Les Etats-Unis envoyent un vieux navire de guerre dans le golfe Persique
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Les Etats-Unis envoyent un vieux navire de guerre dans le golfe Persique
Bonjour à tous,
Le Secrétaire à la Défense, Leon Panetta, a juré de maintenir une flotte de onze navires de guerre,
malgré les pressions budgétaires, surtout pour le "Project Sea Power" contre l'Iran.
A bord du porte-avions américain le plus ancien, l'USS Enterprise,
Panetta a déclaré à la foule de 1700 marins que le navire de 50 ans se dirige vers la région du golfe Persique,
dans un message direct à Téhéran.
"La raison pour laquelle nous maintenons une présence au Moyen-Orient ...
Nous voulons qu'ils sachent que nous sommes pleinement préparés à faire face à toute éventualité
et qu'il vaut mieux pour eux d'essayer de traiter avec nous à travers la diplomatie..."
L'USS Enterprise est le navire le plus ancien en service actif dans la flotte navale américaine et ses missions remontent à la crise des missiles cubains en 1962 et à la guerre du Vietnam.
US to send old warship to Persian Gulf
Mais où est le leurre me direz vous?
USS Enterprise False Flag!!
Ajoutée par Snordelhans le 23 janvier 2012.
Pour ceux mal à l'aise avec la langue Anglaise voici la traduction :
Avec l'effondrement de l'embargo sur le pétrole pour forcer l'Iran dans une confrontation sur le détroit d'Ormuz,
les Etats-Unis et Israël sont à la recherche d'une autre façon d'obtenir le conflit militaire
déjà enclenché avec l'Iran et plus précisément,
le besoin de faire croire que l'Iran commence les hostilités afin de rendre politiquement
plus difficile pour la Russie et la Chine de soutenir l'Iran.
Maintenant, rappelons que Israël a des antécédents en attaquant des navires de guerre américains
et montant un coup contre d'autres pour tromper les Etats-Unis dans les attaques contre les ennemis d'Israël,
avec l'attaque israélienne contre l'USS Liberty (initialement attribué à l'Egypte) comme le plus connu par exemple.
Nous avons donc ici l'USS Enterprise, le plus ancien porte-avions de la flotte, dans ces dernières heures,
puisqu'il devrait être déclassé l'année prochaine.
Son nom est bien connu, en partie à cause de la série TV Star Trek.
Le démantèlement d'un porte-avions nucléaire est un processus très coûteux.
L'USS Enterprise est alimenté par huit réacteurs nucléaires,
qui doivent tous être éliminés comme déchets nucléaires avec tous les équipements associés.
La marine américaine économiserait beaucoup d'argent, plus que la valeur de la ferraille de l'acier,
si l'USS Enterprise devait être coulé dans le golfe Persique,
où les dégâts radioactifs seront le problème que d'autres auront à traiter.
Alors, pourquoi envoyer un ancien navire en fin de vie dans un but plus que suspect???
Pour la même raison que Franklin Roosevelt a fait déplacer un tas de navires de guerre obsolètes
de San Diego à Pearl Harbor, alors que les nouveaux porte-avions et les navires de guerre
étaient bien loin de Hawaï le 7 Décembre 1941.
Israël a 3 sous-marins Dolphin, que lui a donné l' Allemagne.
Ils ont été vus transitant par le canal de Suez dans le passé,
et pourraient bien être opérationnels dans le golfe d'Oman, et même maintenant dans le golfe Persique,
à l'affût d'un navire usé (vieux)-et obsolète, plus utile comme un agneau sacrifié qu'une arme réelle,
un navire avec des marins américains, à attaquer comme Israël a attaqué le USS Liberty,
puis de blâmer la cible désignée, l'Iran, par des médias serviles.
Si vous êtes d'accord avec mon analyse, s'il vous plaît envoyer la vidéo ci-dessus partout
où vous apercevez cette histoire de porte-avions. Si nous pouvons les faire douter qu'un "False Flag" sera compris, peut-être qu'ils l'annuleront!!!
Bien Amaicalement
Le Secrétaire à la Défense, Leon Panetta, a juré de maintenir une flotte de onze navires de guerre,
malgré les pressions budgétaires, surtout pour le "Project Sea Power" contre l'Iran.
A bord du porte-avions américain le plus ancien, l'USS Enterprise,
Panetta a déclaré à la foule de 1700 marins que le navire de 50 ans se dirige vers la région du golfe Persique,
dans un message direct à Téhéran.
"La raison pour laquelle nous maintenons une présence au Moyen-Orient ...
Nous voulons qu'ils sachent que nous sommes pleinement préparés à faire face à toute éventualité
et qu'il vaut mieux pour eux d'essayer de traiter avec nous à travers la diplomatie..."
L'USS Enterprise est le navire le plus ancien en service actif dans la flotte navale américaine et ses missions remontent à la crise des missiles cubains en 1962 et à la guerre du Vietnam.
US to send old warship to Persian Gulf
Mais où est le leurre me direz vous?
USS Enterprise False Flag!!
Ajoutée par Snordelhans le 23 janvier 2012.
Pour ceux mal à l'aise avec la langue Anglaise voici la traduction :
Avec l'effondrement de l'embargo sur le pétrole pour forcer l'Iran dans une confrontation sur le détroit d'Ormuz,
les Etats-Unis et Israël sont à la recherche d'une autre façon d'obtenir le conflit militaire
déjà enclenché avec l'Iran et plus précisément,
le besoin de faire croire que l'Iran commence les hostilités afin de rendre politiquement
plus difficile pour la Russie et la Chine de soutenir l'Iran.
Maintenant, rappelons que Israël a des antécédents en attaquant des navires de guerre américains
et montant un coup contre d'autres pour tromper les Etats-Unis dans les attaques contre les ennemis d'Israël,
avec l'attaque israélienne contre l'USS Liberty (initialement attribué à l'Egypte) comme le plus connu par exemple.
Nous avons donc ici l'USS Enterprise, le plus ancien porte-avions de la flotte, dans ces dernières heures,
puisqu'il devrait être déclassé l'année prochaine.
Son nom est bien connu, en partie à cause de la série TV Star Trek.
Le démantèlement d'un porte-avions nucléaire est un processus très coûteux.
L'USS Enterprise est alimenté par huit réacteurs nucléaires,
qui doivent tous être éliminés comme déchets nucléaires avec tous les équipements associés.
La marine américaine économiserait beaucoup d'argent, plus que la valeur de la ferraille de l'acier,
si l'USS Enterprise devait être coulé dans le golfe Persique,
où les dégâts radioactifs seront le problème que d'autres auront à traiter.
Alors, pourquoi envoyer un ancien navire en fin de vie dans un but plus que suspect???
Pour la même raison que Franklin Roosevelt a fait déplacer un tas de navires de guerre obsolètes
de San Diego à Pearl Harbor, alors que les nouveaux porte-avions et les navires de guerre
étaient bien loin de Hawaï le 7 Décembre 1941.
Israël a 3 sous-marins Dolphin, que lui a donné l' Allemagne.
Ils ont été vus transitant par le canal de Suez dans le passé,
et pourraient bien être opérationnels dans le golfe d'Oman, et même maintenant dans le golfe Persique,
à l'affût d'un navire usé (vieux)-et obsolète, plus utile comme un agneau sacrifié qu'une arme réelle,
un navire avec des marins américains, à attaquer comme Israël a attaqué le USS Liberty,
puis de blâmer la cible désignée, l'Iran, par des médias serviles.
Si vous êtes d'accord avec mon analyse, s'il vous plaît envoyer la vidéo ci-dessus partout
où vous apercevez cette histoire de porte-avions. Si nous pouvons les faire douter qu'un "False Flag" sera compris, peut-être qu'ils l'annuleront!!!
