Les "False Flag" dans l'Histoire (Opération sous fausse bannière)
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Les "False Flag" dans l'Histoire (Opération sous fausse bannière)
Bonjour à tous,
Les "False Flag" dans l'Histoire
(Opération sous fausse bannière)
Au travers de ce post, vous (re)découvrirez un certain nombres
d'Opérations réalisées sous Fausse Bannières.
Dans un monde où la propagande fait partie intégrante de notre quotidien,
il me semblait judicieux d'en discuter avec vous.
Je pense pouvoir alimenter ce post assez régulièrement,
mais si un sujet vous intéresse plus qu'un autre,
il sera possible d'en faire un sujet à part entière.
Ce post n'a pas pour vocation de vous affoler,
mais plutôt de vous permettre de reconnaître un tel évènement.
Les opérations les plus connues sous fausse bannière sont généralement issues d'un organisme gouvernemental mettant en scène une attaque terroriste, selon laquelle une entité non impliquée est blâmée pour le carnage.
Comme au moins deux millénaires ont fait leurs preuves, les opérations sous fausse bannière,
avec une bonne dose de propagande et d'ignorance, ont fourni une excellente recette pour une guerre sans fin.
La ruse de guerre, y compris sous la forme du déguisement, a toujours fait partie de l'arsenal du guerrier ou du soldat. La Convention de La Haye de 1907 reconnaissait ce fait dans son article 23 qui interdisait « l'usage impropre » de l'uniforme ennemi. Un amendement fut rédigé après la Seconde Guerre mondiale afin de lever l'ambiguïté de cette formule, précisant que c'est l'usage des armes sous uniforme ennemi qui est visé.
La Convention de La Haye de 1907
Source
Fausse bannière
De Néron au évènement du 9/11, en passant par Pearl Harbour et par l'incident le golfe du Tonkin,
Joe Crubaugh fournit au travers de «All Time Greatest Hits» une liste d'opérations sous fausse bannière,
dans lesquelles un scénario se répète et que le monde continue à avaler sachant qu'il s'agit d'un même mensonge.
L'Opération Northwoods
L'Opération Northwoods consistait, en 1962, dans le contexte de la guerre froide, en l'organisation d'une série d'attentats contre les États-Unis par l'état-major interarmes américain lui-même, de manière à en imputer la responsabilité au régime cubain (agression dite « false flag »). Le but était de justifier aux yeux de l'opinion américaine une intervention des forces armées américaines contre Cuba et d'obtenir l'appui diplomatique, voire militaire, des nations occidentales, la Grande-Bretagne en particulier.
Le président J.F. Kennedy s'est opposé au projet.
Publiée le 27 mars 2012 par Mr2331
Bien Amicalement.
Les "False Flag" dans l'Histoire
(Opération sous fausse bannière)
Au travers de ce post, vous (re)découvrirez un certain nombres
d'Opérations réalisées sous Fausse Bannières.
Dans un monde où la propagande fait partie intégrante de notre quotidien,
il me semblait judicieux d'en discuter avec vous.
Je pense pouvoir alimenter ce post assez régulièrement,
mais si un sujet vous intéresse plus qu'un autre,
il sera possible d'en faire un sujet à part entière.
Ce post n'a pas pour vocation de vous affoler,
mais plutôt de vous permettre de reconnaître un tel évènement.
Les opérations les plus connues sous fausse bannière sont généralement issues d'un organisme gouvernemental mettant en scène une attaque terroriste, selon laquelle une entité non impliquée est blâmée pour le carnage.
Comme au moins deux millénaires ont fait leurs preuves, les opérations sous fausse bannière,
avec une bonne dose de propagande et d'ignorance, ont fourni une excellente recette pour une guerre sans fin.
La ruse de guerre, y compris sous la forme du déguisement, a toujours fait partie de l'arsenal du guerrier ou du soldat. La Convention de La Haye de 1907 reconnaissait ce fait dans son article 23 qui interdisait « l'usage impropre » de l'uniforme ennemi. Un amendement fut rédigé après la Seconde Guerre mondiale afin de lever l'ambiguïté de cette formule, précisant que c'est l'usage des armes sous uniforme ennemi qui est visé.
La Convention de La Haye de 1907
Source
Fausse bannière
De Néron au évènement du 9/11, en passant par Pearl Harbour et par l'incident le golfe du Tonkin,
Joe Crubaugh fournit au travers de «All Time Greatest Hits» une liste d'opérations sous fausse bannière,
dans lesquelles un scénario se répète et que le monde continue à avaler sachant qu'il s'agit d'un même mensonge.
L'Opération Northwoods
L'Opération Northwoods consistait, en 1962, dans le contexte de la guerre froide, en l'organisation d'une série d'attentats contre les États-Unis par l'état-major interarmes américain lui-même, de manière à en imputer la responsabilité au régime cubain (agression dite « false flag »). Le but était de justifier aux yeux de l'opinion américaine une intervention des forces armées américaines contre Cuba et d'obtenir l'appui diplomatique, voire militaire, des nations occidentales, la Grande-Bretagne en particulier.
Le président J.F. Kennedy s'est opposé au projet.
Publiée le 27 mars 2012 par Mr2331
Bien Amicalement.
Opération Northwoods
Bonjour à tous,
Quand l’état-major américain planifiait
des attentats terroristes contre sa population.
par Thierry Meyssan
Conçue en 1962, par l’état-major interarmes des Etats-Unis, l’opération "Northwoods" prévoyait
une série d’attentats tuant des civils et des militaires américains pour mobiliser l’opinion publique contre Fidel Castro. Un attentat contre un bâtiment de guerre et un détournement d’avion avaient notamment été planifiés.
Parmi les conjurés se trouvaient d’actuels responsables de l’armée des États-Unis.
La réalisation de ce plan dément fut empêchée in extremis par le président John F. Kennedy.
L’opération Mangoose
En 1958 à Cuba, des insurgés conduits par les colonels Fidel et Raul Castro, Che Guevara et Camilo Cienfuegos renversent le régime fantoche de Fulgencio Batista. Le nouveau gouvernement, qui n’est pas encore communiste,
met fin à l’exploitation en coupe réglée de l’île à laquelle se livrent un groupe de multinationales états-uniennes (Standard Oil, General Motors, ITT, General Electric, Sheraton, Hilton, United Fruit, Est Indian Co)
et la famille Bacardi depuis six ans. En retour, ces entreprises convainquent le président Eisenhower
de renverser les castristes.
Le 17 mars 1960, le président Eisenhower approuve un "Programme d’actions clandestines contre le régime castriste". Son but est de " remplacer le régime de Castro par un autre, plus fidèle aux véritables intérêts du peuple cubain et plus acceptable pour les États-Unis, par des moyens évitant toute visibilité de l’intervention US ".
Le 17 avril 1961, une brigade d’exilés cubains et de mercenaires, plus ou moins discrètement encadrée par la CIA, tente un débarquement à la Baie des Cochons. L’opération tourne au fiasco. Le président John F. Kennedy,
qui venait d’arriver à la Maison-Blanche, refuse d’envoyer l’US Air Force appuyer les mercenaires.
1 500 hommes sont faits prisonniers par les autorités cubaines.
Kennedy désavoue l’opération et révoque le directeur de la CIA (Allen Dulles), le directeur adjoint (Charles Cabell)
et le directeur du stay-behind (Richard Bissell). Il confie une enquête interne à son conseiller militaire,
le général Maxwell Taylor, mais elle n’est suivie d’aucune mesure concrète. Kennedy s’interroge
sur l’attitude de l’état-major interarmes, qui avait validé l’opération alors qu’il la savait vouée à l’échec.
Tout semble s’être passé comme si les généraux avaient tenté d’impliquer les États-Unis
dans une guerre ouverte contre Cuba.
Si le président Kennedy a sanctionné les méthodes et les échecs de la CIA, il n’a pas remis en question la politique d’hostilité de Washington à l’égard du pouvoir en place à La Havane.
Il met en place un "Groupe spécial élargi" chargé de concevoir et de conduire la lutte anti-castriste.
Ce groupe est composé de son frère, Robert Kennedy (attorney général), de son conseiller militaire
(le général Maxwell Taylor), du conseiller national pour la sécurité (Mc Gorge Bundy), du secrétaire d’État
(Dean Rusk), assisté d’un conseiller (Alexis Johnson), du secrétaire à la Défense (Robert McNamara),
assisté d’un conseiller (Roswell Gilpatric), du nouveau directeur de la CIA (John McCone),
et du chef d’état-major interarmes (le général Lyman L. Lemnitzer).
Ce Groupe spécial élargi imagine un ensemble d’actions secrètes rassemblées sous le titre générique
d’opération " Mangoose " (Mangouste). Pour les réaliser, la coordination opérationnelle entre le département d’État,
le département de la Défense et la CIA est confiée au général Edward Lansdale (assistant du secrétaire à la Défense, en charge des opérations spéciales, et à ce titre directeur de la NSA). Tandis qu’au sein de la CIA,
une unité ad hoc est constituée, le " Groupe W ", dirigé par William Harvey.
La crise au sein des armées
Les chefs d’etat-major responsables du projet Northwoods
De gauche à droite : l’amiral George W. Anderson Jr. (chef des opérations navales), le général Goerge H. Decker
(chef d’état-major de l’armée de terre), le général Leyyman L. Leymnintzer (chef d’état-major interarmes),
le général Curtis E. LeMay (chef d’état-major de l’armée de l’air), le général David M. Shoup
(commandant du corps des marines).
En avril 1961, l’armée des États-Unis est traversée par une crise grave : le major général Edwin A. Walker,
qui avait suscité les affrontements racistes de Little Rock avant de prendre le commandement de
l’infanterie stationnée en Allemagne, est révoqué par le président Kennedy.
Il est accusé de développer un prosélytisme d’extrême droite dans les armées.
Lui-même appartiendrait à la John Birch Society et aux Authentiques Chevaliers du Klu Klux Klan.
La commission des Affaires étrangères du Sénat diligente une enquête sur l’extrême droite militaire.
Les auditions sont conduites par le sénateur Albert Gore (D-Tennessee), père du futur vice-président américain.
Les sénateurs suspectent le chef d’état-major interarmes, le général Lyman L. Lemnitzer, de participer au complot Walker. Gore sait que Lemnitzer est un spécialiste de l’action secrète : en 1943, il avait personnellement dirigé
les négociations visant à retourner l’Italie contre le Reich, puis, en 1944, il conduisit avec Allen Dulles
les négociations secrètes avec les nazis à Ascona (Suisse) préparant la capitulation (opération Sunrise).
Il participa à la création du réseau stay-behind de l’Alliance, retournant des agents nazis pour lutter contre l’URSS,
et à l’exfiltration de criminels contre l’humanité vers l’Amérique latine. Mais Gore ne parvint pas à mettre
en évidence sa responsabilité dans les événements contemporains.
Une correspondance secrète du général Lemnitzer, récemment publiée, montre qu’il complotait avec le commandant des forces américaines en Europe (le général Lauris Norstad) et d’autres officiers de très haut rang pour saboter la politique de John F. Kennedy.
Les militaires extrémistes dénoncent le refus de Kennedy d’intervenir militairement à Cuba. Ils considèrent les civils
de la CIA comme responsables de la mauvaise planification du débarquement de la Baie des Cochons,
et le président Kennedy comme un lâche pour avoir refusé l’appui de l’US Air Force. Pour débloquer la situation,
ils imaginent de fournir un prétexte politique à Kennedy pour intervenir militairement.
Ce plan, dit opération " Northwoods " (Bois du nord), donne lieu à des études poussées qui sont formalisées
par le brigadier général William H. Craig. Il est présenté au Groupe spécial élargi par le général Lemnitzer lui-même,
le 13 mars 1962 (notre document). La réunion se tient au Pentagone, dans le bureau du secrétaire de la Défense,
de 14 h 30 à 17 h 30. Elle se termine très mal : Robert McNamara rejette le plan en bloc, tandis que le général Lemnitzer se fait menaçant. S’ensuivent six mois de permanente hostilité entre l’administration Kennedy
et l’état-major interarmes, puis l’éloignement de Lemnitzer et sa nomination comme chef des forces US en Europe. Avant de partir, le général donne l’ordre de détruire toutes les traces du projet Northwoods,
mais Robert McNamara conserve la copie du mémo qui lui avait été remis.
