TV Lobotomie - la vérité scientifique sur les effets de la télévision
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TV Lobotomie - la vérité scientifique sur les effets de la télévision
Bonjour à tous,
Michel Desmurget est docteur en neurosciences.
Après avoir fréquenté plusieurs grandes universités américaines (MIT, Emory, UCSF),
il est aujourd'hui directeur de recherche à l'INSEM. Il est l'auteur de Mad in USA (Max Milo, 2008).
Résumé du livre
Sophie, 2 ans, regarde la télé 1 heure par jour. Cela double ses chances de présenter des troubles attentionnels en grandissant. Lubin, 3 ans, regarde la télé 2 heures par jour. Cela triple ses chances d'être en surpoids. Kevin, 4 ans, regarde des programmes jeunesse violents comme DragonBall Z. Cela quadruple ses chances de présenter des troubles du comportement quand il sera à l'école primaire. Silvia, 7 ans, regarde la télé 1 heure par jour. Cela augmente de plus d'un tiers ses chances de devenir une adulte sans diplôme. Lina, 15 ans, regarde des séries comme Desperate Housewives. Cela triple ses chances de connaître une grossesse précoce non désirée. Entre 40 et 60 ans, Yves a regardé la télé 1 heure par jour. Cela augmente d'un tiers ses chances de développer la maladie d'Alzheimer. Henri, 60 ans, regarde la télé 4 heures par jour. René, son jumeau, se contente de la moitié. Henri a 2 fois plus de chances de mourir d'un infarctus que René. Chaque mois, les revues scientifiques internationales publient des dizaines de résultats de ce genre. Pour les spécialistes, dont fait partie l'auteur, il n'y a plus de doute : la télévision est un fléau. Elle exerce une influence profondément négative sur le développement intellectuel, les résultats scolaires, le langage, l'attention, l'imagination, la créativité, la violence, le sommeil, le tabagisme, l'alcoolisme, la sexualité, l'image du corps, le comportement alimentaire, l'obésité et l'espérance de vie. Ces faits sont niés avec un aplomb fascinant par l'industrie audiovisuelle et son armée d'experts complaisants. La stratégie n'est pas nouvelle : les cigarettiers l'avaient utilisée, en leur temps, pour contester le caractère cancérigène du tabac...
Livre très important, certainement le livre du siècle, vu son importance pour comprendre le monde qui nous entoure. Livre écrit par un docteur en neurosciences, Michel Desmurget, riche de 1200 références scientifiques
et notes de bas de page. Une oeuvre majeure qui explique comment, insidieusement,
la télévision a détruit le cerveau humain puisqu'à partir d'un certain quota d'heures par jour,
certains cerveaux pouvaient être amputés de 25 % de connections synaptiques !!!
La promotion des vices et des addictions est permanente : alcool, sexualité débridée, cigarette,...
Ces promotions ont une répercussion directe dans la société.
Conférence Michel Desmurget - TV Lobotomie par CO-BE-MA
Bien Amicalement.
Michel Desmurget est docteur en neurosciences.
Après avoir fréquenté plusieurs grandes universités américaines (MIT, Emory, UCSF),
il est aujourd'hui directeur de recherche à l'INSEM. Il est l'auteur de Mad in USA (Max Milo, 2008).
