Bertrand se démène pour que les entreprises décalent leurs plans sociaux après les élections
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Bertrand se démène pour que les entreprises décalent leurs plans sociaux après les élections
Bonjour à tous,
Bertrand se démène pour que les entreprises décalent
leurs plans sociaux après les élections
Le cabinet du ministre du Travail, Xavier Bertrand fait le forcing auprès des patrons pour éviter les plans sociaux.
En cette période électorale, l’ex-secrétaire général de l'UMP qui n’a pas envie que les chiffres du chômage,
déjà très élevés, ne se dégradent encore veut calmer le jeu d’ici aux élections.
Ainsi, Alexandre Bompard (Fnac) ou encore Luc Oursel (Areva) ont reçu des instructions
pour repousser de quelques mois leurs projets de licenciement.
La Fnac, qui a fait part de son intention de supprimer 500 postes (dont 300 en France) en janvier dernier,
a été priée de ne pas aller au-delà pour le moment.
Idem pour le groupe Areva qui projetait de se délester de 3.000 emplois dans l’Hexagone.
Dans le secteur automobile, le couperet tombera après le mois de mai
Les constructeurs automobiles ne sont pas en reste.
PSA avait à l’automne annoncé une réduction de la voilure. Sur les conseils de la rue de Grenelle,
le groupe ne fera aucune communication qui puisse inquiéter les salariés d’ici à mai 2012.
Chez Renault, les relations avec l’Etat –actionnaire à hauteur de 15%- sont plus complexes,
mais les mesures d’économie évoquées fin décembre par Carlos Tavares, le DG du groupe,
sont repoussées de quelques mois. Elles devraient prendre effet au second semestre
et non au premier comme prévu à l’origine.
Les dirigeants ont bien compris que le timing ne leur était pas favorable.
L’exemple de Lejaby en a échaudé plus d’un. Ils savent qu’au moindre plan social,
les politiques s’en mêleront. Beaucoup n’ont pas envie de voir défiler dans leur usine,
les différents candidats prendre fait et cause pour leurs employés.
Source
Bertrand se démène pour que les entreprises décalent leurs plans sociaux après les élections
http://www.challenges.fr/elections-2012/20120215.CHA3306/bertrand-se-demene-pour-que-les-entreprises-decalent-leurs-plans-sociaux-apres-les-elections.html
Et si l'UMP votait une loi pour interdire de licencier dans l'année présidentielle?
Phrase reprise sur son bolg de Pierre Jovanovic.
http://www.jovanovic.com/blog.htm
Bien Amicalement.
Bertrand se démène pour que les entreprises décalent
leurs plans sociaux après les élections
Le cabinet du ministre du Travail, Xavier Bertrand fait le forcing auprès des patrons pour éviter les plans sociaux.
En cette période électorale, l’ex-secrétaire général de l'UMP qui n’a pas envie que les chiffres du chômage,
déjà très élevés, ne se dégradent encore veut calmer le jeu d’ici aux élections.
Ainsi, Alexandre Bompard (Fnac) ou encore Luc Oursel (Areva) ont reçu des instructions
pour repousser de quelques mois leurs projets de licenciement.
La Fnac, qui a fait part de son intention de supprimer 500 postes (dont 300 en France) en janvier dernier,
a été priée de ne pas aller au-delà pour le moment.
Idem pour le groupe Areva qui projetait de se délester de 3.000 emplois dans l’Hexagone.
Dans le secteur automobile, le couperet tombera après le mois de mai
Les constructeurs automobiles ne sont pas en reste.
PSA avait à l’automne annoncé une réduction de la voilure. Sur les conseils de la rue de Grenelle,
le groupe ne fera aucune communication qui puisse inquiéter les salariés d’ici à mai 2012.
Chez Renault, les relations avec l’Etat –actionnaire à hauteur de 15%- sont plus complexes,
mais les mesures d’économie évoquées fin décembre par Carlos Tavares, le DG du groupe,
sont repoussées de quelques mois. Elles devraient prendre effet au second semestre
et non au premier comme prévu à l’origine.
Les dirigeants ont bien compris que le timing ne leur était pas favorable.
L’exemple de Lejaby en a échaudé plus d’un. Ils savent qu’au moindre plan social,
les politiques s’en mêleront. Beaucoup n’ont pas envie de voir défiler dans leur usine,
les différents candidats prendre fait et cause pour leurs employés.
Source
Bertrand se démène pour que les entreprises décalent leurs plans sociaux après les élections
http://www.challenges.fr/elections-2012/20120215.CHA3306/bertrand-se-demene-pour-que-les-entreprises-decalent-leurs-plans-sociaux-apres-les-elections.html
Et si l'UMP votait une loi pour interdire de licencier dans l'année présidentielle?
Phrase reprise sur son bolg de Pierre Jovanovic.
http://www.jovanovic.com/blog.htm
Bien Amicalement.
Après les élections de 2012 en France, le Chômage de masse assuré ......
