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Intervention Française Au Mali : Les Algériens Sont Divisés...Déstabilisation Guerre Civile En Algérie ?

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Message  09991 Jeu 17 Jan - 20:50

Rappel du premier message :

Intervention Française Au Mali : Les Algériens Sont Divisés...Déstabilisation Guerre Civile En Algérie ?


Alger - Le gouvernement algérien doit encore annoncer oiffciellement s'il participe ou non au conflit entre les forces gouvernementales (maliennes ndlt) soputenues par la France et les groupes islamistes armés au Mali pays voisin.

La plupart des indices laissent penser que l'Algérie est impliquée d'une certaine façon malgré le fait que le gouvernement insistait sur une solution pacifique au conflit qui s'est délcaré il y a prés d'un an quand les Islamistes ont pris le contrôle du Nord Mali.

Les Algériens ont encore du mal à croire que leur pays participe à une intervention militaire aussi compliquée à cause des conséquences dangereuses pour toute la région.

Le ministre des affaires étrangères françaises, Laurent Fabius, a fait cesser toute spéculation lundi 14 Janvier 2013 en déclarant que les autorités algériennes ont " donné une autorisation inconditionnelle aux avions français de traverser leur espace aérien pour aller combattre au Mali".

Cette déclaration a été suivies d'autres informations qu'une coordination de ahut niveau sécuritaire et militaire était en cours entre les deux pays.

L'inquiétude s'est répandue car les journaux et les reseaux sociaux ont parlé de la possibilité que le ministère de la défense puisse appeler ses réservistes pour défendre les 3218 Km de frontières avec le Mali et le Niger.

Selon l'ONU environ 30 000 personnes ont déjà fui leurs maisons depuis le début de l'intervention française vendredi dernier.

Bien que seulement un peu plus de 1000 soient déjà arrivées au Niger le nombre total de réfugiés depuis le début de la crise il y a un an aurait dépassé les 400 000. Nulle doute que l'Algérie va devenir une importante destination pour ceux fuyant les combats des prochaines mois.

compte tenue des conditions désertiques extrèmes et du manque total d'infrastructures et de ressources dans la region les organisations humantaires s'attendent au pire alors que les combats s'intensifient.

La principale inquiétude des Algériens vient du fait que leur pays a historiquement refusé toute implication dans les affaires intérieures d'autres nations. La seule fois où l'armée a appeké ses réservistes remonte à la guerre d'Octobre 1973 ( guerre de Kipour ndlt) lorsque l'Egypte et la Syrie ont combattu Israël.

Les Algériens craignent que les combats au Mali débordent et engouffrent leur pays surtout du fait de la nature interconnectée des deux pays.

Par exemple les tribus nomadiques Touareg peuplent le désert saharien que se partagent le Mali, le Niger, la Libye, et l'Algérie. Ces tribus vont presque certainement s'impliquer dans les combats transformant la crise du Mali en guerre régionale aux conséquences inconnues.

Raison pourlaquelle le président algerien était opposé à toute intervention militaire l'année derniere. Cependant finalement il a été incapable de resister aux pressions française africaine et internationale pour qu'il change sa position.

Actuellement les Algériens sont divisés en trois camps concernant le conflit au Mali.

Le premier groupe s'oppose à une intervention française la considérant comme une déclaration de guerre contre un pays voisin. A la tête de ce camp les Islamistes algériens qui accusent le gouvernement de s'alier avec la France contre ses coreligionnaires musulmans.

Le second camp croit que l'intervention française est légitime et que Paris ne fait qu'aider le gouvernement central malien à reprendre posséssion nde son territoire tombés aux mains de grpupes islamistes qui refusent d'accepter des solutions pacifiques au conflit.

Le troisiéme groupe se demande pourquoi l'Algérie suit la France alors qu'elle aurait pu prendre l'initiative de s'occuper de la crise malienne comme chef du Commandement Militaire Con joint du Sahel établi en 2009 pour s'opposer à l'infiltration d'Al Qaeda dans la région.

Ce camp pense que la situation au Mali ne se serait pas détérioré au point de se tranformer en guerre si l'Algérie avait répondu à la demande d'intervention de l'ancien président malien Amadou Touré au moement du soulèvement libyen alors que des armes et des combattants envahissaient le Nord de son pays.

L'Algérie fait face à deux scénarios dangereux maintenant qu'elle s'est impliquée dans la crise du Mali.

Le premier pourrait conduire à une confrontation entre l'état et une partie de la population pouvant se transformer en guerre civile sur des bases ethniques et tribales une menace à l'unité du pays.

Le second pourrait voir des "cellules dormantes" au Nord Mali mener des attaques suicide dans les capitales et villes de pays voisins répandant la peur et l'instabilité dans toute la région.

Mourad Traboulsi 16/01/2013

Version anglaise de cet article

Traduction Mireille Delamarre

http://www.planetenonviolence.org/Intervention-Francaise-Au-Mali-Les-Algeriens-Sont-Divises-Destabilisation-Guerre-Civile-En-Algerie_a2932.html

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Message  09991 Sam 4 Mai - 13:54

Hydrocarbures : le chantage stratégique de BP à l’Algérie



algérie - Intervention Française Au Mali : Les Algériens Sont Divisés...Déstabilisation Guerre Civile En Algérie ?  - Page 2 5134293-7662009


Le groupe pétrolier britannique BP, premier investisseur étranger en Algérie, a décidé de retarder deux projets gaziers importants. La société a justifié sa décision par les conséquences de l’attaque terroriste d’In Amenas qui a ciblé un de ses sites en janvier dernier.


Elle a également évoqué les conditions d’investissements.

Cette annonce de BP constitue un double coup dur pour l’Algérie. Le premier concerne la crédibilité de l’Etat algérien et particulièrement ses forces de sécurité. Même si le groupe ne le dit pas clairement, BP n’est pas convaincu par les mesures prises par les autorités algériennes après l’attaque d’In Amenas pour assurer la sécurité des sites pétroliers et gaziers du pays.

En fait, BP souhaiterait avoir accès à plus d’informations à caractère sécuritaire, ce que les Algériens refusent. Le groupe britannique voudrait également voir l’Etat algérien prendre en charge une partie des frais liés aux nouvelles mesures de sécurité.

Selon BP, les frais liés à la sécurité ont triplé, pour atteindre 15% des dépenses d’exploitation.


Le second coup dur concerne l’économie algérienne. BP a décidé de retarder ses deux projets gaziers dans un contexte très difficile, marqué par une chute de la production de pétrole et de gaz algériens.

Malgré les nombreux démentis du ministre de l’Energie, Youcef Yousfi, la baisse de production et prochainement des revenus est un sérieux problème qui commence à préoccuper les décideurs.

L’Algérie n’a pas préparé l’après-pétrole et les dépenses de l’Etat ont explosé ces dernières années. Une baisse des revenus pétroliers et gaziers est à même de menacer la paix sociale.

BP a mis en avant les conditions d’investissements jugées contraignantes. Pourtant, la loi sur les hydrocarbures a été amendée au début de l’année. Mais les amendements ont été jugés trop timides par les acteurs étrangers du secteur, malgré l’introduction de plus de souplesse fiscale.



La décision de BP ressemble, à s’y méprendre, à du chantage. Elle ne sera pas sans conséquence sur les autres investisseurs étrangers.

Quand le principal investisseur étranger se plaint de contraintes et de difficultés, il envoie un signal fort aux autres acteurs du secteur, qui pourraient suivre.

Jusqu’à présent, le gouvernement a tenu tête aux investisseurs étrangers, en refusant de céder sur les nouvelles lois. Mais les projets et les dossiers concernaient des secteurs peu stratégiques : immobilier, industrie, tourisme, banques-assurances…

Pour la première fois, la menace concerne le seul secteur stratégique pour le pays : les hydrocarbures. Un test décisif pour le pouvoir.




http://www.tsa-algerie.com/actualite/item/298-hydrocarbures-le-chantage-strategique-de-bp-a-l-algerie
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Message  09991 Sam 4 Mai - 14:27

Plusieurs compagnies énergétiques quittent l’Algérie




algérie - Intervention Française Au Mali : Les Algériens Sont Divisés...Déstabilisation Guerre Civile En Algérie ?  - Page 2 Hf_122738_africa2


BP n’est pas le seul groupe énergétique étranger à réduire ses investissements en Algérie. Une source industrielle, citée, ce jeudi 2 mai, par Reuters, rappelle que, le mois dernier, la société américaine Hess Corp a vendu une de ses deux participations en Algérie à l’espagnol Cepsa à cause de trop mauvais rendements.


Le groupe britannique BG est également en train de quitter l’Algérie et rendre sa licence, qui arrive à expiration en septembre, sur le bloc d’Hassi Ba Hamou, à cause de négociations au point mort avec Sonatrach.

Et l’une des plus grosses compagnies énergétique américaines – dont le nom n’a pas été dévoilé – qui avait étudié la possibilité d’investir en Algérie, a finalement choisi de développer des projets ailleurs, toujours selon la même source.

De tels départs interviennent après des années de plaintes à propos des conditions d’investissements énergétiques, rappelle Reuters. Ce qui a conduit à une baisse de production en pétrole et en gaz, ces dernières années, en Algérie.


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algérie - Intervention Française Au Mali : Les Algériens Sont Divisés...Déstabilisation Guerre Civile En Algérie ?  - Page 2 Youcef_yousfi-14
Youcef Yousfi

Ces mêmes sources avaient espéré des évolutions lors de la visite à Londres de Youcef Yousfi, en avril dernier.