Résumé du livre
Sophie, 2 ans, regarde la télé 1 heure par jour. Cela double ses chances de présenter des troubles attentionnels en grandissant. Lubin, 3 ans, regarde la télé 2 heures par jour. Cela triple ses chances d'être en surpoids. Kevin, 4 ans, regarde des programmes jeunesse violents comme DragonBall Z. Cela quadruple ses chances de présenter des troubles du comportement quand il sera à l'école primaire. Silvia, 7 ans, regarde la télé 1 heure par jour. Cela augmente de plus d'un tiers ses chances de devenir une adulte sans diplôme. Lina, 15 ans, regarde des séries comme Desperate Housewives. Cela triple ses chances de connaître une grossesse précoce non désirée. Entre 40 et 60 ans, Yves a regardé la télé 1 heure par jour. Cela augmente d'un tiers ses chances de développer la maladie d'Alzheimer. Henri, 60 ans, regarde la télé 4 heures par jour. René, son jumeau, se contente de la moitié. Henri a 2 fois plus de chances de mourir d'un infarctus que René. Chaque mois, les revues scientifiques internationales publient des dizaines de résultats de ce genre. Pour les spécialistes, dont fait partie l'auteur, il n'y a plus de doute : la télévision est un fléau. Elle exerce une influence profondément négative sur le développement intellectuel, les résultats scolaires, le langage, l'attention, l'imagination, la créativité, la violence, le sommeil, le tabagisme, l'alcoolisme, la sexualité, l'image du corps, le comportement alimentaire, l'obésité et l'espérance de vie. Ces faits sont niés avec un aplomb fascinant par l'industrie audiovisuelle et son armée d'experts complaisants. La stratégie n'est pas nouvelle : les cigarettiers l'avaient utilisée, en leur temps, pour contester le caractère cancérigène du tabac...
Livre très important, certainement le livre du siècle, vu son importance pour comprendre le monde qui nous entoure. Livre écrit par un docteur en neurosciences, Michel Desmurget, riche de 1200 références scientifiques
et notes de bas de page. Une oeuvre majeure qui explique comment, insidieusement,
la télévision a détruit le cerveau humain puisqu'à partir d'un certain quota d'heures par jour,
certains cerveaux pouvaient être amputés de 25 % de connections synaptiques !!!
La promotion des vices et des addictions est permanente : alcool, sexualité débridée, cigarette,...
Ces promotions ont une répercussion directe dans la société.
Conférence Michel Desmurget - TV Lobotomie par CO-BE-MA
Bien Amicalement.
Neuromarketing : votre cerveau les intéresse
Bonjour à tous,
Neuromarketing : votre cerveau les intéresse
Pour vous frapper au porte-monnaie, les grandes marques ont une arme infaillible : choyer votre cerveau en le bombardant d'émotions positives — effluves agréables diffusés dans les restaurants, rires provoqués
par les messages publicitaires, cadeaux offerts dans les menus « enfant »... Ainsi stimulé — et leurré —,
le cerveau du consommateur produit de l'endorphine, l'hormone du plaisir. Et associe, dès lors, le passage
en caisse à un acte procurant une sensation de bien-être. Une aubaine pour qui a quelque chose à vous vendre.
Pratique tenue secrète, le neuromarketing s'appuie sur des technologies réservées d'ordinaire à la médecine
et à la recherche scientifique. Dont l'imagerie par résonance magnétique, utilisée par de grands groupes
(dont McDonald's) pour tester l'effet des stimulis agréables sur le cortex de clients panélisés.
En France, pourtant, l'usage de l'IRM à des fins commerciales est strictement interdit par la loi.
Les marques sont de plus en plus nombreuses à scruter le cerveau de leurs clients.
A l'aide d'IRM ou d'électroencéphalogramme, elles se livrent à des études sur le subconscient
pour pousser à acheter. C'est le «neuromarketing», une pratique interdite. Une chaine de restauration
rapide a notamment expérimenté des odeurs artificielles sur des cerveaux de consommateurs.
Un géant de l'industrie cosmétique, un service public et le secteur bancaire sont eux-aussi démasqués.
Portrait également de Jean-Luc Touly qui se bat contre la marchandisation de l'eau tout en étant salarié de Veolia,
le numéro un mondial de la gestion de l'eau. Auteur d'un livre à charge contre son entreprise, il a été licencié
puis réintégré après des années de procédure. Il tente de convaincre convaincre des communes de revenir
à une gestion publique de l'eau.
Documentation sur le Neuromarketing (pdf)
Définition et champs d’application du neuromarketing
http://www.netviewer.com/fileadmin/user_upload/pdf/citrix/whitepaper/116FR_WP_Neuromarketing.pdf
Le neuromarketing en action
http://multimedia.fnac.com/multimedia/editorial/pdf/9782212546255.pdf
Bien Amicalement.