Attentats terroristes
L’opération Northwoods vise à convaincre la communauté internationale que Fidel Castro était irresponsable au point de représenter un danger pour la paix de l’Occident. Pour ce faire, il est prévu d’orchestrer, puis d’imputer à Cuba de graves dommages subis par les États-Unis. Voici quelques-unes des provocations projetées :
Attaquer la base américaine de Guantanamo. L’opération aurait été conduite par des mercenaires cubains sous uniforme des forces de Fidel Castro, elle aurait inclus divers sabotages et l’explosion du dépôt de munitions, laquelle aurait nécessairement provoqué des dégâts matériels et humains considérables
Faire sauter un navire américain dans les eaux territoriales cubaines de manière à raviver la mémoire
de la destruction du Maine, en 1898 (266 morts), qui provoqua l’intervention américaine contre l’Espagne.
Le bâtiment aurait été en réalité vide et télécommandé. L’explosion aurait été visible de La Havane
ou de Santiago pour que l’on dispose de témoins. Des opérations de secours auraient été conduites
pour crédibiliser des pertes. La liste des victimes aurait été publiée dans la presse et de fausses obsèques
auraient été organisées pour susciter l’indignation. L’opération aurait été déclenchée lorsque des navires
et avions cubains se seraient trouvés dans la zone pour pouvoir leur imputer une attaque.
Terroriser les exilés cubains en organisant quelques plasticages contre eux à Miami, en Floride, et même à Washington. De faux agents cubains auraient été arrêtés pour disposer d’aveux. De faux documents compromettants, établis à l’avance, auraient été saisis et distribués à la presse.
Mobiliser les États voisins de Cuba en leur faisant accroire une menace d’invasion. Un faux avion cubain aurait bombardé de nuit la République Dominicaine, ou un autre État de la région. Les bombes utilisées auraient été évidemment de fabrication soviétique.
Mobiliser l’opinion publique internationale en détruisant un vol spatial habité. Pour frapper les esprits, la victime aurait été John Glenn, premier Américain à avoir parcouru une orbite complète de la terre (vol Mercury).
Une provocation avait été plus particulièrement étudiée :
"Il est possible de créer un incident qui démontrera de manière convaincante qu’un avion cubain a attaqué
et descendu un vol charter civil en route des États-Unis vers la Jamaïque, le Guatemala, Panama ou le Venezuela".
Un groupe de passagers complices, qui pourrait être des étudiants par exemple, aurait pris un vol charter d’une compagnie détenue en sous-main par la CIA. Au large de la Floride, leur avion aurait croisé une réplique,
en fait un avion apparemment identique, mais vide et transformé en drone. Les passagers complices
seraient retournés sur une base de la CIA, tandis que le drone aurait continué en apparence leur trajet. L’appareil
aurait émis des messages de détresse indiquant qu’il était attaqué par la chasse cubaine, et aurait explosé en vol.
La réalisation de ces opérations implique nécessairement la mort de nombreux citoyens américains, civils et militaires. Mais c’est précisément leur coût humain qui en fait d’efficaces actions de manipulation.
Layman L. Lemnitzer, le retour
Pour John F. Kennedy, Lemnitzer est un anti communiste hystérique soutenu par des multinationales sans scrupules. Le nouveau président comprend le sens de la mise en garde de son prédécesseur, le président Eisenhower, un an plus tôt, lors de son discours de fin de mandat :
et refuse d’engager plus avant l’Amérique dans une guerre à outrance contre le communisme,
à Cuba, au Laos, au Vietnam ou ailleurs. Il est assassiné, le 22 novembre 1963.
Le général Lemnitzer prend sa retraite en 1969. Mais, en 1975, alors que le Sénat commence des investigations
sur le rôle exact de la CIA sous l’administration Nixon, Gerald Ford, qui assure l’intérim de la présidence
depuis le scandale du Watergate, lui demande de participer à cette enquête. Après qu’il eut aidé à enterrer
la polémique, Ford le sollicite à nouveau pour animer un groupe de pression, le Committe on the Present Danger
(CPD - Comité sur le danger actuel). Cette association est une création de la CIA, alors dirigée par George Bush père. Elle mène campagne contre le danger soviétique. Parmi ses administrateurs, on trouve divers responsables
de la CIA et Paul D. Wolfowitz (actuel secrétaire adjoint à la Défense, en charge des opérations en Afghanistan). Parallèlement, Gerald Ford promeut le brigadier général William H. Craig, qui avait dirigé les études préliminaires
de l’opération Northwoods, directeur de la National Security Agency (NSA).
Le général Layman L. Lemnitzer meurt le 12 novembre 1988.
En 1992, l’opinion publique américaine s’interroge sur l’assassinat du président Kennedy après la diffusion
d’un film d’Oliver Stone montrant les incohérences de la version officielle. Le président Clinton ordonne
la déclassification de très nombreuses archives de la période Kennedy. Dans les papiers du secrétaire
à la Défense Robert McNamara, on retrouve l’unique copie conservée du projet Northwoods.
Source
Quand l’état-major américain
planifiait des attentats terroristes contre sa population
Documents déclassifiés (en anglais)
Justification for U.S Military Intervention in Cuba (pdf)
U.S. Military Wanted to Provoke War With Cuba
Operations Northwoods Documents
Opération Northwoods
Et pour terminer, voici une vidéo où l'auteur James Bamford, "un prétexte de guerre",
examine les récents documents déclassifiés de "l'Opération Northwoods".
Ajoutée par thetruthwillout le 21 avril 2006
Bien Amicalement.
Quand l’état-major américain planifiait
des attentats terroristes contre sa population.
par Thierry Meyssan
Conçue en 1962, par l’état-major interarmes des Etats-Unis, l’opération "Northwoods" prévoyait
une série d’attentats tuant des civils et des militaires américains pour mobiliser l’opinion publique contre Fidel Castro. Un attentat contre un bâtiment de guerre et un détournement d’avion avaient notamment été planifiés.
Parmi les conjurés se trouvaient d’actuels responsables de l’armée des États-Unis.
La réalisation de ce plan dément fut empêchée in extremis par le président John F. Kennedy.
L’opération Mangoose
En 1958 à Cuba, des insurgés conduits par les colonels Fidel et Raul Castro, Che Guevara et Camilo Cienfuegos renversent le régime fantoche de Fulgencio Batista. Le nouveau gouvernement, qui n’est pas encore communiste,
met fin à l’exploitation en coupe réglée de l’île à laquelle se livrent un groupe de multinationales états-uniennes (Standard Oil, General Motors, ITT, General Electric, Sheraton, Hilton, United Fruit, Est Indian Co)
et la famille Bacardi depuis six ans. En retour, ces entreprises convainquent le président Eisenhower
de renverser les castristes.
Le 17 mars 1960, le président Eisenhower approuve un "Programme d’actions clandestines contre le régime castriste". Son but est de " remplacer le régime de Castro par un autre, plus fidèle aux véritables intérêts du peuple cubain et plus acceptable pour les États-Unis, par des moyens évitant toute visibilité de l’intervention US ".
Le 17 avril 1961, une brigade d’exilés cubains et de mercenaires, plus ou moins discrètement encadrée par la CIA, tente un débarquement à la Baie des Cochons. L’opération tourne au fiasco. Le président John F. Kennedy,
qui venait d’arriver à la Maison-Blanche, refuse d’envoyer l’US Air Force appuyer les mercenaires.
1 500 hommes sont faits prisonniers par les autorités cubaines.
Kennedy désavoue l’opération et révoque le directeur de la CIA (Allen Dulles), le directeur adjoint (Charles Cabell)
et le directeur du stay-behind (Richard Bissell). Il confie une enquête interne à son conseiller militaire,
le général Maxwell Taylor, mais elle n’est suivie d’aucune mesure concrète. Kennedy s’interroge
sur l’attitude de l’état-major interarmes, qui avait validé l’opération alors qu’il la savait vouée à l’échec.
Tout semble s’être passé comme si les généraux avaient tenté d’impliquer les États-Unis
dans une guerre ouverte contre Cuba.
Si le président Kennedy a sanctionné les méthodes et les échecs de la CIA, il n’a pas remis en question la politique d’hostilité de Washington à l’égard du pouvoir en place à La Havane.
Il met en place un "Groupe spécial élargi" chargé de concevoir et de conduire la lutte anti-castriste.
Ce groupe est composé de son frère, Robert Kennedy (attorney général), de son conseiller militaire
(le général Maxwell Taylor), du conseiller national pour la sécurité (Mc Gorge Bundy), du secrétaire d’État
(Dean Rusk), assisté d’un conseiller (Alexis Johnson), du secrétaire à la Défense (Robert McNamara),
assisté d’un conseiller (Roswell Gilpatric), du nouveau directeur de la CIA (John McCone),
et du chef d’état-major interarmes (le général Lyman L. Lemnitzer).
Ce Groupe spécial élargi imagine un ensemble d’actions secrètes rassemblées sous le titre générique
d’opération " Mangoose " (Mangouste). Pour les réaliser, la coordination opérationnelle entre le département d’État,
le département de la Défense et la CIA est confiée au général Edward Lansdale (assistant du secrétaire à la Défense, en charge des opérations spéciales, et à ce titre directeur de la NSA). Tandis qu’au sein de la CIA,
une unité ad hoc est constituée, le " Groupe W ", dirigé par William Harvey.
La crise au sein des armées
Les chefs d’etat-major responsables du projet Northwoods
De gauche à droite : l’amiral George W. Anderson Jr. (chef des opérations navales), le général Goerge H. Decker
(chef d’état-major de l’armée de terre), le général Leyyman L. Leymnintzer (chef d’état-major interarmes),
le général Curtis E. LeMay (chef d’état-major de l’armée de l’air), le général David M. Shoup
(commandant du corps des marines).
En avril 1961, l’armée des États-Unis est traversée par une crise grave : le major général Edwin A. Walker,
qui avait suscité les affrontements racistes de Little Rock avant de prendre le commandement de
l’infanterie stationnée en Allemagne, est révoqué par le président Kennedy.
Il est accusé de développer un prosélytisme d’extrême droite dans les armées.
Lui-même appartiendrait à la John Birch Society et aux Authentiques Chevaliers du Klu Klux Klan.
La commission des Affaires étrangères du Sénat diligente une enquête sur l’extrême droite militaire.
Les auditions sont conduites par le sénateur Albert Gore (D-Tennessee), père du futur vice-président américain.
Les sénateurs suspectent le chef d’état-major interarmes, le général Lyman L. Lemnitzer, de participer au complot Walker. Gore sait que Lemnitzer est un spécialiste de l’action secrète : en 1943, il avait personnellement dirigé
les négociations visant à retourner l’Italie contre le Reich, puis, en 1944, il conduisit avec Allen Dulles
les négociations secrètes avec les nazis à Ascona (Suisse) préparant la capitulation (opération Sunrise).
Il participa à la création du réseau stay-behind de l’Alliance, retournant des agents nazis pour lutter contre l’URSS,
et à l’exfiltration de criminels contre l’humanité vers l’Amérique latine. Mais Gore ne parvint pas à mettre
en évidence sa responsabilité dans les événements contemporains.
Une correspondance secrète du général Lemnitzer, récemment publiée, montre qu’il complotait avec le commandant des forces américaines en Europe (le général Lauris Norstad) et d’autres officiers de très haut rang pour saboter la politique de John F. Kennedy.
Les militaires extrémistes dénoncent le refus de Kennedy d’intervenir militairement à Cuba. Ils considèrent les civils
de la CIA comme responsables de la mauvaise planification du débarquement de la Baie des Cochons,
et le président Kennedy comme un lâche pour avoir refusé l’appui de l’US Air Force. Pour débloquer la situation,
ils imaginent de fournir un prétexte politique à Kennedy pour intervenir militairement.