Bonjour à tous,
Les salariés de Peugeot attendent leur tour sur l’échafaud
Par Nolwenn Weiler et Stéphane Fernandez
L’industrie automobile est toujours dans la tourmente. PSA a annoncé à l’automne la suppression de 5 000 postes en France, un sacrifice retardé pour cause d’élection présidentielle. Basta ! a été recueillir le point de vue de ceux que l’on n’entend jamais lorsque l’on parle « restructurations » et « compétitivité » : les salariés. Qu’en pensent-ils, du moins ceux qui osent se syndiquer ? Rencontre avec quatre d’entre eux à l’usine Peugeot de Rennes.
À l’usine PSA de Rennes, il flotte comme un parfum de fin d’époque. Les bâtiments et parkings résonnent, comme vides, et les 240 hectares du site racontent la période révolue des « balladurettes », « jupettes » et autres aides gouvernementales et primes à la casse qui ont soutenu le marché automobile tout au long des années 1990 et 2000. De 12 000 salariés en 2005, l’usine PSA est passée à quelques 5 000 employés. Comme dans la plupart des usines de production, la réorganisation du travail a été menée tambour battant depuis vingt ans. Avec pour objectif d’aller toujours plus vite, de produire toujours moins cher… Sans se soucier des conditions de travail des salariés, sans même les associer à ces évolutions. « Il faut être toujours plus rapide, toujours plus performant. Les cadences augmentent tout le temps », résume Loïc Pottier, élu CFTC, dans l’usine depuis trente ans.
Et ce n’est pas près de s’améliorer : le PDG du groupe, Philippe Varin (3,3 millions d’euros de rémunération en 2010 prévient qu’il va « réduire la voilure ». Il évoque des problèmes de « surcapacités »
et de « taux d’utilisation des usines ». Une alliance avec les actionnaires de General Motors serait même envisagée. Exit les salariés : ceux qui font la fortune du groupe et risquent, pour nombre d’entre eux, d’y perdre leur santé.
La suite de l'article
http://www.bastamag.net/article2143.html
Alors que l'on vient d'apprendre une possible union entre PSA et General Motors,
on est en droit de se demander, connaissant l'histoire de GM,
si cette option est justifiée.
PSA-General Motors : pourquoi cette alliance est risquée
Par Héloïse Bolle
Philippe Varin, Président du directoire de PSA
"Des discussions sont en cours et il n’y a aucune certitude qu’elles aboutissent": c’est par un communiqué pour le moins laconique que PSA Peugeot Citroën a nuancé l’information divulgué sur Latribune.fr, qui prête l’intention au constructeur automobile de l’Avenue de la Grande Armée de se marier avec General Motors. La rumeur a pourtant été confirmée dans la matinée par le ministre du Travail. Xavier Bertrand a expliqué avoir été informé mardi soir, par PSA, "de ces discussions pour un partenariat stratégique", le groupe ayant assuré au ministre qu'il s'agissait d'une "bonne nouvelle".
Pour comprendre ce qu'il y a derrière ces négociations, il est sans doute utile de revenir sur la journée 8 janvier 2012. Philippe Varin, président du directoire de Peugeot Citroën, prenait alors l’avion seul, sans aucune escorte pour se rendre au salon de Détroit, grand messe de l’automobile américaine. Il partait "rencontrer ses partenaires" parmi lesquels l’Américain Ford. Aussitôt monté dans l’avion, Philippe Varin, après avoir constaté qu’il devait se trouver assis pendant les huit heures de vol à côté d’un journaliste, avait demandé à Yann Delabrière, PDG de Faurecia (filiale de Peugeot Citroën), de prendre place à côté de lui pour passer un vol tranquille. Quelques heures plus tard, il avait accepté de s’entretenir brièvement avec une petite poignée de journalistes, présents dans le même avion.
Aujourd’hui c’est une entreprise nouvelle avec laquelle Peugeot Citroën s’apprête, selon nos confrères de La Tribune, à nouer une alliance. GM a réglé son problème de dette en convertissant les prêts de l’Etat Américain et du Canada en actions. Le fonds de pension des salariés est aussi devenu actionnaire. L’entreprise, qui a aussi revu à la baisse ses coûts salariaux au prix d’importants sacrifices (près d’un tiers des ouvriers licenciés et des tarifs horaires nettement moins avantageux pour les nouveaux salariés que pour les anciens), a revu ses standards de qualité et peut vendre ses modèles plus cher. Avec un portefeuille réduit à cinq marques (Chevrolet, Cadillac, Buick, GMC pour les utilitaires et Opel pour l’Europe), elle gagne de l’argent en Amérique du Nord, en Asie mais toujours pas en Europe, où sa marque Opel fait face, comme Peugeot Citroën, à d’importantes surcapacités.
Certes, Peugeot Citroën ne peut se permettre de continuer à faire cavalier seul. On dit Philippe Varin très déçu par l’échec des négociations avec Mitsubishi l’année dernière. Les coûts de développement, notamment, sont une source de préoccupation pour le président du directoire et il est plus facile de les amortir sur un grand nombre de modèles (GM, numéro un mondial en 2011, totalise plus de neuf millions de voitures, quand Peugeot Citroën n’en produit que 3,5 millions). Reste que les deux entreprises sont toutes deux des constructeurs généralistes. Pire, elles se livrent une concurrence acharnée, car la marque Chevrolet, la plus importante de GM, envoie sur le marché européen de nombreux modèles assemblés en Corée, à moindre coûts.