Neuromarketing : votre cerveau les intéresse
Pour vous frapper au porte-monnaie, les grandes marques ont une arme infaillible : choyer votre cerveau en le bombardant d'émotions positives — effluves agréables diffusés dans les restaurants, rires provoqués
par les messages publicitaires, cadeaux offerts dans les menus « enfant »... Ainsi stimulé — et leurré —,
le cerveau du consommateur produit de l'endorphine, l'hormone du plaisir. Et associe, dès lors, le passage
en caisse à un acte procurant une sensation de bien-être. Une aubaine pour qui a quelque chose à vous vendre.
Pratique tenue secrète, le neuromarketing s'appuie sur des technologies réservées d'ordinaire à la médecine
et à la recherche scientifique. Dont l'imagerie par résonance magnétique, utilisée par de grands groupes
(dont McDonald's) pour tester l'effet des stimulis agréables sur le cortex de clients panélisés.
En France, pourtant, l'usage de l'IRM à des fins commerciales est strictement interdit par la loi.
Les marques sont de plus en plus nombreuses à scruter le cerveau de leurs clients.
A l'aide d'IRM ou d'électroencéphalogramme, elles se livrent à des études sur le subconscient
pour pousser à acheter. C'est le «neuromarketing», une pratique interdite. Une chaine de restauration
rapide a notamment expérimenté des odeurs artificielles sur des cerveaux de consommateurs.
Un géant de l'industrie cosmétique, un service public et le secteur bancaire sont eux-aussi démasqués.
Portrait également de Jean-Luc Touly qui se bat contre la marchandisation de l'eau tout en étant salarié de Veolia,
le numéro un mondial de la gestion de l'eau. Auteur d'un livre à charge contre son entreprise, il a été licencié
puis réintégré après des années de procédure. Il tente de convaincre convaincre des communes de revenir
à une gestion publique de l'eau.
Cash Investigation - NeuroMarketing from AbouBilalTv on Vimeo.
Documentation sur le Neuromarketing (pdf)
Définition et champs d’application du neuromarketing
http://www.netviewer.com/fileadmin/user_upload/pdf/citrix/whitepaper/116FR_WP_Neuromarketing.pdf
Le neuromarketing en action
http://multimedia.fnac.com/multimedia/editorial/pdf/9782212546255.pdf
Bien Amicalement.
Dernière édition par Silver Wisdom le Ven 24 Aoû - 6:04, édité 1 fois (Raison : Mise à jour de lien vidéo)
Neuromarketing : IRM et manipulation de masse
Bonjour à tous,
Neuromarketing : IRM et manipulation de masse
Motivés par une recherche d’efficacité et de retour sur investissement,
les IRM fonctionnelles semblent appelées à devenir l’outil privilégié des publicitaires en 2012.
La publicité a augmenté et doublé en 10 ans
Nous n'ignorions pas que les sorciers du marketing cherchaient par tous les moyens, études cognitives à l'appui,
d'impacter notre subconscient vers des objectifs de consommation.
Selon Jean-Baptiste Godinot, président de l’asbl RESPIRE, nous subissons entre 2500 et 15 000 impacts publicitaires par jour.
On en perçoit 15% pour en retenir 1%. Les investissements publicitaires représentent 500 à 1000 milliards d’euros d’investissement
annuel au niveau mondial, 30 milliards d’euros en France en 2010 , soit une multiplication par deux en 10 ans.
Pourtant, les experts s’accordent pour dire qu’un message sur trois manquerait sa cible.
3 questions à Dorothée Rieu, docteur en neurosciences, fondatrice et dirigeante de l'institut Mediamento.
Neurosciences, sciences cognitives, ou neuromarketing : des leviers d’avenir ?
http://www.strategies.fr/formation/309/neurosciences--sciences-cognitives--ou-neuromarketing---des-leviers-d-avenir--.html?xtor=AL-33648?
Les professionels du secteur cherchent à réduire cet écart et sont à l’affût de ce qui déclenchera
immanquablement le réflexe d’achat chez le consommateur.
Les vielles approches en trois phases : cognition, affect et comportement, sont dépassées depuis belle lurette.
Aujourd'hui ces experts touchent nos sens, nos émotions, notre identité (l'appartenance à un groupe), et notre inconscient profond.