Bien Amaicalement
Le directeur d’American Intel prépare le public pour un événement False Flag
Bonjour à tous,
Dees Illustration
Prêt à tous pour enter en guerre, les États-Unis se préparent à accuser l'Iran d'attaque sous fausse bannière.
«... il serait bien plus préférable si les Etats-Unis pouvaient citer une provocation Iranienne
pour justifier des frappes aériennes avant de les lancer. Manifestement, la plus scandaleuse, la plus meurtrière,
et plus l'action Iranienne serait délibérée, la meilleure situation tournerait en faveur des États-Unis.
Bien sûr, il serait très difficile pour les Etats-Unis d'inciter l'Iran à une telle provocation
sans que le reste du monde reconnaisse ce jeu, ce qui serait alors une grave atteinte.
(Une méthode qui aurait quelques chances de succès serait de mettre en place secrètement
un changement de régime dans l'espoir que Téhéran riposte ouvertement, ou même à moitié,
ce qui pourrait alors être présenté comme un acte d'agression non provoquée iranienne) ».
Ceci est tiré du rapport"Which Path to Persia?", page 84-85...
Les responsables de la politique extérieure américaine ont noté depuis des années maintenant que l'Iran,
en réalité, ne constitue pas une menace pour la sécurité nationale américaine ou israélienne
et que leur acquisition de l'arme nucléaire sert plus comme un moyen de dissuasion
contre de futures incursions militaires contre la République islamique par l'Occident,
que comme un moyen de lancer des attaques délibérées contre les pays
qui possèdent chacun la dissuasion nucléaire de l'échelle apocalyptique…
Pour lire la suite de cette pertinente réflexion
(en anglais) deTony Cartalucci
US Intel Director Prepares Public for False Flag Event
Vous pouvez consulter le rapport citer ci-dessus au lien suivant :
Which Path to Persia? Options for a New American Strategy toward Iran
Ce rapport est un produit de la Saban Center for Middle East Policy à la Brookings Institution.
Les essais ont été écrits par les universitaires de Saban Centre Daniel L. Byman, Martin Indyk,
Suzanne Maloney, Michael E. O'Hanlon, Kenneth M. Pollack, et Bruce Riedel.
Kenneth Pollack est également éditeur.
Aucune des idées exprimées dans ce volume doit être interprété comme représentant les vues
de l'un des auteurs individuels. La collection est un effort collaboratif, et les auteurs ont tenté
de présenter chacune des options de manière aussi objective que
possible, sans introduire leurs propres opinions subjectives.
Le but de cet exercice
était de faire ressortir les défis de toutes les options
et de permettre aux lecteurs de décider eux-mêmes
ce qu'ils croient être les meilleurs.
Tous les énoncés de faits, d'opinion ou d'analyse exprimés sont celles des auteurs
et ne reflètent pas les positions officielles ou les vues de la CIA
ou toutes autres agences gouvernementales U. S.
Ce matériel a été examiné par la CIA pour empêcher la divulgation d'informations classifiées.
Bien Amicalement.
Dees Illustration
Prêt à tous pour enter en guerre, les États-Unis se préparent à accuser l'Iran d'attaque sous fausse bannière.
«... il serait bien plus préférable si les Etats-Unis pouvaient citer une provocation Iranienne
pour justifier des frappes aériennes avant de les lancer. Manifestement, la plus scandaleuse, la plus meurtrière,
et plus l'action Iranienne serait délibérée, la meilleure situation tournerait en faveur des États-Unis.
Bien sûr, il serait très difficile pour les Etats-Unis d'inciter l'Iran à une telle provocation
sans que le reste du monde reconnaisse ce jeu, ce qui serait alors une grave atteinte.
(Une méthode qui aurait quelques chances de succès serait de mettre en place secrètement
un changement de régime dans l'espoir que Téhéran riposte ouvertement, ou même à moitié,
ce qui pourrait alors être présenté comme un acte d'agression non provoquée iranienne) ».
Ceci est tiré du rapport"Which Path to Persia?", page 84-85...
Les responsables de la politique extérieure américaine ont noté depuis des années maintenant que l'Iran,
en réalité, ne constitue pas une menace pour la sécurité nationale américaine ou israélienne
et que leur acquisition de l'arme nucléaire sert plus comme un moyen de dissuasion
contre de futures incursions militaires contre la République islamique par l'Occident,
que comme un moyen de lancer des attaques délibérées contre les pays
qui possèdent chacun la dissuasion nucléaire de l'échelle apocalyptique…
Pour lire la suite de cette pertinente réflexion
(en anglais) deTony Cartalucci
US Intel Director Prepares Public for False Flag Event
Vous pouvez consulter le rapport citer ci-dessus au lien suivant :
Which Path to Persia? Options for a New American Strategy toward Iran
Ce rapport est un produit de la Saban Center for Middle East Policy à la Brookings Institution.
Les essais ont été écrits par les universitaires de Saban Centre Daniel L. Byman, Martin Indyk,
Suzanne Maloney, Michael E. O'Hanlon, Kenneth M. Pollack, et Bruce Riedel.
Kenneth Pollack est également éditeur.
Aucune des idées exprimées dans ce volume doit être interprété comme représentant les vues
de l'un des auteurs individuels. La collection est un effort collaboratif, et les auteurs ont tenté
de présenter chacune des options de manière aussi objective que
possible, sans introduire leurs propres opinions subjectives.
Le but de cet exercice
était de faire ressortir les défis de toutes les options
et de permettre aux lecteurs de décider eux-mêmes
ce qu'ils croient être les meilleurs.
Tous les énoncés de faits, d'opinion ou d'analyse exprimés sont celles des auteurs
et ne reflètent pas les positions officielles ou les vues de la CIA
ou toutes autres agences gouvernementales U. S.
Ce matériel a été examiné par la CIA pour empêcher la divulgation d'informations classifiées.
Bien Amicalement.
Bientôt une "base avancée flottante" US dans le golfe Persique?
Bonjour à tous,
Malheureusement, un autre navire obsolète est en route pour le Golfe Persique.
"Afloat Forward Staging Base" (AFSB): un bateau-mère?, une base avancée flottante?
Quelle que soit l'exacte traduction d'AFSB, c'est ce que le Pentagone est en train de mettre en place
pour soutenir d'éventuelles opérations dans le golfe Persique. Le Washington Post précise
que l'USS Ponce va être converti pour soutenir l'action d'unités des forces spéciales.
Navy wants commando ‘mothership’ in Middle East
L'affaire n'est pas nouvelle mais elle est très récente. Le 15 décembre dernier,
le Military Sealift Fleet Support Command a diffusé une RFI (request for information).
La demande concernait un navire (battant ou non pavillon US) capable d'être déployé dans le golfe Persique
pour soutenir les forces navales. Le bâtiment devait être en mesure d'accueillir 370 personnes;
il devait disposer d'un centre opérationnel pour 20 personnes.
Il devait aussi pouvoir accueillir douze embarcations rapides et 4 hélicoptère de type MH-53.
La RFI précisait que le contrat initial était d'une durée d'un an, reconductible 3 fois 12 mois et 1 fois 11 mois.
Au 5 janvier, les réponses n'ont pas été jugées satisfaisantes.
Manque de répondant? Propositions trop chères? Navires pas adaptés?
Le Military Sealift Fleet Support Command a changé son fusil d'épaule
et décidé de convertir un navire militaire qui devait être retiré du service actif en mars prochain.
Le 24 janvier une solicitation (appel d'offres), amendée dès le 27, a été émise.
Il s'agit désormais de remettre en état l'USS Ponce (174 m de long, peut accueillir 900 hommes et 6 CH-46).