Pendant ce temps-là, PSA, même si la fermeture de son usine d’Aulnay n’est plus qu’un secret de polichinelle, assemble encore majoritairement dans l’Hexagone à des coûts qui lui permettent difficilement de lutter contre cette nouvelle concurrence. De gros doublons risquent d’émerger également entre Opel, marque allemande de GM, et PSA. Bref, si alliance il y a, elle permettra peut-être de réaliser des économies d’échelles sur les achats de matériaux et sur la recherche, mais elle se fera peut-être dans la douleur.
Source
http://www.challenges.fr/entreprise/20120222.CHA3416/psa-general-motors-pourquoi-cette-alliance-est-risquee.html
Si cette alliance se fait, il est vrai que le made in France, que certains politiques qui en font leur cheval de bataille (et qui ne va pas fort aux regards des indices de productions), aura du mal à se relever en laissant sur le cotés des milliers d'emplois et surtout une fuite du savoir-faire français.
Bien Amicalement.
Les salariés de Peugeot attendent leur tour sur l’échafaud
Par Nolwenn Weiler et Stéphane Fernandez
L’industrie automobile est toujours dans la tourmente. PSA a annoncé à l’automne la suppression de 5 000 postes en France, un sacrifice retardé pour cause d’élection présidentielle. Basta ! a été recueillir le point de vue de ceux que l’on n’entend jamais lorsque l’on parle « restructurations » et « compétitivité » : les salariés. Qu’en pensent-ils, du moins ceux qui osent se syndiquer ? Rencontre avec quatre d’entre eux à l’usine Peugeot de Rennes.
À l’usine PSA de Rennes, il flotte comme un parfum de fin d’époque. Les bâtiments et parkings résonnent, comme vides, et les 240 hectares du site racontent la période révolue des « balladurettes », « jupettes » et autres aides gouvernementales et primes à la casse qui ont soutenu le marché automobile tout au long des années 1990 et 2000. De 12 000 salariés en 2005, l’usine PSA est passée à quelques 5 000 employés. Comme dans la plupart des usines de production, la réorganisation du travail a été menée tambour battant depuis vingt ans. Avec pour objectif d’aller toujours plus vite, de produire toujours moins cher… Sans se soucier des conditions de travail des salariés, sans même les associer à ces évolutions. « Il faut être toujours plus rapide, toujours plus performant. Les cadences augmentent tout le temps », résume Loïc Pottier, élu CFTC, dans l’usine depuis trente ans.
Et ce n’est pas près de s’améliorer : le PDG du groupe, Philippe Varin (3,3 millions d’euros de rémunération en 2010 prévient qu’il va « réduire la voilure ». Il évoque des problèmes de « surcapacités »
et de « taux d’utilisation des usines ». Une alliance avec les actionnaires de General Motors serait même envisagée. Exit les salariés : ceux qui font la fortune du groupe et risquent, pour nombre d’entre eux, d’y perdre leur santé.
La suite de l'article
http://www.bastamag.net/article2143.html
Alors que l'on vient d'apprendre une possible union entre PSA et General Motors,
on est en droit de se demander, connaissant l'histoire de GM,
si cette option est justifiée.
PSA-General Motors : pourquoi cette alliance est risquée
Par Héloïse Bolle
Philippe Varin, Président du directoire de PSA
"Des discussions sont en cours et il n’y a aucune certitude qu’elles aboutissent": c’est par un communiqué pour le moins laconique que PSA Peugeot Citroën a nuancé l’information divulgué sur Latribune.fr, qui prête l’intention au constructeur automobile de l’Avenue de la Grande Armée de se marier avec General Motors. La rumeur a pourtant été confirmée dans la matinée par le ministre du Travail. Xavier Bertrand a expliqué avoir été informé mardi soir, par PSA, "de ces discussions pour un partenariat stratégique", le groupe ayant assuré au ministre qu'il s'agissait d'une "bonne nouvelle".
Pour comprendre ce qu'il y a derrière ces négociations, il est sans doute utile de revenir sur la journée 8 janvier 2012. Philippe Varin, président du directoire de Peugeot Citroën, prenait alors l’avion seul, sans aucune escorte pour se rendre au salon de Détroit, grand messe de l’automobile américaine. Il partait "rencontrer ses partenaires" parmi lesquels l’Américain Ford. Aussitôt monté dans l’avion, Philippe Varin, après avoir constaté qu’il devait se trouver assis pendant les huit heures de vol à côté d’un journaliste, avait demandé à Yann Delabrière, PDG de Faurecia (filiale de Peugeot Citroën), de prendre place à côté de lui pour passer un vol tranquille. Quelques heures plus tard, il avait accepté de s’entretenir brièvement avec une petite poignée de journalistes, présents dans le même avion.