L'outil IRM passe de la santé à la consommation
N'imaginons pas que seuls les analystes en marketing détiennent le monopole de ces études.
Freud et Yung ont été remerciés, et leurs élèves les ont vendus contre une science d'étude absolument imparable.
L’économie s'est mariée aux neurosciences pour donner naissance à la neuroéconomie, qui étudie,
notamment grâce aux techniques d’imagerie cérébrale, l’influence des facteurs cognitifs et émotionnels dans nos décisions d'achats.
Sa petite soeur, la neuromarketing, tente de mesurer la façon dont un produit affecte notre inconscient et influe sur nos comportements d’achat.
Il ne manquait plus que l'usage de l'imagerie de résonance magnétique fonctionnelle IRMF, si chère à notre médecine,
pour influencer notre consommation. N'en restons pas là, car au nom de l'économie tout est bon ! électro-encéphalogramme
ou encore l’électromyographie (EMG) sont utilisés par des marques afin de mesurer l’impact de publicités sur le consommateur.
Des IRMF soumettent des cobayes à de nombreuses photos, vidéos, odeurs, objets, aliments, etc, pour observer
quelles zones du cerveau sont activées. Des scientifiques spécialisés en neurosciences analysent les interactions entre ces zones,
qui, croisées avec l’inconscient et la prédétermination sociale, conditionneront le comportement des consommateurs.
Les stratégies et campagnes marketing se rendent plus efficaces, et notre illusion d'autonomie et de liberté d'action prend tout son sens.
La preuve en est, que ces méthodes rendent inutile l'affichage obligatoire d'une marque ou d'un logo. Le guru du neuromarketing,
Martin Lindstrom , estime que les pubs les plus percutantes sont celles sans logo, qui dissimulent les marques mais s’arrangent
pour être identifiables. Les processus inconscients d’identification, d’appartenance à un groupe, sont des amplificateurs redoutables
sans que cela ne coûte rien à la marque. Il suffit d'observer l'assurance des utilisateurs de casques (écouteurs) "blancs" de la marque Apple.
Mac Donald a testé le neuromarketing ?
Mac Donald’s, révélé comme ayant testé sous IRM des odeurs afin de déterminer laquelle positionnait la marque comme saine,
se défend d’avoir manipulé ses clients. Il s’agissait juste d’un test, disent-ils, sur ses nettoyants. Pourtant, Gemma Calvert a fondé en 1997
la société Neurosense et a comme client des sociétés comme Unilever, Intel, McDonald’s, Procter & Gamble, MTV ou encore Viacom.
Une centaine d’entreprises de neuromarketing, des USA jusqu'en Belgique, dépensent jusqu’à 120 000 € pour une étude de neuromarketing, sachant qu'un test IRM coûte environ 1000€. Les marques les plus riches y ont accès, de même que des sociétés de transport,
des banques et des assurances, bien qu’elles s’en défendent, craignant que cela nuise à leur image.
Encore plus futuristes, certaines recherches démontrant qu’il serait possible de “lire dans les pensées” d’un individu en lui envoyant
“simplement” sur le front un faisceau lumineux. La lumière pénétrerait dans le cortex frontal de l’individu et serait ensuite naturellement
renvoyée (principe du sonar) vers des capteurs extérieurs qui analyserait cette lumière et déterminerait ainsi les intentions de l’individu.
Nous sommes très clairement en face de manipulations de masses, jusqu'à se demander jusqu'où laisser ces individus agir,
ce qui alerte les associations de consommateurs comme Commercial Alert.
Comment des marketeurs ont-ils accès aux IRM ?
Il faut forcément l'intervention de médecins et d'équipes médicales pour faire usage de telles installations,
et cela va de soi, au sein d'hopitaux ou établissements de santé. Mais plus inquiétant, sont les questions qui en découlent.
les IRM à finalité commerciale. Mais si les entreprises peuvent confier leurs études en la matière à des laboratoires étrangers,
notamment belges, nous sommes face à une hypocrisie européenne; suivez mon regard.
Quels ont été les recommandation du Senat ?
Dès l'audition publique du 26 mars 2008, Olivier Oullier avait mis en garde contre les risques de confusion avec la neuroéconomie.
essaient de profiter des découvertes en neurosciences.