Et ça urge! Les travaux d'aménagement doivent commencer le 13 février et se terminer 63 jours plus tard.
Bientôt une "base avancée flottante" US dans le golfe Persique?
Ils nous ont déjà fait le coup à Pearl Harbor, comme l'indique la vidéo ci dessus.
La marine américaine envisage de réaménager l'USS Ponce, une navire de transport amphibie d'accueil,
qui était sur le point d'être retiré et déclassé.
Le Ponce a été commandée en 1971 - il est maintenant plus de 40 ans.
Le 2 Décembre 2011,
l'USS Ponce est rentré dans l'attente
de démantèlement le 30 Mars 2012.
Et maintenant, "il" est dirigé vers le Golfe.
Comment pourrait-il être plus clair qu'un événement sous fausse bannière est prévu?
La plupart des gens ne sauront pas que nous sommes en guerre,
que plusieurs semaines après cela se soit produit.
Avec l'USS Ponce en partance pour le Golfe, les Etats-Unis ont prouvé qu'ils s'engageront,
la question est de savoir quand?
Pentagon deploys ‘mothership’ to Persian Gulf as tensions with Iran escalate
More US scrap metal headed for Persian Gulf
Stoppons-les avant qu'il ne soit trop tard!!!
Faites tourner cette information
sur vos blogs, vos réseaux sociaux....
Bien Amicalement.
Malheureusement, un autre navire obsolète est en route pour le Golfe Persique.
"Afloat Forward Staging Base" (AFSB): un bateau-mère?, une base avancée flottante?
Quelle que soit l'exacte traduction d'AFSB, c'est ce que le Pentagone est en train de mettre en place
pour soutenir d'éventuelles opérations dans le golfe Persique. Le Washington Post précise
que l'USS Ponce va être converti pour soutenir l'action d'unités des forces spéciales.
Navy wants commando ‘mothership’ in Middle East
L'affaire n'est pas nouvelle mais elle est très récente. Le 15 décembre dernier,
le Military Sealift Fleet Support Command a diffusé une RFI (request for information).
La demande concernait un navire (battant ou non pavillon US) capable d'être déployé dans le golfe Persique
pour soutenir les forces navales. Le bâtiment devait être en mesure d'accueillir 370 personnes;
il devait disposer d'un centre opérationnel pour 20 personnes.
Il devait aussi pouvoir accueillir douze embarcations rapides et 4 hélicoptère de type MH-53.
La RFI précisait que le contrat initial était d'une durée d'un an, reconductible 3 fois 12 mois et 1 fois 11 mois.
Au 5 janvier, les réponses n'ont pas été jugées satisfaisantes.
Manque de répondant? Propositions trop chères? Navires pas adaptés?
Le Military Sealift Fleet Support Command a changé son fusil d'épaule
et décidé de convertir un navire militaire qui devait être retiré du service actif en mars prochain.
Le 24 janvier une solicitation (appel d'offres), amendée dès le 27, a été émise.
Il s'agit désormais de remettre en état l'USS Ponce (174 m de long, peut accueillir 900 hommes et 6 CH-46).
Et ça urge! Les travaux d'aménagement doivent commencer le 13 février et se terminer 63 jours plus tard.
Bientôt une "base avancée flottante" US dans le golfe Persique?
Ils nous ont déjà fait le coup à Pearl Harbor, comme l'indique la vidéo ci dessus.
La marine américaine envisage de réaménager l'USS Ponce, une navire de transport amphibie d'accueil,
qui était sur le point d'être retiré et déclassé.
Le Ponce a été commandée en 1971 - il est maintenant plus de 40 ans.
Le 2 Décembre 2011,
l'USS Ponce est rentré dans l'attente
de démantèlement le 30 Mars 2012.
Et maintenant, "il" est dirigé vers le Golfe.
Comment pourrait-il être plus clair qu'un événement sous fausse bannière est prévu?
La plupart des gens ne sauront pas que nous sommes en guerre,
que plusieurs semaines après cela se soit produit.
Avec l'USS Ponce en partance pour le Golfe, les Etats-Unis ont prouvé qu'ils s'engageront,
la question est de savoir quand?
Pentagon deploys ‘mothership’ to Persian Gulf as tensions with Iran escalate
More US scrap metal headed for Persian Gulf
Stoppons-les avant qu'il ne soit trop tard!!!
Faites tourner cette information
sur vos blogs, vos réseaux sociaux....
Bien Amicalement.
Geoff- Modérateur
- Date d'inscription : 18/02/2012
Age : 39
Localisation : Wagadey, Jubbada Dhexe, Somalia
Un deuxième porte-avions américain, l'USS Entreprise, arrive dans le Golfe persique
Bonjour à tous,
Un deuxième porte-avions américain,
l'USS Entreprise,
arrive dans le Golfe persique
L’empressement des Etats-Unis à renforcer leurs forces dans le Golfe Persique en vue d’une attaque de l’Iran.
C’est ainsi que le sous-marin nucléaire américain Annapolis, accompagné du destroyer USS Momsen,
viennent de franchir le canal de Suez et de gagner la mer Rouge. Si le point de destination des deux navires
n’est pas annoncé, leur entrée en mer Rouge coïncide avec l’apogée des tensions entre Washington et Téhéran. Rappelons que Marine américaine a déjà réuni dans le Golfe persique un nombre important de navires,
dont les porte-avions Carl Vinson et Abraham Lincoln.
Un autre porte-avions,
l’USS Enterprise est attendu dans la région au mois de mars 2012.
Source
Golfe Persique : les grands préparatifs se poursuivent…
Un deuxième porte-avions américain arrive dans le Golfe persique
Porte-avions américain, l'USS Entreprise© AFP/ ARIS MESSINIS
Un deuxième porte-avions américain, l'USS Entreprise, a été dépêché vers le Golfe suite à l'aggravation des relations entre les Etats-Unis et l'Iran, ont rapporté lundi les médias internationaux se référant à Amy Derrick-Frost,
la porte-parole de la 5e flotte de l'US Navy basée à Bahreïn.
Selon le journal émirati Khaleej Times, l'USS Entreprise est arrivé dans le Golfe le 3 avril dernier.
Il est accompagné par croiseur le lance-missiles USS Vicksburg, trois destroyers de classe Arleigh Burke,
l'USS Nitze, l'USS Porter et l'USS James E.Williams.
Ces navires ont rejoint un autre groupe aéronaval d'attaque américain dirigé par le porte-avions USS Abraham Lincoln qui se trouve dans le Golfe.
Depuis dix ans, c'est la quatrième fois que deux groupes d'actions navale de l'US Navy
sont déployés dans une même région.
Les porte-avions USS Entreprise et USS Abraham Lincoln patrouilleront le long des voies
de transport d'hydrocarbures en provenance du Golfe, appuieront les opérations antiterroristes en Afghanistan
et participeront à la lutte contre les pirates au large de la Somalie, selon la porte-parole.
La semaine dernière, Amy Derrick-Frost a reconnu que la flotte iranienne n'avait pas manifesté
de signes d'agression ces derniers temps, note le Khaleej Times.
Les Etats-Unis et d'autres pays occidentaux soupçonnent que l'Iran veut se doter de l'arme nucléaire
sous couvert du programme nucléaire qu'il prétend réaliser à des fins pacifiques. Téhéran rejette ces accusations, affirmant que ses recherches nucléaires ont pour seul objectif de satisfaire les besoins du pays en électricité.
La tension autour de l'Iran et de son programme nucléaire est récemment montée d'un cran suite aux menaces proférées par Téhéran de fermer le détroit d'Ormuz au transit de pétrole en cas de sanctions occidentales
contre les exportations pétrolières iraniennes. En réponse, les USA et le Royaume-Uni ont commencé
à renforcer leur présence militaire dans la région. L'adoption d'un embargo sur les livraisons de brut iranien
a été approuvée en janvier par l'UE.