Aujourd’hui c’est une entreprise nouvelle avec laquelle Peugeot Citroën s’apprête, selon nos confrères de La Tribune, à nouer une alliance. GM a réglé son problème de dette en convertissant les prêts de l’Etat Américain et du Canada en actions. Le fonds de pension des salariés est aussi devenu actionnaire. L’entreprise, qui a aussi revu à la baisse ses coûts salariaux au prix d’importants sacrifices (près d’un tiers des ouvriers licenciés et des tarifs horaires nettement moins avantageux pour les nouveaux salariés que pour les anciens), a revu ses standards de qualité et peut vendre ses modèles plus cher. Avec un portefeuille réduit à cinq marques (Chevrolet, Cadillac, Buick, GMC pour les utilitaires et Opel pour l’Europe), elle gagne de l’argent en Amérique du Nord, en Asie mais toujours pas en Europe, où sa marque Opel fait face, comme Peugeot Citroën, à d’importantes surcapacités.
Certes, Peugeot Citroën ne peut se permettre de continuer à faire cavalier seul. On dit Philippe Varin très déçu par l’échec des négociations avec Mitsubishi l’année dernière. Les coûts de développement, notamment, sont une source de préoccupation pour le président du directoire et il est plus facile de les amortir sur un grand nombre de modèles (GM, numéro un mondial en 2011, totalise plus de neuf millions de voitures, quand Peugeot Citroën n’en produit que 3,5 millions). Reste que les deux entreprises sont toutes deux des constructeurs généralistes. Pire, elles se livrent une concurrence acharnée, car la marque Chevrolet, la plus importante de GM, envoie sur le marché européen de nombreux modèles assemblés en Corée, à moindre coûts.
Pendant ce temps-là, PSA, même si la fermeture de son usine d’Aulnay n’est plus qu’un secret de polichinelle, assemble encore majoritairement dans l’Hexagone à des coûts qui lui permettent difficilement de lutter contre cette nouvelle concurrence. De gros doublons risquent d’émerger également entre Opel, marque allemande de GM, et PSA. Bref, si alliance il y a, elle permettra peut-être de réaliser des économies d’échelles sur les achats de matériaux et sur la recherche, mais elle se fera peut-être dans la douleur.
Source
http://www.challenges.fr/entreprise/20120222.CHA3416/psa-general-motors-pourquoi-cette-alliance-est-risquee.html
Si cette alliance se fait, il est vrai que le made in France, que certains politiques qui en font leur cheval de bataille (et qui ne va pas fort aux regards des indices de productions), aura du mal à se relever en laissant sur le cotés des milliers d'emplois et surtout une fuite du savoir-faire français.
Bien Amicalement.
Des plans sociaux reportés pour cause de présidentielle ?
Bonjour à tous,
Des plans sociaux reportés pour cause de présidentielle ?
Le gouvernement fait pression sur Areva, PSA cale son calendrier sur celui de l’élection :
depuis janvier, le nombre de plans sociaux baisse.
Des salariés de PSA Peugeot-Citroën manifestent devant le QG de Nicolas Sarkozy à Paris, le 12 avril 2012 (Jacky Naegelen/Reuters)
Après Lejaby, c’est Photowatt que Nicolas Sarkozy se félicite d’avoir sauvé. Avant de trouver un repreneur pour la Sernam. Et un autre pour La Fonderie du Poitou : Saint-Jean Industries. Seul hic, ce dernier racheteur a déjà investi dans des fonderies à Vénissieux, avant de les fermer quatre ans après.
Les plans de sauvegarde de l’emploi se font moins nombreux depuis le début de l’année : 135 en janvier et février, contre 164 pour la même période en 2011 et 225 en 2010, selon les données [PDF] du service statistique du ministère du Travail (Dares). Sont-ils simplement reportés, présidentielle oblige, ou bel et bien annulés ?
Les grands groupes ne démentent pas
Le site du magazine économique Challenges alertait le 15 février :
confirmait sur Public Sénat le 21 février, mais sans donner de noms :
Contactée, la direction de la Fnac assure ne réserver aucune mauvaise surprise. Elle a annoncé un plan de sauvegarde de l’emploi (PSE) de 310 postes, qu’elle doit réviser suite aux remarques de l’Inspection du travail.
PSA : l’usine d’Aulnay menacée
« Plan social et décroissance : 2013 et arrêt courant 2014. » Ce n’est pas une annonce officielle, mais une ligne discrète relevée dans un document interne à PSA Peugeot-Citroën. Une étude confidentielle dans laquelle l’élection présidentielle est directement évoquée :
C’est ce qui est prévu dans un autre document confidentiel du groupe, qui évoque Aulnay comme « site d’ajustement privilégié », scénario chiffré à l’appui.