Malheureusement, ce fut la visite des occasions manquées » entre la délégation algérienne et BP, Shell, ExxonMobil, Hess, OMV et Petroceltic, raconte un des participants.

Je n’attends aucun changement législatif en 2013, alors que toute l’attention est portée sur la campagne présidentielle », reconnaît une source chez Sonatrach, citée par l’agence Reuters.


http://www.tsa-algerie.com/actualite/item/299-plusieurs-compagnies-energetiques-quittent-l-algerie



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Message  09991 Sam 4 Mai - 22:12

Exploitation d’un gisement de zinc à Béjaïa : l’australien Terramin entame une procédure d’arbitrage international contre l’Enof et menace le gouvernement algérien



algérie - Intervention Française Au Mali : Les Algériens Sont Divisés...Déstabilisation Guerre Civile En Algérie ?  - Page 2 Tzn



Le mineur australien Terramin, actionnaire majoritaire de la JV Western Méditerranéen Zinc (WMC) et propriétaire du gisement de zinc-plomb de Tala Hamza à Béjaia, a lancé une procédure d’arbitrage international contre son partenaire algérien, l’Entreprise nationale des produits miniers non ferreux et des substances utiles (Enof).


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Terramin a adressé une plainte à la Chambre internationale du commerce de Paris pour dénoncer le rejet, par la partie algérienne, de l’étude de faisabilité définitive du projet de la mine, réalisée en 2010, a rapporté, hier vendredi, le site spécialisé Mining weekly.

Il est reproché à l’Enof d’avoir engagé un consultant international indépendant chargé d'examiner l’étude alors que, estime la compagnie australienne, l’accord de partenariat a prévu juste une période d'examen d'un mois.

La même source a expliqué que l’Enof a exprimé des réserves portant sur la méthode d’extraction par foudroyage en masse, recommandée dans la DFS présentée par Terramin en 2010. Une méthode considérée par le mineur australien comme étant « la plus sûre et la plus économiquement viable ».




algérie - Intervention Française Au Mali : Les Algériens Sont Divisés...Déstabilisation Guerre Civile En Algérie ?  - Page 2 Mf966
Nic Clift

Le directeur exécutif de Terramin, Nic Clift, a déclaré que sa compagnie ne compte pas rester les bras croisés au cas où le gouvernement algérien déciderait de dissoudre la JV de manière unilatérale.

« Nous allons réclamer un montant "très important" de dommages et intérêts si le gouvernement algérien décide de résilier le contrat de partenariat », a menacé ce responsable de Terramin, cité par Mining week.


Terramin détient 65% des actions de WMZ contre 32,5% pour l'Enof et 2,5% pour l'Office de recherche géologique et minière (ORGM).

Le gisement de Tala Hamza, sis à 15 kilomètres de la ville de Bejaia, s’étend sur une concession de 125 km2. L'étude de faisabilité définitive, achevée en 2010, a déterminé des réserves probables de 68,6 millions de tonnes de zinc et de plomb qui le placent parmi les plus importants dans le monde.




http://www.tsa-algerie.com/actualite/item/311-exploitation-d-un-gisement-de-zinc-a-bejaia-l-australien-terramin-entame-une-procedure-d-arbitrage-international-contre-l-enof-et-menace-le-gouvernement-algerien




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Message  09991 Sam 4 Mai - 22:56

Le Chinois NFC va remplacer l’Australienne Terramin dans le gisement de zinc de Bejaïa


mercredi 18 avril 2012 à 00:07


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Terramin Australia Limited est sur le pied de départ. Elle envisage « sérieusement » de céder ces participations dans la joint-venture Western Mediterranean Zinc (WMZ), chargée de l’exploration du site minier de Oued Amizour à Béjaia, au profit d’un opérateur minier chinois. La dernière visite du ministre de l’Energie et des mines sur le site minier qui s’est déclaré peu satisfait de l’étude de faisabilité présentée par Terramin a précipité son départ, soutient le P/APW de Béjaia.


La compagnie australienne Terramin, actionnaire majoritaire dans la joint-venture Western Mediterranean Zinc (WMZ) qui détient le permis d’exploration sur le gisement de zinc et de plomb de Tala Hamza à Oued Amizour (wilaya de Bejaia) affiche son intension de se désengager du projet au profit d’une entreprise chinoise. Terramin a annoncé, dans un communiqué daté du 4 avril dernier, qu’il est « actuellement en discussions avec la China Non-Ferrous Metal Industry’s Foreign Engineering and Construction Co., Ltd (NFC) sur une éventuelle cession de sa participation dans le projet Tala Hamza ».


L’australien a souligné le caractère « préliminaire » de ces discussions qui ne peuvent conduire un accord final qu’après avoir réglé un certain nombre de « questions importantes ».

Une vente par Terramin de sa participation dans le projet de Tala Hamza serait sous réserve de l’approbation de son partenaire ENOF », souligne le communiqué qui précise que Terramin a lancé discussions avec l’ENOF à cet effet.

Terramin est dans le bon chemin en avisant son partenaire algérien qui possède un droit de préemption sur la cession des participation de l’Australien

nous a confié un cadre de WMZ, qui précise que les discussions vont bon train.

D’ailleurs, pour illustrer l’imminence d’un accord avec les Chinois, notre source affirme que Kamel Baaziz, directeur général de WMZ a réuni la semaine dernière les travailleurs pour les rassurer sur la préservation de leurs postes d’emploi après l’entrée du Chinois NFC dans le capital de la joint-venture WMZ. Terramin détient 65% des actions de WMZ. 35% sont détenus par deux sociétés étatiques Algériennes : 32,5% sont détenus par L’Entreprise Nationale des Produits Miniers non ferreux et des Substances Utiles (ENOF) et 2,5% sont détenus par l’Office de Recherche Géologique et Minière (ORGM).

L’Australien veut céder la totalité de ces 65 % des participations, mais ne peut aller au-delà de 49 % au profit du Chinois, selon la règle 51/49 pour l’investissement étranger, instituée dans la LFC 2009. Et les 16 % restant doivent trouver preneurs parmi les deux partenaires algériens, soutient notre source. Une information qu’on n’a pas pu vérifier. Nos tentatives de joindre la direction générale de l’ENOF et de WMZ sont restées vaines.




http://bejaia-aujourdhui.com/2012/04/le-chinois-nfc-va-remplacer-laustralienne-terramin-dans-le-gisement-de-zinc-de-bejaia/




P.S. : Je pense que la raison du conflit entre Terramin et le gouvernement Algérien, sont les chinois!



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Message  09991 Mer 8 Mai - 19:19

Algérie : Etat d’alerte dans 7 Wilayas aux confins de la Tunisie et la Libye




algérie - Intervention Française Au Mali : Les Algériens Sont Divisés...Déstabilisation Guerre Civile En Algérie ?  - Page 2 Algeria_wilayas
Wilayas ou Collectivités locales


Une source sécuritaire algérienne a déclaré que les ministères de la Défense et de l’Intérieur algériens ont émis des instructions fermes à sept Wilayas situées à l’Est, dont les frontières sont avec la Tunisie et la Libye,
de renforcer les mesures sécuritaires de contrôle des frontières, en vue de faire face à toute infiltration de "terroristes" de la Tunisie ou de la Libye, vers l’Algérie, ou de la quitter pour les deux pays,
rapporte ce mercredi le journal algérien elkhabar sur son site Internet.


Les instructions confèrent des prérogatives complètes aux Walis de Tamanrasset, Illizi, al-Ouadi, Tébessa, Khanchela, Souk Ahras, et el-Taref, étant les présidents de commissions sécuritaires dans leurs Wilayas, afin qu’ils mobilisent toutes les possibilités et les hommes, et mettent tous les corps sécuritaires en état d’alerte, en vue d’avorter toute tentative d’infiltration de "terroristes" de Tunisie et de Lybie, aux prises avec des tensions sécuritaires.

Il a été demandé aux walis d’organiser des réunions quotidiennes des commissions sécuritaires pour présenter des rapports sur les mouvements de ces groupes, à la cellule de crise en place aux ministères de la Défense et de l’Intérieur.

L’armée algérienne est en train de contrôler les frontières avec tous les moyens, notamment les avions de guerre, qui ont mené hier une vaste opération de ratissage au sud de Khanchela, suite à des informations sur "le mouvement des groupes terroristes" dans la région, selon le journal.



Vue sur : http://www.alterinfo.net/notes/Algerie-Etat-d-alerte-dans-7-Wilayas-aux-confins-de-la-Tunisie-et-la-Libye_b5494932.html

Source original



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algérie - Intervention Française Au Mali : Les Algériens Sont Divisés...Déstabilisation Guerre Civile En Algérie ?  - Page 2 Empty L’arnaque de l’arbitrage international et le complot qatari

Message  09991 Jeu 9 Mai - 12:20

L’arnaque de l’arbitrage international et le complot qatari



algérie - Intervention Française Au Mali : Les Algériens Sont Divisés...Déstabilisation Guerre Civile En Algérie ?  - Page 2 Pc3a9trodollar-arabie-qatar-300x200

La production algérienne en gaz naturel subit tellement de pressions que la Sonatrach et sa tutelle ne sont plus en mesure de contenir.

Certaines compagnies menacent de quitter l’Algérie si elles n’obtiennent pas suffisamment de concessions. D’autres clients de Sonatrach se bousculent devant le tribunal d’arbitrage international afin d’obtenir des réductions sur le prix de vente du gaz. Le tout est couronné par l’action menée par le Qatar visant à exclure progressivement l’Algérie du marché international du GNL.