Source
http://fr.rian.ru/world/20120409/194241174.html
A lire également
http://minuit-1.blogspot.fr/2011/04/iran-vers-une-attaque-et-la-3eme-guerre.html
http://www.navytimes.com/news/2012/04/ap-navy-deploys-2nd-aircraft-carrier-to-gulf-040912/
http://www.polymeta.com/searchresult.jsp?sc=1136&q=USS+Entreprise+in+the+Persian+gulf&un=anonymous
Bien Amicalement.
Un deuxième porte-avions américain,
l'USS Entreprise,
arrive dans le Golfe persique
L’empressement des Etats-Unis à renforcer leurs forces dans le Golfe Persique en vue d’une attaque de l’Iran.
C’est ainsi que le sous-marin nucléaire américain Annapolis, accompagné du destroyer USS Momsen,
viennent de franchir le canal de Suez et de gagner la mer Rouge. Si le point de destination des deux navires
n’est pas annoncé, leur entrée en mer Rouge coïncide avec l’apogée des tensions entre Washington et Téhéran. Rappelons que Marine américaine a déjà réuni dans le Golfe persique un nombre important de navires,
dont les porte-avions Carl Vinson et Abraham Lincoln.
Un autre porte-avions,
l’USS Enterprise est attendu dans la région au mois de mars 2012.
Source
Golfe Persique : les grands préparatifs se poursuivent…
Un deuxième porte-avions américain arrive dans le Golfe persique
Porte-avions américain, l'USS Entreprise© AFP/ ARIS MESSINIS
Un deuxième porte-avions américain, l'USS Entreprise, a été dépêché vers le Golfe suite à l'aggravation des relations entre les Etats-Unis et l'Iran, ont rapporté lundi les médias internationaux se référant à Amy Derrick-Frost,
la porte-parole de la 5e flotte de l'US Navy basée à Bahreïn.
Selon le journal émirati Khaleej Times, l'USS Entreprise est arrivé dans le Golfe le 3 avril dernier.
Il est accompagné par croiseur le lance-missiles USS Vicksburg, trois destroyers de classe Arleigh Burke,
l'USS Nitze, l'USS Porter et l'USS James E.Williams.
Ces navires ont rejoint un autre groupe aéronaval d'attaque américain dirigé par le porte-avions USS Abraham Lincoln qui se trouve dans le Golfe.
Depuis dix ans, c'est la quatrième fois que deux groupes d'actions navale de l'US Navy
sont déployés dans une même région.
Les porte-avions USS Entreprise et USS Abraham Lincoln patrouilleront le long des voies
de transport d'hydrocarbures en provenance du Golfe, appuieront les opérations antiterroristes en Afghanistan
et participeront à la lutte contre les pirates au large de la Somalie, selon la porte-parole.
La semaine dernière, Amy Derrick-Frost a reconnu que la flotte iranienne n'avait pas manifesté
de signes d'agression ces derniers temps, note le Khaleej Times.
Les Etats-Unis et d'autres pays occidentaux soupçonnent que l'Iran veut se doter de l'arme nucléaire
sous couvert du programme nucléaire qu'il prétend réaliser à des fins pacifiques. Téhéran rejette ces accusations, affirmant que ses recherches nucléaires ont pour seul objectif de satisfaire les besoins du pays en électricité.
La tension autour de l'Iran et de son programme nucléaire est récemment montée d'un cran suite aux menaces proférées par Téhéran de fermer le détroit d'Ormuz au transit de pétrole en cas de sanctions occidentales
contre les exportations pétrolières iraniennes. En réponse, les USA et le Royaume-Uni ont commencé
à renforcer leur présence militaire dans la région. L'adoption d'un embargo sur les livraisons de brut iranien
a été approuvée en janvier par l'UE.
Source
http://fr.rian.ru/world/20120409/194241174.html
A lire également
http://minuit-1.blogspot.fr/2011/04/iran-vers-une-attaque-et-la-3eme-guerre.html
http://www.navytimes.com/news/2012/04/ap-navy-deploys-2nd-aircraft-carrier-to-gulf-040912/
http://www.polymeta.com/searchresult.jsp?sc=1136&q=USS+Entreprise+in+the+Persian+gulf&un=anonymous
Bien Amicalement.
Les Etats-Unis renforcent leur armada dans la région du Golfe
Bonjour à tous,
Les Etats-Unis renforcent leur armada dans la région du Golfe
Le porte-avions américain USS Enterprise crédits : US NAVY
Alors que deux porte-avions américains croisent déjà en mer d'Oman, Washington a annoncé le déploiement
dans cette région d'un troisième groupe aéronaval. Celui-ci sera emmené par l'USS Enterprise,
le vétéran des porte-avions américains, qui doit réaliser à cette occasion sa dernière grande mission
avant son désarmement, prévu en fin d'année. Le bâtiment participe actuellement à Bold Alligator,
le plus grand exercice aéronaval et amphibie organisé depuis une dizaine d'années par l'US Navy
et l'US Marine Corps. Une fois ces manoeuvres achevées au large de la côte Est des Etats-Unis,
l'Enterprise et son escorte mettront le cap sur l'ouest et gagneront le nord de l'océan Indien en mars.
Selon le secrétaire américain à la Défense, Leon Panetta, ce déploiement est une réponse
aux menaces iraniennes quant à la fermeture du détroit d'Ormuz, passage stratégique
entre le golfe Persique et l'océan Indien, où transite plus d'un tiers du pétrole mondial.
Après une escale au Pirée, en Grèce, le porte-avions nucléaire USS Enterprise a quitté la Méditerranée
pour gagner la mer Rouge, via le canal de Suez. Le bâtiment, qui est depuis le 3 avril dans la zone
de responsabilité de la 5ème flotte américaine, va gagner l'océan Indien et le golfe Persique,
où il doit relever l'USS Carl Vinson et opérer avec un autre groupe aéronaval emmené par l'USS Abraham Lincoln.
Parti le 11 mars de Norfolk pour son ultime déploiement avant son retrait du service actif, le « Big E »,
qui embarque près de 70 avions et hélicoptères, est accompagné du croiseur lance-missiles USS Vicksburg,
ainsi que des destroyers lance-missiles USS Nitze, USS Porter et USS James E. Williams.
L'USS Enterprise et son escorte (© : US NAVY)
Porte-avions américains dans le détroit d'Ormuz (© : US NAVY)
Trois groupes aéronavals et amphibies déjà sur zone
Sur zone, les Etats-Unis ont déjà renforcé leurs moyens avec l'arrivée, en janvier, des porte-avions USS Carl Vinson
et USS Abraham Lincoln, ce dernier relevant l'USS John C. Stennis. Les deux bâtiments,
embarquant chacun 70 avions et hélicoptères, sont notamment accompagnés des croiseurs USS Bunker Hill
et USS Cape St George, ainsi que des destroyers USS Halsey, USS Sterett et USS Russel
(dont certains mettent en oeuvre le missile anti-missile balistique SM-3). Le destroyer USS Momsen,
qui a franchi le 29 janvier le canal de Suez en compagnie du sous-marin nucléaire d'attaque USS Annapolis,
va se joindre à cette flotte. La presse américaine a, en outre, évoqué il y a quelques semaines
l'envoi dans ce secteur d'au moins un sous-marin nucléaire lance-missiles de croisière (SSGN)
doté de 154 Tomahawk et d'une unité de commandos SEAL.
