo, et la probabilité d’une offensive soviétique devenait infime. Pourtant, les réseaux stay behind ne furent jamais démantelés. Au contraire, ils allaient user de leur force pour interférer, en temps de paix, dans les processus démocratiques nationaux. Chaque fois que la gauche menaçait d’accéder au pouvoir, le bras armé de l’OTAN pouvait intervenir.
À plusieurs reprises, cet usage de la force est allé jusqu’au terrorisme et la mort de civils innocents. Pire, dans certains cas, les forces de police et les services de sécurité ont préféré protéger les coupables afin de préserver leur capacité de combat. Grâce à ces protections, le réseau Stay Behind a pu jouir du secret le plus total.
Ce film propose de retracer l’histoire de ces réseaux : leur raison d’être, leur fonctionnement, mais aussi la logique qui entraîna leur dévoiement criminel et anti-démocratique. Nous entendons ainsi jeter une lumière nouvelle sur toute une série de meurtres, de trafics et d’exactions dont beaucoup n’ont pas été élucidés, mais qui peuvent être imputés aux armées secrètes de l’OTAN.
Cet éclairage inédit nous permettra de mieux comprendre l’Europe dans laquelle nous vivons. Une Europe en partie fondée sur le mensonge. Une Europe démocratique qui a pu, au nom de la liberté, se livrer à la manipulation, à l’assassinat politique, et au terrorisme d’Etat.
Les armées secrètes de l'Otan 1 par Lywest
Les armées secrètes de l'Otan 2 par Lywest
Les armées secrètes de l'Otan 3 par Lywest
Source
http://surfacelibre.blogspot.fr/2011/02/les-armees-secretes-de-lotan.html
Bien Amicalement.
Le réseau Gladio, armée secrète d’Europe
Bonjour à tous,
Le réseau Gladio, armée secrète d’Europe
Créés par les États-Unis pour barrer la route au communisme en Europe,
une armée secrète fût mise en service durant la guerre froide.
S’en suivi la création de groupes clandestins toujours
sous la protection plus ou moins directe de l’OTAN.
L’organisation secrète « Stay behind », rebaptisée plus tard Gladio, le « glaive », a vu le jour en 1948 à l’initiative des États-Unis. Ses agents devaient être prêts à effectuer des missions d’espionnage et à commettre des actes de sabotage en cas d’offensive soviétique. Celles-ci n’ayant finalement pas lieu, ce sont les intérêts politiques des gouvernements de droite voire d’extrême droite que Gladio se mis à défendre. Des contacts existent avec les différents services secrets nationaux, à l’abri de tout contrôle parlementaire. C’est le Shape (commandement militaire de l’Otan en Europe) qui assure la coordination.
Ce documentaire se concentre sur les opérations du réseau Gladio dans l’Italie et l’Allemagne des années 1960 à 1980. Les attentats de la piazza Fontana à Milan en 1969, celui de la gare de Bologne en août 1980, puis celui de la Fête de la Bière à Munich, quelques semaines plus tard, furent attribués à des anarchistes ou à l’extrême gauche. On saura plus tard qu’ils étaient l’oeuvre de l’extrême droite. Il a fallu attendre le 3 août 1990 pour que le Premier ministre italien Giulio Andreotti révèle l’existence du Gladio et ses ramifications en Europe. À ce jour, il est impossible d’avoir accès aux archives de l’Otan et des services secrets concernés pour en savoir plus sur les agissements du réseau…
Le réseau Gladio, armée secrète d'Europe 1 par Lywest
Le réseau Gladio, armée secrète d'Europe 2 par Lywest
Le réseau Gladio, armée secrète d'Europe 3 par Lywest
Le réseau Gladio, armée secrète d'Europe 4 par Lywest
Le réseau Gladio, armée secrète d'Europe 5 par Lywest
Source
http://surfacelibre.blogspot.fr/2011/03/le-reseau-gladio-armee-secrete-deurope.html
Bien Amicalement.
Le réseau Gladio, armée secrète d’Europe
Créés par les États-Unis pour barrer la route au communisme en Europe,
une armée secrète fût mise en service durant la guerre froide.
S’en suivi la création de groupes clandestins toujours
sous la protection plus ou moins directe de l’OTAN.
L’organisation secrète « Stay behind », rebaptisée plus tard Gladio, le « glaive », a vu le jour en 1948 à l’initiative des États-Unis. Ses agents devaient être prêts à effectuer des missions d’espionnage et à commettre des actes de sabotage en cas d’offensive soviétique. Celles-ci n’ayant finalement pas lieu, ce sont les intérêts politiques des gouvernements de droite voire d’extrême droite que Gladio se mis à défendre. Des contacts existent avec les différents services secrets nationaux, à l’abri de tout contrôle parlementaire. C’est le Shape (commandement militaire de l’Otan en Europe) qui assure la coordination.