Le chantage de BP



En 2006 déjà, les responsables de BP avaient prédit la déplétion du gaz algérien et savaient à l’époque qu’en 2017, la Sonatrach ne serait plus en mesure d’honorer ses contrats gaziers. Aujourd’hui, les responsables de cette compagnie utilisent cette carte pour obtenir des concessions inimaginables de la part de l’Algérie. En annonçant le report de la reprise de leurs investissements en Algérie, les responsables de BP pensent surtout aux textes d’application de la nouvelle loi sur les hydrocarbures. La compagnie britannique compte investir dans les gaz non conventionnels dans le périmètre de Bourarhat, dans le bassin d’Illizi, et maintient la pression sur les autorités algériennes pour obtenir le maximum de facilités fiscales.

Bourarhat Sud (les blocs 230 et 231, non loin du complexe de Tiguentourine) présente un enjeu de taille pour BP, en raison de son énorme potentiel en gaz de schiste. Ce gisement de gaz non conventionnels est estimé à 52 Tcf, soit le même volume que les réserves actuelles de Hassi R’mel. Le contrat d’association sur l’exploration de ce gisement a été signé le 23 avril 2005 pour une première phase qui s’est achevée en 2008. Une seconde période d’exploration, qui devait se terminer en 2010, a été prolongée de 24 mois, soit jusqu’au 23 septembre 2012.

Nous sommes aujourd’hui dans la phase de développement qui devra être âprement négociée entre BP et les autorités algériennes. Car, il s’agit de gaz non conventionnels, régis par la nouvelle législation.



Les prétendus retards

Les investissements actuels de BP se résument en fait à deux complexes gaziers, In Salah et In Amenas. Pour ce dernier, l’association mise sur pied le 29 juin 1998 avec Sonatrach et Statoil devait consentir des investissements pour le développement et la production de quantités de gaz naturel situé dans la région d’In Aménas ainsi qu’au traitement des dites quantités de gaz naturel, en vue de l’extraction des gaz de pétrole liquéfiés (GPL) et du condensat. Il s’agit surtout de maintenir une production à hauteur de 9 milliards de mètres cubes, qui représente actuellement presque 12 % de la production nationale.

Cet investissement concerne quatre gisements découverts avant la date de signature du contrat (Tiguentourine, Hassi Farida, Hassi Ouan Abécheu et Ouan Tardert). La Sonatrach devait y participer à hauteur de 8,21% de son financement alors que les deux autres associés, Statoil et BP apportaient un financement à hauteur de 45,90% chacun. Le contrat de réalisation de cette nouvelle installation a été confié, le 5 mai 2011, aux japonais de JGC. Les installations, qui devaient renforcer les capacités du CPF, ne seront toutefois pas livrées dans les délais contractuels. Prévues pour septembre prochain, ces installations verront certainement un retard important en raison de l’attaque terroriste perpétrée contre ce site et qui a contraint les japonais de JGC à le quitter. Du coup, on s’aperçoit que même si elle tenait à faire démarrer ces installations, BP ne le pourra pas sans la normalisation des rapports avec le maître d’ouvrage japonais. Selon les experts, les travaux ne seront pas achevés avant la fin du premier semestre 2014.

Et cela influera énormément sur les niveaux de production de ce complexe. Le second investissement où BP exerce son diktat est celui d’In Salah. A travers ce complexe, il est question du développement de quatre champs (In Salah, Gour Mahmoud, Hassi Moumene et Garet El-Befinat) en vue de maintenir le plateau de production de gaz à 9 milliards de mètres cubes par an, soit la même quantité que celle d’In Aménas. Les travaux de réalisation des installations d’In Salah ont été confiés, en date du 11 avril 2011, à Petrofac qui devra les livrer au bout de 50 mois, soit avril 2015. Coût de l’opération : 1,185 milliard de dollars.

BP la finance à hauteur de 33,5%, Statoil ne participe que sur 31,85% alors que la Sonatrach a pris la plus grosse part de participation avec 35%. Par conséquent, les déclarations des responsables de BP relatives à d’éventuels retards sur les opérations de développement de ces deux gisements ne sont pas justifiées. Car, dès le départ, on savait que les installations n’allaient pas être livrées avant mai 2014 pour In Aménas et avril 2015 pour In Salah. On en déduit aisément que les Anglais cherchent à affoler les responsables algériens et les presser d’accepter les conditions imposées par la compagnie britannique.


BG sur la même ligne


Les pressions britanniques subies par Sonatrach ne se limitent pas uniquement à BP. La compagnie du gaz BG Groupe se comporte de la même façon . Cette compagnie est entrée en Algérie en 2006, suite à un accord conclu avec Gulf Keystone pour l’acquisition de 36,75% du permis Hassi Ba Hamou (HBH, sur les blocs 317b, 347b, 322b, 348 et 349b) dans la wilaya d’Adrar. Par la suite, Gulf Keystone s’est retirée de cette association en cédant une partie de ses participations à BG et une autre à Sonatrach. Mais avant même de rentrer dans la phase de développement, BG a décidé de vendre ses participations sur ce permis. En date du 7 mars 2012, la compagnie britannique a informé Sonatrach que sur les six sociétés (CEPSA, ENI, E.On Ruhrgas, PTTEP, SHELL et Pertamina) qui ont étudié les données techniques du périmètre Hassi Ba Hamou, seule Pertamina était intéressée par ce projet. BG avait alors sollicité l’accord de Sonatrach pour continuer les discussions sur cette cession de parts au profit de la compagnie indonésienne.

Deux semaines plus tard, Sonatrach a notifié à l’opérateur britannique, la nécessité de se conformer aux dispositions de l’article 30.2 du contrat, qui stipule que BG ne pourra en aucun cas céder plus de 49% de ses intérêts dans le contrat, lors de ses négociations engagées avec Pertamina. La compagnie BG Groupe a fait subir les mêmes souffrances aux responsables de Sonatrach dans la gestion de l’association sur le projet de Guern El Guessa. Après une première phase de recherche arrivée à échéance le 02/05/2012, BG a décidé d’abandonner le permis et clôturer le contrat.


L’arbitrage pour saigner Sonatrach


La semaine dernière, la compagnie italienne Edison a obtenu gain de cause dans la procédure d’arbitrage international lancée contre Sonatrach. La société italienne, acquise l’année dernière par les français d’EDF, a gagné le procès portant sur les prix pratiqués pour l’achat du gaz algérien. Selon tous les experts, Sonatrach aurait dû négocier une fourchette de prix et obtenir un juste équilibre avec les Italiens d’Edison. Mais, on a préféré aller à l’ arbitrage et payer plus alors qu’on aurait pu négocier tranquillement autour d’une table.

Une procédure d’arbitrage international similaire a été lancée, contre Sonatrach, par l’autre italien Enel. Notre compagnie pétrolière devra encore perdre le procès et jeter de l’argent qu’elle aurait pu économiser avec un peu de bon sens et des négociations avec le partenaire.

L’héritage de Chakib Khelil est lourd certes, mais cela ne justifie en rien le silence de son successeur sur les contentieux avec les compagnies étrangères. Sonatrach a déjà perdu beaucoup d’argent au profit des étrangers. Outre Edison, il faut rappeler les quatre milliards consentis l’année dernière à l’américain Anadarko.


Le complot qatari


Alors que plusieurs experts en politique énergétique ont tiré la sonnette d’alarme sur la politique menée par les Qataris, l’Algérie continue de s’enfoncer dans le gouffre de la dilapidation de son gaz dans les projets industriels montés conjointement avec les groupes du Qatar. Après avoir évité de justesse le projet de l’usine de vapocraquage prévue à Arzew avec Total et Qatar Petroleum et économisé les quantités de gaz qui devaient être consommées par ce complexe, nos responsables ont consenti aux Qataris le projet de Bellara pour la production de 5 millions de tonnes d’acier par an. Combien de quantités de gaz devra-t-on consommer dans ce projet ? Nul ne le dira. Les Qataris, qui n’ont jamais investi dans l’amont algérien pour la production d’hydrocarbures, ont réussi à convaincre nos responsables de monter avec les Norvégiens des usines de pétrochimie pour consommer encore davantage le gaz algérien. Avec l’entrée en service des nouvelles centrales de production d’énergie électrique, notamment avec le programme des 8400 MW et les retards cumulés sur l’exploitation des gisements du Sud- Ouest du pays, l’Algérie ne pourra pas satisfaire ses engagements en matière de fourniture de gaz. La date fatidique de ce déclin est prévue pour 2017. Les Qataris seront alors seuls sur le marché du GNL et négocieront notre part de marché sur l’Europe.

Ces mêmes Qataris ont longtemps courtisé le réseau de distribution de carburants en Algérie. Comme l’avait évoqué El Watan, leur société Woqod a tenté par tous les moyens de s’accaparer des infrastructures stratégiques dédiées jusqu’ici à Naftal. Chakib Khelil les a longtemps soutenus contre les Turcs qui ont tout fait pour s’accaparer des stations de carburant sur le tracé de l’autoroute Est-Ouest. Même après le départ de Chakib Khelil certains responsables algériens ont maintenu l’option Woqod. Cette dernière avait désigné en 2011 un auditeur pour évaluer les opportunités de partenariat avec Naftal. Le rapport établi dans ce sens a donné des frissons aux Qataris.