A la lumière de la nouvelle loi, on peut se demander comment sera interprétée l'action d'une société de marketing qui veut réaliser,
en France, une expérience d'IRM fonctionnelle sur une décision d'achat de consommateurs ? Une fois toutes les autorisations obtenues,
cette société ne possédant pas d'IRMf devra faire appel à un laboratoire public qui en possède un et payer une prestation
pour l'utilisation de l'IRMf, l'examen médical des sujets et le traitement des données. Les finalités de l'expérience sont bien commerciales,
mais l'expérience a été réalisée au sein d'un laboratoire de recherche scientifique. Comment caractériser les résultats obtenus ?
Dès lors il convient de lever toute ambiguïté et d'interdire clairement cette pratique.
Quels ont été les recommandation du Senat :
Interdire la validation de campagnes publicitaires ou d'expériences de neuromarketing
par le recours à des IRM dédiées au soin et à la recherche scientifique et médicale.
L'impact et les enjeux des nouvelles technologies d'exploration et de thérapie du cerveau (Rapport)
http://www.senat.fr/rap/r11-476-1/r11-476-156.html
Comment qualifier ces pseudos recherches
Certains seraient tentés de croire que ces recherches sur les circuits neuronaux du consommateur perdra son sens,
quand le pouvoir d'achat en berne, aura fini de parler pour imposer la sobriété. Selon Olivier Oullier, le contexte risque
de pousser les professionnels à plus d'efficacité, de rationalité, de recherche donc.
Certains se croient permis du " fascisme de la consommation", termes forts mais peut-être pas si faux en soi.
Oui car agir sur l’inconscient à l’insu du sujet constitue une atteinte à la liberté en le privant de son libre arbitre,
de toute possibilité de résistance ou d’opposition.
Neuromarketing : IRM et manipulation de masse
http://www.idealmag.org/Neuromarketing-IRM-et-manipulation-de-masse_a424.html
Bien Amicalement.
Neuromarketing : IRM et manipulation de masse
Motivés par une recherche d’efficacité et de retour sur investissement,
les IRM fonctionnelles semblent appelées à devenir l’outil privilégié des publicitaires en 2012.
La publicité a augmenté et doublé en 10 ans
Nous n'ignorions pas que les sorciers du marketing cherchaient par tous les moyens, études cognitives à l'appui,
d'impacter notre subconscient vers des objectifs de consommation.
Selon Jean-Baptiste Godinot, président de l’asbl RESPIRE, nous subissons entre 2500 et 15 000 impacts publicitaires par jour.
On en perçoit 15% pour en retenir 1%. Les investissements publicitaires représentent 500 à 1000 milliards d’euros d’investissement
annuel au niveau mondial, 30 milliards d’euros en France en 2010 , soit une multiplication par deux en 10 ans.
Pourtant, les experts s’accordent pour dire qu’un message sur trois manquerait sa cible.
3 questions à Dorothée Rieu, docteur en neurosciences, fondatrice et dirigeante de l'institut Mediamento.
Neurosciences, sciences cognitives, ou neuromarketing : des leviers d’avenir ?
http://www.strategies.fr/formation/309/neurosciences--sciences-cognitives--ou-neuromarketing---des-leviers-d-avenir--.html?xtor=AL-33648?
Les professionels du secteur cherchent à réduire cet écart et sont à l’affût de ce qui déclenchera
immanquablement le réflexe d’achat chez le consommateur.
Les vielles approches en trois phases : cognition, affect et comportement, sont dépassées depuis belle lurette.
Aujourd'hui ces experts touchent nos sens, nos émotions, notre identité (l'appartenance à un groupe), et notre inconscient profond.
L'outil IRM passe de la santé à la consommation
N'imaginons pas que seuls les analystes en marketing détiennent le monopole de ces études.
Freud et Yung ont été remerciés, et leurs élèves les ont vendus contre une science d'étude absolument imparable.
L’économie s'est mariée aux neurosciences pour donner naissance à la neuroéconomie, qui étudie,
notamment grâce aux techniques d’imagerie cérébrale, l’influence des facteurs cognitifs et émotionnels dans nos décisions d'achats.