Ce plan, dit opération " Northwoods " (Bois du nord), donne lieu à des études poussées qui sont formalisées
par le brigadier général William H. Craig. Il est présenté au Groupe spécial élargi par le général Lemnitzer lui-même,
le 13 mars 1962 (notre document). La réunion se tient au Pentagone, dans le bureau du secrétaire de la Défense,
de 14 h 30 à 17 h 30. Elle se termine très mal : Robert McNamara rejette le plan en bloc, tandis que le général Lemnitzer se fait menaçant. S’ensuivent six mois de permanente hostilité entre l’administration Kennedy
et l’état-major interarmes, puis l’éloignement de Lemnitzer et sa nomination comme chef des forces US en Europe. Avant de partir, le général donne l’ordre de détruire toutes les traces du projet Northwoods,
mais Robert McNamara conserve la copie du mémo qui lui avait été remis.
Attentats terroristes
L’opération Northwoods vise à convaincre la communauté internationale que Fidel Castro était irresponsable au point de représenter un danger pour la paix de l’Occident. Pour ce faire, il est prévu d’orchestrer, puis d’imputer à Cuba de graves dommages subis par les États-Unis. Voici quelques-unes des provocations projetées :
Attaquer la base américaine de Guantanamo. L’opération aurait été conduite par des mercenaires cubains sous uniforme des forces de Fidel Castro, elle aurait inclus divers sabotages et l’explosion du dépôt de munitions, laquelle aurait nécessairement provoqué des dégâts matériels et humains considérables
Faire sauter un navire américain dans les eaux territoriales cubaines de manière à raviver la mémoire
de la destruction du Maine, en 1898 (266 morts), qui provoqua l’intervention américaine contre l’Espagne.
Le bâtiment aurait été en réalité vide et télécommandé. L’explosion aurait été visible de La Havane
ou de Santiago pour que l’on dispose de témoins. Des opérations de secours auraient été conduites
pour crédibiliser des pertes. La liste des victimes aurait été publiée dans la presse et de fausses obsèques
auraient été organisées pour susciter l’indignation. L’opération aurait été déclenchée lorsque des navires
et avions cubains se seraient trouvés dans la zone pour pouvoir leur imputer une attaque.
Terroriser les exilés cubains en organisant quelques plasticages contre eux à Miami, en Floride, et même à Washington. De faux agents cubains auraient été arrêtés pour disposer d’aveux. De faux documents compromettants, établis à l’avance, auraient été saisis et distribués à la presse.
Mobiliser les États voisins de Cuba en leur faisant accroire une menace d’invasion. Un faux avion cubain aurait bombardé de nuit la République Dominicaine, ou un autre État de la région. Les bombes utilisées auraient été évidemment de fabrication soviétique.
Mobiliser l’opinion publique internationale en détruisant un vol spatial habité. Pour frapper les esprits, la victime aurait été John Glenn, premier Américain à avoir parcouru une orbite complète de la terre (vol Mercury).
Une provocation avait été plus particulièrement étudiée :
"Il est possible de créer un incident qui démontrera de manière convaincante qu’un avion cubain a attaqué
et descendu un vol charter civil en route des États-Unis vers la Jamaïque, le Guatemala, Panama ou le Venezuela".
Un groupe de passagers complices, qui pourrait être des étudiants par exemple, aurait pris un vol charter d’une compagnie détenue en sous-main par la CIA. Au large de la Floride, leur avion aurait croisé une réplique,
en fait un avion apparemment identique, mais vide et transformé en drone. Les passagers complices
seraient retournés sur une base de la CIA, tandis que le drone aurait continué en apparence leur trajet. L’appareil
aurait émis des messages de détresse indiquant qu’il était attaqué par la chasse cubaine, et aurait explosé en vol.
La réalisation de ces opérations implique nécessairement la mort de nombreux citoyens américains, civils et militaires. Mais c’est précisément leur coût humain qui en fait d’efficaces actions de manipulation.
Layman L. Lemnitzer, le retour
Pour John F. Kennedy, Lemnitzer est un anti communiste hystérique soutenu par des multinationales sans scrupules. Le nouveau président comprend le sens de la mise en garde de son prédécesseur, le président Eisenhower, un an plus tôt, lors de son discours de fin de mandat :
En définitive, John F. Kennedy, résiste aux généraux Walker, Lemnitzer et à leurs amis," Dans les conseils du gouvernement, nous devons prendre garde à l’acquisition
d’une influence illégitime, qu’elle soit recherchée ou non par le complexe militaro-industriel. Le risque d’un développement désastreux d’un pouvoir usurpé existe et persistera. Nous ne devrons jamais laisser le poids
de cette conjonction menacer nos libertés ou les processus démocratiques. Nous ne devons rien considérer
comme acquis. Seules une vigilance et une conscience citoyennes peuvent garantir l’équilibre entre l’influence
de la gigantesque machinerie industrielle et militaire de défense et nos méthodes et nos buts pacifiques,
de sorte que la sécurité et la liberté puissent croître de pair "
et refuse d’engager plus avant l’Amérique dans une guerre à outrance contre le communisme,
à Cuba, au Laos, au Vietnam ou ailleurs. Il est assassiné, le 22 novembre 1963.
Le général Lemnitzer prend sa retraite en 1969. Mais, en 1975, alors que le Sénat commence des investigations
sur le rôle exact de la CIA sous l’administration Nixon, Gerald Ford, qui assure l’intérim de la présidence
depuis le scandale du Watergate, lui demande de participer à cette enquête. Après qu’il eut aidé à enterrer
la polémique, Ford le sollicite à nouveau pour animer un groupe de pression, le Committe on the Present Danger
(CPD - Comité sur le danger actuel). Cette association est une création de la CIA, alors dirigée par George Bush père. Elle mène campagne contre le danger soviétique. Parmi ses administrateurs, on trouve divers responsables
de la CIA et Paul D. Wolfowitz (actuel secrétaire adjoint à la Défense, en charge des opérations en Afghanistan). Parallèlement, Gerald Ford promeut le brigadier général William H. Craig, qui avait dirigé les études préliminaires
de l’opération Northwoods, directeur de la National Security Agency (NSA).
Le général Layman L. Lemnitzer meurt le 12 novembre 1988.
En 1992, l’opinion publique américaine s’interroge sur l’assassinat du président Kennedy après la diffusion
d’un film d’Oliver Stone montrant les incohérences de la version officielle. Le président Clinton ordonne
la déclassification de très nombreuses archives de la période Kennedy. Dans les papiers du secrétaire
à la Défense Robert McNamara, on retrouve l’unique copie conservée du projet Northwoods.
Source
Quand l’état-major américain
planifiait des attentats terroristes contre sa population
Documents déclassifiés (en anglais)
Justification for U.S Military Intervention in Cuba (pdf)
U.S. Military Wanted to Provoke War With Cuba
Operations Northwoods Documents
Opération Northwoods
Et pour terminer, voici une vidéo où l'auteur James Bamford, "un prétexte de guerre",
examine les récents documents déclassifiés de "l'Opération Northwoods".
Ajoutée par thetruthwillout le 21 avril 2006
Bien Amicalement.
Qui est derrière les attentats de Moscou en 1999 ?
Bonjour à tous,
Qui est derrière les attentats de Moscou en 1999 ?
Une série de cinq attentats en Russie en 1999 contre des immeubles d'habitations
entre le 31 août et le 16 septembre 1999 dans plusieurs villes de Russie d'Europe
ont fait au moins 290 morts et un millier de blessés.
Ces attaques commises à l'explosif et à la voiture piégée ont été officiellement attribuées
à des indépendantistes Tchétchènes. Elles ont conduit, avec l'invasion du Daguestan
par ceux-ci à partir du 7 août, au déclenchement de la Seconde guerre de Tchétchénie.
Les autorités russes ont immédiatement accusé le Président Tchétchène Aslan Maskhadov d’etre derrière l’incident. Un porte-parole de M. Aslan Maskhadov a démenti que les combattants Tchétchènes soient impliqués dans l’explosion. Il semble que le criminel de guerre Putine, en difficulté avec Yisrael et les sionistes russes,
veuille se faire réelire encore une fois en utilisant le génocide du Peuple Tchetchene. C’est tout de même
stupéfiant que l’explosion soit arrivée seulement quelque semaines avant l’élection présidentielle russe
et la seule personne qui gagnerait à utiliser le massacre de civils est le criminel de guerre Putin. Apres Chirac, Netanyahu, Barak, Sharon, Bush et Blair, voici que l’ancien colonel du KGB Poutine est à nouveau pris
en flagrant délit de terrorisme, cette fois à Moscou. Les sionistes juifs Kordhokovsky et Beresovsky,
parrains du génocide Tchetchene et du pillage du pétrole et du gaz de la République d’Ichkérie au profit de Yisrael,
ont promis d’activer tous leur réseaux pour bloquer la réelection du nouveau Tsar slave.
Le monde entier a été choqué, après la parution de l’enquete indépendante, de journalistes français ayant clairement exposé le FSB (ex-KGB) dans les attentats des immeubles en Russie, en 1999, que dire de la prise d’otage du theatre, orchestrée par les services russes. Le FSB était derrière les attaques, il a alors organisé les attentats pour accuser les Tchétchènes comme le font les russes à chaque fois.
En 1999, Putin avait eu besoin de la guerre en Tchétchénie pour assurer son élection, Il avait alors promis d’en finir avec ‘le terrorisme Tchétchène’ une fois pour toute et à jamais, il a exactement répété la meme phrase samedi dernier. Il a encore utilisé les explosions pour légitimer le génocide contre la population civile, innocente Tchétchène, il a utilisé la guerre en Tchétchènie pour gagner l’élection en 2000.
Pendant ces quatre années, Putin n’a rien pu faire contre la Résistance Islamique d’Ichkérie, pour la seule année 2003, la Résistance affirme avoir éliminée 9000 soldats russes dans la région, et c’est une estimation minimale, Putine sait qu’il ne pourra jamais écraser la République Tchétchène d’Ichkérie, et la population russe est mécontente de ses promesses non tenue. Les meres de soldats se sont montées en parti politique pour demander des comptes au criminel de guerre Poutine et sa mafia de Généraux corrompus par les intérets américano-sionistes. Les sionistes ont longtemps fait miroiter un nouvel Eldorado pétrolier Tchétchene à l’Etat Major russe.
Depuis 1995, et le début de l’invasion et l’extermination des civils en Tchétchenie, la Russie s’englue, l’objectif de morcellement de l’ex-URSS entrepris par les sionistes d’Europe et des Etats-Unis, est en voie d’achevement, Putine, par manque de courage, s’appuie encore sur le massacre de civils innocents pour prolonger son reigne. Le KGB espere récupérer et rétablir la situation en frappant des civils à Moscou, le KGB restera toujours le KGB, même s’il est appelé FSB maintenant, la face, la structure et ‘les valeurs sont toujours les memes’, seuls les masques changent. Le colonel du KGB Putin doit faire quelque chose pour reprendre le contrôle la situation en Russie, qui lui echappe, que ce soit à Moscou, en Tchétchenie ou en Géorgie…
Pour ce faire, il lui faut accuser encore et toujours les Tchétchènes qui sont la menace pour les russes, ‘ la menace pour ce pays démocratique’ et la meilleure façon de le faire – made in KGB – c’est de régler les Tchétchènes, comme en 1999, cela pourra détourner les regards des russes sur les véritables problemes de ce pays, et cela masquera un temps l’incapacité de Putine à gouverner son pays, otage des interets sionistes et des ambitions américaines pour le bassin caspien.
Il devient évident que Putin ira toujours plus loin en massacrant n’importe qui, des russes, de simples moscovites, il justifiera les massacres sanglants en Tchétchénie, il pourra continuer le massacre d’enfants Tchétchènes, des personnes âgés et des femmes… grace à cela bien sûr, sa chaise présidentielle sera sauvée…
Quelqu’un pourrait-il demander: si les attentats en Russie, imputés encore une fois sans preuves aux Tchetchenes assureront sa réelection une fois encore?
Cela a marché une fois sur les russes en 1999,
pourquoi cela ne marcherait-il pas maintenant, en 2004?