L’auditeur a en effet mis en garde contre un partenariat avec Naftal pour deux principales raisons. Il évoquait notamment les mauvais réflexes développés par le personnel de l’entreprise, mais surtout taxé son syndicat de «réseau mafieux», qui contrôle le transport du carburant à l’échelle nationale. C’est sans doute sur la base de ce rapport que Woqod a décidé de constituer avec Sonatrach, un nouveau réseau qui exclurait Naftal. En décembre dernier, trois événements majeurs ont marqué ce dossier. L’arrivée du Premier ministre qatari avec des propositions pour Woqod, la décision de Sonatrach de mettre en place son propre réseau de distribution de carburant et, enfin, la levée de bouclier du syndicat de Naftal contre cette décision des responsables de leur société-mère. Depuis lors, rien n’a été rendu public sur le partenariat avec Woqod.




Mokhtar Benzaki



http://www.lesoirdalgerie.com/articles/2013/05/09/article.php?sid=148704&cid=2




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algérie - Intervention Française Au Mali : Les Algériens Sont Divisés...Déstabilisation Guerre Civile En Algérie ?  - Page 2 Empty Déploiement de six mille soldats algériens aux frontières avec la Tunisie

Message  09991 Mer 15 Mai - 21:03

Déploiement de six mille soldats algériens aux frontières avec la Tunisie


algérie - Intervention Française Au Mali : Les Algériens Sont Divisés...Déstabilisation Guerre Civile En Algérie ?  - Page 2 1819342_3_00f4_des-soldats-algeriens-dans-le-sud-du-pays_87f1642e235c2aed149749f4bb093c32


Des avions de reconnaissance relevant des forces de l’armée participent jour et nuit à une opération de ratissage aérien des passages frontaliers, outre le déploiement de huit brigades d’unités spéciales et d’infanteries de la gendarmerie, constituées de plus de six mille soldats sur les frontières tuniso-algériennes, pour faire face à une possible infiltration des groupes salafistes armés via les frontières, annonce le journal algérien elkhabar dans son édition de ce mercredi.


Les forces terrestres et aériennes algériennes chargées du contrôle des frontières Est avec la Tunisie, travaillent en coordination avec les commandements des forces tunisiennes qui traquent les groupes salafistes extrémistes retranchés dans la région de Kasserine (ouest de la Tunisie).

Elkhabar a, par ailleurs, révélé qu’il a été décidé après la visite du chef d’état-major interarmées tunisien en Algérie, l’ouverture d’une liaison directe entre les commandements des opérations terrestres et aériennes à Alger et leurs homologues en Tunisie, pour activer la lutte contre le terrorisme et accélérer l’échange d’informations d’une manière instantanée entre les appareils des deux pays.


Les autorités militaires tunisiennes ont donné leur accord pour que le système d’écoute des forces algériennes s’étende aux régions frontalières, en vue de renforcer le contrôle sur les passages montagneux utilisés par les groupes terroristes pour se déplacer via les frontières.

Selon une source informée citée par le journal algérien, cette question a fait l’objet d’un accord pendant la visite du chef de l’état-major tunisien au siège du ministère de la Défense. Le comité d’état major algérien a alors mis à exécution un nouveau plan sécuritaire pour renforcer le contrôle aux frontières conjointes avec la Tunisie.


Le plan comporte un contrôle aérien des frontières Est et atteint la profondeur de la Tunisie, pour empêcher l’infiltration des groupes armés et la contrebande d'armes via la Tunisie, la Libye et l’Algérie.

Des rapports sécuritaires avaient, auparavant, mis en garde contre la contrebande de quantités d’armes et munitions de la Libye à l’Algérie, via la Tunisie.


http://www.gnet.tn/revue-de-presse-internationale/deploiement-de-six-mille-soldats-algeriens-aux-frontieres-avec-la-tunisie/id-menu-957.html



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algérie - Intervention Française Au Mali : Les Algériens Sont Divisés...Déstabilisation Guerre Civile En Algérie ?  - Page 2 Empty Deux quotidiens algériens interdits de parution en raison d’un dossier sur l’état de santé de Bouteflika

Message  09991 Lun 20 Mai - 17:10


Deux quotidiens algériens interdits de parution en raison d’un dossier sur l’état de santé de Bouteflika




algérie - Intervention Française Au Mali : Les Algériens Sont Divisés...Déstabilisation Guerre Civile En Algérie ?  - Page 2 Bouteflika
Bouteflika

Les deux quotidiens appartenant à Hicham Aboud, Monjournal et Djaridati, viennent d’être interdits de parution par le ministère de la communication, en raison d’un dossier consacré à l’état de santé de Bouteflika.


Les numéros de dimanche 19 mai des quotidiens Monjournal et Djaridati, ont été saisi ce samedi soir à l’imprimerie et interdit de parution, sur décision du ministère de la communication, qui a demandé à l’éditeur de retirer les deux pages de chaque numéros, consacrées à Bouteflika.

Selon M Aboud, c’est l’imprimeur qui a alerté le ministère, lorsqu’il a découvert le dossier traitant de l’état de santé du président Bouteflika. M Aboud explique que ce dossier repose sur des informations vérifiées, faisant état de la détérioration de l’état de santé du président qui serait dans « un coma profond qui pourrait durer des semaines.

Le ministère de la communication a demandé à Hicham Aboud de retirer les deux pages, s’il voulait que son journal soit imprimé, ce qu’il a refusé de faire. « Techniquement, il était impossible de remplacer les deux pages, même si on le voulait » nous a déclaré l’éditeur.

Ce dernier trouve ridicule le comportement de l’imprimeur, qui a demandé au responsable de production du quotidien de signer une décharge dans laquelle il est mentionné que c’est l’éditeur qui refuse d’imprimer son journal.

C'est le premier acte de censure et de saisie d'un journal depuis plusieurs années. Cette situation prouve que le pouvoir ne sait plus comment gérer l'information sur la santé du président.




Vue sur : http://www.algerie-focus.com/blog/2013/05/19/deux-quotidiens-algeriens-interdits-de-parution-en-raison-dun-dossier-sur-letat-de-sante-de-bouteflika/

Source originale : http://www.elwatan.com/actualite/en-raison-d-un-dossier-sur-l-etat-de-sante-de-bouteflika-monjournal-et-djaridati-interdit-de-parution-18-05-2013-214219_109.php




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algérie - Intervention Française Au Mali : Les Algériens Sont Divisés...Déstabilisation Guerre Civile En Algérie ?  - Page 2 Empty Selon des médias français, Bouteflika est toujours en France et sa santé se déteriore

Message  09991 Lun 20 Mai - 17:52

Selon des médias français, Bouteflika est toujours en France et sa santé se déteriore


algérie - Intervention Française Au Mali : Les Algériens Sont Divisés...Déstabilisation Guerre Civile En Algérie ?  - Page 2 Bouteflika1


Les spéculations se poursuivent au sujet de l’état de santé de Bouteflika. Et désormais, ce sont les médias internationaux qui s’invitent à ce bal où les rumeurs et les informations les plus invraisemblables s’enchevêtrent pour former une pelote de laine difficile à démêler.

Ainsi, d’après la télévision française BFM TV, Abdelaziz Bouteflika est toujours en France. Lundi, pour appuyer son information, cette chaîne d’information en continu a cité une source au Quai d’Orsay. Cependant, BFM TV ne précise aucunement le lieu exact où se trouverait actuellement le Président de la République. Elle ne dit pas également s’il est encore hospitalité à l’hôpital parisien Val-de-Grâce.


Mais l’information la plus affolante a été publiée par un site internet sioniste. En effet, JSS News, un média réputé pour ses prises de position en faveur des intérêts israéliens et de la police d’occupation israélienne en Palestine, a affirmé lundi que le président algérien est tout simplement cliniquement mort !
Un de nos contacts à Paris vient de nous indiquer que le président algérien Bouteflika serait en état de mort cérébrale au Val de Grâce, hôpital qu’il était censé avoir quitté pour l’hôpital militaire d’Ain Naâdja à Alger
, explique JSS News qui ne manque pas de qualifier son information de "scoop".
Il semblerait au final que Bouteflika n’a jamais quitté le Val de Grâce, l’information selon laquelle il se trouverait dans un hôpital algérien, hôpital dont l’accès a été lourdement restreint par la sécurité algérienne, n’ayant été donnée probablement que pour des raisons de politiques internes
, explique toujours cette source qui promet de donner davantage de « précisions quand elles nous parviendront.





Vue sur : http://www.alterinfo.net/notes/Selon-des-medias-francais-Bouteflika-est-toujours-en-France-et-sa-sante-se-deteriore_b5529281.html

Source originale : http://www.algerie-focus.com/blog/2013/05/20/selon-des-medias-francais-bouteflika-est-toujours-en-france-et-sa-sante-se-deteriore/



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algérie - Intervention Française Au Mali : Les Algériens Sont Divisés...Déstabilisation Guerre Civile En Algérie ?  - Page 2 Empty Obama prévient des actes terroristes localisés tels que celui de Tiguentourine

Message  09991 Ven 24 Mai - 17:06

Obama prévient des actes terroristes localisés tels que celui de Tiguentourine



algérie - Intervention Française Au Mali : Les Algériens Sont Divisés...Déstabilisation Guerre Civile En Algérie ?  - Page 2 Article_Obama_articles


Citant en exemple celle commise contre le site pétrolier de Tiguentourine (Algérie) en janvier, le président américain Barack Obama a prévenu jeudi qu’outre la menace terroriste transnationale, les attaques terroristes ont tendance à devenir ”plus localisées”.

Le président américain a tenu ces propos lors d’un discours sur la politique américaine de lutte contre le terrorisme prononcé à l’Université nationale de la défense à Washington.