Sa petite soeur, la neuromarketing, tente de mesurer la façon dont un produit affecte notre inconscient et influe sur nos comportements d’achat.
Il ne manquait plus que l'usage de l'imagerie de résonance magnétique fonctionnelle IRMF, si chère à notre médecine,
pour influencer notre consommation. N'en restons pas là, car au nom de l'économie tout est bon ! électro-encéphalogramme
ou encore l’électromyographie (EMG) sont utilisés par des marques afin de mesurer l’impact de publicités sur le consommateur.
Vous l'avez bien compris, nous sommes soumis à une manipulation forcée.(...)Imagerie par Résonnance Magnétique Fonctionnelle : Détecte les variations d'oxygène
dans le sang induites par l'activité neuronale (le signal BOLD). Une augmentation de ce signal BOLD correspond
à une activation neuronale plus élevée. Cette technique permet de localiser avec précision les zones cérébrales activées
lors d’une tâche cognitive.
Définitions des outils en neuromarketing
http://neuromarketing.over-blog.com/pages/Definitions_des_outils_en_neuromarketing-1181223.html
Les marketeurs en rêvent, la science y travaille. Lire dans le cerveau humain pour en comprendre
et en anticiper les réactions. Afin de le soigner pour les uns, d’y vendre pour les autres.
Car c’est tout l’enjeu du neuromarketing : “cartographier le processus d’achat dans le cerveau des consommateurs”,
résume Christian Ballouard, consultant, coach et formateur. Et à première vue, le pari semble tenable,
tant les neurosciences ont progressé dans la connaissance des mécanismes de l’encéphale humain,
notamment via les IRMF (image à résonance magnétique fonctionnelle).
“On sait aujourd’hui que lorsqu’une partie du cerveau travaille, elle a besoin de plus d’énergie, donc d’oxygène,
explique Olivier Oullier, enseignant-chercheur en neurosciences à l’université de Provence.
Cette augmentation de la consommation d’oxygène s’accompagne de phénomènes magnétiques
que l’on enregistre grâce à l’IRMF.” En résumé, les scientifiques sont aujourd’hui capables de détecter
les parties du cerveau stimulées à un instant T. Des connaissances qui intéressent marketteurs
et autres publicitaires à des fins commerciales, d’autant que, poursuit Olivier Oullier,
“les réseaux bien connus actuellement sont le circuit des émotions, de la récompense, qui participent
aux mécanismes d’addiction, et le circuit moteur.”
Bref, si la zone correspondant au plaisir s’active à la vue de mon visuel, c’est que celui-ci va faire mouche.
Si la publicité pour mon steack active l’appétit, c’est gagné. Pas si simple.
(...)
Neuromarketing : Lire dans le cerveau
http://www.lenouveleconomiste.fr/lesdossiers/neuromarketing-lire-dans-le-cerveau-9995/#.UTcbHTuCLOc
Des IRMF soumettent des cobayes à de nombreuses photos, vidéos, odeurs, objets, aliments, etc, pour observer
quelles zones du cerveau sont activées. Des scientifiques spécialisés en neurosciences analysent les interactions entre ces zones,
qui, croisées avec l’inconscient et la prédétermination sociale, conditionneront le comportement des consommateurs.
Les stratégies et campagnes marketing se rendent plus efficaces, et notre illusion d'autonomie et de liberté d'action prend tout son sens.
La preuve en est, que ces méthodes rendent inutile l'affichage obligatoire d'une marque ou d'un logo. Le guru du neuromarketing,
Martin Lindstrom , estime que les pubs les plus percutantes sont celles sans logo, qui dissimulent les marques mais s’arrangent
pour être identifiables. Les processus inconscients d’identification, d’appartenance à un groupe, sont des amplificateurs redoutables
sans que cela ne coûte rien à la marque. Il suffit d'observer l'assurance des utilisateurs de casques (écouteurs) "blancs" de la marque Apple.
Mac Donald a testé le neuromarketing ?