L'USS Abraham Lincoln (© : US NAVY)
L'USS Carl Vinson (© : US NAVY)
Destroyers et croiseurs américains (© : US NAVY)
L'USS Momsen dans le canal de Suez le 29 janvier (© : US NAVY)
L'USS Makin Island (© : US NAVY)
L'USS New Orleans (© : US NAVY)
L'USS Pearl Harbor (© : US NAVY)
L'USS Annapolis (© : US NAVY)
Le SSGN USS Ohio (© : US NAVY)
En parallèle, un nouveau groupe amphibie est arrivé en mer d'Arabie en janvier. Relevant le groupe de l'USS Bataan, cette force comprend le porte-hélicoptères d'assaut USS Makin Island, ainsi que les transports de chalands
de débarquement USS New Orleans et USS Pearl Harbor, qui embarquent une force expéditionnaire
des Marines comprenant des centaines de soldats et leur matériel, des engins de débarquement
sur coussins d'air LCAC, des avions AV-8B Harrier, des convertibles MV-22 Osprey, ainsi que des hélicoptères
de manoeuvre et de combat, dont des AH-64 Apache. L'ensemble est placé sous le commandement
de la 5ème flotte, basée à Bahreïn. Les Américains peuvent également s'appuyer sur les troupes présentes
dans les pays arabes, et notamment au Koweït, où 15.000 soldats et d'importantes forces aériennes sont stationnés.
Le HMS Argyll et le La Motte-Picquet avec l'USS Abraham Lincoln (© : US NAVY)
Français et Britanniques en soutien
Pour faire pression sur le régime de Téhéran, les Etats-Unis s'appuient notamment sur la Grande-Bretagne
et la France. Londres, qui compte dans le Golfe une force de guerre des mines composée de quatre chasseurs,
a dépêché sur zone son plus moderne et plus puissant destroyer lance-missiles, le HMS Daring,
qui a franchi Suez et fait route vers l'océan Indien pour remplacer la frégate HMS Argyll.
Celle-ci a manoeuvré fin janvier avec l'USS Abraham Lincoln, l'USS Cape St George, l'USS Russel
et l'USS Sterett non loin du détroit d'Ormuz. Les bâtiments se sont livrés à un impressionnant
« exercice d'évolution », auquel a également participé la frégate française La Motte-Picquet.
Le La Motte-Picquet dans le Golfe (© : US NAVY)
Groupe américano-franco-britannique (© : US NAVY)
Groupe américano-franco-britannique (© : US NAVY)
Paris songerait aussi à renforcer ses moyens sur zone. La France peut notamment se servir
de son implantation militaire aux Emirats Arabes Unis (Abu Dhabi), dotée d'une base aérienne
et d'une base navale. Mais certains bruits de coursives - non confirmés par la marine - commencent à évoquer
un éventuel déploiement du porte-avions Charles de Gaulle à partir du mois de mars. Une hypothèse étonnante
puis que le bâtiment a été très sollicité en 2011 (déploiement en océan Indien et intervention en Libye) et,
s'il a été remis techniquement en état ces derniers mois, les personnels, à commencer par les pilotes
et équipes techniques du groupe aérien embarqué, manquent d'entrainement. Ainsi, le Charles de Gaulle,
après une petite sortie pour essais en décembre, n'a repris la mer que la semaine dernière pour retrouver
ses avions dimanche et débuter une nécessaire campagne de qualification des pilotes de Rafale et d'Hawkeye.
La remontée en puissance de l'équipage, du groupe aérien embarqué et de l'ensemble du groupe aéronaval,
un processus complexe qui prend généralement plusieurs mois, n'a pas encore été menée à bien.
Autant dire que si le Charles de Gaulle devait être déployé dès le mois de mars,
cela répondrait à une certaine « urgence » opérationnelle.
Le groupe aéronaval français (© : MARINE NATIONALE)
Préserver la liberté de passage dans le détroit d'Ormuz
Que faut-il penser de tout cela ? Pour certains militaires : « ça ne sent pas bon ». Pour autant,
les puissances occidentales chercheront sans doute, à tout prix, à éviter une guerre contre Téhéran.
Non que les forces iraniennes soient particulièrement menaçantes. Les Américains et leurs alliés
sont technologiquement et militairement bien supérieurs. Moyennant quoi, une confrontation
provoquerait presque inévitablement une fermeture provisoire d'Ormuz et donc une rupture temporaire
des approvisionnements stratégiques. Les Iraniens ont, en effet, les moyens d'interdire quelques temps
le passage grâce à un minage massif, mais aussi à l'emploi de missiles antinavires et, éventuellement,
de torpilles hyper-véloces Hoot, dérivées des fameuses Shkval russes (dont la vitesse est estimée à 200 noeuds). Sans compter les raids pouvant être menés par les nombreuses embarcations rapides des gardiens de la révolution. De plus, les Iraniens disposent de missiles balistiques, à charge normalement conventionnelle. Sur le papier,
ces engins ne constituent pas le dernier-cri technologique. Mais, en face, le bouclier anti-missile américain,
en plein développement, est encore récent et on ne peut donc pas exclure que la parade aux missiles balistiques, même de courte ou moyenne portée, soit totalement « hermétique ». En cas de conflit, les occidentaux devraient
donc frapper vite et très fort, afin d'annihiler dès les premières heures les moyens offensifs iraniens
et donc réduire au maximum la menace. Ce serait la mission de l'armada déployée dans le golfe
et des moyens pré-positionnés dans les pays riverains.
Sur un porte-avions américain (© : US NAVY)
Sur un porte-avions américain (© : US NAVY)
Sur un porte-avions américain (© : US NAVY)
Crainte d'une attaque israélienne au printemps
Le renforcement significatif des moyens aéronavals dans la région semble indiquer qu'au-delà de la traditionnelle
« démonstration de force », habituellement destinée à peser diplomatiquement sur les Iraniens,
les Américains se préparent à un éventuel conflit. Se préparer ne signifie toutefois pas vouloir une action
et encore moins l'engager. Comme évoqué plus haut, tout sera vraisemblablement fait pour éviter le pire,
sauf bien sûr si l'Iran s'en prend directement aux intérêts américains. Alors que Barack a signé hier
un décret portant notamment sur le gel des avoirs iraniens, Washington, Londres et Paris semblent croire
que le renforcement des sanctions économiques et financières peut porter ses fruits et dissuader Téhéran
de poursuivre son programme nucléaire, dont les occidentaux sont persuadés qu'il aura des finalités militaires.
Mais les Israéliens, à portée des missiles iraniens, ne sont pas de cet avis et, étant géographiquement exposés, menacent depuis un certain temps de lancer des frappes préventives.
F-16 israélien (© : ISRAEL DEFENSE FORCES)
D'après le Washington Post, le Pentagone redoute que Tsahal déclenche une offensive au printemps.
« Panetta pense qu'il est hautement probable qu'Israël attaque l'Iran en avril, mai ou juin, avant que les Iraniens
entrent dans ce que les Israéliens décrivent comme une 'zone d'immunité' où ils auront déjà commencé
à construire une bombe nucléaire. Très bientôt, les Iraniens auront enfoui assez d'uranium enrichi
dans des installations souterraines pour pouvoir réaliser une arme et alors, seuls les Etats-Unis,
seront capables de les arrêter militairement. Le Premier ministre israélien Benyamin Netanyahou
ne veut pas laisser le sort d'Israël dépendre d'une action américaine », écrivait le 2 février l'éditorialiste
David Ignatus dans les colonnes du journal américain, repris par Courrier International.