Pour Obama, si le noyau dur d’Al-Qaïda en Afghanistan et au Pakistan est sur la voie de la défaite, plusieurs branches affiliées à cette organisation ”ont émergé du Yémen à l’Irak, et de la Somalie à l’Afrique du Nord.


Alors que nous sommes vigilants quant à la capacité de ces groupes de constituer une menace transnationale, la plupart d’entre eux axent leurs actes autour des pays et des régions où ils sont basés”, a-t-il observé.

En conséquence, a-t-il poursuivi, ”nous serons confrontés à des menaces plus localisées comme celles que nous avons vues à Benghazi et à l’installation pétrolière de BP en Algérie, des menaces à travers lesquelles des attaques sont lancées périodiquement contre des diplomates occidentaux, les entreprises et d’autres cibles, ou par le recours aux enlèvements et aux autres activités criminelles pour financer leurs opérations terroristes.


Vue sur : http://www.alterinfo.net/notes/Obama-previent-des-actes-terroristes-localises-tels-que-celui-de-Tiguentourine_b5542388.html
Source originale : http://www.algerie1.com/actualite/obama-previent-des-actes-terroristes-localises-tels-que-celui-de-tiguentourine/


P.S. Selon cette déclaration que je le considére comme des aveux, les occidentaux après leur defaites en Irak et Afghanistan se concentrent maintenant sur le nord de l'Afrique, le choc des civilisations est en passe de se produire.



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algérie - Intervention Française Au Mali : Les Algériens Sont Divisés...Déstabilisation Guerre Civile En Algérie ?  - Page 2 Empty Re: Intervention Française Au Mali : Les Algériens Sont Divisés...Déstabilisation Guerre Civile En Algérie ?

Message  09991 Mer 12 Juin - 19:23


Entretien avec Laurent Gaildraud, spécialiste de la rumeur : « Les officiels en Algérie essaient de contredire la rumeur et ils n’y arriveront pas »



algérie - Intervention Française Au Mali : Les Algériens Sont Divisés...Déstabilisation Guerre Civile En Algérie ?  - Page 2 Sans-t11



Laurent Gaildraud est expert en intelligence économique et enseigne les techniques d'orchestration de rumeurs dans de nombreux établissements supérieurs. Il est fondateur du trophée Sun-Tzu qui récompense chaque année la meilleure rumeur orchestrée dans le contexte d'une OPA hostile.
Il est également l’auteur d’un livre intitulé « Orchestrer la rumeur ».



Le président algérien est hospitalisé en France depuis 46 jours. Tous les officiels algériens sont mobilisés pour communiquer. Mais c’est la rumeur qui a pris le dessus. Comment expliquez-vous cette situation ?

Ce sont des rumeurs spontanées, qui sont très fréquentes. Par contre, la manière dont (les officiels algériens) communiquent dessus est toujours maladroite. Les officiels en Algérie essaient de contredire la rumeur et ils n’y arriveront pas, parce que ce n’est pas ce que les gens ont envie d’entendre. Ils ont envie de le voir mort depuis plusieurs années. Je ne suis pas à la place des Algériens, mais je pense qu’ils sont fatigués d’en entendre parler.

Même les officiels français, dont François Hollande, ont communiqué sur la santé du président Bouteflika. Sans convaincre, y compris en France, puisque, lundi, des journaux français ont rapporté des informations sur le décès de Bouteflika…

Que les journaux soit algériens, français ou américains, ils ne font que ça. Il faut arrêter de penser qu’on a de l’information vérifiée au travers des journaux. Il suffit d’ouvrir n’importe quel journal télévisé pour comprendre qu’il y a au moins un quart, voire un tiers du journal télévisé qui est à structure rumorale. Ça, c’est un grand classique. Il (le Président) n’a qu’à se présenter à la télévision, et là on verra bien s’il est vivant ou pas. C’est le seul moyen de démentir. Mais là aussi, dans le démenti, que ce ne soit pas lui qui confirme sa bonne santé, parce que là, encore une fois, personne n’y croira.

Comment naît une rumeur et qu’est-ce qui favorise sa propagation en général ?

Alors, c’est très simple. Il faut se poser une seule question. Qu’est-ce que mes contemporains ont envie d’entendre ? Il faut que la rumeur fasse appel à ce qu’on appelle les sentiments premiers, c'est-à-dire soit le rire, soit la peur, soit la colère ou le dégoût. A partir du moment où vous enclenchez l’un de ces quatre sentiments de base, vous déclenchez un niveau du cerveau qui est complètement affectif et émotionnel, et là, la capacité de réflexion n’intervient plus. C’est pour cela que les rumeurs n’ont pas besoin d’être vraisemblables pour être propagées.
En l’occurrence, le nombre de vedettes et d’hommes politiques qu’on a annoncé morts à tort est très récurent, et en plus, ce n’est pas manipulé. Ce sont des rumeurs socialement spontanées.

Qu’est-ce que les Algériens ont envie d’entendre, selon vous ?

C’est difficile de donner une réponse toute faite, mais je pense que sur une partie de la jeunesse, il y a une volonté à changer de dirigeant.

Le manque de communication, de la part du gouvernement algérien, sur la maladie du Président est-il à l’origine de cette situation ?

Bien sûr ! Moins vous en dites et plus vous laissez fantasmer l’inconscient collectif du groupe. Moins vous communiquez, plus l’individu aura le sentiment que le système veut planquer sous le tapis quelque chose.

Pourquoi, selon vous, le peuple algérien croit-il plus les rumeurs plutôt qu’une information donnée par le gouvernement ?

C’est tout à fait normal. Pour moi, il n’y a pratiquement pas de différence entre une rumeur et une information. La seule différence entre une rumeur et une information est que la rumeur est officieuse. A partir du moment où la rumeur devient officielle, elle perd son statut de rumeur, pour acquérir celui d’information. Donc, la notion de vrai et de faux est sans importance. A partir du moment où tout le monde y croira, ça devient vrai. Que ce soit vrai ou faux, le fait que vous y croyez fait que cette rumeur est vraie.
Je m’explique : s’il y a une rumeur comme quoi il va y a voir une pénurie de sucre, tout le monde se jette sur le sucre et donc il y a pénurie de sucre. La question de vrai ou de faux n’est pas au cœur de la problématique de la rumeur. Si je crois quelque chose, cette chose aura tendance à devenir vraie à mes yeux, et à partir de ce moment, j’aurais tendance à confirmer tout ce qui va dans le sens de ma croyance, à le garder dans mon esprit, et à évacuer tout ce qui ne confirme pas ce que je crois.

Comment peut-on la contrer dans le cas de la maladie du président Bouteflika ?

Le seul moyen de réussir à contrecarrer la rumeur, je crois que c’est d’en rire. Je vous explique : c’est exactement ce qui s’est passé dans les années 1980 à propos d’une rumeur qui s’est révélée exacte, 20 ans après, selon laquelle Mitterrand était atteint d’un cancer. Au lieu de démentir à tort et à travers, à un moment, il y a eu un journaliste qui lui a demandé carrément : M. le Président, est ce que vous êtes malade ? Sa réponse était, en rigolant : oui, il m’arrive d’éternuer. Et ça, c’est très intelligent, parce que qui rirait de son cancer ? Le démenti est très intelligent dans ce cas-là. Parce que démentir bêtement, en disant « non ce n’est pas vrai », « non il est en bonne santé »… Je pense qu’il y a dans la manière de communiquer une grande maladresse.
Le démenti est basé sur la négation et ce n’est pas ça que j’ai envie d’entendre. Si j’ai envie de croire que Bouteflika est mort, il est mort. Tant qu’il ne se montrera pas physiquement et tant qu’une autorité médicale ne dise pas Bouteflika est en bonne santé, quoi qu’il fasse et quoi que tous les militaires algériens disent, ça ne passera pas. Ils ne sont pas crédibles.

Est-ce que le fait de montrer des images de Bouteflika qui a reçu hier le Premier ministre et le général de corps d'armée va mettre un terme à ces rumeurs ?

Moi, j’essaierais de faire un direct, parce que si je l’ai vu vivant hier et ben peut-être qu’il ne l’est pas aujourd’hui. J’essaierais de faire un direct avec une autorité médicale, mais mondiale, et que ce soit cette autorité mondiale qui dise que Bouteflika est non seulement vivant comme vous pouvez le voir, mais je confirme sa bonne santé. Je ne vous dis pas que ça marchera, mais c’est ça qui a le plus de chances de marcher. Il faut arrêter de dire non il est en bonne santé, mais on ne le montre pas.




http://www.tsa-algerie.com/actualite/item/823-sante-du-president-bouteflika-entretien-avec-laurent-gaildraud-specialiste-de-la-rumeur





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algérie - Intervention Française Au Mali : Les Algériens Sont Divisés...Déstabilisation Guerre Civile En Algérie ?  - Page 2 Empty Re: Intervention Française Au Mali : Les Algériens Sont Divisés...Déstabilisation Guerre Civile En Algérie ?

Message  09991 Ven 14 Juin - 17:29


Algérie: les images de Bouteflika, une parade à un éventuel «coup d’Etat médical»? 




algérie - Intervention Française Au Mali : Les Algériens Sont Divisés...Déstabilisation Guerre Civile En Algérie ?  - Page 2 Bouteflika-malade1



Mercredi 12 juin, les Algériens ont découvert sur leurs écrans de télévision les premières images d’Abdelaziz Bouteflika, leur président, hospitalisé depuis le 27 avril en France pour un accident vasculaire cérébral. Le président algérien se trouve depuis quelques jours en convalescence dans l’établissement de santé des armées, aux Invalides, à Paris. Mais que montre exactement cette vidéo? Et qui gouverne en son absence?