Mac Donald’s, révélé comme ayant testé sous IRM des odeurs afin de déterminer laquelle positionnait la marque comme saine,
se défend d’avoir manipulé ses clients. Il s’agissait juste d’un test, disent-ils, sur ses nettoyants. Pourtant, Gemma Calvert a fondé en 1997
la société Neurosense et a comme client des sociétés comme Unilever, Intel, McDonald’s, Procter & Gamble, MTV ou encore Viacom.
Une centaine d’entreprises de neuromarketing, des USA jusqu'en Belgique, dépensent jusqu’à 120 000 € pour une étude de neuromarketing, sachant qu'un test IRM coûte environ 1000€. Les marques les plus riches y ont accès, de même que des sociétés de transport,
des banques et des assurances, bien qu’elles s’en défendent, craignant que cela nuise à leur image.
Encore plus futuristes, certaines recherches démontrant qu’il serait possible de “lire dans les pensées” d’un individu en lui envoyant
“simplement” sur le front un faisceau lumineux. La lumière pénétrerait dans le cortex frontal de l’individu et serait ensuite naturellement
renvoyée (principe du sonar) vers des capteurs extérieurs qui analyserait cette lumière et déterminerait ainsi les intentions de l’individu.
Nous sommes très clairement en face de manipulations de masses, jusqu'à se demander jusqu'où laisser ces individus agir,
ce qui alerte les associations de consommateurs comme Commercial Alert.
Comment des marketeurs ont-ils accès aux IRM ?
Il faut forcément l'intervention de médecins et d'équipes médicales pour faire usage de telles installations,
et cela va de soi, au sein d'hopitaux ou établissements de santé. Mais plus inquiétant, sont les questions qui en découlent.
Comment de simples laboratoires marketing ont-ils accès à des services IRM, à des fins mercantiles ?
Ces laboratoires de compétences scientifiques ne sont-ils pas tous financés par des fonds publics ?
Ces moyens techniques et intellectuels, détournés des recherches de santé,
confisquent-ils les intérêts médicaux de patients dont la santé en dépend ?
La question sur cette pratique a été soulevée au Senat, en France, courant 2008. La France aurait réagi en interdisant sur son sol, Ces laboratoires de compétences scientifiques ne sont-ils pas tous financés par des fonds publics ?
Ces moyens techniques et intellectuels, détournés des recherches de santé,
confisquent-ils les intérêts médicaux de patients dont la santé en dépend ?
les IRM à finalité commerciale. Mais si les entreprises peuvent confier leurs études en la matière à des laboratoires étrangers,
notamment belges, nous sommes face à une hypocrisie européenne; suivez mon regard.
Quels ont été les recommandation du Senat ?
Dès l'audition publique du 26 mars 2008, Olivier Oullier avait mis en garde contre les risques de confusion avec la neuroéconomie.
Il reconnaissait sans ambages que certains charlatans« Si le marché du neuromarketing existe, il ne faut absolument pas, et je n'insisterai jamais assez là-dessus,
faire l'amalgame avec la neuroéconomie qui est une discipline universitaire rigoureuse dont les finalités
ne sont nullement commerciales. Mieux comprendre comment nos émotions peuvent intervenir
dans les décisions économiques et morales peut avoir un impact positif y compris pour vaincre les mécanismes d'addiction,
par exemple, afin de savoir pourquoi les gens prennent la décision de replonger »
essaient de profiter des découvertes en neurosciences.
A la lumière de la nouvelle loi, on peut se demander comment sera interprétée l'action d'une société de marketing qui veut réaliser,
en France, une expérience d'IRM fonctionnelle sur une décision d'achat de consommateurs ? Une fois toutes les autorisations obtenues,
cette société ne possédant pas d'IRMf devra faire appel à un laboratoire public qui en possède un et payer une prestation
pour l'utilisation de l'IRMf, l'examen médical des sujets et le traitement des données. Les finalités de l'expérience sont bien commerciales,
mais l'expérience a été réalisée au sein d'un laboratoire de recherche scientifique. Comment caractériser les résultats obtenus ?
Dès lors il convient de lever toute ambiguïté et d'interdire clairement cette pratique.