« Efficacité industrielle » : document de la direction des programmes et de la stratégie automobile à PSA Peugeot-Citroën, daté du 13 juillet 2010
Un autre document caduque, répond-on chez PSA. Le 6 mars 2012, Denis Martin, le directeur industriel de PSA Peugeot-Citroën, déclarait pourtant que le constructeur comptait régler ses problèmes de « surcapacités » de production en Europe « entre fin 2012 et 2014 » :
A lire :
Les surcapacités, prochaine étape pour l'alliance PSA-GM
Areva : des revirements à la chaîne
Fin novembre 2011, les salariés d’Areva s’inquiètent un peu partout en France. L’AFP annonce des suppressions d’emplois dans le cadre du « plan d’action stratégique » du groupe nucléaire français,
citant des sources proches du dossier.
Branle-bas de combat. Le lendemain, à l’issue d’une réunion d’urgence avec le patron du groupe nucléaire,
le ministre de l’Economie, François Baroin, déclare qu’il n’y aura « aucune suppression de poste,
aucun plan de départ volontaire ».
Et pourtant : le 12 décembre, Areva prévoit une réduction de ses effectifs dans l’Hexagone via un gel
des recrutements qui se traduirait par 1 000 à 1 200 départs naturels par an, rapporte La Tribune.
Soient 5 000 à 6 000 suppressions de postes d’ici 2016 si la mesure est étendue sur l’ensemble
de la période visée par le plan d’action stratégique.
Une estimation qui est aujourd’hui revue à la baisse. Contacté, le groupe évoque un gel de 250 recrutements par an :
Areva annonce le non-remplacement de 1.200 départs en France
Faire traîner
Faire traîner, changer d’orientation à répétition, telle semble être l’attitude retenue par les grandes entreprises sur le point de couper dans les budgets.
Chez Cofinoga, le plan social annoncé le 20 janvier pour 433 salariés tarde à se préciser et ne peut donc être négocié, déplore Lionel Azougalhi, délégué CFDT et porte-parole de l’intersyndicale.
Comme à la SNCM : le président du conseil de surveillance a évoqué début avril
la menace d’un plan social de 800 emplois. Sans donner de dates.
Groupama, de son côté, compte économiser 400 millions d’euros.
« Sans toucher à la masse salariale », a compris Philippe Goret, pour la CGT :
Groupama renoue avec le bon sens paysan
Reporter la fermeture
Dans les entreprises de moindre taille, la stratégie consiste davantage à décaler de quelques mois la date couperet :
l’usine de composants électroniques Freescale, qui emploie 821 salariés, reporte ainsi à juin 2012 sa fermeture ;
quand le raffineur Petroplus, de Petit-Couronne, placé en redressement judiciaire, décroche un contrat de six mois avec Shell. Nicolas Sarkozy s’en attribue la responsabilité ;
Albany, qui fabrique des tissus techniques, renonce de son côté à la fermeture immédiate
de son usine de Saint-Junien.
Les banques, elles, ne s’embarrassent pas et mettent d’ores et déjà en place des PSE,
qu’elles expliquent par la crise économique. Mais dans les secteurs porteurs aussi, on licencie.
Nokia Siemens Network, spécialisée dans les réseaux mobiles, a annoncé début mars la suppression
de 186 postes sur 460 en France. Une réduction de 40% des effectifs.
Sources
http://www.rue89.com/rue89-eco/2012/04/19/des-plans-sociaux-reportes-pour-cause-de-presidentielle-231295
http://sos-crise.over-blog.com/article-des-plans-sociaux-reportes-pour-cause-de-presidentielle-104140478.html
Bien Amicalement.
Des plans sociaux reportés pour cause de présidentielle ?
Le gouvernement fait pression sur Areva, PSA cale son calendrier sur celui de l’élection :
depuis janvier, le nombre de plans sociaux baisse.
Des salariés de PSA Peugeot-Citroën manifestent devant le QG de Nicolas Sarkozy à Paris, le 12 avril 2012 (Jacky Naegelen/Reuters)
Après Lejaby, c’est Photowatt que Nicolas Sarkozy se félicite d’avoir sauvé. Avant de trouver un repreneur pour la Sernam. Et un autre pour La Fonderie du Poitou : Saint-Jean Industries. Seul hic, ce dernier racheteur a déjà investi dans des fonderies à Vénissieux, avant de les fermer quatre ans après.
Les plans de sauvegarde de l’emploi se font moins nombreux depuis le début de l’année : 135 en janvier et février, contre 164 pour la même période en 2011 et 225 en 2010, selon les données [PDF] du service statistique du ministère du Travail (Dares). Sont-ils simplement reportés, présidentielle oblige, ou bel et bien annulés ?