Sur cette vidéo, on voit Abdelaziz Bouteflika assis dans un fauteuil dans un cadre luxueux. Il est vêtu d’une robe de chambre noire, et non pas d’un costume, comme il aurait pu l’être pour recevoir la visite de son Premier ministre, Abdelamalek Sellal et le chef d’état major de l’armée, Ahmed Gaïd Salah. Le président bouge un bras pour prendre une tasse de café qu’il porte à ses lèvres. Son bras gauche et la partie gauche de son visage semble moins mobiles que le coté droit.
Dans cette vidéo, on devine qu’il parle à ses visiteurs, mais sa voix n’est pas audible. Il semble très faible. Mais, selon le Premier ministre, cet entretien filmé aurait duré deux heures.
 



Pas de réunion du Conseil des ministres depuis un mois et demi


Officiellement, c’est toujours Abdelaziz Bouteflika qui gouverne. Les grands événements se déroulent toujours sous le haut patronage du président de la république algérienne.
Il aurait même donné des instructions à son Premier ministre, lors de leur entretien à Paris, pour que la loi de finances soit préparée, pour être ensuite votée à temps. Car sans budget, l’Etat algérien ne pourra pas fonctionner l’année prochaine.

Le président algérien est donc officiellement encore aux commandes. Mais concrètement, depuis un mois et demi, le Conseil des ministres n’a pas pu se réunir car la loi impose qu’il soit présent. Aujourd’hui, en Algérie, c’est le Premier ministre qui s’affiche. C’est lui qui se déplace dans le pays et qui reçoit les invités de marque.
Abdelmalek Sellal s’adresse aussi à la presse, plus qu’il ne le faisait auparavant. « L’impression qu’ont certains algériens, c’est qu’il n’y a plus de pilote dans l’avion, mais qu’au plus haut sommet, on fait semblant que tout va bien », confie un journaliste algérien.
 



La procédure «d’empêchement» bloquée


Pourtant, plusieurs partis politiques ont demandé qu’Abdelaziz Bouteflika soit déclaré inapte à gouverner. Des journaux se sont également positionnés, et des personnalités ont demandé l’organisation d’élections anticipées. Mais rien n’y a fait, pour l’instant.
L’initiative de la procédure d’empêchement ne peut être lancée que par le Conseil constitutionnel, un conseil composé pour un tiers de proches du président, qui n’a pris pour l’instant aucune décision. Or, en cas d’absence prolongée du chef de l’Etat, un intérim est prévu. Concrètement, la loi dit qu’en cas de maladie grave et durable du président, le Conseil constitutionnel peut demander au Parlement de déclarer « l’état d’empêchement ».
Après le vote favorable des deux-tiers du Parlement, le président du Sénat est alors chargé d’un intérim de 45 jours. Si l’empêchement persiste, le Conseil constitutionnel peut déclarer la vacance définitive du pouvoir et des élections sont organisées dans les 60 jours.
Tout est donc prévu par la loi, mais aucune procédure n’a été lancée. Puisqu’officiellement Abdelaziz Bouteflika n’est pas empêché, il dirige depuis Paris. Dans l’entourage du président, certains ont d’ailleurs prévenu, dès le début de sa maladie, que déclarer l’empêchement reviendrait à faire un « coup d’Etat médical ».
 

http://lequotidienalgerie.org/2013/06/14/algerie-les-images-de-bouteflika-une-parade-a-un-eventuel-coup-detat-medical/




P.S. Ce qui était une rumeur, confirme que les français ont perdu la guerre au Mali. Affaire à suivre de très prêt!




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algérie - Intervention Française Au Mali : Les Algériens Sont Divisés...Déstabilisation Guerre Civile En Algérie ?  - Page 2 Empty Re: Intervention Française Au Mali : Les Algériens Sont Divisés...Déstabilisation Guerre Civile En Algérie ?

Message  09991 Sam 29 Juin - 16:44

In Aménas : le plan secret des terroristes






algérie - Intervention Française Au Mali : Les Algériens Sont Divisés...Déstabilisation Guerre Civile En Algérie ?  - Page 2 Une_1610



Depuis les camps du Nord-Mali jusqu’à la base de Tinguentourine, voici l’incroyable récit d’une opération menée de longue date par les hommes de Belmokhtar. Ou comment les assaillants ont réussi à déjouer tous les dispositifs de sécurité. El Watan Week-end a pu se procurer des extraits du rapport d’enquête demandée par la Présidence.



1 - Octobre Au nord du Mali :


Mokhtar Belmokhtar, Abderrahmane El Nigiri et Lamine Bencheneb, sûrs que la France va intervenir au Mali, commencent à plannifier leur opération. Ils obtiennent des informations détaillées sur la sécurité de la base auprès d’un des diplomates kidnappés à Gao en avril 2012 et qui a travaillé pendant deux ans sur le site. Tinguentourine n’est qu’à 80 km de la frontière libyenne : elle leur permettra un repli rapide en Libye. Enfin, parmi les membres du Mujao se trouvent d’anciens employés du site. Lamine Bencheneb, qui entretenait de bonnes relations avec les services de sécurité de la région – il se déplaçait beaucoup entre Ouargla et Illizi – à qui il fournissait des renseignements, était intervenu pour que certains de ces employés soient recrutés.



2 - à partir du 9janvier :


trois groupes prennent la route. Une soixantaine d’hommes du Mujao et de Belmokhtar quittent leur campement d’Aguelhok avec une quinzaine de véhicules. Destination : Oudian Er Rouan, dans le sud-ouest de la Libye où les attend le groupe de Youssef Bencheneb et Abdesselam Tarmoun, un groupe d’appui. Pendant leur traversée, qui aura duré une semaine, ils n’ont utilisé aucun moyen de communication à part des GPS. Leur priorité : échapper au contrôle des avions qui survolent chaque jour les frontières avec le Mali, le Niger et la Libye, aux patrouilles terrestres qui ratissent les axes clandestins empruntés par les contrebandiers et les terroristes, et aux services de renseignements dont les écoutes radio couvrent Tamanrasset, Ouargla et Illizi. Mais ils savent comment déjouer les dispositifs de sécurité. Ils se scindent d’abord en plusieurs groupes de 4 ou 5 voitures, eux-mêmes divisés en groupes de 2 ou 3 voitures.

Surtout, ils ne se déplacent que la nuit, car la poussière soulevée par les véhicules en train de rouler pourrait les rendre visibles à une cinquantaine de kilomètres. Pour qu’ils ne soient pas non plus repérés aux traces des roues dans le sable, ils brouillent les pistes en traçant régulièrement des brides (cercles) d’une cinquantaine de kilomètres. Dès que le jour se lève, ils cachent les véhicules. Une des techniques consiste à les couvrir de graisse pour que le sable dont ils les recouvrent résiste au vent. Enfin, ils choisissent des zones de passage soit secrets, soit très difficiles d’accès (Tassaght, Ighir au Mali, Tin Ismi, Ismi Iziouz au Niger). En essayant de passer du côté de Ouere In Taddourt, en Libye, ils perdent deux hommes dans un accident de voiture. Les enquêteurs algériens ont pu retrouver les tombes et récupérer les corps. Quant aux véhicules, ils ont été changés au sud-ouest de la Libye contre des modèles semblables à ceux du service de sécurité de Sonatrach.



3 - 14 janvier. Au sud de Djanet :


trois hommes armés tentent de passer la frontière à 600 km de Djanet. Ils sont abattus par l’armée.


4 - 16 janvier. A 70 km de Tinguentourine :

sous le commandement de Abderrahmane El Nigiri, le groupe de 40 terroristes (dont 4 Algériens) passe la frontière. L’unité de gendarmerie qui se trouve à proximité de la base n’a pas contrôlé le vendeur de cigarettes qui est resté posé pendant dix jours près de la station Naftal. Les assaillants choisissent d’attaquer le jour où le bus transportant le personnel de BP arrive de l’aéroport de Hassi Messaoud. A la mi-janvier, les rares touristes venus pour les fêtes de fin d’année sont repartis, les forces de sécurité se relâchent un peu. Les premières heures de l’attaque, pour les Algériens, sont les plus difficiles : ils ignorent combien d’hommes ont pris la base d’assaut et la nature de leurs armes. Aux expressions religieuses qu’ils emploient, ils pensent d’abord avoir affaire à Al Qaîda. Malgré le matériel de communication très sophistiqué dont ils disposent, donné par les rebelles libyens, les Algériens parviennent à intercepter les appels passés au commandement de l’opération. Les preneurs d’otages se disent «encerclés par l’armée» et demandent «comment se comporter avec les otages».



La négociation


Par principe, il n’est pas question que les forces de sécurité négocient avec les terroristes. Mais les militaires, qui ont besoin d’en savoir plus sur les forces en présence, entrent en contact avec eux. Le négociateur : un colonel du DRS, qui a travaillé plusieurs années au Mali, connaît bien la personnalité de Belmokhtar et a participé aux négociations pour libérer Robert Fowler, envoyé spécial des Nations unies au Niger. Il est aidé par un groupe de militaires et d’officiers du DRS spécialisés dans la lutte antiterroriste au Sahel venus d’Alger, de Tamanrasset, de Ouargla et de Béchar. Les négociations avaient un autre but : occuper les terroristes pendant que les Algériens préparaient l’assaut.