Liste des attaques
Certains, par exemple l'ancien agent des services secrets russes Alexandre Litvinenko (mort empoisonné en 2006) soutiennent que ces attentats sont le fait du gouvernement russe (donc une opération sous fausse bannière)
pour justifier la seconde guerre de Tchétchènie, à la fin du régime de Boris Eltsine, et établir le pouvoir de Vladimir Poutine en Russie. Ces déclarations ont toujours été considérées, par le gouvernement russe,
comme des tentatives de déstabilisation du pays, rappelant que Litvinenko était lié à Boris Berezovski,
opposant à Poutine exilé à Londres, ainsi qu'au djihaddiste tchétchène Chamil Bassaïev.
Le 25 janvier 2011, sur France Inter, Hélène Blanc, politologue et spécialiste de la Russie au CNRS,
commentant le récent attentat à l'aéroport Domodiedovo, affirme qu'est établie la responsabilité du FSB
et non de la Tchétchénie dans les attentats de 1999 :
Sources
Le FSB derriere l’attentat de Moscou
Attentats en Russie en 1999
Autres Documentations
1991-2011 : comment la Russie a changé
Qui A Commis Les Attentats De 1999 ?
The Shadow of Ryazan (pdf en anglais)
Bien Amicalement.
Qui est derrière les attentats de Moscou en 1999 ?
Une série de cinq attentats en Russie en 1999 contre des immeubles d'habitations
entre le 31 août et le 16 septembre 1999 dans plusieurs villes de Russie d'Europe
ont fait au moins 290 morts et un millier de blessés.
Ces attaques commises à l'explosif et à la voiture piégée ont été officiellement attribuées
à des indépendantistes Tchétchènes. Elles ont conduit, avec l'invasion du Daguestan
par ceux-ci à partir du 7 août, au déclenchement de la Seconde guerre de Tchétchénie.
Les autorités russes ont immédiatement accusé le Président Tchétchène Aslan Maskhadov d’etre derrière l’incident. Un porte-parole de M. Aslan Maskhadov a démenti que les combattants Tchétchènes soient impliqués dans l’explosion. Il semble que le criminel de guerre Putine, en difficulté avec Yisrael et les sionistes russes,
veuille se faire réelire encore une fois en utilisant le génocide du Peuple Tchetchene. C’est tout de même
stupéfiant que l’explosion soit arrivée seulement quelque semaines avant l’élection présidentielle russe
et la seule personne qui gagnerait à utiliser le massacre de civils est le criminel de guerre Putin. Apres Chirac, Netanyahu, Barak, Sharon, Bush et Blair, voici que l’ancien colonel du KGB Poutine est à nouveau pris
en flagrant délit de terrorisme, cette fois à Moscou. Les sionistes juifs Kordhokovsky et Beresovsky,
parrains du génocide Tchetchene et du pillage du pétrole et du gaz de la République d’Ichkérie au profit de Yisrael,
ont promis d’activer tous leur réseaux pour bloquer la réelection du nouveau Tsar slave.
Le monde entier a été choqué, après la parution de l’enquete indépendante, de journalistes français ayant clairement exposé le FSB (ex-KGB) dans les attentats des immeubles en Russie, en 1999, que dire de la prise d’otage du theatre, orchestrée par les services russes. Le FSB était derrière les attaques, il a alors organisé les attentats pour accuser les Tchétchènes comme le font les russes à chaque fois.
En 1999, Putin avait eu besoin de la guerre en Tchétchénie pour assurer son élection, Il avait alors promis d’en finir avec ‘le terrorisme Tchétchène’ une fois pour toute et à jamais, il a exactement répété la meme phrase samedi dernier. Il a encore utilisé les explosions pour légitimer le génocide contre la population civile, innocente Tchétchène, il a utilisé la guerre en Tchétchènie pour gagner l’élection en 2000.
Pendant ces quatre années, Putin n’a rien pu faire contre la Résistance Islamique d’Ichkérie, pour la seule année 2003, la Résistance affirme avoir éliminée 9000 soldats russes dans la région, et c’est une estimation minimale, Putine sait qu’il ne pourra jamais écraser la République Tchétchène d’Ichkérie, et la population russe est mécontente de ses promesses non tenue. Les meres de soldats se sont montées en parti politique pour demander des comptes au criminel de guerre Poutine et sa mafia de Généraux corrompus par les intérets américano-sionistes. Les sionistes ont longtemps fait miroiter un nouvel Eldorado pétrolier Tchétchene à l’Etat Major russe.
Depuis 1995, et le début de l’invasion et l’extermination des civils en Tchétchenie, la Russie s’englue, l’objectif de morcellement de l’ex-URSS entrepris par les sionistes d’Europe et des Etats-Unis, est en voie d’achevement, Putine, par manque de courage, s’appuie encore sur le massacre de civils innocents pour prolonger son reigne. Le KGB espere récupérer et rétablir la situation en frappant des civils à Moscou, le KGB restera toujours le KGB, même s’il est appelé FSB maintenant, la face, la structure et ‘les valeurs sont toujours les memes’, seuls les masques changent. Le colonel du KGB Putin doit faire quelque chose pour reprendre le contrôle la situation en Russie, qui lui echappe, que ce soit à Moscou, en Tchétchenie ou en Géorgie…
Pour ce faire, il lui faut accuser encore et toujours les Tchétchènes qui sont la menace pour les russes, ‘ la menace pour ce pays démocratique’ et la meilleure façon de le faire – made in KGB – c’est de régler les Tchétchènes, comme en 1999, cela pourra détourner les regards des russes sur les véritables problemes de ce pays, et cela masquera un temps l’incapacité de Putine à gouverner son pays, otage des interets sionistes et des ambitions américaines pour le bassin caspien.
Il devient évident que Putin ira toujours plus loin en massacrant n’importe qui, des russes, de simples moscovites, il justifiera les massacres sanglants en Tchétchénie, il pourra continuer le massacre d’enfants Tchétchènes, des personnes âgés et des femmes… grace à cela bien sûr, sa chaise présidentielle sera sauvée…
Quelqu’un pourrait-il demander: si les attentats en Russie, imputés encore une fois sans preuves aux Tchetchenes assureront sa réelection une fois encore?
Cela a marché une fois sur les russes en 1999,
pourquoi cela ne marcherait-il pas maintenant, en 2004?
Liste des attaques
Moscou : Le 31 août 1999, une bombe explose sur une place de la capitale russe
tuant une personne et en blessant une quarantaine.
Bouïnaksk (Daguestan) : Le 4 septembre 1999 à 9 h 40, une voiture piégée explose près d'un immeuble de cinq étages logeant des militaires russes et leurs familles dans la ville de Bouïnaksk (république du Daguestan). Soixante-quatre personnes sont tuées et 133 blessées.
Moscou : Le 9 septembre 1999, peu de temps après minuit, 300 à 400 kilogrammes d'explosifs détonnent
au rez-de-chaussée d'un immeuble du sud-est de Moscou. Le bâtiment de neuf étages
(situé au 19, rue de Guryanova) est détruit. 94 personnes périssent et 249 autres sont blessées.
Un total de 108 appartements a été détruit dans cet attentat.
Moscou : Le 13 septembre 1999 qui devait être un jour de deuil pour les victimes des attaques précédentes,
une puissante bombe éclate à 5 h 00 du matin dans un sous-sol d'un immeuble sur la route de Kachirskoïé dans le sud de Moscou. Le bâtiment de huit étages s'effondre. En tout, 118 personnes meurent et 200 sont blessées.
Volgodonsk (Oblast de Rostov) : Le 16 septembre 1999 à 5 h 00 du matin, un camion piégé explose
près d'un complexe d'appartements de neuf étages dans la ville de Volgodonsk au sud de la Russie,
tuant 17 personnes et en blessant 69.
tuant une personne et en blessant une quarantaine.
Bouïnaksk (Daguestan) : Le 4 septembre 1999 à 9 h 40, une voiture piégée explose près d'un immeuble de cinq étages logeant des militaires russes et leurs familles dans la ville de Bouïnaksk (république du Daguestan). Soixante-quatre personnes sont tuées et 133 blessées.
Moscou : Le 9 septembre 1999, peu de temps après minuit, 300 à 400 kilogrammes d'explosifs détonnent
au rez-de-chaussée d'un immeuble du sud-est de Moscou. Le bâtiment de neuf étages
(situé au 19, rue de Guryanova) est détruit. 94 personnes périssent et 249 autres sont blessées.
Un total de 108 appartements a été détruit dans cet attentat.
Moscou : Le 13 septembre 1999 qui devait être un jour de deuil pour les victimes des attaques précédentes,
une puissante bombe éclate à 5 h 00 du matin dans un sous-sol d'un immeuble sur la route de Kachirskoïé dans le sud de Moscou. Le bâtiment de huit étages s'effondre. En tout, 118 personnes meurent et 200 sont blessées.
Volgodonsk (Oblast de Rostov) : Le 16 septembre 1999 à 5 h 00 du matin, un camion piégé explose
près d'un complexe d'appartements de neuf étages dans la ville de Volgodonsk au sud de la Russie,
tuant 17 personnes et en blessant 69.
Certains, par exemple l'ancien agent des services secrets russes Alexandre Litvinenko (mort empoisonné en 2006) soutiennent que ces attentats sont le fait du gouvernement russe (donc une opération sous fausse bannière)
pour justifier la seconde guerre de Tchétchènie, à la fin du régime de Boris Eltsine, et établir le pouvoir de Vladimir Poutine en Russie. Ces déclarations ont toujours été considérées, par le gouvernement russe,
comme des tentatives de déstabilisation du pays, rappelant que Litvinenko était lié à Boris Berezovski,
opposant à Poutine exilé à Londres, ainsi qu'au djihaddiste tchétchène Chamil Bassaïev.
Le 25 janvier 2011, sur France Inter, Hélène Blanc, politologue et spécialiste de la Russie au CNRS,
commentant le récent attentat à l'aéroport Domodiedovo, affirme qu'est établie la responsabilité du FSB
et non de la Tchétchénie dans les attentats de 1999 :
"Je crois qu'il faut se garder d'interpréter rapidement les attentats, par exemple de 1999, qui ont servi d'alibi à déclencher la seconde guerre de Tchétchénie. Eh bien il est aujourd'hui clair, ça ne l'était pas à l'époque bien entendu, mais maintenant nous savons que ces attentats n'étaient pas du tout l'œuvre des Tchétchènes auxquels on les a attribués, mais l'œuvre du FSB. D'ailleurs, il y a eu trois attentats au total dans différentes villes, mais la quatrième ville, Riazan, là le FSB a été pris la main dans le sac. Par la suite, on a su que non seulement le modus operandi n'était pas du tout dans l'habitude tchétchène, mais que en plus les explosifs n'étaient pas des explosifs tchétchènes mais bien des explosifs russes. Le FSB est capable de beaucoup de choses, y compris contre son peuple".
Sources
Le FSB derriere l’attentat de Moscou
Attentats en Russie en 1999
Autres Documentations
1991-2011 : comment la Russie a changé
Qui A Commis Les Attentats De 1999 ?
The Shadow of Ryazan (pdf en anglais)
Bien Amicalement.
Les gens savent aujourd'hui reconnaître les "False Flags"
Bonjour à tous,
Les gens savent aujourd'hui reconnaître les "False Flags"
Le terrorisme a changé de nature depuis que l'on sait que ce sont les gouvernements occidentaux, nos gouvernements!, qui sont derrière les plus gros événements terroristes mondiaux. Un coup pour accuser les communistes, un autre pour accuser les islamistes, le prochain devrait être le mauvais citoyen qui dénonce son gouvernement plutôt que de le soutenir dans son massacre de femmes, d'enfants, de père de famille quelque part sur la planète au nom de l'intérêt supérieur de la patrie en danger.
Le vrai danger terroriste du monde ce sont nos propres gouvernements et il est bon de le rappeler en remémorant l'histoire de quelques attentats et les conséquences qu'ils ont entrainés par la suite. A qui profitent-ils si ce n'est à nos gouvernements qui accentuent ainsi leur contrôle sur la population, aux marchands d'armes mondiaux qui prospèrent, aux banksters qui financent tout cela? L'histoire est pleine de ces attentats « false flag » dont le dernier spectaculaire en date fût le 11 septembre. Une opération réussie qui peut donner des idées à des gouvernements ayant du mal à maîtriser sa population et qui souhaitent en prendre le contrôle au travers de lois d'exceptions que seul lui permet un événement spectaculaire. C'est donc bien pourquoi les citoyens qui s'amusent à rappeler ces faits et à dénoncer leurs gouvernements sont des terroristes en puissance pour eux.