Alors que le ministre israélien de la Défense, Ehud Barak, a déclaré le même jour que
« tout ceux qui pensent 'plus tard' vont sans doute se rendre compte que 'plus tard', ce sera 'trop tard' »,
les Etats-Unis et leurs alliés, même s'ils s'opposent à un conflit, pourraient s'y retrouver entrainés
contre leur volonté, avec le risque que la crise s'exporte, via les réseaux iraniens,
jusqu'aux rivages de la Méditerranée, notamment au Liban et dans la bande de Gaza.
Avion de chasse israélien (© : ISRAEL DEFENSE FORCES)
Eviter l'engrenage et miser sur les sanctions économiques
Pour l'armée israélienne, lancer des raids en Iran serait néanmoins très compliqué sans l'aide des Etats-Unis.
Certes, Jérusalem a montré en 1981, avec le bombardement du chantier du réacteur nucléaire irakien d'Osirak,
qu'elle s'autorisait à lancer des actions « préventives ». Mais avec l'Iran, une telle action serait
d'une toute autre dimension. Car il s'agirait de neutraliser plusieurs sites à grande distance,
attaque nécessitant l'emploi d'une flotte d'avions ravitailleurs, ce qui est justement le point faible de l'Etat Hébreux,
qui ne dispose que de quelques appareils de ce type. Pour atteindre ses objectifs, l'aviation israélienne serait,
de plus, obligée de traverser les espaces aériens d'autres pays (Turquie, Syrie, Jordanie, Irak ou Arabie Saoudite)
à l'aller mais aussi au retour, une fois l'effet de surprise dissipé. Et, sur place, les appareils seraient confrontés
à une résistance probablement solide de la défense aérienne iranienne. Jérusalem peut, dans le même temps, s'appuyer sur sa marine. Les trois sous-marins israéliens du type Doplhin seraient en effet dotés de missiles de croisière, mais en nombre limité. Quant au reste de la flotte, il n'est constitué que d'une douzaine de corvettes
et patrouilleurs lance-missiles, ce qui semble insuffisant pour une opération d'une telle envergure.
Dans ce contexte, un raid israélien sur l'Iran serait donc particulièrement complexe et risqué.
Mais pas non plus totalement exclu, l'Etat israélien ayant démontré par le passé qu'il était prêt,
coute que coute, à défendre sa sécurité.
Corvette israélienne du type Saar V (© : ISRAEL DEFENSE FORCES)
Sous-marin du type Dolphin (© : DROITS RESERVES)
Parfaitement conscients de cet état de fait, les armées occidentales se préparent donc, logiquement,
à toute éventualité. Le renforcement significatif des moyens dans le Golfe et au nord de l'océan Indien
tient compte de cette réalité, d'autant que si les Israéliens décident d'intervenir, ils ne préviendront
probablement Washington que très peu de temps avant l'attaque. Mais le regroupement de forces considérables présente aussi l'avantage d'accentuer la pression sur l'Iran et d'inciter ses dirigeants,
qui n'ont eux-aussi aucun intérêt à voir la situation s'envenimer, à rejoindre la table des négociations,
de manière à trouver une issue diplomatique pour éviter l'engrenage.
Porte-avions américain en océan Indien (© : US NAVY)
Sources
http://www.meretmarine.com/article.cfm?id=118686
http://www.meretmarine.com/article.cfm?id=119334
Drums of War?
Looks like it!!!
Bien Amicalement.
Les Etats-Unis renforcent leur armada dans la région du Golfe
Le porte-avions américain USS Enterprise crédits : US NAVY
Alors que deux porte-avions américains croisent déjà en mer d'Oman, Washington a annoncé le déploiement
dans cette région d'un troisième groupe aéronaval. Celui-ci sera emmené par l'USS Enterprise,
le vétéran des porte-avions américains, qui doit réaliser à cette occasion sa dernière grande mission
avant son désarmement, prévu en fin d'année. Le bâtiment participe actuellement à Bold Alligator,
le plus grand exercice aéronaval et amphibie organisé depuis une dizaine d'années par l'US Navy
et l'US Marine Corps. Une fois ces manoeuvres achevées au large de la côte Est des Etats-Unis,
l'Enterprise et son escorte mettront le cap sur l'ouest et gagneront le nord de l'océan Indien en mars.
Selon le secrétaire américain à la Défense, Leon Panetta, ce déploiement est une réponse
aux menaces iraniennes quant à la fermeture du détroit d'Ormuz, passage stratégique
entre le golfe Persique et l'océan Indien, où transite plus d'un tiers du pétrole mondial.
Après une escale au Pirée, en Grèce, le porte-avions nucléaire USS Enterprise a quitté la Méditerranée
pour gagner la mer Rouge, via le canal de Suez. Le bâtiment, qui est depuis le 3 avril dans la zone
de responsabilité de la 5ème flotte américaine, va gagner l'océan Indien et le golfe Persique,
où il doit relever l'USS Carl Vinson et opérer avec un autre groupe aéronaval emmené par l'USS Abraham Lincoln.
Parti le 11 mars de Norfolk pour son ultime déploiement avant son retrait du service actif, le « Big E »,
qui embarque près de 70 avions et hélicoptères, est accompagné du croiseur lance-missiles USS Vicksburg,
ainsi que des destroyers lance-missiles USS Nitze, USS Porter et USS James E. Williams.
L'USS Enterprise et son escorte (© : US NAVY)
Porte-avions américains dans le détroit d'Ormuz (© : US NAVY)
Trois groupes aéronavals et amphibies déjà sur zone
Sur zone, les Etats-Unis ont déjà renforcé leurs moyens avec l'arrivée, en janvier, des porte-avions USS Carl Vinson
et USS Abraham Lincoln, ce dernier relevant l'USS John C. Stennis. Les deux bâtiments,
embarquant chacun 70 avions et hélicoptères, sont notamment accompagnés des croiseurs USS Bunker Hill
et USS Cape St George, ainsi que des destroyers USS Halsey, USS Sterett et USS Russel
(dont certains mettent en oeuvre le missile anti-missile balistique SM-3). Le destroyer USS Momsen,
qui a franchi le 29 janvier le canal de Suez en compagnie du sous-marin nucléaire d'attaque USS Annapolis,
va se joindre à cette flotte. La presse américaine a, en outre, évoqué il y a quelques semaines
l'envoi dans ce secteur d'au moins un sous-marin nucléaire lance-missiles de croisière (SSGN)
doté de 154 Tomahawk et d'une unité de commandos SEAL.
L'USS Abraham Lincoln (© : US NAVY)
L'USS Carl Vinson (© : US NAVY)
Destroyers et croiseurs américains (© : US NAVY)
L'USS Momsen dans le canal de Suez le 29 janvier (© : US NAVY)
L'USS Makin Island (© : US NAVY)
L'USS New Orleans (© : US NAVY)
L'USS Pearl Harbor (© : US NAVY)
L'USS Annapolis (© : US NAVY)
Le SSGN USS Ohio (© : US NAVY)
En parallèle, un nouveau groupe amphibie est arrivé en mer d'Arabie en janvier. Relevant le groupe de l'USS Bataan, cette force comprend le porte-hélicoptères d'assaut USS Makin Island, ainsi que les transports de chalands
de débarquement USS New Orleans et USS Pearl Harbor, qui embarquent une force expéditionnaire
des Marines comprenant des centaines de soldats et leur matériel, des engins de débarquement
sur coussins d'air LCAC, des avions AV-8B Harrier, des convertibles MV-22 Osprey, ainsi que des hélicoptères
de manoeuvre et de combat, dont des AH-64 Apache. L'ensemble est placé sous le commandement
de la 5ème flotte, basée à Bahreïn. Les Américains peuvent également s'appuyer sur les troupes présentes
dans les pays arabes, et notamment au Koweït, où 15.000 soldats et d'importantes forces aériennes sont stationnés.