Ce documentaire se concentre sur les opérations du réseau Gladio dans l’Italie et l’Allemagne des années 1960 à 1980. Les attentats de la piazza Fontana à Milan en 1969, celui de la gare de Bologne en août 1980, puis celui de la Fête de la Bière à Munich, quelques semaines plus tard, furent attribués à des anarchistes ou à l’extrême gauche. On saura plus tard qu’ils étaient l’oeuvre de l’extrême droite. Il a fallu attendre le 3 août 1990 pour que le Premier ministre italien Giulio Andreotti révèle l’existence du Gladio et ses ramifications en Europe. À ce jour, il est impossible d’avoir accès aux archives de l’Otan et des services secrets concernés pour en savoir plus sur les agissements du réseau…
Le réseau Gladio, armée secrète d'Europe 1 par Lywest
Le réseau Gladio, armée secrète d'Europe 2 par Lywest
Le réseau Gladio, armée secrète d'Europe 3 par Lywest
Le réseau Gladio, armée secrète d'Europe 4 par Lywest
Le réseau Gladio, armée secrète d'Europe 5 par Lywest
Source
http://surfacelibre.blogspot.fr/2011/03/le-reseau-gladio-armee-secrete-deurope.html
Bien Amicalement.
Le terrorisme d’Etat de Gladio et de la loge maçonnique P2 : L’Orchestre Noir
Bonjour à tous,
Le terrorisme d’Etat de Gladio et de la loge maçonnique P2 :
L’Orchestre Noir
Depuis 1947 les Etats-Unis commencèrent à construire en Italie une structure clandestine
qui serait devenue active dans le cas d’une « insurrection » ou d’une victoire électorale communiste.
Elargie presque à l’Europe entière, cette structure, sous commandement américain et anglais,
devint particulièrement puissante en Italie, où elle devint le plan « Gladio » (glaive) en 1956, avec une base d’entraînement, nombreuses caches d’armes, et près d’un millier de cadres prêts à effectuer d’ultérieurs
recrutements et des opérations de guerrilla. La structure était connue uniquement par certaines hautes
personnalités politiques et des services secrets italiens, ces mêmes services étant contrôlés et financés par la CIA.
On attribue à Gladio une participation importante dans les campagnes de terrorisme noir des années
60 jusqu’à 80 et dans les tentatives de coup d’Etat, notamment celui de Valerio Borghese en décembre 1970,
ainsi que l’assassinat du leader politique Démocrate chrétien Aldo Moro.
Dans les années 70, Gelli aurait été présenté par le responsable de la CIA à Rome, Ted Shackleton,
au général Alexandre Haigh, devenu commandant en chef de l’OTAN de 74 à 79.
Grace à son plan de « Renaissance démocratique », la loge maçonnique P2, affiliée à l’obédience
du Grand Orient d’Italie, était considérée comme une structure capable de prendre en main
le gouvernement de l’Italie dans une hypotèse d’extrême droite.
Source
http://www.mecanopolis.org/?p=23798
L’orchestre noir
Film documentaire de Fabrizio Calvi et Frédéric Laurent réalisé par Jean-Michel Meurice – 1997.
Le pouvoir d’état n’est-il pas le premier instigateur du terrorisme qu’il est censé combattre ?
C’est la question que pose ce classique du cinéma d’investigation. Sans jamais verser dans la théorie du complot,
« L’orchestre noir » mène patiemment son enquête sur les attentats qui ont frappé l’Italie
à la fin des années 60 et plus particulièrement sur le massacre de Piazza Fontana, provoqué par l’explosion
d’une bombe au siège de la banque de l’agriculture à Milan, qui tue 17 personnes et en blesse 88.
A cette époque, la contestation sociale est à son apogée et l’attentat de Piazza Fontana marque un tournant :
en choquant l’opinion publique, il inaugure les « années de plomb » et substitue à la perspective
du changement social, la crainte de la violence politique aveugle.
L’enquête de police, manipulée par les services secrets italiens, s’oriente rapidement et à tort sur une piste
« anarchiste ». Pourtant, dès le début, les services de renseignements savent que des activistes d’extrême droite
sont impliqués dans l’attentat. Et pour cause, depuis plusieurs années déjà, les américains, via la CIA et l’OTAN, s’appuient sur les fascistes italiens pour prévenir la montée du communisme. Ils entretiennent de multiples réseaux occultes, dont le plus célèbre est le réseau paramilitaire « Gladio » qui regroupe des militaires italiens,
des politiciens, des membres des services secrets, de la loge P2, de l’OTAN, et du groupe fasciste Ordine Nuovo.
Ces réseaux, qui nouent des relations étroites avec les anciens officiers français de l’OAS, infiltrent les groupes gauchistes, mènent des actions violentes et sont tentés par un coup d’état militaire qui porterait à la tête de l’Italie
une dictature semblable à celle instaurée avec l’assentiment des Etats-Unis par les colonels grecs en 1967.
Cette tentation se révèle notamment en 1970 dans le coup d’état avorté du « prince noir », Valerio Borghèse,
fondateur du « Fronte nazionale ». Mais ces manœuvres secrètes sont compliquées par le trouble jeu
de la démocratie chrétienne italienne, qui dans le cadre de la « stratégie de la tension »,
instrumentalise dangereusement les groupes d’extrême droite pour raffermir son pouvoir,
discréditer la gauche et apparaître comme la seule force capable de rétablir l’ordre.