Les grands groupes ne démentent pas
Le site du magazine économique Challenges alertait le 15 février :
François Chérèque, secrétaire général de la CFDT,« Alexandre Bompard (Fnac) ou encore Luc Oursel (Areva) ont reçu des instructions pour repousser de quelques mois leurs projets de licenciement. [...] PSA avait à l’automne annoncé une réduction de la voilure. Sur les conseils de la rue de Grenelle, le groupe ne fera aucune communication qui puisse inquiéter les salariés d’ici à mai 2012. »
confirmait sur Public Sénat le 21 février, mais sans donner de noms :
Ce que Xavier Bertrand démentait avec véhémence le lendemain. Pourtant, la journaliste de Challenges explique ne pas avoir reçu de démenti officiel de la part des entreprises citées dans son article.« Je rencontre régulièrement des chefs d’entreprise et des DRH. Ils me disent, certains, que, toutes les semaines, le ministère du Travail leur téléphone pour leur demander leur intention vis-à-vis de l’emploi et leur dire que s’ils avaient des intentions de licencier, qu’ils les reportent à plus tard. »
Contactée, la direction de la Fnac assure ne réserver aucune mauvaise surprise. Elle a annoncé un plan de sauvegarde de l’emploi (PSE) de 310 postes, qu’elle doit réviser suite aux remarques de l’Inspection du travail.
PSA : l’usine d’Aulnay menacée
« Plan social et décroissance : 2013 et arrêt courant 2014. » Ce n’est pas une annonce officielle, mais une ligne discrète relevée dans un document interne à PSA Peugeot-Citroën. Une étude confidentielle dans laquelle l’élection présidentielle est directement évoquée :
Contactée, l’entreprise dément, dénonçant une note « caduque ». Jean-Pierre Mercier, délégué CGT chez PSA, répond avoir demandé à la direction le document de travail valide :« Ce calendrier est cohérent avec les orientations du CDG de janvier 2010 situant la fenêtre d’annonce possible, dans le calendrier électoral français, au 2e semestre 2012. »
Le syndicaliste parle d’une « très lourde réorganisation industrielle », qui vise à transférer la fabrication des modèles de voitures d’une usine à l’autre, par un jeu de chaises musicales, pour finir par faire cesser l’activité de l’usine d’Aulnay, qui emploi 3300 salariés en Seine-Saint-Denis.« En vain. Surtout, tout s’est passé comme indiqué dans la note jusque-là. »
C’est ce qui est prévu dans un autre document confidentiel du groupe, qui évoque Aulnay comme « site d’ajustement privilégié », scénario chiffré à l’appui.
« Efficacité industrielle » : document de la direction des programmes et de la stratégie automobile à PSA Peugeot-Citroën, daté du 13 juillet 2010
Un autre document caduque, répond-on chez PSA. Le 6 mars 2012, Denis Martin, le directeur industriel de PSA Peugeot-Citroën, déclarait pourtant que le constructeur comptait régler ses problèmes de « surcapacités » de production en Europe « entre fin 2012 et 2014 » :
Lors d’une réunion organisée le 6 avril avec l’Etat et la direction de PSA, les syndicats de PSA d’Aulnay ont demandé que PSA s’engage par écrit à maintenir tous les emplois au moins jusqu’à la fin 2016 (fin officielle de fabrication de la C3) et à attribuer un nouveau véhicule pour remplacer la C3.« Donc, dans les dix-huit mois, deux ans, notre efficacité opérationnelle en Europe sera résolue. »
A lire :
Les surcapacités, prochaine étape pour l'alliance PSA-GM
Areva : des revirements à la chaîne
Fin novembre 2011, les salariés d’Areva s’inquiètent un peu partout en France. L’AFP annonce des suppressions d’emplois dans le cadre du « plan d’action stratégique » du groupe nucléaire français,
citant des sources proches du dossier.
Branle-bas de combat. Le lendemain, à l’issue d’une réunion d’urgence avec le patron du groupe nucléaire,
le ministre de l’Economie, François Baroin, déclare qu’il n’y aura « aucune suppression de poste,
aucun plan de départ volontaire ».
Et pourtant : le 12 décembre, Areva prévoit une réduction de ses effectifs dans l’Hexagone via un gel
des recrutements qui se traduirait par 1 000 à 1 200 départs naturels par an, rapporte La Tribune.
Soient 5 000 à 6 000 suppressions de postes d’ici 2016 si la mesure est étendue sur l’ensemble
de la période visée par le plan d’action stratégique.
Une estimation qui est aujourd’hui revue à la baisse. Contacté, le groupe évoque un gel de 250 recrutements par an :
Nouvelle pression ? Lors du comité de groupe France Areva du 21 mars, la question d’une éventuelle intervention de l’Etat a été posée, raconte Patrick Lescure, délégué central CGT :« Pour une période non décidée. La mesure peut durer une année ou être répétée chaque année jusqu’en 2016. Nous ajusterons selon l’activité. Ceux qui ont annoncé 1 200 suppressions ont peut-être inclus les suppressions de postes en Allemagne dans leurs chiffres. »
A lire également :« Il nous a répondu qu’il n’y avait eu aucune rencontre, aucun contact avec le ministre du Travail. »
Areva annonce le non-remplacement de 1.200 départs en France
Faire traîner
Faire traîner, changer d’orientation à répétition, telle semble être l’attitude retenue par les grandes entreprises sur le point de couper dans les budgets.
Chez Cofinoga, le plan social annoncé le 20 janvier pour 433 salariés tarde à se préciser et ne peut donc être négocié, déplore Lionel Azougalhi, délégué CFDT et porte-parole de l’intersyndicale.