Le HMS Argyll et le La Motte-Picquet avec l'USS Abraham Lincoln (© : US NAVY)
Français et Britanniques en soutien
Pour faire pression sur le régime de Téhéran, les Etats-Unis s'appuient notamment sur la Grande-Bretagne
et la France. Londres, qui compte dans le Golfe une force de guerre des mines composée de quatre chasseurs,
a dépêché sur zone son plus moderne et plus puissant destroyer lance-missiles, le HMS Daring,
qui a franchi Suez et fait route vers l'océan Indien pour remplacer la frégate HMS Argyll.
Celle-ci a manoeuvré fin janvier avec l'USS Abraham Lincoln, l'USS Cape St George, l'USS Russel
et l'USS Sterett non loin du détroit d'Ormuz. Les bâtiments se sont livrés à un impressionnant
« exercice d'évolution », auquel a également participé la frégate française La Motte-Picquet.
Le La Motte-Picquet dans le Golfe (© : US NAVY)
Groupe américano-franco-britannique (© : US NAVY)
Groupe américano-franco-britannique (© : US NAVY)
Paris songerait aussi à renforcer ses moyens sur zone. La France peut notamment se servir
de son implantation militaire aux Emirats Arabes Unis (Abu Dhabi), dotée d'une base aérienne
et d'une base navale. Mais certains bruits de coursives - non confirmés par la marine - commencent à évoquer
un éventuel déploiement du porte-avions Charles de Gaulle à partir du mois de mars. Une hypothèse étonnante
puis que le bâtiment a été très sollicité en 2011 (déploiement en océan Indien et intervention en Libye) et,
s'il a été remis techniquement en état ces derniers mois, les personnels, à commencer par les pilotes
et équipes techniques du groupe aérien embarqué, manquent d'entrainement. Ainsi, le Charles de Gaulle,
après une petite sortie pour essais en décembre, n'a repris la mer que la semaine dernière pour retrouver
ses avions dimanche et débuter une nécessaire campagne de qualification des pilotes de Rafale et d'Hawkeye.
La remontée en puissance de l'équipage, du groupe aérien embarqué et de l'ensemble du groupe aéronaval,
un processus complexe qui prend généralement plusieurs mois, n'a pas encore été menée à bien.
Autant dire que si le Charles de Gaulle devait être déployé dès le mois de mars,
cela répondrait à une certaine « urgence » opérationnelle.
Le groupe aéronaval français (© : MARINE NATIONALE)
Préserver la liberté de passage dans le détroit d'Ormuz
Que faut-il penser de tout cela ? Pour certains militaires : « ça ne sent pas bon ». Pour autant,
les puissances occidentales chercheront sans doute, à tout prix, à éviter une guerre contre Téhéran.
Non que les forces iraniennes soient particulièrement menaçantes. Les Américains et leurs alliés
sont technologiquement et militairement bien supérieurs. Moyennant quoi, une confrontation
provoquerait presque inévitablement une fermeture provisoire d'Ormuz et donc une rupture temporaire
des approvisionnements stratégiques. Les Iraniens ont, en effet, les moyens d'interdire quelques temps
le passage grâce à un minage massif, mais aussi à l'emploi de missiles antinavires et, éventuellement,
de torpilles hyper-véloces Hoot, dérivées des fameuses Shkval russes (dont la vitesse est estimée à 200 noeuds). Sans compter les raids pouvant être menés par les nombreuses embarcations rapides des gardiens de la révolution. De plus, les Iraniens disposent de missiles balistiques, à charge normalement conventionnelle. Sur le papier,
ces engins ne constituent pas le dernier-cri technologique. Mais, en face, le bouclier anti-missile américain,
en plein développement, est encore récent et on ne peut donc pas exclure que la parade aux missiles balistiques, même de courte ou moyenne portée, soit totalement « hermétique ». En cas de conflit, les occidentaux devraient
donc frapper vite et très fort, afin d'annihiler dès les premières heures les moyens offensifs iraniens
et donc réduire au maximum la menace. Ce serait la mission de l'armada déployée dans le golfe
et des moyens pré-positionnés dans les pays riverains.
Sur un porte-avions américain (© : US NAVY)
Sur un porte-avions américain (© : US NAVY)
Sur un porte-avions américain (© : US NAVY)
Crainte d'une attaque israélienne au printemps
Le renforcement significatif des moyens aéronavals dans la région semble indiquer qu'au-delà de la traditionnelle
« démonstration de force », habituellement destinée à peser diplomatiquement sur les Iraniens,
les Américains se préparent à un éventuel conflit. Se préparer ne signifie toutefois pas vouloir une action
et encore moins l'engager. Comme évoqué plus haut, tout sera vraisemblablement fait pour éviter le pire,
sauf bien sûr si l'Iran s'en prend directement aux intérêts américains. Alors que Barack a signé hier
un décret portant notamment sur le gel des avoirs iraniens, Washington, Londres et Paris semblent croire
que le renforcement des sanctions économiques et financières peut porter ses fruits et dissuader Téhéran
de poursuivre son programme nucléaire, dont les occidentaux sont persuadés qu'il aura des finalités militaires.
Mais les Israéliens, à portée des missiles iraniens, ne sont pas de cet avis et, étant géographiquement exposés, menacent depuis un certain temps de lancer des frappes préventives.
F-16 israélien (© : ISRAEL DEFENSE FORCES)
D'après le Washington Post, le Pentagone redoute que Tsahal déclenche une offensive au printemps.
« Panetta pense qu'il est hautement probable qu'Israël attaque l'Iran en avril, mai ou juin, avant que les Iraniens
entrent dans ce que les Israéliens décrivent comme une 'zone d'immunité' où ils auront déjà commencé
à construire une bombe nucléaire. Très bientôt, les Iraniens auront enfoui assez d'uranium enrichi
dans des installations souterraines pour pouvoir réaliser une arme et alors, seuls les Etats-Unis,
seront capables de les arrêter militairement. Le Premier ministre israélien Benyamin Netanyahou
ne veut pas laisser le sort d'Israël dépendre d'une action américaine », écrivait le 2 février l'éditorialiste
David Ignatus dans les colonnes du journal américain, repris par Courrier International.
Alors que le ministre israélien de la Défense, Ehud Barak, a déclaré le même jour que
« tout ceux qui pensent 'plus tard' vont sans doute se rendre compte que 'plus tard', ce sera 'trop tard' »,
les Etats-Unis et leurs alliés, même s'ils s'opposent à un conflit, pourraient s'y retrouver entrainés
contre leur volonté, avec le risque que la crise s'exporte, via les réseaux iraniens,
jusqu'aux rivages de la Méditerranée, notamment au Liban et dans la bande de Gaza.
Avion de chasse israélien (© : ISRAEL DEFENSE FORCES)
Eviter l'engrenage et miser sur les sanctions économiques
Pour l'armée israélienne, lancer des raids en Iran serait néanmoins très compliqué sans l'aide des Etats-Unis.
Certes, Jérusalem a montré en 1981, avec le bombardement du chantier du réacteur nucléaire irakien d'Osirak,
qu'elle s'autorisait à lancer des actions « préventives ». Mais avec l'Iran, une telle action serait
d'une toute autre dimension. Car il s'agirait de neutraliser plusieurs sites à grande distance,
attaque nécessitant l'emploi d'une flotte d'avions ravitailleurs, ce qui est justement le point faible de l'Etat Hébreux,
qui ne dispose que de quelques appareils de ce type. Pour atteindre ses objectifs, l'aviation israélienne serait,
de plus, obligée de traverser les espaces aériens d'autres pays (Turquie, Syrie, Jordanie, Irak ou Arabie Saoudite)
à l'aller mais aussi au retour, une fois l'effet de surprise dissipé. Et, sur place, les appareils seraient confrontés
à une résistance probablement solide de la défense aérienne iranienne. Jérusalem peut, dans le même temps, s'appuyer sur sa marine. Les trois sous-marins israéliens du type Doplhin seraient en effet dotés de missiles de croisière, mais en nombre limité. Quant au reste de la flotte, il n'est constitué que d'une douzaine de corvettes
et patrouilleurs lance-missiles, ce qui semble insuffisant pour une opération d'une telle envergure.