Quels ont été les recommandation du Senat :
Interdire la validation de campagnes publicitaires ou d'expériences de neuromarketing
par le recours à des IRM dédiées au soin et à la recherche scientifique et médicale.
L'impact et les enjeux des nouvelles technologies d'exploration et de thérapie du cerveau (Rapport)
http://www.senat.fr/rap/r11-476-1/r11-476-156.html
Comment qualifier ces pseudos recherches
Certains seraient tentés de croire que ces recherches sur les circuits neuronaux du consommateur perdra son sens,
quand le pouvoir d'achat en berne, aura fini de parler pour imposer la sobriété. Selon Olivier Oullier, le contexte risque
de pousser les professionnels à plus d'efficacité, de rationalité, de recherche donc.
Certains se croient permis du " fascisme de la consommation", termes forts mais peut-être pas si faux en soi.
Oui car agir sur l’inconscient à l’insu du sujet constitue une atteinte à la liberté en le privant de son libre arbitre,
de toute possibilité de résistance ou d’opposition.
Sylvain Bdr
Source de l'articleNeuromarketing : IRM et manipulation de masse
http://www.idealmag.org/Neuromarketing-IRM-et-manipulation-de-masse_a424.html
Bien Amicalement.
Le danger de la télévision
Bonjour à tous,
Le danger de la télévision
“Autrefois, c’était vous qui faisiez les images.
Aujourd’hui, ce sont les images qui vous font”
“La violence à la télévision, ça donne envie de tout casser.
Sauf, hélas, la télévision.”
Aujourd’hui, ce sont les images qui vous font”
“La violence à la télévision, ça donne envie de tout casser.
Sauf, hélas, la télévision.”
Cruauté, violences psychologiques et sexuelles, humiliations : la téléréalité semble devenue folle. Son arrivée au début des années 2000 ouvrait une nouvelle ère dans l’histoire de l’audiovisuel. Cinquante ans d’archives retracent l’évolution du divertissement : comment la mise en scène de l’intime, dans les années 80, a ouvert un nouveau champ, comment la privatisation des plus grandes chaînes a modifié le rapport au téléspectateur. À l’aide de spécialistes, dont le philosophe Bernard Stiegler, ce documentaire démontre comment l’émotion a fait place à l’exacerbation des pulsions les plus destructrices.
Malgré tous les discours, l’acroissement considérable du déclin moral de notre société depuis ces dernières décennies se voit comme à l’oeil lorsque l’on considère le seul média qu’est la télévision d’aujourd’hui ; sa dégradation étant considérable et une majorité de personnes se laissant absorber plusieurs heures par jour devant elle sans réellement en discerner le côté hautement néfaste, entraine la psychée ambiante dans une spirale négative très dangereuse. Finalement, il ne serait pas faux de dire que la télévision a contribué à ouvrir une boîte de Pandore en plein salon.
Un excellent documentaire sur les dangers socio-culturelles que represente le media televisuel, notamment la tele-réalité. Bernard Stiegler termine avec une phrase fracassante de vérité qui fait du sens lorsqu’on prend le temps de faire le bilan des 30 dernieres annees de television et de transformation de la societe.
Malgré tous les discours, l’acroissement considérable du déclin moral de notre société depuis ces dernières décennies se voit comme à l’oeil lorsque l’on considère le seul média qu’est la télévision d’aujourd’hui ; sa dégradation étant considérable et une majorité de personnes se laissant absorber plusieurs heures par jour devant elle sans réellement en discerner le côté hautement néfaste, entraine la psychée ambiante dans une spirale négative très dangereuse. Finalement, il ne serait pas faux de dire que la télévision a contribué à ouvrir une boîte de Pandore en plein salon.
Un excellent documentaire sur les dangers socio-culturelles que represente le media televisuel, notamment la tele-réalité. Bernard Stiegler termine avec une phrase fracassante de vérité qui fait du sens lorsqu’on prend le temps de faire le bilan des 30 dernieres annees de television et de transformation de la societe.
Publiée le 11 nov. 2012 par QuenelleDe300
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Bien Amicalement.
Dernière édition par Silver Wisdom le Mar 1 Avr - 13:57, édité 1 fois (Raison : Modification lien vidéo)
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