Comme à la SNCM : le président du conseil de surveillance a évoqué début avril
la menace d’un plan social de 800 emplois. Sans donner de dates.
Groupama, de son côté, compte économiser 400 millions d’euros.
« Sans toucher à la masse salariale », a compris Philippe Goret, pour la CGT :
Cofinoga supprime 433 postes« Logiquement, les mesures auraient dû être mises en œuvre début 2012. Ça n’est pas le cas. La direction a dû préférer hiérarchiser les priorités. »
Groupama renoue avec le bon sens paysan
Reporter la fermeture
Dans les entreprises de moindre taille, la stratégie consiste davantage à décaler de quelques mois la date couperet :
l’usine de composants électroniques Freescale, qui emploie 821 salariés, reporte ainsi à juin 2012 sa fermeture ;
quand le raffineur Petroplus, de Petit-Couronne, placé en redressement judiciaire, décroche un contrat de six mois avec Shell. Nicolas Sarkozy s’en attribue la responsabilité ;
Albany, qui fabrique des tissus techniques, renonce de son côté à la fermeture immédiate
de son usine de Saint-Junien.
Les banques, elles, ne s’embarrassent pas et mettent d’ores et déjà en place des PSE,
qu’elles expliquent par la crise économique. Mais dans les secteurs porteurs aussi, on licencie.
Nokia Siemens Network, spécialisée dans les réseaux mobiles, a annoncé début mars la suppression
de 186 postes sur 460 en France. Une réduction de 40% des effectifs.
Sources
http://www.rue89.com/rue89-eco/2012/04/19/des-plans-sociaux-reportes-pour-cause-de-presidentielle-231295
http://sos-crise.over-blog.com/article-des-plans-sociaux-reportes-pour-cause-de-presidentielle-104140478.html
Bien Amicalement.
5.000 postes devraient être supprimés fin 2012 dans l'immobilier
Bonjour à tous,
5.000 postes devraient être
supprimés fin 2012 dans l'immobilier
Le secrétaire général de la Fédération nationale de l'immobilier (Fnaim), Jean-françois Buet a annoncé
vendredi la suppression de 5.000 emplois dans le secteur immobilier au cours de l'année 2012.
En cause : la baisse de 20% des transactions de logements anciens.
Alors que 350 cessations d'activités d'agences ont été relevées au cours du premier semestre,
5.000 postes devraient être supprimés courant 2012 dans les agences immobilières.
On en décompte 35.000 en France employant au total 200.000 personnes,
sans compter les 50.000 agents commeciaux payés principalement à la commission.
Pour Jean-François Buet, secrétaire général de la Fédération nationale de l'immobilier (Fnaim),
ces suppressions d'emplois s'expliquent par "le nombre de transactions de logements anciens dans les agences"
qui "devrait baisser de 20% sur l'ensemble de 2012, comme au premier semestre, par rapport à 2011".
Les premières victimes de cette baisse? Les petites agences indépendantes selon Frédéric Monssu,
directeur général du groupe Guy Hoquet.
Ce groupe de 486 franchisés a effectivement enregistré une baisse de 8% de son chiffre d'affaires
au cours du premier semestre. Un constat partagé par Century 21 et ses 900 agences,
dont le nombre de transactions a reculé de 11% durant la même période.
Un marché morose
Pour autant, les prix de ventes eux ne diminuent quasiment pas. "Les particuliers qui vendent ne veulent pas, sauf exception, baisser leurs prix", explique Frédéric Monssu, même si "cela commence à bouger depuis le début du mois d'août", ajoute-t-il. Face à cette morosité du marché, les réseaux d'agences tentent de s'organiser.
"Si nous ne vendons pas le bien en 3 mois, nous baissons nos honoraires (4,3% du prix de vente en moyenne) de 10% tous les mois. De plus, si le prix de vente final est supérieur à 10% de l'estimation, nous faisons cadeau d'une partie de notre commission", indique le directeur du groupe Guy Hoquet.
indique de son côté déployer "un vaste plan de formation portant, entre autres,
sur les méthodes d'estimation du prix d'un logement afin que celui-ci se vende rapidement
et de façon satisfaisante tant pour le vendeur que pour l'acquéreur".
Malgré ces actions, l'année 2013 semble s'annoncer
aussi mal que 2012 pour le secteur de l'immobilier.
Source de l'article
Fnaim : 5.000 postes devraient être supprimés fin 2012 dans l'immobilier
http://www.franceinfo.fr/economie/fnaim-5-000-postes-devraient-etre-supprimes-fin-2012-dans-l-immobilier-724181-2012-08-31
Prix trop élevés, emprunts refusés, est-ce que l'ancien n'attire plus?
En bref, cela veut dire que le taux de TVA associé à la rénovation est voué à disparaître,
ce qui implique que nombres de petites entreprises du bâtiment vont mettre la clé sous la porte.
mais la liste ne s'arrête pas là, décorateurs, magasins d'aménagements.... Et je suis sûr que j'en oublie!
(Peut-on avoir une estimation du nombres de chômeurs supplémentaires en plus des soi disant 5000 postes).