Des terroristes qu'il faudra éradiquer d'une façon ou d'une autre...
Les gens savent aujourd'hui reconnaître les "False Flags" par GoldenAwaken
Le 2 et 4 aout 1964, les USA ont prétendu avoir subi une attaque à la torpille contre le navire USS Maddox.
En 1995, le General Vo Nguyen Giap, très bon ami de la France depuis Dien Bien Phu (1954), a déclaré que ses forces n’ont jamais attaqué les Américains.
Plus tard, en 2005, la NSA déclassifie des documents dont un rapport interne datant de 2001 et selon lequel l’attaque du 4 aout n’a jamais eu lieu.
Ces attaques ont servi comme prétexte à la guerre du Vietnam
causant 2 millions de morts chez les locaux et 50’000 morts US.
Le torpillage du Lusitania (navire anglais chargé de passagers américains) en 1915,
contribue à justifier l'entrée en guerre des USA aux côtés des Anglais en 1917, au cours de la Première Guerre mondiale. 15 jours plus tôt, Churchill déclarait qu'un incident de cette nature pousserait les USA en guerre.
De même pour l'attaque de Pearl Harbor, on sait aujourd'hui que les codes secrets japonais
étaient percés et seuls de vieux navires ont été détruits.
USA - False flag - Manip pour entrer en guerre par rikiai
les Britanniques ont contribué à l'attaque de Pearl Harbor
Photo: Flickr.com/R (Luke) Bryant/cc-by
Les informations reçues par les Japonais de l'entourage le plus proche de Winston Churchill ont pu contribuer
dans une grande mesure au succès des attaques de Pearl Harbor et de la base britannique de Singapour pendant
la Seconde guerre mondiale. Cela a été révélé par des documents récemment déclassifiés en Grande-Bretagne.
D'après BBC documentary, une de ces personnes était membre de la Chambre des Lords et faisait partie
de ce qu'on appellait le cercle le plus proche du Premier ministre. Les documents attestent que des Britanniques hautement placés ont transféré des informations importantes au Japon pendant quelques dizaines d'années.
Voix de la Russie
Depuis quelques années, certains historiens sont persuadés que l’attaque des japonais, sur Pearl Harbor, en décembre 1941, était connu du gouvernement américain, qui aurait sacrifié les marins d’Oahu, pour pouvoir entrer dans la seconde guerre mondiale. Cette thèse a d’abord été alimentée par des proches de l’amiral Kimmel, commandant de la base de Pearl, en décembre 1941, rétrogradé contre-amiral, après l’attaque nippone et qui quittera l’armée, en 1942. En effet, le contre-amiral Theobald, dans "Le secret de Pearl-Harbor", Payot, 1955, affirme que Roosevelt s’était servi de la flotte du Pacifique comme appât pour attirer les japonais dans un piège !
Plus récemment, John Toland, dans son Infamy : Pearl Harbor and its aftermath, BPC, 1986, affirmait que Roosevelt et son entourage étaient au courant de l’attaque japonaise sur Pearl, dans la mesure où les services américains avaient, dès la fin 1940, cassé la quasi-totalité des codes japonais et pouvaient donc écouter les communications nippones.
Christian Destremau, à partir du dépouillement de nombreuses archives américaines et anglaises, à une analyse radicalement différente. Pour lui, la thèse de Toland, sur un complot rooseveltien, qui s’appuie sur l’interprétation des célèbres messages Vents, expédiés par les nippons le 19 novembre 1941, ne tient pas la route.
En effet, Destremau s’interroge sur la pertinence du code utilisé par les japonais pour crypter les messages Vents.
En analysant les interceptions alliées des messages nippons, la thèse de Destremau semble coller.
Dès la Conférence Impériale du 2 juillet 1941, dont le compte-rendu fut connu des alliés, les nippons manifestaient clairement leur désir d’attaquer vers le sud-est asiatique, en finissant d’investir l’Indochine française, dont la souveraineté avait déjà été mise à mal, par l’algarade guerrière de septembre 1940, qui avait vu les forces nippones investir la province indochinoise de Lang Son. Ce désir impérial se traduira par les accords Darlan-Kato, du 29 juillet 1941, permettant aux troupes japonaises de stationner dans toute l’Indochine !
Le 21 novembre 1941, le nouveau ministre des affaires étrangères japonais, Togo Shigenori, transmettait à l’ambassadeur nippon en Allemagne, le très germanophile Oshima, un message soulignant que le Japon allait se concentrer sur les "problèmes du Sud", en ajoutant, d’ailleurs, qu’il était prêt à jouer les intermédiaires pour initier des pourparlers de paix entre l’Allemagne et la Russie.
Le 30 novembre 1941, il réitèrait ses instructions à Oshima, qui devait rencontrer Ribbentrop, en insistant
sur le fait que l’objectif principal du Japon restait le sud-est asiatique et que l’Empire du Soleil Levant
s’abstiendrait, pour le moment, d’une action au Nord.
Curieuse redondance de la part du ministre des affaires étrangères japonais, une semaine avant l’attaque sur Pearl,
qui insistait, lourdement, auprès de son missi-dominici à Berlin, ambassade notoirement écoutée
par les alliés et les soviétiques (par l’intermédiaire de Sorge, leur agent introduit auprès de Ott,
l’ambassadeur allemand à Tokyo) , sur l’imminence d’une attaque dans le sud ! Surtout que les nippons
savaient que leur représentation à Berlin était sous surveillance, puisque dès le 3 mai 1941, un agent de renseignement allemand avait averti Oshima du fait que les renseignements alliés décryptaient
les messages adressés à Tokyo ! L’auteur s’étonne qu’après ces informations,
les japonais n’aient nullement changé les codes !!
D’ailleurs, les interceptions des messages japonais, par les alliés, indiquant une attaque au sud,
étaient tellement nombreux, qu’une note du britannique Alastair Denniston,
responsable du Goverment of Code and Cipher School, à Londres, remettait en cause la crédibilité
des messages nippons. Le 13 juin 1941, il écrivait une note au Foreign Office où il indiquait
qu’il soupçonnait les japonais d’envoyer des messages destinés à être lus par les alliés !
L’argumentation de Destremau est donc convaincante et laisserait supposer que ce sont les japonais
qui auraient intoxiqué les services américains, en laissant passer de multiples messages, faiblement cryptés, indiquant l’imminence d’une opération vers la Malaisie,
espérant une focalisation américaine sur l’asie du sud-est, au détriment du Pacifique et de Pearl-Harbor !
Source
http://mobile.agoravox.fr/culture-loisirs/culture/article/pearl-harbor-les-japonais-auraient-82519
Lectures conseillées
Les nouveaux mystères de Pearl Harbor
http://www.amgot.org/phintrof.htm
Churchill et Pearl Harbour
http://www.zundelsite.org/french/rhr/church.pdf
Pearl Harbor. the Seeds and Fruits of Infamy.
http://www.scribd.com/doc/68639084/Pearl-Harbor-the-Seeds-and-Fruits-of-Infamy-Percy-L-Greaves-Jr
Bien Amicalement.
Les gens savent aujourd'hui reconnaître les "False Flags"
Le terrorisme a changé de nature depuis que l'on sait que ce sont les gouvernements occidentaux, nos gouvernements!, qui sont derrière les plus gros événements terroristes mondiaux. Un coup pour accuser les communistes, un autre pour accuser les islamistes, le prochain devrait être le mauvais citoyen qui dénonce son gouvernement plutôt que de le soutenir dans son massacre de femmes, d'enfants, de père de famille quelque part sur la planète au nom de l'intérêt supérieur de la patrie en danger.
Le vrai danger terroriste du monde ce sont nos propres gouvernements et il est bon de le rappeler en remémorant l'histoire de quelques attentats et les conséquences qu'ils ont entrainés par la suite. A qui profitent-ils si ce n'est à nos gouvernements qui accentuent ainsi leur contrôle sur la population, aux marchands d'armes mondiaux qui prospèrent, aux banksters qui financent tout cela? L'histoire est pleine de ces attentats « false flag » dont le dernier spectaculaire en date fût le 11 septembre. Une opération réussie qui peut donner des idées à des gouvernements ayant du mal à maîtriser sa population et qui souhaitent en prendre le contrôle au travers de lois d'exceptions que seul lui permet un événement spectaculaire. C'est donc bien pourquoi les citoyens qui s'amusent à rappeler ces faits et à dénoncer leurs gouvernements sont des terroristes en puissance pour eux.
Des terroristes qu'il faudra éradiquer d'une façon ou d'une autre...
Les gens savent aujourd'hui reconnaître les "False Flags" par GoldenAwaken
Le 2 et 4 aout 1964, les USA ont prétendu avoir subi une attaque à la torpille contre le navire USS Maddox.
En 1995, le General Vo Nguyen Giap, très bon ami de la France depuis Dien Bien Phu (1954), a déclaré que ses forces n’ont jamais attaqué les Américains.
Plus tard, en 2005, la NSA déclassifie des documents dont un rapport interne datant de 2001 et selon lequel l’attaque du 4 aout n’a jamais eu lieu.
Ces attaques ont servi comme prétexte à la guerre du Vietnam
causant 2 millions de morts chez les locaux et 50’000 morts US.
Le torpillage du Lusitania (navire anglais chargé de passagers américains) en 1915,
contribue à justifier l'entrée en guerre des USA aux côtés des Anglais en 1917, au cours de la Première Guerre mondiale. 15 jours plus tôt, Churchill déclarait qu'un incident de cette nature pousserait les USA en guerre.
De même pour l'attaque de Pearl Harbor, on sait aujourd'hui que les codes secrets japonais
étaient percés et seuls de vieux navires ont été détruits.
USA - False flag - Manip pour entrer en guerre par rikiai
les Britanniques ont contribué à l'attaque de Pearl Harbor
Photo: Flickr.com/R (Luke) Bryant/cc-by
Les informations reçues par les Japonais de l'entourage le plus proche de Winston Churchill ont pu contribuer
dans une grande mesure au succès des attaques de Pearl Harbor et de la base britannique de Singapour pendant
la Seconde guerre mondiale. Cela a été révélé par des documents récemment déclassifiés en Grande-Bretagne.
D'après BBC documentary, une de ces personnes était membre de la Chambre des Lords et faisait partie
de ce qu'on appellait le cercle le plus proche du Premier ministre. Les documents attestent que des Britanniques hautement placés ont transféré des informations importantes au Japon pendant quelques dizaines d'années.
Voix de la Russie
Depuis quelques années, certains historiens sont persuadés que l’attaque des japonais, sur Pearl Harbor, en décembre 1941, était connu du gouvernement américain, qui aurait sacrifié les marins d’Oahu, pour pouvoir entrer dans la seconde guerre mondiale. Cette thèse a d’abord été alimentée par des proches de l’amiral Kimmel, commandant de la base de Pearl, en décembre 1941, rétrogradé contre-amiral, après l’attaque nippone et qui quittera l’armée, en 1942. En effet, le contre-amiral Theobald, dans "Le secret de Pearl-Harbor", Payot, 1955, affirme que Roosevelt s’était servi de la flotte du Pacifique comme appât pour attirer les japonais dans un piège !
Plus récemment, John Toland, dans son Infamy : Pearl Harbor and its aftermath, BPC, 1986, affirmait que Roosevelt et son entourage étaient au courant de l’attaque japonaise sur Pearl, dans la mesure où les services américains avaient, dès la fin 1940, cassé la quasi-totalité des codes japonais et pouvaient donc écouter les communications nippones.
Christian Destremau, à partir du dépouillement de nombreuses archives américaines et anglaises, à une analyse radicalement différente. Pour lui, la thèse de Toland, sur un complot rooseveltien, qui s’appuie sur l’interprétation des célèbres messages Vents, expédiés par les nippons le 19 novembre 1941, ne tient pas la route.
En effet, Destremau s’interroge sur la pertinence du code utilisé par les japonais pour crypter les messages Vents.