Environ 6 000 hommes sont envoyés sur les lieux dont ceux du Groupement d’intervention spéciale qui avaient en mars 2012 participé à un exercice… de libération d’otages dans une base pétrolière. Habitués à se déplacer en suivant les gazoducs pour empêcher toute frappe aérienne, les terroristes savent que les Algériens ne peuvent pas choisir de bombarder le site. Le premier assaut est donné d’un hélicoptère Mi24 à bord duquel se trouve un tireur d’élite qui touche et blesse El Nigiri. Lorsque les terroristes tentent de fuir avec les otages à bord de leurs 4x4, ce sont des Mi28 équipés de mitrailleuses qui sont déployés. L’explosion des véhicules n’a pas été causée par des missiles mais par les explosifs que les hommes de Belmokhtar avaient placés sur les otages.




Al Qaïda s’adresse aux Algériens


L’organisation terroriste Al Qaîda a publié hier sur twitter un document appelant les Algériens à boycotter l’armée algérienne et à dénoncer la traque des terroristes. Saluant «la fin de règne» du président Bouteflika, Al Qaîda a publié un long message signé par le cheikh Abu Abdullilah Ahmed Al Jijeli. Le document dénonce les événements récents de Skikda, où deux terroristes ont été tués par l’armée algérienne il y a une dizaine de jours. Le cheikh dénonce aussi l’action de l’armée, qu’il qualifie de «troupes de la mort» et accuse les médias de «se cacher derrière une armée prétendûment victorieuse» pour éviter de couvrir ces événements.

Le cheikh diagnostique un «échec du gouvernement algérien dans la compréhension de ses plus jeunes générations». Sur la base de cette «situation dangereuse», il appelle les Algériens à «boycotter l’armée de la mort», à manifester contre son action et à médiatiser les heurts entre les terroristes et l’armée. La conclusion du texte joue sur une corde sensible pour recruter les Algériens : le cheikh annonce «la bonne nouvelle à ses frères de l’Umma musulmane» : depuis le départ de Bouteflika, «le règne de la domination française – directe et indirecte –  est terminé. Le futur du pays réside dans l’islam». (Alix Hardy )
 



Aziz Mouats



http://elwatan.com/une/in-amenas-le-plan-secret-des-terroristes-28-06-2013-219108_108.php
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Message  09991 Sam 29 Juin - 17:32

Le FBI à Alger pour enquêter sur l'assassinat de l'ambassadeur américain à Benghazi



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Une délégation du Federal Bureau of Investigation (FBI) est arrivée, en fin de semaine à Alger, dans le cadre de la coopération judiciaire entre l'Algérie et les Etats-Unis d'Amérique et, également, dans le cadre de l'enquête américaine sur l'assassinat, en octobre 2012, de l'ambassadeur des Etats-Unis à Benghazi (Libye), J. Christopher Stevens, et de trois autres fonctionnaires de l’ambassade, avons-nous appris de source judiciaire sûre.


La délégation d'enquêteurs du FBI s'est rendue, mercredi dernier, au siège de la cour d'Alger et a rencontré des magistrats algériens chargés de l'instruction judiciaire sur l'affaire de l'attaque terroriste contre le site gazier d'In Amenas, ajoute notre source.

L'intérêt porté par les Américains à la justice algérienne dans le cadre de l'enquête de l'assassinat de l'ambassadeur et de trois autres fonctionnaires de l'ambassade des Etats-Unis dans une attaque terroriste commise contre le siège du consulat américain à Benghazi, en Libye, est expliqué par le fait que les terroristes, auteurs de l'attaque contre le site gazier de Tiguentourine, à In Amenas, appartiendraient au même groupe que celui qui a perpétré l'assassinat des diplomates américains en Libye, selon notre source.

Les investigateurs du FBI seront, durant leur séjour en Algérie, informés du contenu des auditions, par les services de sécurité et la justice algériens, des terroristes comptant parmi les auteurs de l'attaque du site gazier de Tiguentourine, en janvier 2013, arrêtés au terme de l'assaut donné par les forces spéciales de l'Armée nationale populaire (ANP) contre les assaillants.

Les enquêteurs du Federal Bureau of Investigation rencontreront, fort probablement, les terroristes arrêtés en vue de leur audition en présence de magistrats algériens. Les auditions concerneraient l'attentat terroriste qui a coûté la vie à J. Christopher Stevens et à trois autres diplomates américains.

Quatre des 32 terroristes, de 8 nationalités, dont trois Algériens, auteurs de l'attaque contre le site gazier de Tiguentourine, ont été arrêtés par les forces spéciales de l'ANP qui ont éliminé le reste du groupe au cours de l'assaut donné pour la libération des otages.

Pour rappel, le Premier ministre, Abdelmalek Sellal, avait annoncé, peu de temps après l'assaut mené par les forces spéciales de l'ANP, que les terroristes étaient au nombre de 32. «Il y avait 11 Tunisiens, 1 Mauritanien, 2 Nigériens, des Canadiens d'origine arabe, des Maliens et des Egyptiens», avait déclaré Abdelmalek Sellal, ajoutant que «l'opération était planifiée depuis plus de deux mois».

Le Premier ministre avait indiqué que le groupe terroriste auteur de cette attaque, dirigé par l'Algérien Mohamed Lamine Boucheneb, épaulé par Abou Bakr El Misri, «appartient à Belmokhtar» et que ces terroristes «ont longé les frontières algéro-maliennes, puis algéro-nigériennes et poursuivi sur la ligne algéro-libyenne pour arriver au site gazier», rappelle-t-on.

Selon le Premier ministre, ces terroristes avaient, rappelle-t-on encore, deux objectifs : le premier était de prendre des otages, pour demander éventuellement des rançons, et le deuxième de faire exploser le complexe tout entier. L'attaque terroriste avait ciblé le site gazier de Tiguentourine et la base vie, située à 5 km de ce site, gérés par Sonatrach, British Petroleum (BP) et Statoil.




Mounir Abi



http://www.letempsdz.com/content/view/97148/1/




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Message  09991 Lun 22 Juil - 18:02

Le colonel Fawzi, l’ombre d’une propagande ou la fin d’une époque ?


algérie - Intervention Française Au Mali : Les Algériens Sont Divisés...Déstabilisation Guerre Civile En Algérie ?  - Page 2 Colone10

La maladie du chef de l’Etat et la gestion médiatique qui en a été faite n’a pas été sans conséquences. La gestion médiatique de cette affaire qui est loin d’être une simple question de famille, a été plus catastrophique pour les pouvoirs publics.


Mais en l’absence d’un service de communication fiable à la Présidence de la République –ce n’est pas la compétence des individus qui est remis en cause- fait forcément porter le chapeau à quelqu’un d’autres. Il s’agit du directeur de l’information du département de renseignement et de sécurité DRS, le très célèbre Colonel Fawzi.

Avant de s’intéresser de près à ce limogeage qui n’a, d’ailleurs, pas été annoncé par les circuits officiels, il faut revenir un petit peu en arrière. Car, si le grade de l’homme n’est pas le plus élevé de la hiérarchie militaire, son influence est incroyablement importante. Car, depuis une dizaine d’années, le Colonel Fawzi fait et défait le monde de la presse. L’attribution des agréments ? C’est lui. Les accréditations pour la presse étrangère ? C’est encore lui. Qui donne son quitus pour la distribution de la manne publicitaire de l’ANEP ? Le Colonel Fawzi. Mais qui donne encore les tuyaux et les rumeurs lorsque le régime a besoin de faire de la propagande ? C’est encore lui.

C’est justement à cause de ce dernier point, c’est-à-dire la propagande, que le militaire, au parcours apparemment exemplaire, aurait été sacrifié. Car, dans ce genre d’affaires, la médaille a aussi son revers et à force de « trop » côtoyer les hommes et femmes des médias, on risque de faire des erreurs. Surtout lorsqu’on compte parmi ses amis des hommes aussi controversés que Hichem Aboud. Les deux hommes ne se connaissent pas uniquement dans les médias. Ce sont des « amis d’enfance » et de « carrière ». Est-ce les prétendues fuites de Hichem Aboud sur la santé de Bouteflika qui aurait coûté son poste à « Fawzi » ? On n’en sait rien. Mais des « fuites » -encore des fuites !- indiquent que l’homme a payé cash sa gestion médiatique de la santé du président.

Le Colonel Fawzi a été remplacé, selon TSA et El Watan, par un autre Colonel. Il s’appelle Okba. Ces informations sont à prendre avec des pincettes car rien n’a encore été confirmé. Ceci dit, il est plus que jamais question de s’interroger sur  la relation qu’entretient le  régime algérien avec les médias. Va-t-elle réellement changer ? Pas si sûr. Surtout que, il y a 14 ans, l’actuel chef de l’Etat avait crié à la face de Abdelaziz Rahabi, alors ministre de la communication : « je suis le rédacteur en chef de l’APS et de la télévision ». Pour le reste, l’ombre fera lui-même sa propre lumière.



Essaïd Wakli


http://www.algerie-focus.com/blog/2013/07/le-colonel-fawzi-lombre-dune-propagande-ou-la-fin-dune-epoque/





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Message  09991 Ven 2 Aoû - 19:07

Tunisie: des combats en cours avec des "terroristes" près de l'Algérie


algérie - Intervention Française Au Mali : Les Algériens Sont Divisés...Déstabilisation Guerre Civile En Algérie ?  - Page 2 57403210


L'armée tunisienne affrontait dans la nuit de jeudi à vendredi un groupe "terroriste" près de l'Algérie dans la zone où huit soldats tunisiens ont été tués lundi, a indiqué une source militaire sur place à l'AFP et des médias tunisiens.