Bien Amicalement
5.000 postes devraient être
supprimés fin 2012 dans l'immobilier
Le secrétaire général de la Fédération nationale de l'immobilier (Fnaim), Jean-françois Buet a annoncé
vendredi la suppression de 5.000 emplois dans le secteur immobilier au cours de l'année 2012.
En cause : la baisse de 20% des transactions de logements anciens.
Alors que 350 cessations d'activités d'agences ont été relevées au cours du premier semestre,
5.000 postes devraient être supprimés courant 2012 dans les agences immobilières.
On en décompte 35.000 en France employant au total 200.000 personnes,
sans compter les 50.000 agents commeciaux payés principalement à la commission.
Pour Jean-François Buet, secrétaire général de la Fédération nationale de l'immobilier (Fnaim),
ces suppressions d'emplois s'expliquent par "le nombre de transactions de logements anciens dans les agences"
qui "devrait baisser de 20% sur l'ensemble de 2012, comme au premier semestre, par rapport à 2011".
Les premières victimes de cette baisse? Les petites agences indépendantes selon Frédéric Monssu,
directeur général du groupe Guy Hoquet.
Ce groupe de 486 franchisés a effectivement enregistré une baisse de 8% de son chiffre d'affaires
au cours du premier semestre. Un constat partagé par Century 21 et ses 900 agences,
dont le nombre de transactions a reculé de 11% durant la même période.
Un marché morose
Pour autant, les prix de ventes eux ne diminuent quasiment pas. "Les particuliers qui vendent ne veulent pas, sauf exception, baisser leurs prix", explique Frédéric Monssu, même si "cela commence à bouger depuis le début du mois d'août", ajoute-t-il. Face à cette morosité du marché, les réseaux d'agences tentent de s'organiser.
"Si nous ne vendons pas le bien en 3 mois, nous baissons nos honoraires (4,3% du prix de vente en moyenne) de 10% tous les mois. De plus, si le prix de vente final est supérieur à 10% de l'estimation, nous faisons cadeau d'une partie de notre commission", indique le directeur du groupe Guy Hoquet.
Chez Century 21 on se mobilise également. Laurent Vimont, président du groupe,
Le crédit immobilier se porte mal. Avec un décrochage de 40% en février 2012,
la chute devrait même se poursuivre. Les données de la Banque de France sont confortées
par les derniers chiffres de l'Observatoire du crédit immobilier : entre décembre 2011 et janvier 2012,
les crédits immobiliers se sont effondrés de 56%.
La baisse des taux immobiliers ne changera rien, les crédits immobiliers vont continuer à chuter.
Plusieurs facteurs expliquent cette tendance. Premièrement, la suppression du PTZ Plus (Prêt à Taux Zéro Plus)
dans l'ancien a durement touché les primo-accédants. Face au niveau des prix du neuf,
le PTZ Plus ne permet pas aux acquéreurs potentiels de devenir propriétaires d'un bien immobilier
dans un programme neuf. Selon le courtier Empruntis, la réforme du dispositif d'accompagnement
a exclu « 10% des candidats à l'achat ».
Deuxième facteur qui ne permettra pas aux crédits immobiliers de redécoller : la suspicion des banques.
Les établissements bancaires se prémunissent de plus en plus contre les ménages
qui ne pourront pas rembourser leurs prêts immobiliers.
(...)
Crédit immobilier : la chute va se poursuivre
http://www.diagnostic-expertise.com/credit/actualite-credit-credit-immobilier-la-chute-va-se-poursuivre-3947.php
indique de son côté déployer "un vaste plan de formation portant, entre autres,
sur les méthodes d'estimation du prix d'un logement afin que celui-ci se vende rapidement
et de façon satisfaisante tant pour le vendeur que pour l'acquéreur".
Malgré ces actions, l'année 2013 semble s'annoncer
aussi mal que 2012 pour le secteur de l'immobilier.
Source de l'article
Fnaim : 5.000 postes devraient être supprimés fin 2012 dans l'immobilier
http://www.franceinfo.fr/economie/fnaim-5-000-postes-devraient-etre-supprimes-fin-2012-dans-l-immobilier-724181-2012-08-31
Prix trop élevés, emprunts refusés, est-ce que l'ancien n'attire plus?
En bref, cela veut dire que le taux de TVA associé à la rénovation est voué à disparaître,
ce qui implique que nombres de petites entreprises du bâtiment vont mettre la clé sous la porte.
mais la liste ne s'arrête pas là, décorateurs, magasins d'aménagements.... Et je suis sûr que j'en oublie!
(Peut-on avoir une estimation du nombres de chômeurs supplémentaires en plus des soi disant 5000 postes).
Bien Amicalement
La carte de France des emplois menacés
Bonjour à tous,
La carte de France des emplois menacés
Afficher Leparisien.fr : la carte de France des emplois menacés sur une carte plus grande
Bien Amicalement.
La carte de France des emplois menacés
Afficher Leparisien.fr : la carte de France des emplois menacés sur une carte plus grande
Bien Amicalement.
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