Pour Destremau, les messages Vents font partis d’un plan d’intoxication japonais, qui voulaient faire croire aux alliés que les troupes du Soleil Levant allaient s’attaquer, exclusivement, aux possessions de l’Empire britannique en Asie du sud-est et par ce biais, cacher leur opération sur Pearl-Harbor.Pourquoi les nippons auraient-ils utilisé le code J-19, qui n’était pas considéré, par les japonais aux-mêmes, comme un cryptage très fiable, pour annoncer une décision aussi importante qu’une déclaration de guerre aux alliés ?
Pourquoi les militaires du Soleil Levant, auraient-ils multiplié les copies de ce message aux ambassades de Rio, Mexico, Buenos Aires, favorisant l’interception de la belliqueuse missive ? Pourquoi insister, de manière redondante, sur la Malaisie, la Thaïlande et les Indes Néerlandaises comme cibles potentielles, alors qu’une déclaration de guerre aux britanniques, signifiaient, implicitement, l’invasion de la péninsule malaise ?
Enfin, les messages Vents, décryptés le 26 et 28 novembre, ne parlent nullement d’entrer en guerre contre les britanniques ou les américains, mais évoquent une situation de "grand danger" entre les japonais et les alliés !
En analysant les interceptions alliées des messages nippons, la thèse de Destremau semble coller.
Dès la Conférence Impériale du 2 juillet 1941, dont le compte-rendu fut connu des alliés, les nippons manifestaient clairement leur désir d’attaquer vers le sud-est asiatique, en finissant d’investir l’Indochine française, dont la souveraineté avait déjà été mise à mal, par l’algarade guerrière de septembre 1940, qui avait vu les forces nippones investir la province indochinoise de Lang Son. Ce désir impérial se traduira par les accords Darlan-Kato, du 29 juillet 1941, permettant aux troupes japonaises de stationner dans toute l’Indochine !
Le 21 novembre 1941, le nouveau ministre des affaires étrangères japonais, Togo Shigenori, transmettait à l’ambassadeur nippon en Allemagne, le très germanophile Oshima, un message soulignant que le Japon allait se concentrer sur les "problèmes du Sud", en ajoutant, d’ailleurs, qu’il était prêt à jouer les intermédiaires pour initier des pourparlers de paix entre l’Allemagne et la Russie.
Le 30 novembre 1941, il réitèrait ses instructions à Oshima, qui devait rencontrer Ribbentrop, en insistant
sur le fait que l’objectif principal du Japon restait le sud-est asiatique et que l’Empire du Soleil Levant
s’abstiendrait, pour le moment, d’une action au Nord.
Curieuse redondance de la part du ministre des affaires étrangères japonais, une semaine avant l’attaque sur Pearl,
qui insistait, lourdement, auprès de son missi-dominici à Berlin, ambassade notoirement écoutée
par les alliés et les soviétiques (par l’intermédiaire de Sorge, leur agent introduit auprès de Ott,
l’ambassadeur allemand à Tokyo) , sur l’imminence d’une attaque dans le sud ! Surtout que les nippons
savaient que leur représentation à Berlin était sous surveillance, puisque dès le 3 mai 1941, un agent de renseignement allemand avait averti Oshima du fait que les renseignements alliés décryptaient
les messages adressés à Tokyo ! L’auteur s’étonne qu’après ces informations,
les japonais n’aient nullement changé les codes !!
D’ailleurs, les interceptions des messages japonais, par les alliés, indiquant une attaque au sud,
étaient tellement nombreux, qu’une note du britannique Alastair Denniston,
responsable du Goverment of Code and Cipher School, à Londres, remettait en cause la crédibilité
des messages nippons. Le 13 juin 1941, il écrivait une note au Foreign Office où il indiquait
qu’il soupçonnait les japonais d’envoyer des messages destinés à être lus par les alliés !
L’argumentation de Destremau est donc convaincante et laisserait supposer que ce sont les japonais
qui auraient intoxiqué les services américains, en laissant passer de multiples messages, faiblement cryptés, indiquant l’imminence d’une opération vers la Malaisie,
espérant une focalisation américaine sur l’asie du sud-est, au détriment du Pacifique et de Pearl-Harbor !
Source
http://mobile.agoravox.fr/culture-loisirs/culture/article/pearl-harbor-les-japonais-auraient-82519
Lectures conseillées
Les nouveaux mystères de Pearl Harbor
http://www.amgot.org/phintrof.htm
Churchill et Pearl Harbour
http://www.zundelsite.org/french/rhr/church.pdf
Pearl Harbor. the Seeds and Fruits of Infamy.
http://www.scribd.com/doc/68639084/Pearl-Harbor-the-Seeds-and-Fruits-of-Infamy-Percy-L-Greaves-Jr
Bien Amicalement.
La manipulation qui a déclenché la guerre du Vietnam.
Bonjour à tous,
La manipulation qui a déclenché la guerre du Vietnam :
Le Golfe du Tonkin
C’était la fin des années soixante. Le mouvement hippy battait son plein et le slogan de rigueur était « faite l’amour et pas la guerre». C’était également le début des photocopieuses ! Avec son acolyte Anthony Russo, aujourd’hui disparu, Daniel Elsberg a passé des nuits blanches à reproduire les fameux documents du Pentagone sur la guerre du Vietnam, avant de les remettre au New York Times.
Quarante ans plus tard, le ministère de la défense américain vient de lever le secret qui frappait ces documents.
En 1971 leur publication par le journal newyorkais avait permis de mettre à jour les mensonges d’au moins deux administrations américaines, celle de Kennedy et celle de Johnson, sur la réalité des opérations militaires au Vietnam.
L’opinion publique découvrait avec stupeur l’énormité du mensonge !
L’attaque du golfe du Tonkin, les bombardements du Laos et les déclarations de Johnson en 1964 sur l’imminence d’une sortie de crise ; tout était une manipulation du gouvernement pour leurrer le public sur le déroulement d’une guerre qu’il a fini par perdre, et dont certaines cicatrices sont encore ouvertes aujourd’hui.
Le 22 novembre 1963, trois semaines après le meurtre de Ngo Dinh Diem à Saigon, le président John F. Kennedy est assassiné à Dallas. Le vice-président Lyndon Baines Johnson le remplace. La tension est vive dans l'ex-Indochine.
Au cours de l'année 1964, cinq coups d'Etat ou tentatives de coups d'Etat ont lieu à Saigon, et sept gouvernements
se succèdent. La République démocratique du Vietnam, installé au nord à Hanoi, renforce son aide au Front national pour la libération du Vietnam, qui contrôle d'importantes zones au sud et à l'ouest de Saigon.
Des détachements armés de la CIA, en coopération avec l'Armée nationale de la République du Vietnam,
effectuent des opérations de commando contre des objectifs côtiers du nord (Opération Plan 34 A).
Des navires américains sont envoyés dans les eaux territoriales du Nord-Vietnam, dans le golfe du Tonkin
(Opération De Soto). Un accrochage se produit avec les garde-côtes de l'Armée populaire vietnamienne,
en riposte à un raid clandestin, le 30 juillet, d'agents de la CIA contre des objectifs situés
sur les îles de Hon Mé et Hon Ngu. Le destroyer USS Turner Joy rejoint le Maddox dans le golfe du Tonkin.
Dans la soirée du 4 août, les marins américains signalent une attaque du Nord-Vietnam.
Selon leur rapport, le combat dure quatre heures et 22 torpilles sont tirées contre les navires US.
Or l'incident s'est révélé, des années plus tard, complètement imaginaire. Que son récit ait été dû à une erreur
de transmission ou à une fabrication volontaire, il est monté en épingle par tous les grands médias
et convainc les Américains de la nécessité de réagir. Le président Johnson ordonne des raids aériens
contre la République démocratique du Vietnam (Opération Pierce Arrow). Le 5 août, le Washington Post titre :
"Les avions américains frappent le Nord-Vietnam. Après la seconde attaque de nos destroyers, des mesures sont prises pour empêcher une nouvelle agression."
Le même jour, le New York Times porte la manchette : "Le président Johnson ordonne des opérations de représailles contre les bateaux et les installations de soutien au Nord-Vietnam après les attaques renouvelées de destroyers américains dans le golfe du Tonkin." Le 7 août, le Sénat américain, enthousiaste,
adopte la "Résolution sur le golfe du Tonkin" qui est confirmée le lendemain par la Chambre des représentants.
Johnson a carte blanche. La guerre du Vietnam commence.
Le Président Lyndon B. Johnson cita les attaques pour persuader le Congrès d’autoriser une action militaire d’envergure au Vietnam, mais les historiens ont conclu récemment que l’attaque du 4 Août 1964 n’avait jamais eu lieu.
Pourtant, les transcriptions montrent l’indignation que les sénateurs exprimaient derrière les portes closes.
Révélant le contenu de documents connus sur la place publique depuis quarante ans :
Le Pentagone lève le secret défense sur la guerre du Vietnam !
http://www.albayane.press.ma/index.php?option=com_content&view=article&id=9273:revelant-le-contenu-de-documents-connus-sur-la-place-publique-depuis-quarante-ans--le-pentagone-leve-le-secret-defense-sur-la-guerre-du-vietnamn-&catid=44:actualites&Itemid=118
La continuité du mensonge
http://www.mondialisation.ca/index.php?context=va&aid=4862
Daniel Ellsberg et les dossiers secrets du Pentagone
Documentaire construit comme un thriller qui nous tient en haleine de bout en bout : En 1971, Daniel Ellsberg, un brillant analyste employé comme consultant par le Pentagone, fait parvenir au New York Times un dossier sur la guerre du Vietnam classé secret défense. Ce document de 7000 pages révèle les mensonges d’Etat sur cette guerre.
Daniel Ellsberg devient alors l'homme le plus recherché en Amérique. Henry Kissinger, alors conseiller de Nixon
à la Défense nationale, le baptise "l'homme le plus dangereux des Etats-Unis". Richard Nixon le qualifie lui
de "fils de pute". Daniel Ellsberg sera poursuivi pour vol, conspiration et espionnage. Des agents de la CIA tenteront même de dérober son dossier médical chez son psychiatre pour le charger davantage. Pourtant, le but de l'ancien consultant était simplement d'arrêter une guerre inutile, barbare, coûteuse et injustifiée.
La vidéo que nous vous proposons est un montage des meilleurs moments du documentaire original.
Devenu inconditionnel militant pour la paix, Daniel Ellsberg a reçu en 2006 le prix Nobel alternatif "pour avoir placé la paix et la vérité en premier, au mépris de risques personnels considérables, et pour avoir consacré sa vie à inspirer les autres à suivre son exemple."
Daniel Ellsberg et les dossiers secrets du Pentagone par ReOpen911
Documentation
La résolution du golfe du Tonkin, 7 août 1964
http://bouel.fr/lettres/documents/hgweb/resolution_du_golfe_du_tonkin.pdf
Opération Plan 34 A et Opération De Soto (pdf en anglais)
http://www.gwu.edu/~nsarchiv/NSAEBB/NSAEBB132/relea00012.pdf
Bien Amicalement.
La manipulation qui a déclenché la guerre du Vietnam :
Le Golfe du Tonkin
C’était la fin des années soixante. Le mouvement hippy battait son plein et le slogan de rigueur était « faite l’amour et pas la guerre». C’était également le début des photocopieuses ! Avec son acolyte Anthony Russo, aujourd’hui disparu, Daniel Elsberg a passé des nuits blanches à reproduire les fameux documents du Pentagone sur la guerre du Vietnam, avant de les remettre au New York Times.
Quarante ans plus tard, le ministère de la défense américain vient de lever le secret qui frappait ces documents.
En 1971 leur publication par le journal newyorkais avait permis de mettre à jour les mensonges d’au moins deux administrations américaines, celle de Kennedy et celle de Johnson, sur la réalité des opérations militaires au Vietnam.
L’opinion publique découvrait avec stupeur l’énormité du mensonge !
L’attaque du golfe du Tonkin, les bombardements du Laos et les déclarations de Johnson en 1964 sur l’imminence d’une sortie de crise ; tout était une manipulation du gouvernement pour leurrer le public sur le déroulement d’une guerre qu’il a fini par perdre, et dont certaines cicatrices sont encore ouvertes aujourd’hui.