Les combats sont en cours, le groupe terroriste est encerclé", a indiqué la source militaire, précisant que les affrontements se déroulaient à 16 km de Kasserine, aux abords du mont Chaambi où un groupe lié à Al-Qaïda est traqué depuis décembre.

L'Algérie a annoncé jeudi avoir renforcé sa présence militaire à la frontière avec la Tunisie après la mort de huit militaires tunisiens dans une attaque de jihadistes dans une zone montagneuse proche.

L'armée nationale populaire a renforcé (ses) moyens et capacités sur les frontières Est du pays en raison des troubles que connaît la Tunisie, a déclaré le ministre de l'Intérieur Daho Ould Kablia à l'agence de presse APS.

En Tunisie, les accusations fusent contre l'Algérie où des islamistes restent actifs malgré la répression menée contre des groupes islamistes responsables dans les années 1990 de la mort de 200.000 personnes.

Le ministère des Affaires étrangères algérien a réagi en condamnant fermement des allégations mensongères en provenance de certains cercles en Tunisie contre l'Algérie, dans une mise au point transmise à l'APS.

Le porte-parole du ministère algérien, Amar Belani, y voit une opération de manipulation et de diversion visant à tromper le peuple tunisien au moment où celui-ci se mobilise pour faire front contre le terrorisme.

M. Belani a réaffirmé l'attachement constant de son pays, fidèle à ses principes de bon voisinage et de non ingérence dans les affaires intérieures des Etats, à consolider ses relations de fraternité et de solidarité avec le peuple tunisien.




http://www.romandie.com/news/n/_L_armee_algerienne_renforce_sa_presence_a_la_frontiere_avec_la_Tunisie21010820132035.asp
http://www.lorientlejour.com/article/826379/tunisie-des-combats-en-cours-avec-des-terroristes-pres-de-lalgerie.html  



Vue sur : http://www.alterinfo.net/notes/Tunisie-des-combats-en-cours-avec-des-terroristes-pres-de-l-Algerie_b5740325.html




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Message  09991 Dim 4 Aoû - 20:11

L’aide militaire algérienne officiellement demandée par la Tunisie


algérie - Intervention Française Au Mali : Les Algériens Sont Divisés...Déstabilisation Guerre Civile En Algérie ?  - Page 2 57445410



La Tunisie a déposé ce samedi 3 août 2013, une demande officielle auprès de l’Algérie pour la création d’une force conjointe entre les militaires des deux pays en vue de protéger les régions frontalières au sud de la Tunisie.


Selon des sources sécuritaires algériennes, les autorités tunisiennes ont donné l’accord à l’Algérie tout juste après la mort des 8 militaires au mont Chaambi pour une coordination au niveau de la protection des deux points frontaliers adjacents avec la Libye, a rapporté Mosaïque FM.




http://astrolabetv.com/fr/laide-militaire-algerienne-officiellement-demandee-par-la-tunisie/




Vue sur : http://www.alterinfo.net/notes/L-aide-militaire-algerienne-officiellement-demandee-par-la-Tunisie_b5744546.html






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Message  09991 Sam 31 Aoû - 17:23

Contrat Militaire de 12 milliards de Dollars entre le Maroc et les Etats-Unis,Contre qui Mohammed VI s’arme-t-il?


algérie - Intervention Française Au Mali : Les Algériens Sont Divisés...Déstabilisation Guerre Civile En Algérie ?  - Page 2 89345310


Ce marché intervient dans le sillage d'une campagne d'agression médiatique contre l'Algérie d'une extrême violence et dans la foulée d'une éventuelle reprise des armes par le Front Polisario.

La crise économique qui pousse inexorablement le Royaume entre les griffes du FMI n'a pas fait renoncer le souverain marocain à décider d'ouvrir les cordons de la bourse pour mettre sur la table un joli pactole.




«Le Maroc et les Etats-Unis ont conclu récemment un accord d'armement qui s'est soldé par un contrat d'une valeur de 12 milliards de dollars, ce qui représente 5,97% de la valeur du contrat global annoncé par le département de la Défense américain avec la compagnie Raytheon», spécialisée dans les systèmes d'armement et ce, dans le cadre des préparatifs aux manoeuvres navales communes entre les deux pays, qui se tiendront dans les eaux méditerranéennes au cours de l'année prochaine» annonce le quotidien arabophone marocain Al Massa qui tire à quelque 100.000 exemplaires.

L'opération aurait été finalisée lors de la visite du secrétaire américain à la Marine, Rays Mabus, qui a effectué une visite de travail au Royaume du 11 au 13 août. Une information qui n'aurait pas nécessité de commentaires si le Maroc, qui traverse une grave crise économique, n'avait pas fait, à de nombreuses reprises, appel aux institutions de Bretton Woods (Banque mondiale et Fonds monétaire international) pour mener à bien certaines réformes qui de surcroît, doivent s'accompagner de douloureuses répercussions sur la société marocaine.
Il est, par conséquent, tout de même étonnant que le pouvoir marocain qui ne peut se permettre le luxe d'une dépense aussi faramineuse ait décidé d'endetter encore un peu plus le pays (la dette extérieure qui est passée de 189,1 milliards de dirhams -28 milliards de dollars- en 2011 à plus de 212 milliards de DH à la fin de l'année 2012 alors que le chômage touche plus de 10% de la population active).

Le Maroc avait déjà dépensé la coquette somme de 3,1 milliards de dollars pour l'achat d'armes en 2011. Il est à noter cependant que ce marché intervient dans le sillage d'une campagne d'agression médiatique contre l'Algérie d'une extrême violence et dans la foulée, d'une éventuelle reprise des armes par le Front Polisario.
Une option qu'il n'a en effet, pas exclu lors de la tenue de son université d'été à Boumerdès (une quarantaine de kilomètres à l'est d'Alger).



«Le retour à la lutte armée contre l'occupant marocain est une décision qui relève du Front Polisario qui est seul à le décider en toute souveraineté et au moment opportun», a indiqué la ministre de l'Education et de l'Enseignement, Meriem Essalek Hamada qui a tenu à souligner que «les Sahraouis se considèrent en guerre depuis 1973, successivement contre les occupants espagnol et marocain, jusqu'à l'obtention de leur indépendance par l'exercice de leur droit légitime à l'autodétermination».
Les Marocains ont-ils interprété ces propos comme une déclaration de guerre? Ils ne le diront pas, mais si on se fie à leur position par rapport à la question du Sahara occidental, il y a tout lieu de voir dans ce fabuleux contrat militaire, passé avec les Américains, une opération de politique de défense loin d'avoir des objectifs classiques: sécurisation des frontières, rétablissement de l'ordre public, lutte contre la subversion interne...

Le Maroc aurait-il, dans ce cas, des intentions belliqueuses? Le secrétaire général de l'Istiqlal, deuxième force politique du pays, a publiquement revendiqué des territoires algériens. «La récupération de ces territoires (Tindouf, Béchar, Kenadsa, dixit Hamid Chabat, Ndlr) est une exigence du peuple marocain», avait déclaré Hamid Chabat (voir L'Expression du 29/06/2013). Ce qui ne peut se faire la fleur au fusil.


De là à mettre un tel projet à exécution, il y a certainement un pas que le Maroc ne saurait franchir..



C’est dans le militaire que cette «normalisation passive» est la plus discrète. Fait rarissime pour un pays arabe, Rabat a opté pour des achats militaires auprès de l’industrie d’armement israélienne. Le sujet est tellement sensible que les deux pays en font un secret d’État.

Selon IsraelValley, le site officiel de la chambre de commerce France Israël, l'entreprise publique Israël Military Industries (IMI) a conclu avec Lockheed Martin un accord très juteux portant sur la fourniture de certains équipements et composants électroniques pour les deux escadrilles d’avions F-16 achetés par le Maroc aux États-Unis.

Le contrat est évalué à plus de 100 millions de dollars et porte sur la fourniture de matériel de navigation, de transmission et des réservoirs de kérosène permettant à ces appareils de se ravitailler en vol. Israël est le 5e exportateur d’armements dans le monde, mais il est très rare qu’il contribue directement à des contrats de vente d’armes à un pays arabe.

L’armée marocaine a déjà été équipée par la technologie et le matériel des équipementiers israéliens, notamment pour des blindés légers de l’armée de terre ou du matériel électronique qui équipe le mur du Sahara, la ligne de défense édifiée par l’armée royale pour empêcher les incursions des séparatistes du Front Polisario. Ces transactions passaient généralement par des intermédiaires en Afrique du Sud du temps d’Hassan II.

Le Centre de coopération internationale dépendant du ministère israélien des Affaires étrangères, le Mashav, est souvent le moyen efficace pour conclure des marchés. Les technologies de télécommunication, en plein boom sur le continent, sont également un marché porteur. La société israélienne Alvarion, leader mondial du Wimax prospecte au Maroc. Mais cette haute technologie se déploie aussi dans le monde secret de la surveillance: experts militaires, spécialistes des écoutes téléphoniques, informaticiens, spécialistes des liaisons satellites se concertent et collaborent en secret.

http://www.algerie360.com/algerie/contrat-militaire-de-12-milliards-de-dollars-entre-le-maroc-et-les-etats-uniscontre-qui-mohammed-vi-sarme-t-il/





Vue sur : http://rustyjames.canalblog.com/archives/2013/08/27/27904723.html







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