La partition de cet abominable orchestre n’est pas encore totalement déchiffrée, mais son thème principal
est aisé à identifier : tuer des innocents pour distiller la peur et anéantir la lutte contre l’exploitation.
Publiée le 23 sept. 2013 par ioSo.info
Si le lien venait à disparaître : Cliquez Ici
Bien Amicalement.
Le terrorisme d’Etat de Gladio et de la loge maçonnique P2 :
L’Orchestre Noir
Depuis 1947 les Etats-Unis commencèrent à construire en Italie une structure clandestine
qui serait devenue active dans le cas d’une « insurrection » ou d’une victoire électorale communiste.
Elargie presque à l’Europe entière, cette structure, sous commandement américain et anglais,
devint particulièrement puissante en Italie, où elle devint le plan « Gladio » (glaive) en 1956, avec une base d’entraînement, nombreuses caches d’armes, et près d’un millier de cadres prêts à effectuer d’ultérieurs
recrutements et des opérations de guerrilla. La structure était connue uniquement par certaines hautes
personnalités politiques et des services secrets italiens, ces mêmes services étant contrôlés et financés par la CIA.
On attribue à Gladio une participation importante dans les campagnes de terrorisme noir des années
60 jusqu’à 80 et dans les tentatives de coup d’Etat, notamment celui de Valerio Borghese en décembre 1970,
ainsi que l’assassinat du leader politique Démocrate chrétien Aldo Moro.
Dans les années 70, Gelli aurait été présenté par le responsable de la CIA à Rome, Ted Shackleton,
au général Alexandre Haigh, devenu commandant en chef de l’OTAN de 74 à 79.
Grace à son plan de « Renaissance démocratique », la loge maçonnique P2, affiliée à l’obédience
du Grand Orient d’Italie, était considérée comme une structure capable de prendre en main
le gouvernement de l’Italie dans une hypotèse d’extrême droite.
Source
http://www.mecanopolis.org/?p=23798
L’orchestre noir
Film documentaire de Fabrizio Calvi et Frédéric Laurent réalisé par Jean-Michel Meurice – 1997.
Le pouvoir d’état n’est-il pas le premier instigateur du terrorisme qu’il est censé combattre ?
C’est la question que pose ce classique du cinéma d’investigation. Sans jamais verser dans la théorie du complot,
« L’orchestre noir » mène patiemment son enquête sur les attentats qui ont frappé l’Italie
à la fin des années 60 et plus particulièrement sur le massacre de Piazza Fontana, provoqué par l’explosion
d’une bombe au siège de la banque de l’agriculture à Milan, qui tue 17 personnes et en blesse 88.
A cette époque, la contestation sociale est à son apogée et l’attentat de Piazza Fontana marque un tournant :
en choquant l’opinion publique, il inaugure les « années de plomb » et substitue à la perspective
du changement social, la crainte de la violence politique aveugle.
L’enquête de police, manipulée par les services secrets italiens, s’oriente rapidement et à tort sur une piste
« anarchiste ». Pourtant, dès le début, les services de renseignements savent que des activistes d’extrême droite
sont impliqués dans l’attentat. Et pour cause, depuis plusieurs années déjà, les américains, via la CIA et l’OTAN, s’appuient sur les fascistes italiens pour prévenir la montée du communisme. Ils entretiennent de multiples réseaux occultes, dont le plus célèbre est le réseau paramilitaire « Gladio » qui regroupe des militaires italiens,
des politiciens, des membres des services secrets, de la loge P2, de l’OTAN, et du groupe fasciste Ordine Nuovo.
Ces réseaux, qui nouent des relations étroites avec les anciens officiers français de l’OAS, infiltrent les groupes gauchistes, mènent des actions violentes et sont tentés par un coup d’état militaire qui porterait à la tête de l’Italie
une dictature semblable à celle instaurée avec l’assentiment des Etats-Unis par les colonels grecs en 1967.
Cette tentation se révèle notamment en 1970 dans le coup d’état avorté du « prince noir », Valerio Borghèse,
fondateur du « Fronte nazionale ». Mais ces manœuvres secrètes sont compliquées par le trouble jeu
de la démocratie chrétienne italienne, qui dans le cadre de la « stratégie de la tension »,
instrumentalise dangereusement les groupes d’extrême droite pour raffermir son pouvoir,
discréditer la gauche et apparaître comme la seule force capable de rétablir l’ordre.
La partition de cet abominable orchestre n’est pas encore totalement déchiffrée, mais son thème principal
est aisé à identifier : tuer des innocents pour distiller la peur et anéantir la lutte contre l’exploitation.
Publiée le 23 sept. 2013 par ioSo.info
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Bien Amicalement.
Dernière édition par Silver Wisdom le Lun 7 Avr - 11:05, édité 1 fois (Raison : Modification lien vidéo)
Re: Le réseau Gladio : Armées secrètes d'Europe
Les armées secretes de l'OTAN - l'OAS et le terrorisme (Dr Daniele Ganser)
Ajoutée le 10 mai 2012 par HALETNA
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