Le 22 novembre 1963, trois semaines après le meurtre de Ngo Dinh Diem à Saigon, le président John F. Kennedy est assassiné à Dallas. Le vice-président Lyndon Baines Johnson le remplace. La tension est vive dans l'ex-Indochine.
Au cours de l'année 1964, cinq coups d'Etat ou tentatives de coups d'Etat ont lieu à Saigon, et sept gouvernements
se succèdent. La République démocratique du Vietnam, installé au nord à Hanoi, renforce son aide au Front national pour la libération du Vietnam, qui contrôle d'importantes zones au sud et à l'ouest de Saigon.
Des détachements armés de la CIA, en coopération avec l'Armée nationale de la République du Vietnam,
effectuent des opérations de commando contre des objectifs côtiers du nord (Opération Plan 34 A).
Des navires américains sont envoyés dans les eaux territoriales du Nord-Vietnam, dans le golfe du Tonkin
(Opération De Soto). Un accrochage se produit avec les garde-côtes de l'Armée populaire vietnamienne,
en riposte à un raid clandestin, le 30 juillet, d'agents de la CIA contre des objectifs situés
sur les îles de Hon Mé et Hon Ngu. Le destroyer USS Turner Joy rejoint le Maddox dans le golfe du Tonkin.
Dans la soirée du 4 août, les marins américains signalent une attaque du Nord-Vietnam.
Selon leur rapport, le combat dure quatre heures et 22 torpilles sont tirées contre les navires US.
Or l'incident s'est révélé, des années plus tard, complètement imaginaire. Que son récit ait été dû à une erreur
de transmission ou à une fabrication volontaire, il est monté en épingle par tous les grands médias
et convainc les Américains de la nécessité de réagir. Le président Johnson ordonne des raids aériens
contre la République démocratique du Vietnam (Opération Pierce Arrow). Le 5 août, le Washington Post titre :
"Les avions américains frappent le Nord-Vietnam. Après la seconde attaque de nos destroyers, des mesures sont prises pour empêcher une nouvelle agression."
Le même jour, le New York Times porte la manchette : "Le président Johnson ordonne des opérations de représailles contre les bateaux et les installations de soutien au Nord-Vietnam après les attaques renouvelées de destroyers américains dans le golfe du Tonkin." Le 7 août, le Sénat américain, enthousiaste,
adopte la "Résolution sur le golfe du Tonkin" qui est confirmée le lendemain par la Chambre des représentants.
Johnson a carte blanche. La guerre du Vietnam commence.
Le Président Lyndon B. Johnson cita les attaques pour persuader le Congrès d’autoriser une action militaire d’envergure au Vietnam, mais les historiens ont conclu récemment que l’attaque du 4 Août 1964 n’avait jamais eu lieu.
Pourtant, les transcriptions montrent l’indignation que les sénateurs exprimaient derrière les portes closes.
Sources« Dans une démocratie, vous ne pouvez pas espérer que le peuple, dont les fils sont tués
et qui sera lui-même tué, exerce son jugement si la vérité leur est cachée »,
a déclaré le sénateur Frank Church, démocrate de l’Idaho, lors d’une session de l’exécutif en Février 1968.
Mais les sénateurs se sont aussi inquiétés du fait que diffuser une enquête de l’équipe du Comité
qui soulevait des doutes sur l’incident du Tonkin ne ferait qu’enflammer davantage le pays.
Comme le dit le sénateur Mike Mansfield, démocrate, Montana,
« Vous allez donner aux gens qui ne s’intéressent pas aux faits une opportunité
de les exploiter et de les mettre en valeur au-delà de toutes proportions. »
Source
Les archives soulèvent des doutes sur la crise du Vietnam de 1964
http://www.reopen911.info/News/2010/07/20/operations-sous-fausse-banniere-le-senat-americain-declassifie-les-debats-sur-lincident-du-golfe-du-tonkin-le-4-aout-1964/
Révélant le contenu de documents connus sur la place publique depuis quarante ans :
Le Pentagone lève le secret défense sur la guerre du Vietnam !
http://www.albayane.press.ma/index.php?option=com_content&view=article&id=9273:revelant-le-contenu-de-documents-connus-sur-la-place-publique-depuis-quarante-ans--le-pentagone-leve-le-secret-defense-sur-la-guerre-du-vietnamn-&catid=44:actualites&Itemid=118
La continuité du mensonge
http://www.mondialisation.ca/index.php?context=va&aid=4862
Daniel Ellsberg et les dossiers secrets du Pentagone
Documentaire construit comme un thriller qui nous tient en haleine de bout en bout : En 1971, Daniel Ellsberg, un brillant analyste employé comme consultant par le Pentagone, fait parvenir au New York Times un dossier sur la guerre du Vietnam classé secret défense. Ce document de 7000 pages révèle les mensonges d’Etat sur cette guerre.
Daniel Ellsberg devient alors l'homme le plus recherché en Amérique. Henry Kissinger, alors conseiller de Nixon
à la Défense nationale, le baptise "l'homme le plus dangereux des Etats-Unis". Richard Nixon le qualifie lui
de "fils de pute". Daniel Ellsberg sera poursuivi pour vol, conspiration et espionnage. Des agents de la CIA tenteront même de dérober son dossier médical chez son psychiatre pour le charger davantage. Pourtant, le but de l'ancien consultant était simplement d'arrêter une guerre inutile, barbare, coûteuse et injustifiée.
La vidéo que nous vous proposons est un montage des meilleurs moments du documentaire original.
Devenu inconditionnel militant pour la paix, Daniel Ellsberg a reçu en 2006 le prix Nobel alternatif "pour avoir placé la paix et la vérité en premier, au mépris de risques personnels considérables, et pour avoir consacré sa vie à inspirer les autres à suivre son exemple."
Daniel Ellsberg et les dossiers secrets du Pentagone par ReOpen911
Documentation
La résolution du golfe du Tonkin, 7 août 1964
http://bouel.fr/lettres/documents/hgweb/resolution_du_golfe_du_tonkin.pdf
Opération Plan 34 A et Opération De Soto (pdf en anglais)
http://www.gwu.edu/~nsarchiv/NSAEBB/NSAEBB132/relea00012.pdf
Bien Amicalement.
L'opération cyanide et la guerre des six jours
Bonjour à tous,
L'opération cyanide et la guerre des six jours
Quand Israël bombardait les USA : L’affaire USS Liberty
Il y a 45 ans aujour'hui, le navire américain USS Liberty, clairement identité et non-armé était attaqué,
durant plus de deux heures avec torpilles et napalm, par Israël.
Pendant les deux heures de l'attaque, le drapeau américain était pourtant bien en évidence sur le pont!
Or le navire a tenu bon et n'a miraculeusement pas coulé!
Trente-quatre soldats américains sont morts, en plus de 171 blessés.
Israël a nié être responsable, puis il a affirmé que c'était un accident, une erreur d'identification, mais des responsables hauts placés Israéliens ont admis que c'était une attaque sous une fausse bannière, intentionnelle et délibérée.
Israel voulait en fait que les Égyptiens soient tenus responsable de cette attaque. Comme le révèle l'ouvrage Operation Cyanide, les États-Unis sont passés à deux doigts d'une guerre nucléaire contre le Caire!
Dans les cas du 9/11 et de l'assassinat de JFK, la responsabilité d'Israël n'est pas absolument démontrée.
En revanche il est définitivement prouvé qu'Israel est responsable de l'attaque contre le USS Liberty,
avec la complicité de James Jesus Angleton, loyaliste d'Israël à la direction de la CIA,
qui supervisa le cover up de cette affaire par le gouvernement des États-Unis.
Source avec de nombreuses vidéos et liens
8 juin 1967: attaque israélienne délibérée contre le USS Liberty
http://novusordoseclorum.discutforum.com/t2881-8-juin-1967-attaque-israelienne-deliberee-contre-le-uss-liberty
Le texte qui suit est la reproduction d’une pleine page de publicité payante, publiée par le «Washington Post»
le 1er juin 2002 à l’instigation des Vétérans de l’Association de l’USS LIBERTY, à l’occasion de l’anniversaire de l’événement extrémement graves survenu en 1967 et relaté ci dessous.
Monsieur le Président,
Le samedi 8 juin (1967) sera le trente cinquième anniversaire de ce qui restera sans doute le jour le plus honteux de l’Histoire des Etats-Unis. Ce jour là, le drapeau et l’honneur des Etats Unis ont été souillés par notre soi-disant allié Israél. Trente quatre américains ont été sauvagement assassinés et cent soixante douze autres ont été blessés, parmi lesquels je me trouvais. Le navire de surveillance le plus moderne de notre marine a été si gravement endommagé qu’il a du être vendu au poids de la ferraille.
Israël a délibérément attaqué notre navire « USS Liberty » alors qu’il était désarmé, naviguant dans les eaux internationales, et ce, en pleine connaissance de son identité. En ce jour clair et ensoleillé il arborait en effet un immense drapeau américain et, en lettres de trente centimètres de haut, son immatriculation resta parfaitement visible sur sa proue pendant les six heures (de 6 h du matin à midi) où il fut survolé par des avions frappés de l’étoile de David volant à basse altitude et petite vitesse.
Les retransmissions radio des échanges entre pilotes ont d’ailleurs confirmé qu’Israël avait positivement identifié le « Liberty » comme une unité de la marine des Etats-Unis.
Soudain, à deux heures de l’après-midi, le gouvernement israélien poignarda l’Amérique dans le dos. Par une diabolique attaque surprise, les Israéliens lancèrent à l’attaque des avions sans insignes de nationalité, qui, au lance-rocket, au canon et au napalm bombardèrent notre navire privé de protection.
Puis trois torpilleurs apparurent qui lancèrent contre nous six engins dont l’un tua vingt-cinq marins. Les tireurs embarqués à bord des torpilleurs, visant comme à l’exercice nos marins et nos brancardiers, estropiant et tuant autant de fils de l’Amérique qu’ils pouvaient le faire.
Le Capitaine donna l’ordre de se préparer à abandonner le navire, en grand danger de couler par le fond après avoir été frappé par une torpille qui avait ouvert une brèche d’un mètre vingt de côté dans sa coque.
On se prépara donc à mettre à l’eau les canots dans lesquels avaient été embarqués autant de blessés que possible.
A ce moment, les mitrailleuses du torpilleur entrèrent en action. Deux canots furent coulés et le troisième fut abordé. II ne resta aucun survivant. Des hélicoptères survolaient notre navire, prêts à larguer des commandos qui auraient fini le travail. Répondant à un SOS du « Liberty », le porte-avions « USS Saratoga » lança ses avions quinze minutes environ après le début de l’attaque israélienne.
C’est alors qu’un ordre incroyable, inexplicable, honteux et inconcevable de Washington rappela les avions, abandonnant les marins américains au feu barbare des bouchers israéliens pendant deux heures de plus. Cependant, ayant capté un message erroné assurant que des renforts étaient envoyés, les Israéliens se résolurent à mettre fin à l’assaut. Circonstance fortuite sans laquelle je ne pourrais pas écrire aujourd’hui cette lettre.
Finalement, les renforts et secours, qui se trouvaient à moins d’un quart d’heure de vol,
n’arrivèrent que dix-huit heures après l’assaut.
...
Suite de l'article
L’affaire USS Liberty
http://stcom.net/news/?p=445
Bien Amicalement.
L'opération cyanide et la guerre des six jours
Quand Israël bombardait les USA : L’affaire USS Liberty
Il y a 45 ans aujour'hui, le navire américain USS Liberty, clairement identité et non-armé était attaqué,
durant plus de deux heures avec torpilles et napalm, par Israël.
Pendant les deux heures de l'attaque, le drapeau américain était pourtant bien en évidence sur le pont!
Or le navire a tenu bon et n'a miraculeusement pas coulé!
Trente-quatre soldats américains sont morts, en plus de 171 blessés.
Israël a nié être responsable, puis il a affirmé que c'était un accident, une erreur d'identification, mais des responsables hauts placés Israéliens ont admis que c'était une attaque sous une fausse bannière, intentionnelle et délibérée.