Dans ce contexte, un raid israélien sur l'Iran serait donc particulièrement complexe et risqué.
Mais pas non plus totalement exclu, l'Etat israélien ayant démontré par le passé qu'il était prêt,
coute que coute, à défendre sa sécurité.
Corvette israélienne du type Saar V (© : ISRAEL DEFENSE FORCES)
Sous-marin du type Dolphin (© : DROITS RESERVES)
Parfaitement conscients de cet état de fait, les armées occidentales se préparent donc, logiquement,
à toute éventualité. Le renforcement significatif des moyens dans le Golfe et au nord de l'océan Indien
tient compte de cette réalité, d'autant que si les Israéliens décident d'intervenir, ils ne préviendront
probablement Washington que très peu de temps avant l'attaque. Mais le regroupement de forces considérables présente aussi l'avantage d'accentuer la pression sur l'Iran et d'inciter ses dirigeants,
qui n'ont eux-aussi aucun intérêt à voir la situation s'envenimer, à rejoindre la table des négociations,
de manière à trouver une issue diplomatique pour éviter l'engrenage.
Porte-avions américain en océan Indien (© : US NAVY)
Sources
http://www.meretmarine.com/article.cfm?id=118686
http://www.meretmarine.com/article.cfm?id=119334
Drums of War?
Looks like it!!!
Bien Amicalement.
La marine américaine se séparera en 2013 de 10 grands bâtiments de combat
Bonjour à tous,
La marine américaine se séparera
en 2013 de 10 grands bâtiments de combat
Le porte-avions USS Enterprise crédits : US NAVY
L'US Navy va connaître un trou d'air dans ses capacités l'an prochain avec le désarmement de 10 grands bâtiments. Tout d'abord le porte-avions à propulsion nucléaire USS Entreprise (CVN 65), qui doit être désarmé le 15 mars 2013.
Le bâtiment, qui effectue actuellement le dernier déploiement de sa carrière,
sera remplacé par le futur USS Gerald R. Ford (CVN 78), dont l'entrée en service n'est pas prévue avant 2015.
Dans le même temps, la marine américaine va se séparer l'an prochain de quatre croiseurs lance-missiles du type Ticonderoga : L'USS Cowpens (CG 63), l'USS Anzio (CG 68), l'USS Vicksburg (CG 69) et l'USS Port Royal (CG 73), dont le retrait est fixé au 31 mai 2013. On notera que le Port Royal, mis en service en 1994, est le plus récent des croiseurs de ce type. Mais le bâtiment a été victime d'un grave échouement en février 2009 à Hawaii. Malgré un passage en cale sèche de 6 mois, les réparations menées sur le CG 73 ne seraient pas satisfaisantes, l'accident ayant apparemment fragilisé la structure.
L'USS Port Royal (© : US NAVY)
L'USS Anzio (© : US NAVY)
On notera que le remplacement de ces croiseurs n'est pas prévu, même si l'US Navy doit s'enrichir des trois gros destroyers lance-missiles du type Zumwalt (DDG 1000), dont le premier sera livré à partir de 2014.
Dans le domaine des frégates, le nombre d'unités du type O.H. Perry (FFG 7) va encore se réduire l'an prochain.
Après le désarmement cette année des USS Boone (FFG 28), USS John L. Hall (FFG 32) et USS Crommelin
(FFG 37), cinq autres frégates sortiront en 2013 de l'ordre de bataille américain : les l'USS Underwood (FFG 36)
le 15 février, l'USS Curts (FFG 38) le 27 février, l'USS Carr (FFG 52) le 15 mars, l'USS Klakring (FFG 42)
le 22 mars et l'USS Reuben James (FFG 57) le 30 août 2013.
Les bâtiments du type O.H. Perry doivent être remplacés par les nouveaux Littoral Combat Ship
des types Freedom et Independence, dont 55 exemplaires sont prévus. Mais, pour l'heure,
seules les deux premiers ont été livrés et deux autres sont en essais ou en achèvement à flot.
Une frégate du type O.H. Perry (© : US NAVY)
Source
http://www.meretmarine.com/article.cfm?id=119077
Bien Amicalement.
La marine américaine se séparera
en 2013 de 10 grands bâtiments de combat
Le porte-avions USS Enterprise crédits : US NAVY
L'US Navy va connaître un trou d'air dans ses capacités l'an prochain avec le désarmement de 10 grands bâtiments. Tout d'abord le porte-avions à propulsion nucléaire USS Entreprise (CVN 65), qui doit être désarmé le 15 mars 2013.
Le bâtiment, qui effectue actuellement le dernier déploiement de sa carrière,
sera remplacé par le futur USS Gerald R. Ford (CVN 78), dont l'entrée en service n'est pas prévue avant 2015.
Dans le même temps, la marine américaine va se séparer l'an prochain de quatre croiseurs lance-missiles du type Ticonderoga : L'USS Cowpens (CG 63), l'USS Anzio (CG 68), l'USS Vicksburg (CG 69) et l'USS Port Royal (CG 73), dont le retrait est fixé au 31 mai 2013. On notera que le Port Royal, mis en service en 1994, est le plus récent des croiseurs de ce type. Mais le bâtiment a été victime d'un grave échouement en février 2009 à Hawaii. Malgré un passage en cale sèche de 6 mois, les réparations menées sur le CG 73 ne seraient pas satisfaisantes, l'accident ayant apparemment fragilisé la structure.
Vous noterez que ces bâtiments de guerre sont soit en route soit déjà dans le Golfe Persique.
Des coûts pour désarmer et recycler ces navires ne seront pas un problème
si ces bâtiments sont détruit dans le Golfe.
Une aubaine pour les américains qui ont déjà réussi un coup identique en 1941 : Pearl Harbor
Vous trouverez la liste de ces navires au lien suivant :
Les Etats-Unis renforcent leur armada dans la région du Golfe
Certains de ces navires devaient être démilitarisés le mois dernier
L'USS Port Royal (© : US NAVY)
L'USS Anzio (© : US NAVY)
On notera que le remplacement de ces croiseurs n'est pas prévu, même si l'US Navy doit s'enrichir des trois gros destroyers lance-missiles du type Zumwalt (DDG 1000), dont le premier sera livré à partir de 2014.
Dans le domaine des frégates, le nombre d'unités du type O.H. Perry (FFG 7) va encore se réduire l'an prochain.
Après le désarmement cette année des USS Boone (FFG 28), USS John L. Hall (FFG 32) et USS Crommelin
(FFG 37), cinq autres frégates sortiront en 2013 de l'ordre de bataille américain : les l'USS Underwood (FFG 36)
le 15 février, l'USS Curts (FFG 38) le 27 février, l'USS Carr (FFG 52) le 15 mars, l'USS Klakring (FFG 42)
le 22 mars et l'USS Reuben James (FFG 57) le 30 août 2013.
Les bâtiments du type O.H. Perry doivent être remplacés par les nouveaux Littoral Combat Ship
des types Freedom et Independence, dont 55 exemplaires sont prévus. Mais, pour l'heure,
seules les deux premiers ont été livrés et deux autres sont en essais ou en achèvement à flot.
Une frégate du type O.H. Perry (© : US NAVY)
Source
http://www.meretmarine.com/article.cfm?id=119077
Bien Amicalement.
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