Israel voulait en fait que les Égyptiens soient tenus responsable de cette attaque. Comme le révèle l'ouvrage Operation Cyanide, les États-Unis sont passés à deux doigts d'une guerre nucléaire contre le Caire!
Dans les cas du 9/11 et de l'assassinat de JFK, la responsabilité d'Israël n'est pas absolument démontrée.
En revanche il est définitivement prouvé qu'Israel est responsable de l'attaque contre le USS Liberty,
avec la complicité de James Jesus Angleton, loyaliste d'Israël à la direction de la CIA,
qui supervisa le cover up de cette affaire par le gouvernement des États-Unis.
Source avec de nombreuses vidéos et liens
8 juin 1967: attaque israélienne délibérée contre le USS Liberty
http://novusordoseclorum.discutforum.com/t2881-8-juin-1967-attaque-israelienne-deliberee-contre-le-uss-liberty
Le texte qui suit est la reproduction d’une pleine page de publicité payante, publiée par le «Washington Post»
le 1er juin 2002 à l’instigation des Vétérans de l’Association de l’USS LIBERTY, à l’occasion de l’anniversaire de l’événement extrémement graves survenu en 1967 et relaté ci dessous.
Monsieur le Président,
Le samedi 8 juin (1967) sera le trente cinquième anniversaire de ce qui restera sans doute le jour le plus honteux de l’Histoire des Etats-Unis. Ce jour là, le drapeau et l’honneur des Etats Unis ont été souillés par notre soi-disant allié Israél. Trente quatre américains ont été sauvagement assassinés et cent soixante douze autres ont été blessés, parmi lesquels je me trouvais. Le navire de surveillance le plus moderne de notre marine a été si gravement endommagé qu’il a du être vendu au poids de la ferraille.
Israël a délibérément attaqué notre navire « USS Liberty » alors qu’il était désarmé, naviguant dans les eaux internationales, et ce, en pleine connaissance de son identité. En ce jour clair et ensoleillé il arborait en effet un immense drapeau américain et, en lettres de trente centimètres de haut, son immatriculation resta parfaitement visible sur sa proue pendant les six heures (de 6 h du matin à midi) où il fut survolé par des avions frappés de l’étoile de David volant à basse altitude et petite vitesse.
Les retransmissions radio des échanges entre pilotes ont d’ailleurs confirmé qu’Israël avait positivement identifié le « Liberty » comme une unité de la marine des Etats-Unis.
Soudain, à deux heures de l’après-midi, le gouvernement israélien poignarda l’Amérique dans le dos. Par une diabolique attaque surprise, les Israéliens lancèrent à l’attaque des avions sans insignes de nationalité, qui, au lance-rocket, au canon et au napalm bombardèrent notre navire privé de protection.
Puis trois torpilleurs apparurent qui lancèrent contre nous six engins dont l’un tua vingt-cinq marins. Les tireurs embarqués à bord des torpilleurs, visant comme à l’exercice nos marins et nos brancardiers, estropiant et tuant autant de fils de l’Amérique qu’ils pouvaient le faire.
Le Capitaine donna l’ordre de se préparer à abandonner le navire, en grand danger de couler par le fond après avoir été frappé par une torpille qui avait ouvert une brèche d’un mètre vingt de côté dans sa coque.
On se prépara donc à mettre à l’eau les canots dans lesquels avaient été embarqués autant de blessés que possible.
A ce moment, les mitrailleuses du torpilleur entrèrent en action. Deux canots furent coulés et le troisième fut abordé. II ne resta aucun survivant. Des hélicoptères survolaient notre navire, prêts à larguer des commandos qui auraient fini le travail. Répondant à un SOS du « Liberty », le porte-avions « USS Saratoga » lança ses avions quinze minutes environ après le début de l’attaque israélienne.
C’est alors qu’un ordre incroyable, inexplicable, honteux et inconcevable de Washington rappela les avions, abandonnant les marins américains au feu barbare des bouchers israéliens pendant deux heures de plus. Cependant, ayant capté un message erroné assurant que des renforts étaient envoyés, les Israéliens se résolurent à mettre fin à l’assaut. Circonstance fortuite sans laquelle je ne pourrais pas écrire aujourd’hui cette lettre.
Finalement, les renforts et secours, qui se trouvaient à moins d’un quart d’heure de vol,
n’arrivèrent que dix-huit heures après l’assaut.
...
Suite de l'article
L’affaire USS Liberty
http://stcom.net/news/?p=445
Bien Amicalement.
Le Terrorisme d'Etat par Alex Jones (VOSTFR)
Bonjour à tous,
Le Terrorisme d'Etat par Alex Jones (VOSTFR)
Par définition, le terrorisme d'État reste difficile à identifier puisqu'il relève du secret
et que la difficulté tient à mettre en relation de façon formelle la perpétration des actes relevant
du terrorisme et l'État qui en est le commanditaire. Ceci est compliqué par le rideau qui empêche de faire
la distinction entre l'autorité qui a donné l'ordre et celui qui n'est pas au courant.
Le concept reste souvent totalement tabou dans le cadre des relations diplomatiques entre deux pays.
Dans le traitement médiatique, les journalistes évitent également, par manque d'éléments de preuve,
de procéder à une attribution en direction d'un État et préfèrent s'en tenir d'abord à la réserve.
L'essayiste Webster G. Tarpley définit ainsi le terrorisme d'État moderne :
« [il est] le moyen par lequel les oligarchies mènent contre les peuples
une guerre clandestine qu'il serait politiquement impossible de mener ouvertement. »
Preuve à travers des déclassifications, des Archives du MI6 et de la CIA que les USA, l'Angleterre et Israël
organisent eux même des attentats pour continuer leurs guerres et s'appropprier les richesses des autres.
Terrorstorm: False Flag (1) VOSTFR par Super_Resistence
Terrorstorm: False Flag (2) VOSTFR par Super_Resistence
Terrorstorm: False Flag (3) VOSTFR par Super_Resistence
Je ne peux que vous encourager à lire (ou relire) le post suivant :
Comment repérer et arrêter une attaque sous fausse bannière
https://ledormeur.forumgratuit.org/t534-comment-reperer-et-arreter-une-attaque-sous-fausse-banniere
Bien Amicalement.
Le Terrorisme d'Etat par Alex Jones (VOSTFR)
Par définition, le terrorisme d'État reste difficile à identifier puisqu'il relève du secret
et que la difficulté tient à mettre en relation de façon formelle la perpétration des actes relevant
du terrorisme et l'État qui en est le commanditaire. Ceci est compliqué par le rideau qui empêche de faire
la distinction entre l'autorité qui a donné l'ordre et celui qui n'est pas au courant.
Le concept reste souvent totalement tabou dans le cadre des relations diplomatiques entre deux pays.
Dans le traitement médiatique, les journalistes évitent également, par manque d'éléments de preuve,
de procéder à une attribution en direction d'un État et préfèrent s'en tenir d'abord à la réserve.
L'essayiste Webster G. Tarpley définit ainsi le terrorisme d'État moderne :
« [il est] le moyen par lequel les oligarchies mènent contre les peuples
une guerre clandestine qu'il serait politiquement impossible de mener ouvertement. »
Preuve à travers des déclassifications, des Archives du MI6 et de la CIA que les USA, l'Angleterre et Israël
organisent eux même des attentats pour continuer leurs guerres et s'appropprier les richesses des autres.
Terrorstorm: False Flag (1) VOSTFR par Super_Resistence
Terrorstorm: False Flag (2) VOSTFR par Super_Resistence
Terrorstorm: False Flag (3) VOSTFR par Super_Resistence
Je ne peux que vous encourager à lire (ou relire) le post suivant :
Comment repérer et arrêter une attaque sous fausse bannière
https://ledormeur.forumgratuit.org/t534-comment-reperer-et-arreter-une-attaque-sous-fausse-banniere
Bien Amicalement.
Le 11 Septembre 2001 : Un coup d’état américain
Bonjour à tous,
Le 11 Septembre 2001: Un coup d’état américain
Loose Change – An American Coup, est le cinquième et dernier opus de Dylan Avery,
l’auteur du documentaire le plus visionné sur Internet (Loose Change).
C’est aussi le plus abouti des documentaires de la série, et le récit en est fait
par l’acteur américain Daniel Sunjata (Grey’s Anatomy, Rescue Me).
Ce film sorti en 2009, en langue anglaise et désormais disponible en version française,
replace les attentats du 11 Septembre dans leur contexte historique et les compare
à d’autres opérations sous faux-drapeaux (False Flag) comme l’incendie du Reichtag en 1933,
qui catapulta Hitler vers la dictature, ou encore l’incident du Golfe du Tonkin qui plongea les USA
dans la guerre du Vietnam, montrant ainsi que les complots et les opérations de dissimulation
ont structuré l’histoire récente des États-Unis, les amenant à une politique étrangère
toujours plus impérialiste et guerrière.
11-Septembre : Un coup d'état américain 1/4 par MegaResistence
Si le lien venait à disparaître : Cliquez Ici
11-Septembre : Un coup d'état américain 2/4 par MegaResistence
Si le lien venait à disparaître : Cliquez Ici
11-Septembre : Un coup d'état américain 3/4 par MegaResistence
Si le lien venait à disparaître : Cliquez Ici
11-Septembre : Un coup d'état américain 4/4 par MegaResistence
Si le lien venait à disparaître : Cliquez Ici
Source de l'article
[ Documentaire ] 11-Septembre : Un coup d’état américain
http://lejournaldusiecle.com/2012/09/16/documentaire-11-septembre-un-coup-detat-americain/#more-1848
Article sur ce forum traitant du sujet (vidéos, liens...)
11 Septembre : le documentaire des architectes fait un carton à la télévision
https://ledormeur.forumgratuit.org/t575-11-septembre-le-documentaire-des-architectes-fait-un-carton-a-la-television
Bien Amicalement.
Le 11 Septembre 2001: Un coup d’état américain
Loose Change – An American Coup, est le cinquième et dernier opus de Dylan Avery,
l’auteur du documentaire le plus visionné sur Internet (Loose Change).
C’est aussi le plus abouti des documentaires de la série, et le récit en est fait
par l’acteur américain Daniel Sunjata (Grey’s Anatomy, Rescue Me).
Ce film sorti en 2009, en langue anglaise et désormais disponible en version française,
replace les attentats du 11 Septembre dans leur contexte historique et les compare
à d’autres opérations sous faux-drapeaux (False Flag) comme l’incendie du Reichtag en 1933,
qui catapulta Hitler vers la dictature, ou encore l’incident du Golfe du Tonkin qui plongea les USA
dans la guerre du Vietnam, montrant ainsi que les complots et les opérations de dissimulation
ont structuré l’histoire récente des États-Unis, les amenant à une politique étrangère
toujours plus impérialiste et guerrière.
11-Septembre : Un coup d'état américain 1/4 par MegaResistence
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11-Septembre : Un coup d'état américain 2/4 par MegaResistence
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11-Septembre : Un coup d'état américain 4/4 par MegaResistence
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Source de l'article
[ Documentaire ] 11-Septembre : Un coup d’état américain
http://lejournaldusiecle.com/2012/09/16/documentaire-11-septembre-un-coup-detat-americain/#more-1848
Article sur ce forum traitant du sujet (vidéos, liens...)
11 Septembre : le documentaire des architectes fait un carton à la télévision
https://ledormeur.forumgratuit.org/t575-11-septembre-le-documentaire-des-architectes-fait-un-carton-a-la-television
Bien Amicalement.
Dernière édition par Silver Wisdom le Lun 7 Avr - 9:05, édité 1 fois (Raison : Modification liens vidéo)
L'histoire des attaques sous fausse bannière américaines utilisées pour manipuler l'esprit des gens!
Bonjour à tous,
L'histoire des attaques sous fausse bannière américaines
utilisées pour manipuler l'esprit des gens!
Mise en ligne le 11 janv. 2011 par killuminatiAFF
Bien Amicalement.
L'histoire des attaques sous fausse bannière américaines
utilisées pour manipuler l'esprit des gens!
Mise en ligne le 11 janv. 2011 par killuminatiAFF
Bien Amicalement.
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